8 février 2022 -> C'est dans des moments de regrets comme celui que tu vis que vient le fameux "et si...". Celui qui fait penser que les choses auraient été différentes, que les choix auraient été plus réfléchis. Mais ma Céleste, serions-nous assis dans ce lit, si nos passés se retrouvaient changés? Je veux simplement dire que nos choix ont fait qui nous sommes aujourd'hui. Je pense que tout aurait été différent si j'avais été bon en mathématiques. Si je n'étais pas tombé amoureux de la mode. Si j'avais embrassé Alice au lieu de Lauren. Si je n'avais pas commencé à prendre de la drogue en soirée. Si je n'avais pas suivi ma famille ici. Si... Oué enfin je peux continuer toute la nuit alors vaut mieux s'arrêter là et se reconcentrer. Sur les sushis par exemple, ça semble être une bonne idée. « T'en prend autant que tu veux! » Après tout, j'ai une douzaine de maki avocat cheese, une douzaine de california saumon cheese... Je prévois gros parce que j'ai faim et parce que je te connais, j'ai la certitude que tu vas venir piocher dans ma partie du diner. Alors que je suis bloqué à t'admirer, tu me surprend d'un compliment détourné en question. J'ai d'abord les yeux qui s'écarquillent avant de laisser s'exprimer mon sourire qui se termine dans un rire pouffé « Ho... Si parfait que personne ne veut de moi. » Ca remet quelque peu ta parole en doute quant à ma soit disant perfection. Parce qu'en amour je me suis fait tellement de fois baiser qu'il y a une catégorie porno à mon nom « Mais là n'est pas le sujet. » mes histoires d'amour ratées. Puis je remarque ta tentative de détourner le sujet pour que j'oublie de te donner ma façon de penser. Je ne vais pas m'en priver, il faut que tu entendes comme t'as les épaules pour tout affronter. Et si l'idée de te revoir pleurer me brise le coeur, tes manières m'étirent les lèvres tendrement « Pas envie que je prenne une action chez kleenex. » Parce qu'avec tout ce que tu verses, y'a de quoi se faire un bon billet. Je plaisante bien sur! « Ha oué les fameux hormones... » Ce n'est pas une légende? En voilà encore une des raisons qui me donnent envie de vivre dans le corps d'une femme. Enfin, temporairement qu'on s'entende. Ma tête fait un non lentement quand tu me remercies, parce que t'as pas besoin de le faire. Ma présence est normale, si bien que ta question me fait un peu froncer des sourcils « Ben... Je ne te permet pas d'en douter. » N'est-ce pas évident? J'ai envie de te gueuler que j'ai été là, avant, que je suis là, maintenant, et que je serais là, après. Quoiqu'il arrive. Mais je vais plutôt te regarder droit dans les yeux pour t'assurer que « J'serai toujours là. » Pour éclairer tes ténèbres de ma lueur.
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8 février 2022 -> Bien que ce soit le fouillis dans mon corps et encore plus dans ma tête, tu m'offres cette jolie parenthèse où je peux me laisser aller sans craindre quoi que ce soit. Aucune honte à pleurer à chaudes larmes tant la situation est plus que bouleversante. Aucune honte à m'agripper à toi, à ton haut, telle une enfant qu'il faut consoler tant bien que mal tant elle est torturée par cette douleur intérieure. Il n'existe que très peu de personnes qui connaissent cette facette de moi - la facette sensible, celle que je me dois de cacher aux yeux du monde -, et elles se comptent sur les doigts de la main. Et toi mon Gaspard, tu en fais et en feras toujours partie. C'est comme ça. Tu as signé ce pacte, sans même le savoir, lorsque nous étions hauts comme trois pommes. Mais tu l'as toujours respecté, le respectes encore et moi, je m'accroche à toi. Parce que notre amitié en vaut la peine. Tu en vaux la peine. Si tu savais à quel point tu comptes pour moi... C'est d'ailleurs en partie pour ça que je pouffe légèrement de rire quand tu dis que personne ne veut de toi. Parce que dans le fond, ce n'est pas pour me déplaire. Très honnêtement, je ne sais pas comment je vivrais le fait qu'un jour, une personne t'arrachera et t'éloignera de moi. Une personne qui se sera éprise de toi, et vice-versa. Une personne à qui tu consacreras une très (probablement trop) grande partie de ton temps. La personne qui me fera passer au second plan. Même si tu mérites de vivre une belle histoire d'amour, toi qui renfermes ce petit cœur d'artichaut, je sais que ça ne me plaira pas plus que ça. Mais il faudra que je fasse avec, pas vrai ? Pour tenter de te garder un peu plus auprès de moi et ne rien briser entre nous. « Bah si. Moi. » Tu es mon meilleur ami. L'homme de ma vie. Petit sourire innocent et je laisse volontiers couler le sujet de ces histoires d'amour qui t'ont blessé. De celle qui te fera revivre et vibrer un jour. Oublions-la, celle-là. Je sais qu'elle finira par exister, mais je n'ai pas forcément envie d'y penser. Qui sait, je pourrais me faire des films et, vu ma sensibilité actuelle, il y a de fortes chances pour que je me remette à sangloter comme une idiote. « Oh, mais je n'en doute pas. J'aime seulement l'entendre. » Peut-être mon côté précieuse, princesse, qui aime bien qu'on lui souffle au creux de l'oreille des compliments et autres choses adorables. Comme le fait que tu seras toujours là pour moi. Sourire mi-taquin, mi-sincère, et je me permets de replonger dans tes bras. Te serrer contre moi, encore un peu. Avant que les sushis ne viennent accaparer notre attention. « Moi aussi. Tu dors avec moi ce soir, mh ? » Je vais mal le vivre, si je te vois t'échapper de ma chambre d'hôtel pour rejoindre la tienne. Oh non. Je préfère que tu te glisses sous les draps avec moi et que tu me fasses des papouilles jusqu'à ce je m'endorme.
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8 février 2022 -> C'est dans des moments de regrets comme celui que tu vis que vient le fameux "et si...". Celui qui fait penser que les choses auraient été différentes, que les choix auraient été plus réfléchis. Mais ma Céleste, serions-nous assis dans ce lit, si nos passés se retrouvaient changés? Je veux simplement dire que nos choix ont fait qui nous sommes aujourd'hui. Je pense que tout aurait été différent si j'avais été bon en mathématiques. Si je n'étais pas tombé amoureux de la mode. Si j'avais embrassé Alice au lieu de Lauren. Si je n'avais pas commencé à prendre de la drogue en soirée. Si je n'avais pas suivi ma famille ici. Si... Oué enfin je peux continuer toute la nuit alors vaut mieux s'arrêter là et se reconcentrer. Sur les sushis par exemple, ça semble être une bonne idée. « T'en prend autant que tu veux! » Après tout, j'ai une douzaine de maki avocat cheese, une douzaine de california saumon cheese... Je prévois gros parce que j'ai faim et parce que je te connais, j'ai la certitude que tu vas venir piocher dans ma partie du diner. Alors que je suis bloqué à t'admirer, tu me surprend d'un compliment détourné en question. J'ai d'abord les yeux qui s'écarquillent avant de laisser s'exprimer mon sourire qui se termine dans un rire pouffé « Ho... Si parfait que personne ne veut de moi. » Ca remet quelque peu ta parole en doute quant à ma soit disant perfection. Parce qu'en amour je me suis fait tellement de fois baiser qu'il y a une catégorie porno à mon nom « Mais là n'est pas le sujet. » mes histoires d'amour ratées. Puis je remarque ta tentative de détourner le sujet pour que j'oublie de te donner ma façon de penser. Je ne vais pas m'en priver, il faut que tu entendes comme t'as les épaules pour tout affronter. Et si l'idée de te revoir pleurer me brise le coeur, tes manières m'étirent les lèvres tendrement « Pas envie que je prenne une action chez kleenex. » Parce qu'avec tout ce que tu verses, y'a de quoi se faire un bon billet. Je plaisante bien sur! « Ha oué les fameux hormones... » Ce n'est pas une légende? En voilà encore une des raisons qui me donnent envie de vivre dans le corps d'une femme. Enfin, temporairement qu'on s'entende. Ma tête fait un non lentement quand tu me remercies, parce que t'as pas besoin de le faire. Ma présence est normale, si bien que ta question me fait un peu froncer des sourcils « Ben... Je ne te permet pas d'en douter. » N'est-ce pas évident? J'ai envie de te gueuler que j'ai été là, avant, que je suis là, maintenant, et que je serais là, après. Quoiqu'il arrive. Mais je vais plutôt te regarder droit dans les yeux pour t'assurer que « J'serai toujours là. » Pour éclairer tes ténèbres de ma lueur.
8 février 2022 -> Bien que ce soit le fouillis dans mon corps et encore plus dans ma tête, tu m'offres cette jolie parenthèse où je peux me laisser aller sans craindre quoi que ce soit. Aucune honte à pleurer à chaudes larmes tant la situation est plus que bouleversante. Aucune honte à m'agripper à toi, à ton haut, telle une enfant qu'il faut consoler tant bien que mal tant elle est torturée par cette douleur intérieure. Il n'existe que très peu de personnes qui connaissent cette facette de moi - la facette sensible, celle que je me dois de cacher aux yeux du monde -, et elles se comptent sur les doigts de la main. Et toi mon Gaspard, tu en fais et en feras toujours partie. C'est comme ça. Tu as signé ce pacte, sans même le savoir, lorsque nous étions hauts comme trois pommes. Mais tu l'as toujours respecté, le respectes encore et moi, je m'accroche à toi. Parce que notre amitié en vaut la peine. Tu en vaux la peine. Si tu savais à quel point tu comptes pour moi... C'est d'ailleurs en partie pour ça que je pouffe légèrement de rire quand tu dis que personne ne veut de toi. Parce que dans le fond, ce n'est pas pour me déplaire. Très honnêtement, je ne sais pas comment je vivrais le fait qu'un jour, une personne t'arrachera et t'éloignera de moi. Une personne qui se sera éprise de toi, et vice-versa. Une personne à qui tu consacreras une très (probablement trop) grande partie de ton temps. La personne qui me fera passer au second plan. Même si tu mérites de vivre une belle histoire d'amour, toi qui renfermes ce petit cœur d'artichaut, je sais que ça ne me plaira pas plus que ça. Mais il faudra que je fasse avec, pas vrai ? Pour tenter de te garder un peu plus auprès de moi et ne rien briser entre nous. « Bah si. Moi. » Tu es mon meilleur ami. L'homme de ma vie. Petit sourire innocent et je laisse volontiers couler le sujet de ces histoires d'amour qui t'ont blessé. De celle qui te fera revivre et vibrer un jour. Oublions-la, celle-là. Je sais qu'elle finira par exister, mais je n'ai pas forcément envie d'y penser. Qui sait, je pourrais me faire des films et, vu ma sensibilité actuelle, il y a de fortes chances pour que je me remette à sangloter comme une idiote. « Oh, mais je n'en doute pas. J'aime seulement l'entendre. » Peut-être mon côté précieuse, princesse, qui aime bien qu'on lui souffle au creux de l'oreille des compliments et autres choses adorables. Comme le fait que tu seras toujours là pour moi. Sourire mi-taquin, mi-sincère, et je me permets de replonger dans tes bras. Te serrer contre moi, encore un peu. Avant que les sushis ne viennent accaparer notre attention. « Moi aussi. Tu dors avec moi ce soir, mh ? » Je vais mal le vivre, si je te vois t'échapper de ma chambre d'hôtel pour rejoindre la tienne. Oh non. Je préfère que tu te glisses sous les draps avec moi et que tu me fasses des papouilles jusqu'à ce je m'endorme.
