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I LOVE HARVARD
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    In heaven there is no beer (Avec Anna-Katrina)
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    Lien du postJeu 2 Fév - 17:17
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    ★In heaven there is no beer★
    w/ @Anna-Katrina Hutton

    ♪♫.♪♫


    « Bonsoir Claire, merci Jean-Claude, bon travail tout le monde! Aurevoir Gilles, on se voit demain Jeanne. Passe le bonjour à ta femme, Simone, et Paul, je n’ai pas oublié ta fille. En théorie, je mets la main sur ce chandail des Celtics cette semaine! Bye tout le monde, et merci encore!»

    Et tandis que tout le monde rentrait tout doucement chez lui, après cette séance de planification de la prochaine grande campagne de financement de la fondation d’Harvard, George, lui, se retrouvait seul. Il classa quelques papiers, répondit à plusieurs courriels et retarda autant que possible l’inévitable : c’était l’heure de rentrer chez lui. Dans cet appartement devenu intolérablement vide lui rappelant avec insistance tout ce qu’il avait perdu.

    Depuis son tout jeune âge, il avait rapidement compris qu’il carburait au contact humain. Ses déménagements constants à travers le monde n’avaient que solidifié ce trait de caractère. Tant d’individus si riches en histoire, en émotions et en expérience qu’il n’aurait jamais assez d’une vie pour savourer toutes les infinies nuances des passions qui habitaient et faisaient vibrer l’humanité.

    Et au sommet de toute cette pyramide de ses cercles sociaux passés et présents, de tous ces destins croisés sur sa route, l’être avec lequel il avait souhaité plus que tout au monde partagé cette incroyable aventure. La cristallisation de tout ce qu’il cherchait chez autrui. Presque aussi miraculeux que la formation d’un diamant, où celle d’une aurore boréale. Il fallait juste le bon degré d’un million de facteurs, sinon…

    Mais elle n’était plus là. Depuis janvier, elle habitait à Londres. Elle ne répondait plus au nom de madame Cavendish. Et à son appartement à lui ne l’attendait plus qu’un assourdissant silence qu’il ne parvenait absolument plus à supporter.

    Il avait donc pris l’habitude de terminer directement ses journées ‘Chez Joe’. Une taverne de quartier dans sa plus crasse définition. Une douzaine de tabourets au bar. Cinq petites tables disséminées ici et là. Un éclairage approximatif. Un sol poisseux qui, comme les occupants de l’endroit, ne connaissait plus le goût de l’eau. Personne ne lui posait jamais vraiment de question, chez Joe. Tout le monde l’accueillait toujours à bras ouvert, chez Joe. Et surtout, la dizaine d’habitués de l’endroit ne laissait jamais le silence pointer le bout de son nez chez Joe. Tout ça en échange d’une simple tournée. Ou deux.

    Ce soir, il en était à sa cinquième, et il terminait une fort invraisemblable discussion à travers laquelle lui, un dénommé Stephen qui travaillait comme technicien dans une firme comptable, un Joey apprenti charpentier et Joe, ce cher tavernier Joe, tentaient de déterminer qui entre Cléopâtre, la princesse Diana ou Sanna Marin, la présidente actuelle de la Finlande, constituait le meilleur coup.

    Devant une impasse aussi manifeste qu’incompréhensible (« Come on, les gars, en plus d’être sexy as hell, elle est présidente de son f****** pays!» ), George se leva pour aller donner une seconde vie à ses cinq pintes, comme il l’annonça gaiement. Mais en chemin, son regard tomba sur un visage vaguement familier, mais qu’il n’associait absolument pas à un endroit comme celui-ci. Pendant de longues secondes, son cerveau embrumé tenta de connecter ses souvenirs à ce que ses rétines lui transmettaient, et finalement, un large sourire étira ses lèvres.

    « Heeeeeyy, mais je te connais toi! »

    Le veston ouvert, le nœud de sa cravate pendouillant sous le troisième bouton de sa chemise, chemise elle-même déboutonnée jusqu’à ce que troisième bouton, le visage légèrement luisant, il offrait un spectacle tristement différent de la première fois ou sa route avait croisée celle qui ne se prénommait pas Anna Karenina. Mais ce genre de considération l’avait abandonné il y avait deux bières, déjà…
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    Lien du postDim 12 Fév - 23:38
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    In heaven there is no beer.
    bar "chez Joe"

    @George Cavendish ; @Anna-Katrina Hutton
    TW : alcool - évocation d'adultère

    Anna-Katrina avait besoin de prendre l’air. S’éloigner de l’hôpital ne serait-ce que quelques heures après cette journée, on ne peut plus merdique, l’aiderait, elle en avait la certitude. Alors, lorsque ses collègues lui ont proposé d’aller boire un verre dans un bar non loin de leur lieu de travail, elle a décliné. N’en pouvant plus de leurs critiques à son sujet, comme quoi, elle ne fait pas partie de la famille des urgences puisqu’elle ne partageait aucun instant avec eux en dehors du travail, elle a pris soin d’immédiatement tourner les talons. Car elle ne pouvait supporter de nouvelles brimades et encore moins le regard de son chef de service, spécialisé en traumatologie tout comme elle. Plus tôt, dans la journée, il lui avait annoncé qu’elle ne cessait de lui manquer, chaque jour et que son indifférence face à leur situation le blessait. Il semblait avoir oublié le fait qu’il est marié et le lui a caché durant tout le temps de leur relation. Une fois l’ayant appris, elle s’est décidée à le quitter lorsque ses vaines promesses n’ont pas été concrétisés et il revenait à la charge, inlassablement. Lui ayant demandé de la laisser tranquille ainsi que passer - l’ayant coincé dans la réserve de médicaments - Anna-Katrina avait commencé à hausser le ton afin qu’une tierce personne l’entende et lorsqu’un infirmier avait ouvert la porte, elle en avait profité pour se faufiler hors de la pièce, afin d’être hors de sa portée. Elle le détestait autant qu’elle l’avait aimé et aujourd’hui, elle ne ressentait plus qu’une véritable haine à son égard.
    — « Mais fous-moi la paix, putain ! » Elle prononce en serrant les dents, tandis qu’elle erre près du campus de l’université d’Harvard. Elle a étudié ici, à partir de sa troisième année de médecine et le regrette presque, puisqu’elle l’a rencontré, à cause de son désir de gagner les rangs de cette prestigieuse université. « Connard. » Elle termine, avant d’éteindre son smartphone et de l’enfoncer dans l’une de ses poches. Défaisant avec hargne la tresse qu’elle s’est faite plus tôt ce matin, elle s’arrête face à la devanture d’un bar se nommant "Chez Joe". Puis elle en passe la porte pour se rendre compte qu’elle sera comme chez elle, ici. Il faut dire qu’elle a grandi dans un orphelinat et qu’elle s’y est faite sa propre famille, puisqu’elle considère « ses frères et sœurs » de l’époque comme étant la sienne. N’ayant jamais eu de père ou de mère.
    — « Une bière, blonde. La plus forte que vous ayez. » Elle demande à l’homme se trouvant derrière le bar, tandis qu’elle prend place sur l’un des tabourets face à celui-ci. Si la brune a besoin de quelque chose, c’est bel et bien de broyer du noir tranquillement, de son côté, sans que l’un de ses collègues ne la contacte pour quoi que ce soit. Par principe, elle a gardé son biper sur elle, seulement, comme elle s’est décidée de boire, elle ne sera d’aucune utilité si on l’appelle en urgence. « Merci. » Elle conclut, passant ses deux mains autour de sa bière sans se mêler à l’étrange conversation qui a lieu plus loin, dans cette bien médiocre salle. Après tout, qui est-elle pour juger ses femmes alors qu’elle n’a qu’une seule envie : casser la figure à son boss ? Elle adorerait confectionner l’une de ses poupées vaudoues afin d’enfoncer des épingles dans son corps et le voir souffrir, au loin, à mesure où elle les fait pénétrer dans ladite poupée. Vidant de moitié son verre en y songeant, elle essuie du revers de la main la mousse présente au-dessus de sa lèvre supérieure lorsqu’un homme la rejoint pour se saisir des pintes de la tournée suivante, c’est du moins ce qu’elle s’imagine. En percevant sa voix de nouveau, elle se rend compte qu’elle lui dit quelque chose, mais l’ignore, quand leurs regards se croisent et qu’il prend la parole, ivre. *C’est pas vrai.* L’urgentiste pense, puisqu’elle remet le visage de l’homme et se demande quand sa déchéance à commencer. « George. Que… » Mais elle n’achève pas son interrogation. « Que faites-vous ici ? » Elle lui demande finalement, peu désireuse de commencer par un « qu’est-ce qu’il vous est arrivé » alors qu’ils se connaissent peu, en réalité. Bien sûr, elle n’est pas coutumière du lieu puisqu’elle vient d’en passer la porte pour la toute première fois, seulement, ce manque de lumière et cette odeur qui pique légèrement le nez, lui rappellent cet endroit qu’elle a connu jusqu’à sa majorité.

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    Lien du postLun 20 Fév - 2:08
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    In Heaven There Is No Beer
    Anna-Katrina et George
    tw ✧ Consommation d'alcool, vulgarités, objectification de la femme

    « Moi ? Oh, j’étais avec mes bros, hem.. Jason..John… Jim! Jim et … l’autre gars, là… »

    Il pointa très arbitrairement du pouce dans la direction générale d’à peu près tout le monde dans le bar. Incluant Joey et Stephen, ceux qu'ils venaient de rebaptiser bien involontairement Jim et Là.

    « Et on discutait du cul de…hem…»

    Leur nom à elles aussi lui échappait sur le moment, alors qu’un vague sentiment du caractère inapproprié de ses propos prenait chaotiquement naissance dans ses neurones désinhibés.

    « Mais avoir su que t’étais là…»

    On aurait parlé du tien ? Non, enfin, oui, mais non.

    « C’est dommage que toi et ta copine ne soyez pas venu nous rejoindre après le bal des pompiers. C’était une super chouette soirée, et pas mal plus classe que chez Joe»

    Réalisant ce nouvel impair, il s’empressa de lever la main en guise d’excuse et lança au tenancier qui ne suivait absolument pas la conversation un

    « Désolé, Joe»

    Après avoir discuté de longues et agréables minutes avec les deux pétillantes jeunes femmes lors de la soirée caritative organisée par les pompiers en marge de Noêl, il les avait invitées à le rejoindre après la soirée au Black Rose, un pub irlandais où plusieurs des participaient prévoyaient terminer leur soirée.

    Pour le plus grand malheur de George, il ne les avait pas revues ce soir-là. Enfin, considérant qu’à l’époque, il portait encore une bague à l’annulaire gauche, cela valait probablement mieux ainsi.

    « Mais il faut absolument que je te dise, Anna. Que je te prévienne. Ça me ronge depuis qu’on s’est rencontré.»

    Son visage adopta rapidement une expression exagérément grave.

    « Je suis Oblonsky. Quoique je puisse tenter. Et elle m’a largué pour ça…»

    Les larmes lui montèrent immédiatement aux yeux.

    Il aurait définitivement dû lui faire les éloges que ses glutéus maximus méritaient, finalement…


    @Anna-Katrina Hutton


       
    @Anna-Katrina Hutton
    [/quote]
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    Lien du postDim 26 Fév - 0:50
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    In Heaven There Is No Beer.

    chez Joe
    02 février 2023
    @George Cavendish  
    ALCOOL - ÉVOCATION D'ADULTÈRE - OBJECTIFICATION DE LA FEMME & DE L'HOMME

    Jamais elle ne se serait imaginée le revoir ici. George était un homme de goût, drôle et téméraire, ainsi que charmant et charmeur. Alors, le retrouver dans cette sorte de bar possédant une odeur nauséabonde, non, elle ne comprenait définitivement pas. Seulement, elle perçoit immédiatement le changement en lui. Sa cassure est visible par sa manière de porter ses vêtements - puisque débraillé - mais aussi par son état étant donné qu’il est légèrement ivre, si on peut dire ainsi.
    — « Je vois. » Anna-Katrina leur offre un signe de la main comme salutation, peu désireuse de les rejoindre alors que ses sourcils se froncent parce qu’il ne semble même plus connaître les prénoms de ses comparses. « Du cul de ? » Elle l’interroge, bat des cils en se retenant d’émettre un rire face à la situation. A-t-elle un souci avec leur sujet de conversation ? Sincèrement, non. Elle a déjà parlé d’hommes et de leurs postérieurs, pour les classer par catégorie, alors, en rien, elle n’est choquée. « J’ai cru entendre la princesse Diana, Sanna Marin… » Elle les compte sur l’une de ses mains et fouille son esprit, en fixant le plafond. « Ah ! Cléopâtre ! » Affichant un large sourire, elle termine, afin qu’il se sente à l’aise : « Je serais d’avis de choisir Sanna Marin, la présidente, c’est ça, de Finlande ? Attention, je n’ai rien contre les autres, mais elles ont passé l’arme à gauche. » Et ce coup-ci, elle ne parvient pas à se retenir et se met à rire, quand il reprend et la laisse songeuse. « Quoi donc ? Quel est le rapport avec moi ? » Son regard interrogateur le scrute quand il parle d’autre chose, passe de coq à l’âne, sans doute à cause de son état d’ébriété. « Heu… » Mais elle n’a le temps de rétorquer qu’il s’excuse auprès du propriétaire du lieu, auquel elle offre elle-même un mince sourire d’excuse. « Oui, j’aurais bien aimé venir, mais avec Addy, nous devions rentrer tôt. » Bien sûr, elle aurait pu s’y rendre seule, mais elle était mal à l’aise à la soirée caritative, alors se retrouver seule avec ses hommes l’aurait fait paniquer.
    — « Pardon ? Quoi ? » Encore une fois, il passe à un nouveau sujet et fronçant les sourcils, la brune s’efforce de suivre, en avalant une gorgée de sa bière blonde. « Oblonski. » Elle reprend une fois son verre déposé sur le comptoir du bar, alors qu’elle se pince les lèvres durant une fraction de seconde. « L’homme oisif, qui dépense plus qu’il ne possède. » La belle reprend, mettant de côté le fait qu’il soit tout bonnement infidèle. « George, je ne sais pas pourquoi vous dites cela, mais… » L’une de ses mains trouvent l’une des siennes et la presse tendrement. « Je pense que vous exagérez, sincèrement. » Ses billes s’ancrent dans les siennes, qui s’emplissent de larmes. « George… » Sa peine est si perceptible, qu’elle la gagne, elle aussi. « Que se passe-t-il ? Pourquoi êtes-vous si… » Elle hésite puis termine : « Brisé ? Je ne pensais jamais vous voir un jour dans pareil état. » Sa main se fait plus ferme, serrant la sienne.
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    Lien du postJeu 2 Mar - 21:14
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    In Heaven There Is No Beer
    Anna-Katrina et George
    tw ✧ Consommation d'alcool, vulgarités, objectification de personne

    Il afficha le rictus d’un gamin pris en flagrant de délit de quoi que ce soit lorsqu’Anna-Katrina lui remémora avec grande justesse les grandes lignes de la conversation peu élogieuse qu’il entretenait précédemment avec ses quasi anonymes frères de taverne. Jusqu’à ce qu’elle mentionne à son tour sa préférence pour Sanna Marin, ce qui lui fit immédiatement perdre toute la gêne qu’il ait pu ressentir.

    « N’est-ce pas ?? Elle est hallucinante, cette femme, et pas juste parce qu’elle est encore en vie! »

    Ayant trouvé ce qu’il croyait être son âme sœur dans l’adoration du physique et du charisme de la présidente finlandaise, son réflexe fut d’initier une conversation sur toutes les bénédictions dont la nature l’avait dotée, avant qu’une autre idée ne vienne rapidement supplanté tout le reste de ses fonctions cognitives en perte de vitesse : est-ce que cela voulait dire qu’il serait possible qu’Anna-K, Sanna et lui puissent un jour….

    Il secoua rapidement la tête de gauche à droite pour chasser rapidement ces visions absolument inappropriées.

    Une chose en entraînant pas si naturellement que cela une autre, il se retrouva à dévoiler à cette relative inconnue le trouble qui secouait intérieurement son âme, et dès qu’elle vint saisir sa main, il sentit que tout s’écroulait. Les heures infinies à tenter de trouver un chemin qui continuait à travers le silence. Les jours passés à prétendre que tout continuait comme avant auprès des collègues de bureau. Les semaines depuis lesquelles il évitait, honteux, tous les gens de sa famille.

    Il agrippa d’une main le comptoir et se laissa à moitié choir sur le banc à côté de celui qu’occupait l’empathique jeune femme. Il s’arracha à son regard et récupéra doucement sa main, dont il se servit du revers pour s’essuyer les yeux.  

    « Pour être honnête, moi, je ne pensais jamais te revoir tout court. »

    Il expira bruyamment, tentant de reprendre un peu le contrôle de ses émotions.

    « Brisé ? Le mot est un peu fort non? Enfin, j’étais définitivement plus drôle au bal des pompiers, je te l’accorde »

    En fait, le mot était douloureusement juste.

    « Il me faut clairement une autre bière... Joe, une autre pinte s’te plaît. »

    Mais qu’est-ce qui n’allait pas chez lui ? Pourquoi diable ressortait-il cette histoire d’Oblonsky deux mois plus tard comme s’il s’agissait du catharsis de sa vie à une personne avec qui il n’avait échangé que quelques plaisants moments ?

    Un peu voûté, les coudes déposés sur le bar, il fixait un point quelconque de ce dernier. Il était allé beaucoup trop loin pour tenter de refermer la digue maintenant…

    « Ça a été… un difficile début d’année. J’ai été un idiot, et maintenant, j’ai rejoint le club des divorcés… »

    Avec un nouvel élan de familiarité que seulement une taverne pouvait faire naître, il se retourna à nouveau avec émotion vers Anna-Katrina.

    « J’ai tout essayé. Je te jure que j’ai tout essayé pour réparer tout ça. Mais je n’étais tout simplement pas assez pour elle… »



       
    @Anna-Katrina Hutton
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    Lien du postJeu 6 Avr - 0:35
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    In heaven there is no beer.Ce pub rebutant ne l’est pas pour Meryana. Elle a comme une sensation de déjà-vu en se trouvant ici et cela la conforte quelque part. Chez « Joe » pourrait bien devenir son QG tant que les hommes ivres qui font parties de la clientèle ne viennent pas l’ennuyer. Hors, à présent, ce n’est pas du tout le cas, puisqu’elle retrouve George, cet homme qui l’a marqué lors de leur rencontre au bal des pompiers. Charismatique, drôle, il possédait toutes les qualités qu’un homme peut avoir à ses yeux, seulement, à cet instant, les choses semblent avoir décliné, depuis. Sans même parler de l’alcool qu’il a ingéré, son apparence physique est négligée, et celui qui se tient devant elle, n’a que les traits de l’homme qu’elle a connu une nuit uniquement. Toutefois, il n’a rien perdu quant à ses conversations et c’est en souriant que Mery le fixe, sa pinte de bière présente sur le bar. — « C’est vrai qu’elle est assez incroyable pour le peu que j’ai lu sur elle ou encore vu, aux informations. » Mery s’intéresse à tout et retient tout ce qu’elle perçoit. Puis, vient le moment où le regard de George change, se trouve empreint d’un soupçon de malice, jusqu’à celui où il s’effondre et évoque « Oblonski. » Cherchant à le réconforter, c’est en se saisissant de sa main qu’elle s’y essaye, afin qu’il s’accroche à elle comme à une bouée de sauvetage, mais il n’en a apparemment pas envie. Avec une certaine politesse - malgré son état - il récupère ladite main et essuie ses calmes larmes pour s’affaler, dos arqué, sur le bar. « Et bien, la vie fait bien les choses. » Elle se contente de souffler quand il assure que le terme "brisé" qu’elle a employé est exagéré, alors que ce n’est pas le cas, de son point de vue. « Joe. J’en voudrais une seconde lorsque j’aurai terminé celle-ci. » Autant qu’elle passe sa commande suite à celle de George et tandis qu’il s’ouvre, reprend, elle acquiesce, lèvres pincées. Savoir qu’il a rejoint le club des divorcés la peine, puisque son cœur est bel et bien brisé, ce qu’elle connaît elle-même. « L’amour… » Elle murmure davantage pour elle que pour l’homme se tenant près d’elle, lorsqu’il se redresse pour la regarder, son regard perçant présent dans le sien. « Je n’en doute pas. » Elle tient ses mains fermement l’une dans l’autre, afin de ne pas commettre la même erreur en s’emparant une nouvelle fois de l’une des siennes. « Parfois… Il vaut mieux tourner la page. » De l’amertume est présente dans le timbre de sa voix, elle-même ne s’étant guère remise de sa séparation. « Je sais ce que vous ressentez. » Elle ajoute pour terminer dans un soupir et avaler d’une traite ce qui reste dans sa première pinte avant d’approcher la seconde de ses mains. « George, je vous ai connu différemment, mais je pense que vous êtes un homme bien. Vous avez bon fond. Vous vous remettrez de cette séparation et vous irez mieux. » Ana désire lui apporter une once d’espoir ou peut-être s’imaginer que cela est possible, de se remettre d’un cœur en miettes.

    @George Cavendish & @Meryana-C. Hutton
    TW :: ALCOOL - ÉVOCATION D'ADULTÈRE - OBJECTIFICATION DE LA FEMME & DE L'HOMME
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    Lien du postLun 17 Avr - 20:58
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    George Cavendish a écrit:
    In Heaven There Is No Beer
    Méryana et George
    tw ✧ Consommation d'alcool, vulgarités,  

    La majorité des nuances et des subtilités d’une conversation, concepts qui lui sont généralement si appréciables en temps normal, lui étaient présentement absolument imperceptibles. Il ne relevait pas du tout ce à quoi elle pourrait faire allusion lorsqu’elle mentionnait que la vie faisait bien les choses, par exemple. Ni lorsqu’elle lui partagea savoir ce qu’il ressentait. Toutes ces petites choses qui veulent pourtant tout dire à qui sait écouter lui échappaient comme l’eau d’une passoire. George sobre n’hésiterait pas une seule seconde à gifler le George un peu ivre du moment, mais voilà, le George sobre ne se présentait plus si souvent que ça au poste.

    Il ne lui restait donc que cette incroyable faculté de réconfort qu’offraient les compliments de n’importe quel relatif étranger avec qui l’on partageait un bar. Il offrit donc un sincère sourire à celle qui tentait de le sortir du fond du baril par pur altruisme.  

    « Merci. C’est super gentil, Meryana. Je peux t’appeler Mery ? Ou Anna ? Parce que je pense que Ryana est déjà pris ? Mery aussi, d’ailleurs, non ? Un petit truc avec des pieds poilus, il me semble… ? À moins que ce ne soit l’inverse ? »

    Alors qu’il s’empêtrait dans des réflexions à voix hautes qui n’auraient jamais dû voir le jour, le soulagement temporaire provoqué par les douces paroles de la jeune femme s’envola, rapidement remplacé par un cruel sentiment de pas être à la hauteur.  

    « Mais tu te trompes. Toi, toi t’es une femme bien! »

    Il s’était retourné vers elle et gesticulait avec un peu de mal pour appuyer ses propos.

    « T’as un beau….fond. »

    Ses yeux disaient plutôt 'décolleté' ou 'regard'. George sobre, lui, aurait aussi souligné la remarquable espièglerie de son nez et de son sourire. Mais lui n’aurait bien entendu rien dit.

    « T’as un bon fond, j’veux dire. Un très bon fond. Un super bon fond, même. Mais moi, je suis juste un front man. Tu vois ce que je veux dire ? Moi, je suis juste là devant les gens, à bien paraître, à m’intéresser à eux, parce que… Ben parce que j’aime tout le monde. C’est exactement ça le problème – J’AIME TOUT LE MONDE. »

    Il parla un peu trop fort, ce qui eut pour effet d’inciter certains des autres tenanciers à briser la première règle des ‘bros de chez Joe’ – si un bro parle à une demoiselle, tu fais comme s’ils n’existaient pas et tu ne les dérange surtout pas. L’espace est à eux. Point barre.

    « Même toi, Jason. Heu, j’veux dire Jim! Cheers! »

    George leva sa pinte en direction de l’interpellé qui se contenta d’un bref hochement de tête avant de reporter son attention sur sa propre consommation.

    « J’aime fucking tout le monde… », répéta-t-il tout doucement avant de chercher un peu de réconfort dans ce que son verre avait à offrir.




       
    @Meryana-C. Hutton
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    Lien du postLun 24 Avr - 0:39
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    In heaven there is no beer.

    In heaven there is no beer (Avec Anna-Katrina) OfmzIqHk_o with @George Cavendish and @Meryana-C. Hutton
    In heaven there is no beer (Avec Anna-Katrina) OSzkcTgj_o warning : abus d'alcool
    In heaven there is no beer (Avec Anna-Katrina) IiPbXI28_o chez Joe, taverne, près du campus

    Le George présent sous ses yeux est un parfait inconnu. Non pas qu’elle connaisse très bien l’homme sobre, mais dans ses souvenirs, le bellâtre n’était pas ainsi. Cela peine Mery de le découvrir sous cet angle, car il souffle. C’est d’ailleurs d’une évidence flagrante ! Mais elle ne sait comment se comporter, que dire, où faire. La brunette a même la sensation qu’à chaque geste qu’elle souhaite tendre, il se dérobe. *Je ne suis pas Sanna Marin, en même temps.* Femme dont il a débattu avec ses comparses avant de la rejoindre au comptoir du bar et d’être reconnue par cette dernière. Alors, c’est un sourire désolé qui s’étire sur son visage tandis que ses deux mains restent à présent autour de sa pinte de bière. — « Je vous en prie. » Elle souffle pour toute réponse avant d’être de nouveau amusé par ses dires. Effectivement, Rihanna, c’est pris. Mais, elle ne connait aucune Mery avec des pieds poilus, en revanche. Seulement, même si cela la titille de lui en demander davantage sur ce détail, l’urgentiste se doute que ce sera incompréhensible à cause de son état. « Je ne pense pas que Rihanna ait les pieds poilus. » Elle se contente par conséquent de prononcer, dans un léger rire, quand il reprend et que ses sourcils se froncent. « Comment cela ? » Lui ne serait pas un homme bien ? À cause d’Oblonsky dont il ne cesse de parler ? « George, je pense que vous vous référez bien trop aux personnages de romans et oui, vous pouvez me surnommer Ana ou Mery, peu importe. » Elle en secoue son visage, s’essaye de ne point se perdre, elle aussi, quand il lui assure qu’elle possède un bon fond pour ajouter qu’il aime absolument tout le monde. Peinant à ravaler sa salive, la jeune trentenaire avale plusieurs gorgées de sa nouvelle pinte et garde encore une fois le silence. Que dire ? Après tout, s’il pense ainsi, elle ne peut aller contre ses idées. Et lorsqu’il se tourne vers ses amis de tablé, elle suit du regard ceux à qu’il s’adresse, un rictus déformant son visage de poupée. « Santé. » Elle peine à prononcer, puisqu’elle étouffe ce mot dans sa pinte et ferme durant une fraction de seconde les yeux. Est-ce qu’elle souhaiterait être ailleurs ou accompagné d’un George sobre ? À vrai dire, elle ne le sait plus et de toute manière, elle n’a pas ce choix-là, de choisir ce qu’elle désire. « Hé bien, trinquons à cela. Vous aimez "fucking" tout le monde ! » Levant sa pinte dans sa direction, elle recommence à boire, encore et encore, se disant qu’elle fait partie du package comme les autres. Meryana ne se démarque pas du reste du monde aux yeux de l’homme habitué aux mondanités, au moins, à présent, elle le sait. « Dites-moi, Joe, avez-vous quelque chose pour grignoter avec… ça ? » Des cacahuètes ou autre, peu importe, tant qu’elle éponge ne serait-ce qu’un semblant d’alcool.
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    Lien du postMar 25 Avr - 3:28
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    In Heaven There Is No Beer
    Méryana et George
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    À la base un peu désespéré par le trait de son caractère qu’il estimait être principalement en cause dans ses déboires matrimoniaux, qu’il osait évoquer tout haut pour une des rares fois de son existence, il se voyait un peu rassénéré de voir que Meryana le supportait et allait même jusqu’à trinquer avec lui. Comme s’il ne s’agissait pas d’une tare répréhensible dont il devrait avoir honte. Et cet appui tacite, ce qu’il s’imaginait être une marque de soutien, suffit à raviver une agonisante étincelle d’amour propre, enfoui profondément en quelque part.

    Mais alors que son attitude à lui s’ajustait suite à cette première gorgée d’acceptation (aussi imaginée soit-elle) après la traversée d’un désert aux proportions bibliques, quelque chose clochait. Sa pinte déposée sur le comptoir, il détailla le profil de absolument remarquable de celle qui venait de si gentiment lui tendre la main alors qu’il se trouvait au plus bas, elle-même en train de sombrer dans le fond de son verre. Quelque chose venait de changer dans l’air, et malgré toute son aisance à habituellement lire ce genre de situation en temps normal, il n’arrivait tout simplement pas à mettre le doigt sur ce que son intuition tentait de lui faire comprendre. Incapable de faire deux choses à la fois dans son état actuel, il resta donc un peu figé dan sa réflexion, jusqu’à ce que Joe ne vienne leur déposer, sans un mot, un petit panier de pretzel séchés.  

    « Dis-moi, Ana…tu viens souvent chez Joe ? »

    Il commençait à douter de lui-même. Parce que définitivement, il se serait rappelé s’il l’avait croisé dans cette taverne dernièrement. Et comme il fréquentait l’endroit pratiquement sur une base quotidienne depuis les dernières semaines…

    « Est-ce que … est-ce que c’est moi qui t’ai invitée ici ?  »

    Honnêtement, il voyait très peu d’autres raisons pour qu’une femme comme elle se retrouve dans un lieu comme celui-ci…

    « Parce que si c’est le cas, je suis vraiment, vraiment, vraiment ravi que t’ais acceptée de venir. Enfin, il me semble que j’aurais probablement pu faire mieux pour le choix du décor… Mais j’avais l’impression la dernière fois qu’on s’est vu que t’avais demandé à ton amie de te secourir de ma présence. »

    Cette première rencontre resterait indélébilement marqué dans sa mémoire, pour un million de raisons différentes. Avoir su que seuls des papiers de divorces l’attendaient à la maison cette soirée-là….



       
    @Meryana-C. Hutton
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    Lien du postVen 28 Avr - 0:06
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    In heaven there is no beer.

    In heaven there is no beer (Avec Anna-Katrina) OfmzIqHk_o with @George Cavendish and @Meryana-C. Hutton
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    Un soupir, las, passe la barrière de ses lèvres. Si elle s’y essaye, la brune, à la réconforter, il s’avère que son moral à elle, baisse. Non pas qu’elle soit envieuse de Sana Marin ou encore de son ancienne épouse, mais elle avait pensé lui plaire, lors de leur rencontre. Toutefois, jamais, elle ne serait intéressée à un homme marié et aujourd’hui, alors qu’ils se retrouvent à la taverne de Joe, elle se questionne. Pourquoi diable s’enquit-elle toujours de l’état des autres ? De ceux qui peuvent l’intéresser, tandis que personne ne s’intéresse à elle, dans la finalité ? Elle se sent sotte, l’urgentiste, épuisée par sa garde passée et c’est après avoir trinqué avec celui qui pense être Oblonski qu’elle laisse son regard azur erré dans sa pinte de bière. Le tenant fermement, s’étant perdu dans le liquide ambré, elle soupire une deuxième fois, quand il la surprend en reprenant la parole. Elle en aurait presque oublié où elle se trouvait, celle dont toute trace de jovialité a disparu de son visage de poupée. — « Hm ? » Son regard trouve celui de George, quand, après avoir plusieurs fois cligné des yeux, elle répond par la négative : « Jamais. C’est ma toute première fois, ici. » Puis, elle scrute le lieu et se rappelle ses années à l’orphelinat. Ce n’était pas le plus riche, le mieux conservé, est cela, se ressentait lors des hivers dans lesquels la pluie battait les fenêtres et où la moisissure pullulait dans certains recoins de l’immense bâtisse. « Non, non. Vous ne m’avez pas invité ici. Ne vous en faites pas. » Elle lève le coude et avale plusieurs gorgées, avant de reprendre : « Cela fait bien longtemps que nous ne nous sommes pas vus. » Et elle ne pensait pas le retrouver ici, dans ce lieu qui est loin de lui sied à merveille. « J’ai achevé ma garde aux urgences. » Elle en jette un regard sur la porte de l’établissement. « Et j’ai cherché un endroit où mes collègues ne viendraient pas boire quoi que ce soit. » Tout bonnement parce qu’elle ne les supporte plus, après autant d’heures de garde dans les jambes. « Je n’avais pas envie de les entendre piailler sur ce qu’ils avaient vécu durant leur garde. » Car les médecins ne font que cela, parler de leur boulot, en règle générale. « En tout cas, ce n’est pas le cas, ne vous en faites pas. » Mais ses mots font renaître un semblant de sourire sur les traits de son visage, puisqu’il lui assure qu’il aurait choisi un autre lieu, mieux que celui-ci, vraisemblablement. « En fait, j’avais demandé à mon amie de me secourir parce que je venais à un événement mondain seule. Ce n’était pas pour me sauver de vous. » Autant que les choses soient claires, Meryana n’était pas effrayé par lui, mais par la soirée en elle-même, puisque peu coutumière de ce genre de galas de charité.
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