naissanceNée au petit matin du 13 janvier 1993 à l’hôpital general de Toronto, Ontario, Canada.

nom(s) & prénom(s)
Myosotis, une petite fleur bleue qui accompagne le printemps et que les romantiques s'offrent entre eux car elle signifie forget-me-not. Mais les Jeong ne sont pas bien romantiques. Il s'agit d'une histoire de circonstance. Une petite fille est née contre toute attente. Erreur de lecture sur l'échographie et un père désemparé qui a décidé de nommer son nouveau-né d'après la petite fleur qui était brodée sur la cravate du médecin.

nationalité(s)
Double nationalité canadienne et coréenne.

origine(s)
Myo a des origines coréennes et pourtant, elle ne parle que très peu coréen qui pourtant est sa langue maternelle. En grandissant, l'anglais est devenu son quotidien et aujourd'hui elle regrette de ne plus vraiment savoir utiliser la langue de ses parents. D'ailleurs, elle a un peu honte mais ne le cache pas. Elle a un partenaire tandem coréen.

orientation sexuelle
Attirée par la gente masculine souligné par leur musculature carrée, elle ne s’est jamais doutée de sa sexualité, bien qu’il lui arrive d’apprécier les courbes féminines et de dire honnêtement qu’une femme est magnifique.

statut amoureux
La belle est célibataire, à l'approche de la trentaine et ses parents s'en inquiètent. L'heure tourne et sa mère ne cesse de lui rappeler qu'à son âge, elle avait déjà deux enfants... Des parents qui rêvent déjà de devenir grands-parents. Et la fille ainée qui veut profiter de sa jeunesse pendant quelques années encore.

statut social
De la classe moyenne et aisée. Aujourd'hui, grâce à son parcours professionnel, Myo peut offrir à ses parents une belle retraite anticipée s'ils le souhaitent et elle n'hésite pas à aider financièrement sa famille. Mais les Jeong ne sont pas bien matérialistes et encore moins dépensiers. Adeptes du vivre modestement pour être heureux.

emploi
Princesse des pistes glacées, elle a apporté frissons et merveilles avant de violemment chuter. Ancienne snowboardeuse médaillée, elle s’est reconvertie en physiothérapeute et a fondé le Myodetox, un centre de compétence inter-disciplinaire (physiothérapie, ostéopathie, coaching, nutritionnel, massage,...) pour sauvegarder la santé et améliorer la performance physique. Le mois de septembre prochain, elle rejoint le corps enseignant d’Harvard en tant qu’intervenante extérieure pour assurer des vacations d’enseignement ponctuelles.

Petite fille téméraire et casse-cou, Myosotis n’a jamais réellement supporté l’enfermement. A la poursuite de liberté, elle l’avait trouvé dans le snowboard avant que la presse ne s’en mêle. Devenue oiseau en cage, elle s’autodétruisait avant qu’on ne la libère. Une expérience amère qu’elle prend comme une leçon de vie. Il faut vivre pour soi-même et apprécier chaque petite chose et instant de notre quotidien. Faire ce que l’envie dicte. Sans crainte et hésitation. Peu importe les regards. Mais retrouver la petite fille insouciante qu’elle était n’est pas facile. C’est un apprentissage qu’elle poursuit toujours.

attentionnée généreuse autoritaire intimidante  franche  téméraire  sportive compétitive taquine curieuse observatrice  méfiante solitaire débrouillarde

Fille ainée de la famille, Myosotis n’a pas toujours été l’exemple à suivre. Ses parents avaient souvent préféré avoir une fille calme, studieuse et coquette. Au lieu de ça, elle était l’enfant aventureux qui se prenait comme Jack Sparrow. Peu assidue à l’école et casse-cou, elle revenait toujours à la maison avec un vêtement troué et sale. Elle est bonne vivante et insouciante. De quoi donner des sueurs froides à ses parents. Imaginez leur tête lorsqu’elle a décidé de dévaler la pente enneigée à vive allure et de faire son premier grab puis 360. Avec une telle personnalité, Myosotis n’avait pas vraiment de peine à se faire des amis. Toujours très entourée jusqu’à ce qu’elle soit médaillée puis placée sous le feu des projecteurs. Peu à peu, elle s’est retrouvée seule et est devenue méfiante. Jalousie, hypocrisie et trahisons guettaient son nouveau quotidien. Mais histoire ancienne, depuis, la coréenne a bien changé. Maîtresse de sa propre vie et de son business, elle donne l’impression d’être inébranlable tant qu’elle est intimidante, quelque peu autoritaire et franche. Elle rit des opinions extérieures et des histoires improbables qui la concernent. Réconciliée avec son passé, elle semble avoir retrouvé le Jack en elle. Bien qu’en réalité, elle reste toujours méfiante et peine à faire confiance aux gens.  De plus, elle a pris goût à la solitude.

Myosotis Un prénom qui s’entend rarement sur les lèvres de ses proches. Pour cause, tous l’appellent Myo et beaucoup ignorent son prénom entier.  D’ailleurs, il lui arrive de ne pas se reconnaître lorsqu’on l’appelle ainsi. Probablement a-t-elle mis des vents à certaines personnes. Famille Sa mère est cheffe d’orchestre mais souvent en vadrouille. Par conséquent, son père a endossé le rôle de papa presque au foyer, jonglant au mieux avec son travail de professeur au lycée. Il courrait sur tous les fronts. La cuisine, le ménage et l’éducation. Malgré leur emploi du temps chargé, aucun des deux n’ont manqué une seule de ses compétitions. Toujours là pour elle dans les moments importants et difficiles. Pas que ses parents. Il y avait aussi son petit frère et petite sœur. Aujourd’hui, c’est à son tour d’être là pour eux. Snowboard Elle avait à peine quatre ans lorsque son père l’a initié au snowboard et sa mère lui en a voulu pendant des années. Devenant de plus en plus anxieuse chaque hiver, elle se forçait à regarder sa fille danser dans les airs. Puis, superstitieuse, elle n’oubliait jamais de brûler de l’encens le jour de ses compétitions. Sauf le jour où elle a gravement chuté, la veille de ses dix-neuf ans, le 12 janvier 2012, aux X Games à Aspen, Colorado. Cet incident signera son arrêt. Cicatrices Des blessures à répétition. Côtes cassés, luxations, entorses, déchirure du tendon d’Achille,... Myosotis a un air de Jackie Chan qui se relève toujours et qui ne compte plus les cicatrices. Mais à force, son corps a de plus en plus de mal à s’en remettre. Inévitablement, elle annonce sa retraite, disparait des compétitions mais aura marqué le snowboard canadien et coréen. Anxiété sociale Devant la presse, elle n’a pas peur de présenter toutes ses cicatrices d’un air amusé. Toutes sauf celle qui la hante depuis des années. Qu’elle cache derrière ses sourires et noie par ses pilules. La sportive a souffert de longues périodes de dépression rythmées par des notes de solitude et d’anxiété. La pression médiatique était un poids trop lourd à gérer. Surtout pour une adolescente de quinze ans qui soudainement s’était retrouvée sur un piédestal qu’elle n’avait pas demandé. Elle a donc grandi avec la peur constante de décevoir les autres, la peur de l’opinion publique. Exigeante avec elle-même, elle se sentait incapable de demander un break. Incapable de s’amuser comme une enfant de son âge. Elle se poussait à bout et elle se retrouvait isolée. Ne trouvant plus que refuge dans ses écouteurs, pour la couper du monde extérieur. Au final, se retirer des compétitions était non seulement pour se soigner physiquement mais surtout mentalement. Renaissance C’est à Toronto qu’elle a décidé de repartir à zéro. La ville où elle est née, a grandi jusqu’à ses treize ans avant de déménager à Boston. Un besoin de reconnecter avec sa deuxième maison et de se rapprocher de son ancienne vie avant que tout ne s’emballe. Elle s’est donc réinstallée à Victoria Park, à quelques mètres de leur ancienne maison puis elle s’est inscrite à l’université de Toronto où elle en sortira diplômée en physiothérapie et psychologie. Durant son cursus, elle publie un article sur la santé mentale des athlètes et rejoint même un groupe de soutien. A la fin de ses études, elle se fait recruter par les dirigeants des Raptors et intègre le staff médical qui encadre le développement physique et surveille la santé des joueurs NBA. De cette expérience, elle décide de fonder sa propre entreprise, le Myodetox, un centre de santé et performance. Si vivre à Toronto lui a apporté énormément de bien, rien ne vaut la famille. Et c’est donc pour une finalité évidente, qu’elle a décidé de rentrer à Boston.

divers  
a été plusieurs fois médaillée, bronze et or, en halfpipe et superpipe. D'ailleurs, elle a aussi représenté le Canada au JO d'hiver. ✾ a étudié à Harvard en science économique et sport mais a renoncé en cours de route, se sentant incapable de finir ses études et ne supportant plus la pressante solitude, souffrant à l’époque d’anxiété sociale. ✾ lui arrive d’aller au cinéma seule, prendre son café ou repas seule dans le bistro du coin. En bref, faire des activités seule ne la dérange nullement. ✾ a souvent voyagé en Suisse pour faire du snowboard. Elle s’entrainait souvent dans la région de Grindelwald. ✾ n’a plus osé toucher à sa planche de snowboard depuis 8 ans, par peur d’éveiller de mauvais souvenirs. ✾ n’aime pas vraiment les fleurs mais adore les plantes vertes, surtout les aromatiques. ✾ commence toujours ses journées par faire le ménage. Poussière, aspirateur, serpillère... étrange routine certes. Heureusement que ces voisins sont compréhensifs... ou pas. ✾ n’a jamais osé dire à sa mère mais a un licence de parachutisme. ✾ ne passe pas une journée sans ses écouteurs sur les oreilles. ✾ contrairement à son frère, elle n’est pas très à l’aise avec le monde aquatique et préfère avoir la tête en dehors de l’eau. ✾ mange très épicée, si épicée qu’on se demande si elle a pas perdu le goût. ✾ les rumeurs ont rythmée sa vie, une musique qu’elle n’écoute que d’une oreille peu attentive. D’ailleurs les rumeurs les plus récentes sont lancés par ses meilleurs amis, car la presse ne se mêle plus vraiment de sa vie. ✾ ne résiste pas à la tentation des jeux d’arcade... ✾ toute bonne journée se termine toujours par un bon karaoke ✾ suit régulièrement le NBA et soutient les Raptors, sorry les Celtics. ✾ est bouddhiste.

Naissance à Toronto
Déménagement à Boston
Remporte sa première médaille de bronze en superpipe au X Games d’hiver à Aspen, Colorado
Remporte  la médaille d’or en superpipe au X Games d’hiver à Aspen, Colorado
Représente le Canada au JO de Vancouver et remporte l’or au halfpipe.
Rentrée à Harvard en science économique et sport
Se blesse gravement au X Games et s’en suivent des mois intensives de rééducation
Annonce à la presse son forfait aux X Games 2013
Renonce à Harvard
Annonce à la presse qu’elle a longtemps souffert de dépression, qu’elle prend sa retraite et ne participera à plus aucune compétition de halfpipe.
Retour au Canada et inscription à l’université de Toronto.
Diplomée, bachelor en physiothérapie avec mineure en psychologie
Diplomée, master en physiothérapie
Rejoint le staff medical des Raptors en tant que physiothérapeute
Fondation du centre MYODETOX
Retour à Boston
Mandatée par Harvard pour dispenser des cours ponctuels en physiothérapie en tant qu’intervenante extérieure

pseudo cala/thea
âge  
nationalité si je dis carac?
forum connu par... top site
ILH, j'en pense quoi ? si je suis ici, c'est parce que je pense beaucoup de bonnes choses le concernant  
autres comptes ? //
avatar utilisé ahn hye jin (hwasa)
crédits images PASTEL BREATHING.
nombre de mots par rp jusqu'à 600 max., variable selon l'humeur
type personnage inventé

code métier
Autres + physiothérapeute :

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@"Myosotis Jeong" » <i>(physiothérapeute)</i>

Harvard + intervenante extérieure :

Code:

@"Myosotis Jeong" » <i>(intervenante extérieure)</i>

summer camp ?
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<span class="pris">AHN HYE JIN (HWASA)</span> <span class="inv"></span> @"Myosotis Jeong"