@Denzel Hopkins tu levas les yeux au ciel lorsqu'il appela les esprits casper. vous n'étiez pas en accord concernant cela et tu n'avais clairement pas la tête à le réprimander. tu croyais en ce que tu croyais et pareil pour lui. même si tu n'avais pas la preuve concrète que les esprits existaient, tu préférais prendre tes précautions pour que ta vie ne se transforme pas comme le quotidien des familles de conjuring. — t'aimes pas macdo ? t'étonnas-tu, sourcils froncés. c'était le fastfood qui mettait tout le monde d'accord, du moins chez les jeunes. mais denzel ne semblait pas être emballé par le géant des burgers. — pour apaiser quelqu'un, il faudrait que tu commences par t'apaiser toi-même, rigolas-tu d'un sourire amusé. — mais ce soir tu m'as l'air décontracté. ou peut-être que ce n'est pas le cas mais que tu ne veux pas me le montrer, supposas-tu en lui tendant la bouteille de blanc. qui sait, peut-être que ta robe au joli décolleté le perturbait plus que tu ne l'imaginais. denzel récupéra la bouteille et fit comme s'il n'arrivait pas à retirer le bouchon sauf que bien évidemment, il faisait le pitre. tu rigolas doucement, le remerciant d'un sourire tandis qu'il te tendit ton verre. — et n'oublions pas la santé du plus beau des alaskains, souris-tu en portant ton verre aux lèvres, t'installant à table tandis que tu commenças à servir vos assiettes. — tu restes dormir ici ce soir ou tu rentres ? lui demandas-tu.

@Denzel Hopkins — hâte de goûter à ton festin. j'serai curieuse de voir ce que tu donnes en cuisine, lui répondis-tu d'un sourire. si denzel savait cuisiner, il était clairement le mec parfait. parce qu'un homme qui savait cuisiner, c'était sacrément séduisant. les yeux plongés dans les siens, ton sourire s'élargit lorsque tu le vis répliquer du tac au tac, à la limite du bégaiement. pas besoin qu'il en dise davantage, son langage corporel avait répondu à sa place. — monsieur bonheur, voilà comment est-ce que je devrai t'appeler, plaisantas-tu avec malice. il était vrai que denzel avait toujours la banane, à dire ses blagues amusantes et à positiver quoi qu'il arrive. tu prenais beaucoup exemple sur lui à ce niveau là mais tu n'étais pas encore arrivée à son stade de positivité. ton verre en main, tu bus une gorgée du vin blanc après avoir trinqué. tu t'installas à table et tu commenças à servir le jeune homme tout en lui demandant s'il restait dormir ici ce soir. — le canapé ? rigolas-tu en lui décochant un regard malicieux. — remarque c'est là que mes invités masculins dorment la plupart du temps, renchéris-tu en tendant l'assiette au garçon. — mais ma chambre ne t'est pas interdite, ajoutas-tu d'un nouveau sourire.

@Denzel Hopkins tu souris à ses paroles. t'étais bien curieuse de voir ce que denzel en mode cuisto donnait. finalement, tu ne serais pas surprise qu'il sache bien cuisiner. ça lui allait bien. t'étais pas compliquée niveau bouffe mais vu comment est-ce qu'il te teasait la chose, tu allais bien évidemment l'attendre au tournant. — j'avoue que ton sourire est pas mal du tout, déclaras-tu malicieusement. — de quoi faire chavirer des cœurs, renchéris-tu. denzel avait du succès auprès de la gente féminine, tu en étais persuadée. outre le fait qu'il avait un physique avantageux, il avait cette personnalité qui faisait que l'on ne pouvait que l'apprécier. verres remplis, assiettes tout juste servies, tu commenças à manger tranquillement tes brochettes de crevettes tout en demandant où est-ce qu'il souhaitait pioncer ce soir. — oui oui, le canapé pour les amis. après si tu préfères le confort de ma chambre j'vois pas d'inconvénient. tu marquas une petite pause, le temps de prendre une gorgée de vin. — j'irai dormir sur le canapé et toi dans mon lit, renchéris-tu d'un clin d'œil amusé. te jouer de lui, voilà ce que tu kiffais par dessus tout. — nan, mes amis masculins ne dorment pas ici. ou très rarement mais sur le canapé. ma chambre est réservée aux copines ou aux plans cul, avouas-tu d'un léger rire. denzel était ni un plan cul, ni une copine et pourtant, ton lit l'accueillerait avec plaisir.

@Denzel Hopkins — j'suis peut-être dans l'abus mais toi, t'es beaucoup trop modeste, lui répondis-tu. — tu vas m'faire croire que personne n'a jamais complimenté ton smile ? renchéris-tu, sourcils froncés. t'étais prête à mettre ta main à couper tellement tu étais persuadée que son sourire était sans cesse complimenté. tu explosas de rire en le voyant manquer de s'étouffer avec son verre de vin. — déconne pas avec le vin, ça se déguste voyons ! le taquinas-tu en lui donnant une tape sur le bras. tu lui donnas une serviette. — essuie-toi donc la bouche au lieu de jouer aux saintes nitouches. tu levas les yeux au ciel, prenant une bouchée de ton assiette en tournant de nouveau tes yeux rieurs vers le jeune homme. — donc j'note que la mention de mon entrejambe t'es insupportable. j'vais peut-être te mettre dans la catégorie de mes copines alors ? lui lanças-tu, l'œil malicieux. — mais promis, je t'épargnerai toujours les détails de mes baises torrides même si normalement, j'le dis à mes copines. mais t'es ma bff spéciale toi. toujours plus. décidément ce soir, tu ne l'épargnais pas. — et toi alors ? tu t'aères un peu la trompette ou tu comptes intégrer une abbaye pour moines ?

@Denzel Hopkins tu fronças quelque peu les sourcils, réfléchissant à ce que denzel venait de dire. — c'est profond ce que tu viens de m'dire là, lui dis-tu en prenant une nouvelle bouchée de ton délicieux plat. — si ton sourire est une apparence, tu n'es donc pas heureux ? lui demandas-tu, attendant une sérieuse réponse de sa part. parce que denzel, c'était le mec toujours de bonne humeur, qui souriait à la vie, qui riait en permanence et ne restait jamais en place. — ok c'est noté, je ne mentionnerai jamais mes parties de jambes en l'air alors. c'est parce que tu m'vois comme une trop bonne amie pour t'imaginer ça ? lui demandas-tu. — ou parce que la jalousie te rend incapable d'imaginer d'autres mecs me toucher ? le taquinas-tu, l'œil malicieux. tu poussas un profond soupir, laissant le rire éclater. — bon dieu, t'es bien moins fun que j'le pensais, le charias-tu. — de quoi veux-tu parler denzel ? choisis le sujet, j'te suis, dis-tu, prenant une gorgée d'eau.