elle te rend fou cette fille et t'as jamais cessé de l'aimer depuis le premier jour où tu l'as rencontré. des années derrières vous maintenant. le temps passe mais rien ne change, la communication n'est pas votre fort. et à nouveau, votre relation en pâti. t'as beau lui répéter que tu l'aimes, elle te repousse encore et encore. mais ce soir, t'as plus eu envie. t'as lâché l'affaire, mis ta relation avec elle de côté. elle l'a acté de son côté en changeant son statut meetsa. la soirée a turtuga bay se passe plutôt bien, excepté le moment où ton état d'alcoolémie t'as fait rencontré les lèvres de maxyne. ça n'a pas duré longtemps, juste assez pour se dire, d'un commun accord, que l'idée était a chié. portable qui vibre dans ta poche, te rappelle à la réalité. quelques messages des gars, et les siens, encore. t'ouvres votre conversation et réponds à ses deux derniers messages datant de quelques heures en arrière. s'en suit un appel qui dure peu de temps. rage au ventre, tu finis ton verre d'une traite. les cents pas devant la villa, les entrailles qui s'retournent dans ton fort intérieur. le taxi qui délibre la blonde. — j'dois puer la tise, t'as le droit de le dire dis-tu alors que tu t'approches d'elle. t'allais la prendre dans tes bras mais au dernier moment tu t'arrêtes, repris par votre fraiche séparation. planté devant elle, si près, son parfum te noie immédiatement. tête secouée. — t'as mal? murmures. la pulpe des doigts vient effleurer sa peau tuméfiée.

Appel terminé, tu soupires. Levy ne te laisse pas le choix pour le rejoindre. Nerveuse, hésitante à l’idée de le voir, tu fais les cents dans la chambre en te demandant comment éviter l’inévitable mais rien ne te vient. Comportement de lâche, tu préfères tout abandonner plutôt que tout affronter. Ce n’est que l’histoire d’une soirée, tu te rassures comme tu le peux pour ne pas stresser. Toi, t’aurais préféré t’enfoncer davantage dans ta solitude plutôt que de devoir affronter le monde extérieur. Sortant du lit, tu enfiles rapidement ton mini - short en jean et un simple débardeur noir. Tu sautes dans tes converses blanches et tu te rends en bas de l’hôtel.  Tu t’engouffres dans le taxi lorsqu’il se montre et tu passes le trajet à te ronger l’ongle du pouce. Tu montres à Levy tout ce que tu voulais éviter de lui montrer alors tu as ce sentiment de honte qui te parcourt, parce que maintenant que tu as fait tomber le masque, tu sais que tu auras l’air encore plus misérable à ses yeux. Le regard rivés sur le paysage qui défile, tu arrives à destination. La boule au ventre, tu constates qu’il t’attend déjà devant la villa. Le taxi s’arrête et tu en descends, refermant la portière derrière toi.  « Ouais, tu sens surtout le mec qui a bien profité d’la soirée. » Remarques -tu, rictus sur les lèvres.  Tu espères au moins qu’il s’y est amusé. Il se rapproche de toi, et ses doigts effleurent ta peau encore fragilisée.  Le regard fuyant, tu souffles :  «  Au point de me sentir pathétique, oui. » Un pas en arrière et tu croises les bras. Tu ne sembles pas à l’aise du tout face à ce que tu lui montres de toi.  « Je voulais vraiment pas que tu vois ça mais ... Au moins tu comprendras que je t'ai juste rendu service. » Ou du moins, tu as essayé.

l'humeur est maussade, l'alcool coule encore fraichement dans ton sang et la découverte d'erika vient s'ajouter. il t'en faut beaucoup pour que les nerfs explosent mais là, t'es plus très loin d'être une grenade qu'on dégoupille. lorsqu'elle sort du taxi, elle vient exactement à faire ce que t'aurais parié en mille. désamorcer sa situation, son état. essayer de rire de la situation, la fuir. pas de recul quand tu t'approches d'elle et effleure sa peau rougie par les coups, sûrement. soupire las de cette situation. tu jettes un coup de pieds dans les graviers, agacé. — c'qui est pathétique c'est d'penser que seul on est plus fort que tout et que tout le monde parce qu'elle le pense erika, tu le sais. — y'a eu quoi ? qui t'as fais ça ? peut être ne vaudrait-il mieux pas que tu le saches, au risque de représailles un peu excessives et incontrôlées. — en quoi tu m'rends service là ? non parce que t'en vois aucun de service laissé, ou alors vous avez pas la même définition de ce mot.

Tout foutre en l’air, c’est renforcer tes barrières ; éviter de souffrir encore en te berçant d’illusions. Tu reproduis exactement le même schéma qu’avec ton ex alors dans le fond, tu le reconnais que le problème, c’est toi. Tu attends des hommes qu’ils t’aiment à ta place alors que tu es incapable de t’aimer toi-même. Au vu du peu de dignité qu’il te reste selon toi, tu n’as pas envie de fondre en larmes devant Levy alors tu te fais violence et tu restes droite comme un piquet. Tu restes de marbre lorsque sa colère s’exprime d’un coup de pied. Ça ne présage rien de bon pour toi et tu regrettes déjà ta venue.  Tu mords fortement ta lèvre inférieure pour ne pas le contredire à sa première remarque. Il a complètement tort mais t’es pas là pour le faire flamber de colère :  « On en a déjà parlé au téléphone. T’as pas besoin d’avoir plus de détails. »  Parce qu’à quoi bon. Tu as tendu la joue et il t’a donné le poings, uniquement parce que tu l’as cherché.  Décroissant tes bras, tu passes nerveusement une main dans tes cheveux : « Parce que t’étais comme un oiseau dans une putain de cage avec moi. Tu restes juste parce que t’es attaché à un souvenir du passé, c’est tout.  J’suis pas certaine que tu m’aimes parce que tout ce que je fais pour toi, c’est mal.  J’aurais même pas du faire ce fichue tatouage parce que j’ai bien compris ça que j’suis ni ta femme, ni ta reine ni rien d’important.   Je suis là comme une conne à avaler tes je t’aime et à me contenter du stricte minimum parce qu’après tout c’est moi Erika, la fille d’une pauvre toxico qui veut plus que ce qu’elle ne vaut. »  Tu hausses le ton malgré toi, tu accompagnes tes mots de gestes, agitée et hors de toi en quelques minutes à peine. Tu en veux à la terre entière :  « Alors oui je te rends service Levy parce que je t’en demanderai plus. Je demanderai plus rien, ni à toi, ni à personne d’autre. Trouves mieux, une femme que tu voudras encenser, qui te manquera, dont tu veux vraiment la compagnie parce que clairement, tu t'es trompé sur mon compte et puis de toute façon, j'ai pas besoin de ça. J'ai pas besoin qu'on m'aime, c'est juste des putains de conneries.  »  Plantes tes prunelles enflammés dans les siennes, tu le bouscules et tu marches à la direction opposée à la sienne, parce que t'as besoin de te calmer.

elle n'est pas le mirage auquel tu te raccroches et qui t'empêches de rencontrer quelqu'un d'autre, d'aimer quelqu'un d'autre. non elle est la perfection à tes yeux. une femme belle, drôle, avec de la repartie et certes avec un passif qui la consume. mais t'en a pas assez conscience de ça parce qu'elle dissimule tout. le moindre de ses sentiments, la moindre de ses pensées. tout est caché, au plus profond de son être, et elle ne t'y donne pas accès. à toi de lire, de comprendre entre les lignes. de t'accrocher et de la supplier pour qu'elle te parle. et encore ce soir, t'auras le droit à rien sauf sa colère qui explose. colère inexpliquée et inexplicable. à quoi bon? elle parle, elle parle, sans s'arrêter. un flot de mots qui t'enfumes complètement et qui font bourdonner tes tympans. finissant par te laisser comme un con devant l'immense porte de la villa pour entamer une marche tu ne sais où. cigarette que tu termines et que tu écrases nerveusement. tes mains frottent tes cheveux et tu tournes en rond comme un lion en cage. quand tu te retournes vers elle, son chemin est déjà bien tracé et elle s'est considérablement éloignée. en même temps, t'as rien répondu à son monologue, bien évidement qu'elle se barre. — et quoi alors? que tu cries en marchant en sa direction. — pourquoi t'es venue ? pourquoi tu t'es sentie obligée de me montrer tes blessures? t'aurais pu rien dire, me le cacher et juste continue de m'envoyer chier putain ! tu l'savais que j'allais m'inquiéter pour toi et que j'rappliquerais comme un con ! t'espères que dans la villa, la musique bats encore son plein et que personne vous verra. puis après tout, vous commencez à être bien loin pour qu'on vous entendent. arriver à son niveau, t'attrapes son bras pour l'arrêter dans sa course folle. — j't'aime comme un gros con et même quand y'en a eu d'autres c'est à toi que j'pensais erika siegel, tout le temps. pendant qu'tu t'faisais baiser par ton putain de médecin à la con et que tu venais t'en vanter auprès de moi, m'cracher ton pseudo bonheur à la gueule. ta main se desserre autour de son bras et tes billes bleutés percent les siennes. les doigts glissent vers sa main pour lui attraper ce fameux doigt, tatoué de ton initial. — et ça.. tu ris nerveusement — tu crois que j'étais pas été con moi aussi ? tu lâches son doigt sans ménagement et son bras retombe le long de son corps. tu viens découvrir ton épaule de ton t-shirt en relevant la manche, pointant le tatouage qui orne l'intérieur de ton bras. trois petites étoiles. à l'origine il n'y en avait que deux, mais t'as été assez bourré un jour pour en rajouter une à son effigie. alors que vous n'étiez même plus ensemble. et ça, personne le sait. enfin, peut être les gars et encore, t'es même pas sûr.

Les séquelles de ta précédente relation avec Jude et de l’infidélité de Levy sont encore ancrées en toi et même si tu lui as pardonné, même si tu es passé à autre chose, une part de toi craint toujours de ne pas être suffisante.  Tu pensais déjà aller trop loin en te faisant tatouer, hésitante parce que tu ne voulais pas effrayer Levy en lui montrant que tu pouvais déborder d’amour pour lui. Au vu de sa réaction, tu t’es fait une raison et puis doucement,  tu as continué de reculer, jusqu’à vouloir t’effacer et disparaître sous les poings d’un fou furieux. Tes paroles fusent et tu te débarrasses de tout ce que tu n’as jamais osé dire. Chaque aveu est une lame qui s’enfonce dans ton épiderme.  Tu as l’impression que tu risques de te désintégrer d’une seconde à l’autre tant la douleur dans ta poitrine est intense.  Tournant les talons, tu espères disparaître dans la pénombre mais tu peux encore entendre la voix de Levy derrière toi qui te suit . Sans même t’arrêter, tu te retournes,, tapant même du pied en répondant dans un cri de colère : «  Parce que t’aurais dû me tourner l’dos en les voyant !! »  Et parce que tu pensais que ça rendrait la rupture plus facile pour lui mais tu ne pensais pas que Levy pourrait être aussi déterminé.  Son bras attrape le tien et tu t’interromps dans ta course.  Tu te figes, surprise d’entendre qu’il puisse encore t’aimer. Tu restes muette et pourtant tu te souviens encore qu’au moment où tu lui agitait ton bonheur sous le nez , il était ton plus grand regret. Ton bras relâché, il relève la manche de son t-shirt et tu découvres, ébahie, son tatouage pour toi. Tes doigts effleurent sa peau, redessine l’étoile qui t'est dédiée.   « Et pourquoi tu ne me l’as pas montré avant ? »  Que tu demandes la voix tremblante. Tu le pinces, lui donne une tape sur le bras :   « Tout ce temps j’ai pensé que je t’aimais trop, plus que tu ne pouvais l’faire.  Ça m’a déchiré le cœur de me dire qu’on savait pas s’aimer, qu’on était sûrement pas destinés à être ensemble. »  La gorge nouée, tu tentes de réprimer tes sanglots mais les premières larmes perlent sur tes joues. Tu les chasses avec ton bras : « Et si on était pas destinés alors y'a plus rien qui en valait la peine ... plus rien du tout. » la voix étranglée par les sanglots, tu détournes le regard. Tu voulais juste t'enterrer vivante en te terrant dans la solitude.

votre colère gronde. vos rancoeurs, vos non-dits. tout un tas de trucs qui créer un vaste vacarme. et si elle s'éloigne, tu lui cours après. comme trop souvent. c'est bien la seule pour qui tu fais ça. t'as l'air d'un con maintenant levy. t'aurais peut être du l'esquiver quand elle est revenu en pleurant vers toi après t'avoir narguer avec son médecin. ça t'aurais éviter ce merdier, de raviver des flammes que t'aurais bien réussi à éteindre un jour. mais là, erika, elle brûle en toi. et l'opulence de ton amour pour elle est marquée sur ta peau. — parce que c'est trop niais rétorques-tu sèchement en citant ses propres mots et en mimant des guillemets avec tes doigts. tu recules d'un pas venant éteindre le contact de ses doigts sur ta peau. —  peut être qu'on sait pas s'aimer. la situation te dépasse tellement, que tu sais plus quoi penser de tout ça. tu l'aimes, c'est une certitude. mais c'est aussi au dessus de tes forces qu'elle t'abandonne tous les deux jours comme elle l'a fait là. ta mâchoire se serre lorsque tu découvres les perles d'eau qui dévalent son visage. tu souffles longuement et passes la main sur ton visage. t'essayes tellement de lui résister que ça devient une torture. en temps normal, tu te serais empressé d'étouffer son étreinte contre toi. — s'il te plait, pleure pas.. ce sont les seuls mots qui sortent de ta bouche alors que ton corps ne bouge pas d'un millimètre. t'as le cœur qui s'emballe de la voir comme ça et les poings qui se serrent. enfin le poing.

Tu as toujours qualifié les choses de - niaises - sous le ton de la plaisanterie mais étrangement ce soir, ça ne te fait pas rire du tout. Et comme un poison qui  pourrait se loger dans ses veines, il évite ton touchée sur son épiderme en reculant d’un pas.  Ton cœur se serre tu peux comprendre, tu peux comprendre que tu as tout foutu en l’air. et c’était ce que tu voulais ; qu’il te fuit comme la peste. Tu n’aurais jamais pensé que le fait qu’il te donne raison un jour puisse être aussi douloureux. Triste constat de votre amour mais pourtant véridique. Tu n’as pas su l’aimer et il n’a pas su t’aimer comme tu l’aurais voulu. Tu tentes de te reprendre quand il te demande de cesser de pleurer.  Tu passes tes paumes sur tes yeux, inspire un bon coup et t’efforce de sourire .  « Je pleure plus, c'est bon. C’est des larmes de soulagement. J’suis soulagée qu’on ait pu enfin parler et mettre le doigt sur le problème.  » Les yeux rougis par les sanglots, tu persistes à sourire de toutes tes dents. Tu as l’air d’un clown triste ce soir :  « Tu trouveras quelqu’un qui sait t’aimer. J’en suis persuadée. Après ça, tu ne peux que trouver mieux.  » Ton regard dans le sien, tu fais preuve de sincérité. Tu sais de toute façon que tu ne peux pas être cette personne même si tu aurais voulu l'être. Il vaut mieux taire tes rêves impossibles : « Je vais devoir rentrer maintenant. J'ai pas prévenu Lena et elle risque de se poser des questions... Et  tu devrais retourner t'amuser en soirée avant que la compétition reprenne.  »

tout est entrain d'exploser sous tes yeux, dans tes mains même, et t'es pas en capacité de le contrôler. déjà parce que tu comprends pas ce qui lui arrive mais aussi parce que ton taux d'alcoolémie te fait percuter les choses avec retardement. ses larmes essuyés et son sourire forcé ne te plaisent pas. tu secoues la tête de gauche à droite, soufflant à nouveau d'agacement. — j'en ai rien à foutre de si lena s'inquiète elle doit sûrement être avec quincy d'ailleurs, peut être même entrain de batifoler dans un coin de la villa. — t'es prête à tout quitter comme ça alors? j'ai l'impression d'être le seul à m'battre pour toi. l'seul à ressentir.. main à plat sur la poitrine, la gorge qui se noue — oh puis merde t'attrapes son menton et ton corps, beaucoup trop près du tien, viens te rappeler ce que tu perds encore une fois. — le seul à ressentir que j'donnerais ma vie pour la tienne murmures-tu contre ses lèvres. tu peux sentir son souffle saccadé par les sanglots qui précèdent. le tien fait émerger les effluves d'alcool sûrement peu agréable. ton regard soutient le sien et à ce moment, les secondes semblent être des heures. et pour pas gagner ses lèvres, pour résister, tu te résout à t'éloigner. les doigts qui libèrent son visage et tu fais quelques pas en arrière. finissant par lui tourner le dos, et retourner d'où vous veniez, devant la villa, où ton verre vide t'attend encore.

Encaisser en silence, c’est tout ce que tu sais faire. Tu pourrais le retenir, lui prouver qu’il a tort, lui dire que tu sauras l’aimer, mais tu crains qu’il n’y ait pas de retour en arrière possible avec toute la douleur que tu lui as infligée. Tu en as pris conscience alors t’es restée là, sans oser le contredire, trop fière pour le retenir s’il ne veut plus de toi.  Cette fois, tu ne penses pas en valoir la peine, pas après avoir mis son coeur en miette. Tu n’aimes pas ce que tu vois, tu n’aimes pas le voir dans tous ses états et c’est la première fois que tu vois Levy ainsi, au bord du gouffre.  Il t’attrape par le menton et ton visage proche du sien, l’odeur de l’alcool te frappe de plein fouet. Tu te demandes si demain,  il ne regrettera pas ses mots. Tes lèvres contre les siennes, ton coeur bat à toute allure alors qu’il prononce ce que tu as toujours voulu entendre de sa bouche. Il se sacrifierait pour toi, comme tu te sacrifierais pour lui.  Ton regard plongé dans le sien, tu n’entends que les battements de ton cœur qui raisonnent dans tes tempes à cet instant. Cette proximité te ravive, toi la flamme éteinte. Plus rien ne brille lorsqu’il s’en va. Tu as le choix entre t’en aller et rester.  La raison te crie de t’en aller parce que cet amour démesuré pourrait vous rendre fou et ton cœur lui, ne demande qu’à battre en sa présence.  Tu cours derrière lui, jusqu’à arriver à son niveau puis tu passes tes bras autour de sa taille alors qu’il se trouve dos à toi : «  Si je suis capable de m’effacer pour que tu sois heureux. J’ai toujours pensé pour toi, parce que j’ai toujours placé ton bonheur avant  le mien. » Tu le serres contre toi puis tu le relâches et le tire par le bras afin qu’il te fasse face :  «  J’ai pas peur de te dire que j’sais  peut-être pas t’aimer mais que personne t’aimera jamais comme je t’aime. J’pourrai m’laisser crever juste pour que tu sois heureux. » Gorge nouée,  tu plaques tes mains contre ses joues et colle tes lèvres contre les siennes afin d'étouffer ton sanglot. les perles salés qui roulent sur tes joues se mêlent au baiser passionnée que tu lui offres. Tu ne penses plus au lendemain.