@Denzel Hopkins tu esquissas une moue telle une enfant face à un plat d'épinard. nana. voilà le surnom qui t'horrifiait par dessus tout, sans oublier le fameux momo que tu entendais bien trop à ton goût. — j'vais commencer à t'appeler denzou, ça va vite te calmer, répliquas-tu d'une mine amusée. tu l'écoutas, esquissant un sourire en coin lorsqu'il t'avoua que ce que tu venais de dire était réciproque de son côté. vous étiez deux amis qui n'aviez jamais franchit le cap par respect de l'autre. ça sonnait bien mais vu vos positions respectives actuelles, tu te doutais fortement que la chasteté n'allait pas durer éternellement entre vous. ce n'était qu'une question de minute, de seconde. — niveau joints j'prendrai pas exemple sur toi par contre, rigolas-tu doucement, te redressant afin de caresser doucement son visage. tu ris de nouveau. un mauvais garçon. voilà un terme que tu n'associerais pas à denzel. — qui t'a dit que je n'aimais pas les mauvais garçons ? répliquas-tu, l'œil malicieux. tu laissas ta main glisser le long de son torse afin de palper son caleçon. — ah ouais, t'as déjà bien chaud ? besoin d'un rafraichissement ? le taquinas-tu, continuant à jouer de tes doigts sur l'unique vêtement qu'il portait encore.

@Mona Schneider Ca ressemble clairement à une conversation légère, pour détourner l'attention de ce qui les attend réellement. De ce qu'ils vont décider pour la suite. - Tu m'appelles comme tu veux, j'ai rien de compliqué. il s'en fiche, tant qu'il se reconnait. D'ailleurs, son esprit ne se pose même pas la question, plutôt focalisé sur la suite de la conversation, sur eux et ce qu'il pourrait se passer cette nuit. L'étape qu'elle semble décidée à franchir. Peut-être que c'est inévitable, ou peut-être pas; tout est compliqué en ce qui les concerne. - Petite nature.. il souffle, amusé, oubliant presque déjà de quoi ils parlent. Cette proximité est nouvelle, délirante, tout ce qu'il y a de plus perturbant. Mona sait ce qu'elle veut, c'est le moins qu'il puisse dire. A jouer sur la partie intime du mauvais garçon. - Tu les aimes peut-être un peu trop.. parce qu'ils savent tous les deux, dans quelle direction file la nuit. Parce qu'il pourrait dire ce qu'il veut, le corps réagit spontanément à la caresse. Trop faible Denzel. - C'est toi qui joue avec le feu hein.. elle connait l'effet de ces caresses, elle le sent déjà sous ces doigts. Rempart déformé par ces soins. Lutte interne, du corps et de l'esprit. Partie pratiquement perdue d'avance.  

@Denzel Hopkins

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