Première épreuve à laquelle le kirkland participe pleinement et c'est sous un soleil de plomb qu'il entame cette journée. Lâché en plein désert pour une épreuve d'endurance alors qu'il ne brille pas particulièrement sur ce point, vu les nombreux vents pris lors des stops déjà effectués, il accuse sa grande taille et le manque de féminines dans son équipe pour attirer la sympathie des autochtones, se trouve une raison comme une autre, une excuse plus que bancale à leur malheur. Sac sur les épaules il attend un peu les directives des trois autres parce qu'il a compris depuis longtemps que la force durant ce summer camp réside dans leur cohésion, surtout pour lui qui n'est pas très sportif à la base, un peu poussif déjà lorsque ses semelles commencent déjà à fondre sous la chaleur.

La chaleur est accablante et le manque d'air se fait ressentir par tous les participants lorsqu'il tente d'une main malhabile d'attraper l'arrière de son sac, ouvrant la poche de son camelbak afin de se désaltérer une fois alors qu'il n'en a pas vraiment le besoin, la nécessité. Sa paume s’arrête lorsqu'il observe les autres avancer: ce n'est peut-être pas vraiment le moment de boire tandis qu'ils marchent tous de concert, avancement péniblement dans le désert. Secrètement il se félicite que les costumes ne soient plus qu'un mauvais souvenir parce que le body rose aurait été un cauchemar dans ces conditions climatiques. " Heureusement qu'on les a rendus..."

« tu parles des justaucorps ? » Son partenaire de galère a tout compris parce qu'entre le dinosaure gonflable qui tenait chaud et le body qui le serrait de l'entrejambe, il n'y avait pas photo: au moins dans le premier ils étaient incognito.  " Pour le prochain je mise sur..." Il fait mine de réfléchir, observant quelques secondes le ciel sous tous ses angles. " Allez, les daltons." Quatre étudiants en cavale...
Le kirkland trépigne tout simplement parce que les désert, il préfère les traverser à dos de chameau au travers d'un écran dans l’Égypte antique plutôt que de le vivre réellement. " Les concepteurs d'AC n'ont certainement jamais fait çà.." C'est d'une évidence sinon plus d'une fois Bayek serait tombé de sa monture faute d'un coup de chaud. Il continue mais pas sans grogner, préférant penser que c'est la dernière grosse activité physique dans laquelle il s'est engagé. Après ce sera farniente en Argentine, un repos bien mérité à siroter des cocktails dotés d'ombrelles en compagnie peut-être de la rouquine. Pour sûr, elle se moquera bien de lui vis-à-vis de ses précédentes mésaventures.