bisha avait toujours été d’un naturel maternelle, depuis toujours, pourtant elle n’était pas l’aînée dans sa famille, elle avait erza mais les autres n’avaient pas forcément besoin d’elle pour les materner. depuis sa rencontre avec macy, bisha avait agi de la même façon avec son amie qu’elle l’aurait fait pour sa véritable petite soeur, elles avaient bien moins d’écart pour expliquer cela, disons plutôt que rapidement elle avait compris la douceur de cette enfant, cette grande enfant, sa tendresse, à préserver à tout prix. — j’sais pas si c’est vraiment du kidnapping quand la kidnappé n’oppose aucune résistance tout en étant en pleine conscience autrement dit, quand la personne kidnappé est contente de l’être.
bisha ne peut s’empêcher de rire en voyant son amie faire, elle rit, elle est nostalgique, elle va lui manquer, c’est certain. — booh, t’es mignonne quand tu rougis on dirait une petite tomate, avec sa présence elle arrivait à faire oublier à bisha sa peine, c’était si facile avec macy. — je vais venir et pas que quand je m’ennuie le plus souvent possible, elle le lui promet, petit doigt en l’air, elle doit la voir, ne pas la perdre de vue, elle doit la garder près d’elle.