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Sortir, échapper à ton appartement, à ce luxe que tu cultives. Tu te fonds dans la masse. Ta chevelure dorée est naturelle, laissant entrevoir les ondulations héritées de ta génitrice. Des petits papillons viennent parfaire ta coiffure. Ongles faits, manucure originale, tu attrapes ce premier verre coloré et rafraîchissant. Aspiration par la paille, tu joues ensuite avec le petit parasol, te croyant déjà sous les tropiques alors que tu fais partie de la morosité de Boston. À quand les vacances ? Elles tardent. Entre tes responsabilités et tes recherches, le temps libre n’est trouvé qu’en étirant tes soirées. Et ce soir, alors que le bar est rempli, tu le rencontres et fais superficiellement sa connaissance. Tu n’apprends que le strict minimum, vous échangez sur vos passions et sur cet été qui se pointe timidement. Le feeling passe bien. Il se pourrait même qu’il te plaise et que ta cervelle s’imagine quelques scénarios pour ponctuer la nuit. Les heures passent sans que tu ne les remarques. La danse vient s’incruster. Les corps se parlent et les esprits s’évadent. La Tequila coule à flots. Shot sur shot, vous terminez par sortir à la fermeture. Les ruelles sont vides. Le petit matin se lève sur la cité urbaine. Rires sur rires, vous passez devant une bijouterie et un délire destructeur naît entre vous. C’est là qu’il te défie d’utiliser cette pierre pour la lancer sur la devanture d’une bijouterie. En état d’ébriété avancée, tu te munis du caillou et après un compte à rebours foireux, tu le jettes de toutes tes forces sur la vitre qui ne bouge guère. Seul problème, l’alarme s'est déclenchée. Hurlement strident, tu te bouches les oreilles et restes immobile sur le trottoir, trop ivre pour avoir la bonne réaction. « Ho ho … » Est-ce que ton inconnu saura t’faire bouger ou te laissera-t-il ici pour les flics ? « Ça fait mal aux s’n’oreilles » que tu cries sur place, ton coeur pas plus affolé que ça.

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"Surtout ne fais rien d'y réfléchis" ce sont les mots que Thanom entend souvent de sa mère et cela depuis son élection à la mairie. Rester enfermé comme il le voit commence à le dérangé. Ne pas traîner dans les bars, ne pas faire les boîtes de nuits, ne pas finir ivre pour entretenir la réputation de sa mère.
Mais si il va dans un endroit il a souvent un passe droit, étant le fils de la maire de Boston. Un mal comme un bien.

Pour ta première nuit de folie et de désobéissance tu choisis un bar, niveau tenue tu as pris au pif tu fais au feeling. Mais bon tu fais tout de même attention à ta santé pour évité l'hôpital. Poussant les personnes pour posé ton derrière sur les tabourets, tu demandes une tequila, en main tu regardes le verre avant de boire ce liquide en douceur.
Tu sens une odeur de parfum se posé puis tu tournes la tête et la demoiselle vient à sourire et discute.
En politesse tu réponds et tu ne remarques pas que tu viens à discuté avec une inconnue et dire des brives sur ta vies.

Tu viens tout de même à caché que tu es le fils de la maire de Boston, que tu es malade et que tu es jeune. Car on te donne plus vieux à chaque fois. Sous le coup tu viens lui prendre la main pour quitté le bar et faire une balade, car il vient à se faire tard et tu es remplis et elle également.

Tu apprécie le calme des ruelles de Boston, puis sans réfléchir en passant devant une bijouterie tu lui lance un défi avec une pierre que tu lui donne. Tu assistes à la scène raté, mais le bruit te réveille et sur le coup te paralyse, mais tu viens à prendre le dessus pour emmener la demoiselle bien plus loin!

Courant dans les ruelles qui sembles encore désertes, tu viens à cacher la jeune femme. Puis tu te colles contre le mur, pour fermé les yeux et tu entames une crise en ayant tes souvenirs du passé. Tu cherches d'ailleurs ta ventoline...La ventoline que tu n'as pas sur toi il semblerait qui te fais augmenter la crise.

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w/ @Thanom Wu
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Il était charmant ce type et il l’est toujours, c'est probablement ce qui t’a conduit à .. jeter cette pauvre pierre. Le caillou qui rebondit contre la vitrine, la sirène s’enclenche et la panique ne vient pas, mais pas du tout. Tu restes immobile, comme momifiée sur place. Les regards volent à droite et à gauche. Les yeux clairs lorgnent ensuite l’étage et les potentiels voisins qui pourraient apercevoir cette scène désastreuse. Ton poignet enveloppé de sa paume, tu accélères le mouvement. Trottiner ne suffisant pas, tu déploies de plus grandes enjambées pour fuir la scène de crime. L’épouvantable hurlement s’éloigne. Les tympans gardent en mémoire la trace de ce sonore strident. Les pas résonnent dans une autre ruelle. À l’abri, Thanom semble étouffer. Il n’est plus aussi opérationnel. Quelque chose ne va pas. L’air lui manque. Les yeux sont grands ouverts et il n’y a rien qui sort de sa bouche. Aucun son. Tu n’as plus que les acouphènes de ton aventure qui persistent. La main qui se cale sur son épaule, tu cherches à connecter vos prunelles, mais tout ce que tu trouves, c’est un regard affolé. « Un tu fais une crise cardiaque, deux tu fais une crise .. d’asthme ? » que tu cherches désespérément, le palpitant plus agité par cette crise que le sprint tout juste tapé. L’inquiétude se lit sur ton visage. Tu n’sais plus comment réagir, comment le sauver. Tu ne mesures pas non plus la gravité de la situation. Est-ce sérieux ? « J’appelle les secours ? Tu me fais peur là, je vais pas t’regarder crever » C’est qu’il est sympa Thanom, tu voudrais pas qu’il te lâche après une soirée si cool. T’aimerais bien le revoir et multiplier les souvenirs. « Dis moi quoi faire » que tu ajoutes en sortant ton portable, prête à taper les trois chiffres qu’il faut en cas d’urgence.  

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Cette agitation, cette folle envie d'être toi te réussi pas mal, enfin tu penses que cela va se terminer à cause de ses images du passé qui refont surface. Ses images de police qui barricade les lieux pour arrêter ce couple qui t'a fais une partie de ta vie atroce. Que ton adoption est une nouvelle vie , une renaissance pour toi.
Mais aujourd'hui cela est bien loin, mais cette simple sirène refait surface ses images que tu as refusé tant de fois à ne pas y mettre feu, que ta mémoire à rangé pour te faire souffrir.

Tu viens à ressentir une main sur ton épaule, dans la crise ton geste est brusque tu la repousse, ce qui augmente la crise. Mais elle te pose des questions, tu essayes de capté malgré que tu sois fatigué. Tu arrive à comprendre et tu fais le chiffre 2 avec tes doigts.
Tu tentes sur ton portable d'écrire, pour lui dire que tu n'as pas ta ventoline.

Tu viens à te redressé puis fermé tes yeux et sans la permission tu agrippes ses mains. Tu commences à écouté le son de sa voix, puis doucement ton thorax se calme. C'est la mer calme sans ses vagues. Tu peux enfin respiré convenablement, tu réouvres tes yeux pour la regardé.

Pardon de t'avoir fait peur! Comment tu te sens? On devrait bouger

Tu es un peu fatigué dû à cette crise, lâchant doucement ses mains tu vas regardé si la voie est libre pour que vous puissiez aller ailleurs. Tu entends un bruit de notification et tu vois en message "Ta ventoline est à la maison!!!! J'espère que tu n'as aucun problème. Mummy"
Tirant une tête, tu ranges ton portable puis tu viens à regardé la jeune demoiselle avec qui tu as fini par être ivre!

Un bain du matin ça te dis?

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w/ @Thanom Wu
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La folie nocturne est balayée. La peur remplace l’excitation. Tu le sens qu’il te file entre les doigts, asphyxié, faiblard. L’inquiétude se prolonge de longues secondes. Et pendant ce temps, tu ne cesses de parler, cherchant les réponses à tes interrogations. La scientifique émet des hypothèses en pagaille. Tu te sens impuissante, un sentiment que tu maudis. La rue est déserte à cette heure si matinale. Aucun passant n’est présent pour le secourir et partager ton affolement. Les mains soudainement attrapées, tu te retires dans l’silence, captant le mouvement de ses poumons. Le coeur retrouve des battements normaux. L’air le remplit et oxygène son corps. Ses yeux se rouvrent sur toi et sa voix réapparaît après une minute interminable. Le ventre se dénoue. La panique s’éloigne. « Je me sens épuisée, tu m’as fait une de ces peurs ! » Les mains récupérées, tu le lorgnes qui jette un oeil sur son portable et puis il revient à toi avec une proposition délirante. Il était à l’agonie et il te soumet une idée complètement inconsciente. Le rire éclate et résonne. Ce type est déjanté, t’en reviens pas. Le plus fou, c’est que t’es prête à le suivre dans sa folie. Tu es une femme libre et décomplexée. Tu t’en fous de ton image. Tu vis pour le moment, sans te soucier de l’après. « J’en ai bien besoin ouais, allons-y » Vous rapprochant de la civilisation, vous prenez un bus en direction de l’océan, car c’était de ça qu’il était question non ? À moins qu’il voulait t’inviter dans sa baignoire ? Assise au fond de l’autocar, tu pris son poignet et appuyas sur ses veines pour capter son pouls. Rassurée par les pulsations régulières, t’appuyas ton crâne contre la vitre, bercé par le roulis. Et puis les portes s’ouvrirent sur un paysage tellement plus naturel que la ville. Les mouettes volaient dans l’ciel s’éclaircissant d’minute en minute. L’eau se déversait et se retirait du sable. Pieds sur l’goudron, tu regardas ton acolyte et l’attrapas par la main pour vous rapprocher des flots. « Respire profondément Than’ » et tu le lâchas pour retirer tes chaussures et ta robe tachée de tequila. Sous-vêtements comme maillot, tu courus jusqu’au rivage et le froid s’empara de toi et te fis crier de surprise. « Wouhouuu, c’est glacé, ça va raffermir ma poitrine » que tu gueulas avant de glousser et de faire la planche, les oreilles noyées, le palpitant cavalant comme un fou tant tu te gelais.  

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Vivre la vie comme elle vient c'est ce que tu fais depuis hier soir maintenant que le matin se lève doucement! Tu en as eu marre d'être loin des bars, des boîtes de nuits pour ne pas ternir l'image de ta mère. D'ailleurs il faut dire que tu as déjà rencontré la police, mais tu as un traitement de faveur parce que tu es le fils du maire!
Mais revenons à l'instant présent que tu partages avec la douce Madelyn que tu ne sais pas choisir entre Mad ou Lyn.

Il s’avère que ta crise d'asthme lui ai fait peur, mais a-t-elle conscience qu'elle a sut calmer ta crise. Tu as envie de la rassuré comme tu fais si souvent avec ta mère lorsqu'elle panique et que toi tu fais celui qui ne s'est rien passé, une façon de voir la vie autrement!
Doucement tu viens à t’approcher donnant un sourire comme si de rien n'était arrivé et lui caresse les cheveux doucement!

Tu n'as pas à t'en faire, la solution et de me dire de me concentré sur ta voix. Ou bien de caler ta poitrine contre mon dos pour que je sente ta respiration pour que je trouve le point ou bien tu m'allonge ou tu me rassure.

Je pourrais paraitre bizarre d'être aussi performant après une crise, mais c'est toujours comme ça. Sous le coup je suis en forme et j'essaie d'oublié les évènements pour ne pas faire une nuit horrible. Une chose que tout le monde trouve fou chez moi. Et quand je fais une crise d'asthme je sors que c'est à cause de mon allergie et non du choc post trauma!

Alors que tu as proposé une idée folle peut-être, tu t'attends un non, mais c'est une réponse positive. Un sourire naît sur tes lèvres, tu te dis que tu vas vivre une vraie vie. Grimpant dans un bus qui nous mène à la plage de Boston. Tu profites pour être au fond également, tu regardes par la vitre de l'autre côté. Jusqu'à ressentir des doigts agrippé ton poignet. Tournant ta tête pour voir, ce qu'elle fait, tu souris doucement puis une fois sa tête contre la vitre.

Je vais bien je te rassure Lyn! J'aimerais t'en dire plus...Mais je ne peux pas.

Pour la rassurée tu lui prends sa main pour caresser le dos de ton pouce et tu viens à remettre en place une de ses mèches rebelle de ses cheveux blonds. Puis tu reportes ton attention sur le paysage pour voir où vous êtes. Tu lâches sa main pour prendre ton portable et répondre à ta mère un "ne t'en fais pas tout va bien. Le rayon de soleil brillera toujours", puis tu le ranges!
Le bus s'arrête et on viens à descendre pour s'arrêter et admirer le paysage, ce paysage qui me fait rêver et que j'aime tellement!
Tu es emporté par Lyn dont sa main se trouve dans la tienne et elle vient à t'emmener près de l'eau. Tu fermes les yeux pour profité du bruits de l'eau et de sentir le vent sur ton visage qui soulève quelques mèches de tes cheveux.

Tu ouvres les yeux puis admire le spectacle, tu ramasses les affaires de Lyn pour approché et tu les poses sur le sable. Tu viens également à te mettre comme Lyn, sauf que tu es en caleçon et avec ton torse limite six pack que tu caches sous tes tee-shirt et chemises. Et un dos musclé également.
Tu cours rapidement et tu viens dans l'eau pour nager jusqu'à Lyn qui semble avoir froid.

Tu souhaites vraiment rester dans l'eau? Là c'est moi qui ne veux pas que tu meurs. Et surtout que tu as l'air d'être une personne qui croque la vie à pleine dent.

Tu ne sais pas qu'elle heure il est actuellement, mais tu sais qu'à un moment la maison est vide et tu pourrais lui proposé une douche chaude pour quelle puisse se réchauffer.

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w/ @Thanom Wu
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Le vent balaie tes ondulations dorées. L’air marin s’introduit dans tes poumons et t’file une sensation de liberté infinie. Bras écartés, face à l’océan, tu fermes tes paupières une seconde avant de te jeter dans les rouleaux bleutés. La température baisse d’un seul coup. L’estomac ronchonne dans ton ventre. Couchée sur le dos, matelas humain flottant à la surface, tu oublies le quotidien et ses tracas. Plus rien n’a d’importance. Il n’y a plus que lui et toi, deux jeunes êtres vivants s’amusant avec peu. Au final, tu ne connais rien sur lui, uniquement son prénom aux origines lointaines. Les sous-vêtements imbibés de flotte, tu te redresses un instant et l’aperçois se déshabiller pour t’rejoindre. Tu louches sur ses muscles et l’instant d’après, il te rejoint et s’aperçoit que tes lèvres ont probablement tournées au violet tant il fait froid. « T’as vu juste, j’aimerais encore vivre quelques années » Tu quittes ta position de planche et te mets sur la pointe des pieds, horrifiée par ce qui pourrait se trouver dans cette eau trouble. Tu te sens en sécurité auprès de lui et si épuisée que tu te faufiles entre ses bras pour une tendre étreinte. Faut croire que Mad est aussi forte que fragile. Tu te détaches ensuite du jeune homme et nage jusqu’au rivage pour t’échouer sur le sable tiède. Les frissons jaillissent instantanément alors que ton regard se perd entre Thanom et un bateau perdu à l’horizon. « Sors de là, un requin pourrait te croquer ! » Ton rire rauque sort de ta gorge et tes orteils s’enfoncent dans le sable. La journée ne fait que commencer et l’absence de nuit se fait ressentir. Le bâillement qui s’impose, tu sens que ta migraine s’éloigne sur cette plage. « Dis, tu vis sur le campus ou t’as un appartement ? » que tu lui demandes en plaçant tes mains autour de ta bouche, histoire que le son de ta voix porte. « J’suis pas contre un petit déj’ maison ! »  

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Tu ne peux t'empêcher de l'observer de loin tout de même! Les gens disent que tu devrais te mettre en couple, mais tu préfères vivre l'instant présent, profité de ta liberté solitaire. La raison est que tu ne veux pas refaire le chemin de ceux qui ton empêcher de vivre une partie de ta vie. Et ça ton psychologue à bien comprit, même s'il te propose des activités, tu as peur qu'une demoiselle vienne te faire une déclaration ou qu'elle parte avec ta santé.

Après avoir rejoins la douce Lyn que tu as remarqué que ses lèvres ont changé de couleurs à cause de la température, elle confirme par la suite. Tu n'as pas le temps de dire quelque chose, qu'elle vient se mettre contre ton torse que doucement tu l'entoure, pour regardé s'il y a quelque chose qui aurait pu lui faire peur.
Mais elle vient assez rapidement à se défaire pour nagé jusqu'au rivage, gêner ou mal à l'aise? Cela te fais sourire doucement et de façon discrète!

Un mètre quatre vingt deux, tu ne rentre pas entièrement dans l'eau. Tu te laisse bercé par les petits remou de l'eau et le vent sur ta peau. Mais tu restes là à observé l'horizon, en ayant une pensé pour ceux qui ton gâché une partie de ta vie. Tu te retournes pour entendre Lyn te demandé à sortir.
Rapidement tu nages et tu arrives à atteindre le bord pour remonté jusqu'à elle. Tu prends ton gilet que tu pose sur ses épaules et tu t'assois pour la regardé, les cheveux mouillé par l'eau.

Tu aurais été déçu si un requin m'aurait croqué? Et je vis encore chez mes parents, mais l'appartement et en projet. D'ailleurs...

Tu viens à sortir ton portable pour regardé l'heure et dans ta tête tu te dis que c'est parfait tout le monde est parti de la maison. Tu sais les emplois du temps d'ailleurs, car tu es le premier à être rentré souvent.

Alors un petit dej maison et une douche chaude tu peux avoir si ça t'en dis. Je suis excellent cuisinier d'après les paroles de ma mère!

Tu lâches un doux rire en montrant tes dents parfaitement blanche et magnifique. Ce qui fait souvent ton charme. Puis tu tâte ta peau et ton caleçon qui est presque sec. Pour te levé et enfilé ton pantalon noir et ton débardeur blanc qui laisse voir tes bras musclé ainsi que tes épaules.
Tu tends ta main puis souris.

Si mademoiselle Lyn est prête pour aller dans la demeure de Than ?

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w/ @Thanom Wu
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Il n’y a pas eu d’ambiguïté entre vous et tu ne comprends pas pourquoi. Serait-il sain d’esprit ? Tu savais pas que ça existait les types de son espèce. T’es pour le moins surprise qu’il n’ait encore rien tenté. Peut-être que tu n’es pas sa came ou qu’il préfère les hommes. Tout ça pour dire que tu ne le connais pas. Il demeure une énigme et t’aimes bien ça. Vous êtes innocents à enchaîner les conneries. C’est tout ce dont t’avait besoin, vivre avec insouciance. Les plans se créaient de seconde en seconde, tout ce que tu adores. La baignade terminée, tu rampes dans l’sable et te retournes pour capter les premiers rayons du soleil. Tu zieutes ensuite Thanom qui décide lui aussi de regagner la plage. La peau encore perlée d’eau, tu attrapes ta robe et éponges ton corps en gloussant « J’aurais pleuré toute ma vie. Oh, chez tes parents, les miens m’ont poussé dehors » C’est pas vrai, c’est toi qui as quitté l’cocon, t’en pouvais plus de les avoir sur le dos. Ton indépendance, c’est ce que tu chéris le plus. Tu leur dois pourtant tout à tes parents, notamment à ta mère. C’est par l’héritage familial que tu as eu ce job. Qui te dit que ce n’est pas ton nom qui a concrétisé ton embauche ? Parfois t’en viens à croire que t’es incompétente et que tout repose sur ton nom de famille. Le temps s’écoulant lentement, tu souris au brun probablement très attaché à sa mère qu’il vient de citer. « J’te fais confiance, fais gaffe, j’ai un excellent avocat si tu tentes de m’empoisonner et que je n'en succombe pas ! » Tandis qu’il s’habille à tes côtés, tu traînes encore un peu et sors de tes rêves lorsqu’une main entre dans ton champ de vision. « Oui bien sûr, je suis bien curieuse de découvrir ton univers » Les phalanges attrapées, tu te lèves et enfiles la robe et tes chaussures pour retrouver la civilisation. « On y va ! » Quittant l’océan, vous attrapez un uber et filez vers l’adresse du jeune homme. Aucun stress n’est ressenti. Tu te sens à l’aise et curieuse d’en apprendre plus sur Than. Vous vous éloignez du littoral pour vous enfoncez dans la ville. La circulation se densifie, c’est bientôt l’heure de pointe. Soudain, le chauffeur pile et ton visage s’enfonce dans le siège de devant. La douleur est vive et réveille. « Bordel, je me suis pété le nez ! » que tu crias dans l’habitacle en serrant le genou de Thanom. « C’est encore loin ? » que tu lui demandas en attrapant la poignée, prête à sortir et finir la route à pieds.

 

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En regardant autour de toi, tu vois quelques couples et tu te rappelles en avoir vus plusieurs, mais tu ne sais pas si tu peux avoir le droit d'être heureux, si tu ne fera pas également les mêmes erreurs ce qui te fais bien peur! Même si tu trouves Lyn belle et magnifique tu ne peux t'empêcher de pensé que tu vas être mauvais.
D'ailleurs tu n'es pas dans sa tête, tu ne sais pas ce quelle pense de toi! Et si cela est négatif elle ne serait pas là à s'amuser avec toi.
Inspirant tranquillement tu te souviens que t'a grand-mère est censé être le matin dans cet établissement pour ralentir sa maladie. Enfin si rien ne s'est produit dans la nuit.

Regagnant le rivage pour être ensuite près de Lyn, tu la vois faire avec sa robe, tu souris amusé de ce quelle fait, trouvant cela drôle. Te disant que c'est une fille unique, qui n'a pas froid aux yeux. Puis tu viens à être étonné entendant la fin de la phrase!

Ils t'ont mis dehors? Si tu veux en parlé ou si tu as besoin je peux t'aider. Et pleuré toute ta vie pour détruire un si beau visage?

Tu laisses un blanc de cinq seconde et te retourne pour regarder ailleurs en faisant mine de toussé gêner par ce que tu viens de faire. Puis tu te retournes à sa seconde phrase qui te fais rire en laissant faire une expression de sourire sur ton visage!

Je fais très bien la cuisine tu n'auras pas besoin de faire appel à ton avocat.

Dis-tu après avoir fini de rire et cachant que tu as également un avocat avec ce qui se passe avec ta mère, ta grand-mère et toi. Alors que tu as tendus ta main également musclé elle vient à la saisir en disant qu'elle souhaite mon voir univers.
Vous prenez un uber pour la route étant donné que la route est assez longue. Tu es focalisé sur le paysage qui confirme que tu arrives bientôt.

Jusqu'à ce que le chauffeur pile d'un coup, tu portes ton attention sur Lyn et tu vérifies.

On ne devrait plus être loin! Je crois que l'on est bloqué.

Puis tu entends le chauffeur qui commence à hurler en demandant ce que la vielle à. Tu regardes pour voir que c'est ta grand-mère.

Attends moi là Lyn, je connais la personne.

Rapidement tu sors pour aller la retrouvé, elle parle qu'elle entends des voix.
Tu essaies de la raisonnée comme tu peux puis elle vient à pleurée en disant qu'elle à peur. Tu viens la prendre dans tes bras pour la rassurée puis lui dire que tout ira bien.
Tu regardes Lyn tout en caressant les cheveux de ta grand-mère. Puis tu la prends doucement pour l'emmener dans le taxi et demande au chauffeur de faire un détour vers le centre médical.

Pour être rassuré tu prends la main de Lyn et aussi pour la rassurée sachant qu'elle s'était inquiétée lors de ta crise. Puis tu lui dis que tout va bien. Que tu gères.