@Wilby Tremblay — aucun jugement, bien évidemment, lui répondis-tu d'un sourire rassurant. — mais tant mieux si tu as pu te permettre des vacances, y a rien de mieux pour finir l'année sur le bon pied, assuras-tu. sans ce spring break, tu aurais sûrement pété les plombs à harvard. ces vacances à cancun étaient pour toi une bouffée d'oxygène qui s'était avérée essentielle pour ton bien être. t'étais pas une adepte des parties de jambes en l'air en extérieur. comme tu venais de te décrire, t'étais plus un chat de salon qui nécessitait d'un certain confort. mais en vacances, il fallait se surpasser et t'étais prête à le faire en compagnie de wilby. terminant ton cocktail, tu le suivis sur la plage jusqu'à un lit à baldaquin. — qu'est-ce qu'un lit vient foutre ici, rigolas-tu en y déposant ton sac à main. le soleil couchant donnait des nuances orangées, rendant le moment particulier. sourire malicieux, tu grimpas dans le lit, fermant lentement les rideaux pour finalement te retourner vers wilby. — viens par là le moustachu, le taquinas-tu, entourant tes bras autour de ses épaules pour l'attirer contre toi, prenant fougueusement possession de ses lèvres.

@Wilby Tremblay il n'y avait qu'à cancun pour trouver un lit à baldaquin posé sur une plage. le cadre était idyllique et particulièrement romantique. tu en fis le tour, sourire malicieux aux lèvres. y déposant ton sac à main, tu grimpas sur le matelas en fermant lentement les rideaux. plus qu'à espérer que personne ne viendrait y passer sa tête. une fois à l'abri des regards indiscrets, tu t'approchas lentement de wilby, déposant tes lèvres contre les siennes. tu retrouvas la douceur et la fougue de ses lèvres. ta langue retrouva la sienne, s'élançant dans une danse endiablée tandis que son parfum t'entourait. il te poussa doucement en arrière. allongée sur le dos, tu écartas légèrement les jambes pour l'accueillir contre toi. les lèvres de wilby quittèrent ta bouche pour embrasser ton cou. — tu lui avais manqué, souris-tu avec malice. tes mains passèrent sous son haut, caressant les courbes musclées de son dos. — t'es trop vêtu à mon goût, dis-tu d'un soupir, retirant son haut pour passer une main sur son torse. — le soleil du mexique te va à ravir, dis-tu avec malice, le tirant pour qu'il se retrouve de nouveau contre toi.

@Wilby Tremblay

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