Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityGood morning, beauty ? - Taylor X Asmodée
I LOVE HARVARD
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    Good morning, beauty ? - Taylor X Asmodée
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    Lien du postSam 26 Mar - 22:43
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    C'est la pleine nuit quand on frappe à la porte. Je savais très bien que ça serait difficile de se lever mais malgré ma motivation, je ne cache pas la douleur de mes muscles quand il faut se lever du lit. Je redresse mon pantalon de pyjama avant de rejoindre l'entrée. L'esprit brumeux, je me coiffe rapidement les cheveux alors que j'ouvre la porte donnant sur la belle indienne. De la voir, je suis animé plus que de raison. Mes yeux l'observent dans sa tenue post-travail. Je ne peux empêcher mon rire de sortir de mes lèvres. " ils tournent un film sur les zombies dans le coin ? " bon, en même temps, après les heures de travail qu'elle a pu faire, c'est normal. Mais je suis un peu moqueur, je n'ai pas pu me retenir. " Allez, entres. " lui indiquais-je en me poussant. Parce qu'au fond, je la taquine mais elle reste sublime à mes yeux. Et parce que je me dis que j'ai bien le droit qu'elle soit gentille avec moi, je prends sa main dans la mienne pour l'attirer jusqu'à la chambre d'ami. Arrivé, je me retourne, proche de la belle sans pour autant la toucher. De la séduction ? Possible. Mais juste pour la taquiner un peu. " il y a la salle de bain juste à droite de la chambre et il y a tout ce que tu as besoin. J'ai allumé le chauffage tout à l'heure et les draps sont propres... " puis finalement, je me recule, quitte la douceur de sa main. Je mets de la distance, même si je n'en avais pas envie. Je me dirige vers la porte, posant mon épaule à l'embrasure. " Si tu as peur de dormir seule, ma chambre est en face. Même si je doute que ce soit dans tes projets. Tu as besoin de quelque chose avant d'aller dormir ? " je demande, histoire de retourner me coucher. Demain, ça sera encore plus intéressant, je suppose ?

    @Taylor V. Foster
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    Lien du postDim 27 Mar - 15:42
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    Good morning, beauty ? ॐ
    Je ne saurais même pas déterminer ce qui m’a convaincue, j’ignore même à quel moment j’ai pu décider que c’était une bonne idée. Le goût du risque, peut être, l’envie de changer. Les messages échangés, les mots qu’il a utilisés. Et puis ça n’engage à rien, un petit déjeuner, comme il a très bien su me le préciser. Ce n’est pas parce qu’on apprend à se connaître que les des sont jetés, que nous sommes soudainement tous les deux liés. Je ne sais pas si c’est vrai, mais en tous les cas, c’est ce que je me répète à la fin de ma garde tandis que je conduis jusqu’à chez lui.

    Le trajet est rapidement avalé, et me voilà à sa porte, à frapper. L’esprit embué par la fatigue et le déroulement de ma soirée. A sa phrase pour m’accueillir, je réalise que oui, c’est vrai, je ne me suis pas changé, alors j’en craque une grimace sans être capable de répliquer. Puis il m’invite à entrer, ce que je fais. Le suivant et détaillant le fait qu’il est lui aussi, éreinté, tiré de son sommeil pour ce rendez-vous improbable mais vrai. Sa main dans la mienne sans que je ne puisse lui dire quoi que ce soit, je n’ai pas le force de me battre parfois. " il y a la salle de bain juste à droite de la chambre et il y a tout ce que tu as besoin. J'ai allumé le chauffage tout à l'heure et les draps sont propres... " Je pince mes lèvres, silencieusement, je le remercie. " Si tu as peur de dormir seule, ma chambre est en face. Même si je doute que ce soit dans tes projets. Tu as besoin de quelque chose avant d'aller dormir ? " Un regard qui se plonge dans le sien, avant de lever les yeux au ciel, l’air de lui souffler Asmodée…. exaspéré, pour ce qui est de la première partie de la phrase qu’il vient de prononcer. « Je n’ai peur de rien. » que je balance, armée d’un ton malin. Alors que je suis bien connue, pour avoir peur de tout. Et finalement, je lui souffle, « Non ça ira, c’est parfait comme ça. » c’est ma manière de dire merci, n’est-ce pas ?

    Et dans cette chambre d’ami me voilà, alors que j’avoue que lorsque j’ai envisagé le petit déjeuner, je nous voyais dans un Diner ouvert 24h/24, à partager des donuts de la veille et un café, et non à ce point-là. J’en soupire, une énième fois, et essaie de ne pas prendre mes jambes à mon cou dans le but de rentrer chez moi. Je m’empêche de réfléchir, je me contente de me changer et le reste, avant de me coucher, et d’accepter, tout bêtement, les bras de Morphée.



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    Lien du postMer 30 Mar - 23:28
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    Elle est éreintée de sa journée de travail. Je le ressens bien. Vu l'heure à laquelle elle arrive, ça pique un peu. Je ne fais pas vraiment de jeu dans ce moment, je me contente juste qu'un pique si jamais elle avait oublié mes intentions à son égard. Je suis amusé de sa réaction. Peur de rien ? C'est sur qu'ici, ce n'est pas ce sentiment là qu'elle pourrait connaitre. Je ne lui veux que du bien et il n'y a que moi entre ces murs. Je la jauge, d'un regard mutin, comprenant qu'il était à présent le temps d'aller dormir. " oh, attends. " je me rapproche soudainement, mes doigts se posent délicatement sur ses hanches et je viens déposer mes lèvres sur sa joue. Histoire d'avoir le dernier mot. " Bonne nuit, Taylor. " je suis un peu con mais très fier de ma provocation. Je finis par quitter la chambre pour retourner dans la mienne. Je retrouve mes draps et très rapidement, les bras de Morphée.


    [...]


    Il est environ dix heures quand je me lève à nouveau. La lumière filtre les stores et je me fais violence pour me lever. Je sais que Taylor est dans la chambre d'à côté. Je ne viens pas l'embêter et me dirige dans la cuisine tout en m'étirant. Je mets à profit ce temps en solitaire pour préparer à manger. Pancakes, café, jus de fruits pressé, fruits frais et découpés, œufs brouillés, bref, je fais tout ce qu'il faut pour un bon déjeuner. Car l'heure avance et quand je vois qu'elle n'est pas levée alors que midi sonne, je décide d'aller la réveiller. Si elle se lève trop tard, c'est biologique, ça sera plus difficile pour se coucher ce soir.
    Lentement, je me glisse dans la chambre de la belle. Je vais pour ouvrir les stores mais je la vois, endormie. j'ai comme un petit stop dans ma tête. me rapprochant à pas lent, je la détaille elle et ses expressions. quand elle dort, elle semble si apaisée, si détendue... Doucement, je m'assied sur le bord du lit, souriant d'une telle beauté. Je la recouvre bien du drap pour ne pas la gêner avant de venir caresser sa joue, puis la paume de sa main. Elle est divine.
    " Hey, Taylor... c'est l'heure de se lever. " je replace quelques mèches derrière son oreille, attendant quelques secondes avant de me lever du lit. Je décide de faire ce que je voulais de base. Ouvrir les stores pour laisser le soleil pénétré dans le pièce, si faible soit-il par ce temps. Je reviens vers elle, me mettant toujours sur le bord du lit mais à distance. Mes yeux l'observent en attendant qu'elle émerge. Je me dis que les odeurs de la cuisine vont peut-être m'aider à l'accueillir avec douceur.

    @Taylor V. Foster
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    Lien du postVen 1 Avr - 14:28
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    Good morning, beauty ? ॐ
    " oh, attends. " Mes mouvements avortés, tandis que je retiens mon souffle à le voir s’approcher, et c’est peut-être faute de la nuit que je viens de passer mais je n’arrive tout bêtement pas à le repousser. C’est bête, je le sais. " Bonne nuit, Taylor. " Ses doigts glissés sur ma hanche, et ses lèvres sur ma joue en un baiser presque trop chaste. Une chose est certaine, c’est que ça me laisse sans voix, que je me contente de respirer profondément lorsqu’il s’éloigne de moi.

    Alors une fois dans la chambre, je mets sur pause la course de mes pensées, je ne cherche pas à réfléchir, à essayer de calculer ce que tout ça peut bien signifier. Je crois que de toutes les femmes j’ai été plutôt claire à ce sujet. J’ai besoin de temps, pour tout, simplement. Mais les réflexions se perdent dans mon sommeil, si bien que c’est l’imaginaire qui s’éveille.

    Il est ailleurs mon esprit, encore à demi-engourdi lorsque j’ai cette impression de pesanteur à côté de moi, dans le lit, la délicatesse d’une faible caresse… " Hey, Taylor... c'est l'heure de se lever. " Pas encore, pas maintenant, j’ai des envies de grappiller quelques instants. Seulement lorsque j’éprouve la lumière du jour même en ayant les paupières fermées, je réalise que je me dois d’abdiquer. Je rends les armes face à la clarté. Bien que je conserve toujours les yeux clos au moment où je me permets de murmurer. « On ne t’a jamais dit qu’il ne faut pas réveiller ses ainés ? » J’en pose une main sur mon visage, j’écrase mes traits, tout en riant à moitié pour les mots que j’ai prononcés. « Je me lève si tu me jures que tu as du café. » Posant enfin mes prunelles sur lui, avec légèreté je souris. « Je suis encore endormie, dans quelques minutes je redeviens rabat-joie, promis. » Lorsque je réaliserais une énième fois, que ça ne peut être qu’une mascarade, lui et moi.



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    Lien du postSam 9 Avr - 22:11
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    J'observe la belle brune, elle est si paisible ainsi mais c'est le moment de se lever. C'est le mieux pour elle. Je me mets à rire lorsqu'elle me fait cette réflexion. Notre écart, il la travaille tant. J'aimerais pouvoir lui faire sentir, un jour, que ce n'est qu'un chiffre. " Tu vas faire des vieux os si tu ne bouges pas. " mais je joue quand même à son jeu, histoire de la chercher un peu. Sur le bord du lit, j'admire ses traits même si elle ne veut pas les montrer. Franchement, elle m'énerve à mettre de la distance entre nous. Elle est si magnifique... Taylor a besoin de se réveiller, je crois que j'ai de quoi l'aider. " Du café, de la nourriture et une charmante compagnie. " je tire la langue, fier des fleurs que je me jette. Je fais une grimace lorsqu'elle promet d'être rabat-joie à nouveau. je décide de me rapprocher d'elle, la prenant par les hanches pour l'attirer à moi. " Et si elle prenait son dimanche la rabat-joie ? Elle pourrait se reposer et profiter d'un bon moment ! " Je décide de poser mes mains sur les siennes et l'attirer en dehors du lit. " Allez, viens... " je la libère, sachant très bien que je ne suis pas accepté dans un espace vital aussi restreint. Je quitte sa chambre pour aller dans la salle à manger, m'asseyant à table pour commencer à me servir un café en attendant qu'elle pointe le bout de son nez.

    @Taylor V. Foster
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    Lien du postLun 11 Avr - 18:34
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    Good morning, beauty ? ॐ
    Je le jure que j’essaie de ne pas regretter, que je tente de ne pas être bloquée dans mon propre esprit, dans les limites que je m’impose à longueur de journée. Et je m’évertue à ne pas me demander, ce qu’ici, je fais. Parce que j’ai comme la sensation que je suis en train de déconner. " Tu vas faire des vieux os si tu ne bouges pas. " Comprenant spontanément qu’il se moque gentiment de moi. J’en lève les yeux au ciel en un sourire, quant en réponse à ma question, il vient me dire. " Du café, de la nourriture et une charmante compagnie. " A nouveau amusée lorsqu’il tire la langue, si bien que je me retiens de lui souffler qu’il n’est qu’un bébé. Craintive de le voir réagir trop à ce qui serait – pour le coup – qu’une simple de rigoler. Mais comme nos âges respectifs sont des sujets répétitifs… Je me mords la langue et l’observe alors qu’il défit les limites de la proximité. M’attirant par les hanches, m’arrachant un soupir… " Et si elle prenait son dimanche la rabat-joie ? Elle pourrait se reposer et profiter d'un bon moment ! " Et je ne peux nier qu’il y a de la vérité égarée dans ses dires. Oui, je le pourrais, seulement je suis de ces femmes possiblement trop réfléchies et compliquées. " Allez, viens... " Il ordonne en me tenant les mains, m’aide à me relever, et à la suite de ça, s’en revient à cette distance de sécurité. Dernier sourire de sa part avant que je ne le voie disparaître de l’autre côté de la porte que je vais bientôt moi aussi emprunter.

    Mais avant cela, je vais chercher mon téléphone, le déverrouille à l’empreinte de mes doigts, je checke mes messages, mes mails, constate que rien ne provient de l’hôpital ou quoi que ce soit d’important, alors c’est pour cette raison que je le laisse de côté, finalement. En me disant qu’il n’apprécierait pas, si je le passais devant un écran, le temps que je vais me trouver là. J’accuse un frisson lorsque je traverse le couloir et arrive dans la pièce où il se trouve, assis à table, presque trop sage… Encore quelques pas, et je ne peux retenir ma main glissant sur son épaule, une faible caresse, aussi éphémère qu’encline à la tendresse, étonnée de tout ce qu’il a fait potentiellement pour moi, « Tu brunches tous les jours comme ça ? » Prenant place sur la chaise à côté, enivrée par l’odeur du café.



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