rien n'est parfait, même pas toi. T'as tout coupé pour profiter de tes vacances mais t'as pas pensé auw conséquences de tes actes. Pourtant tu la connais, tu sais à quel point elle peut être irritable et irritée. Petite effrontée, un brin autoritaire lorsqu'elle s'y met, t'accuses le coup, mais toujours en brochant. Tu ne te laisses pas faire et tu trouves toutes les excuses que tu peux trouver. Sa chevelure de feu qui Scintille et tes yeux qui ne peuvent pas se détacher d'elle. j'aurais pu... que tu réponds avec un petit sourire en coin. Gamin d'une insolente indécence, ta réponse va très certainement l'irriter un peu plus. Sorry not sorry. Tu lèves les yeux au ciel, soupires assez fort, gardant toujours ce petit sourire qui orne tes lippes. honneur aux filles et j'ai posé la question en premier c'est à qui aura le dernier mot. Tous les deux campant sur des positions qui n'en valent parfois pas la peine. Haussement d'épaules, ton regard toujours plongé dans le sien, tu commences à lâcher entièrement prise. Tu sais pas trop ce sud tu fais, ce qu'il faut faire, et tes pensées qui commencent à te faire défaut. j'ai pas dis que c'était nul. tu aurais pu te laisser aller. Tu aurais pu coucher avec d'autres personnes pendant tes vacances et tu voulais d'ailleurs pouvoir profiter avec Vareck mais ça n'a pas été le cas. T'as finalement compris que tes yeux ne voyaient qu'une personne et que ton palpitant ne fonctionnait pas correctement lorsqu'elle n'était pas auprès de toi. Fierté bien avisée, tu t'approches tout de même d'elle sans rien dire. Elle semble surprise et desamparée. T'es jaloux et possessif et t'aimes pas la savoir avec une autre. je me rapproche de toi que tu lâches, te rapprochant encore un peu plus de la jeune femme je veux pas que tu la revois ! que tu Soupires c'est ma place que t'ajoutes, un brin autoritaire.

Petit con. Tu admets que tu aurais pu faire un effort et pour autant, tu ne l'as pas fait du tout. Mes yeux s'obscurcissent un peu plus encore à ta réponse. Comme une envie de te gifler, de crier au mal que tu m'as fait. M'apprenant que tu n'as pas profité de tes vacances pour papillonner comme tu en as l'habitude, me voilà étonnée. Mais c'est ta réaction qui me surprend davantage encore, lorsque ta silhouette vient plaquer la mienne contre ce mur. « Tu n'as pas à me donner d'ordres ! » Je suis libre et farouchement fière de l'être. Personne ne pourra me dompter et surtout pas un homme, même si il s'agit de toi, le prince des fées. Mains plaquées sur ton torse, j'effectue un léger mouvement pour te repousser mais ton corps ne prends pas d'espace. « Et quelle est ta place ? » Apparemment, tu en as décidé ce que j'ai mon mot à dire. Mon regard vrillant sur le tien exaspéré, je déteste me sentir vulnérable ainsi ta compagnie, j'ai peur de ce sentiment, de cette impression d'être suspendue à toi, et pourtant... « Oui tu m'as manqué. » Je ne peux que l'admettre, que révéler ce besoin étrange d'être encore un peu avec toi.

Elle t'énerve. Mais sans elle, t'es pas le même et tu le sais. T'aimes pas cette sensation de manque depuis qu'elle est dans ta vie. Elle a pris une place importante, peut être même trop importante mais tu ne peux pas être loin d'elle aussi longtemps. T'as pensé à elle en vacances, tout le temps. Elle t'obsède même lorsqu'elle n'est pas là. Satané gonzesse... T'as pas envie qu'elle voit quelqu'un d'autre, pas envie qu'elle fasse des folies avec une autre personne que toi. T'es possessif, autoritaire même parfois mais elle joue avec ta jalousie et tu détestes ça. c'est l'hôpital qui se fou de la charité que tu lui lances avec un petit sourire en coin. Elle est tout aussi autoritaire que toi et elle sait te donner des ordres quand elle en a envie. Tu grimaces rien qu'à l'idée de la savoir avec quelqu'un d'autre. Sensation que tu ne comprends pas vraiment, sensation nouvelle et tant sentiments qui s'emballent depuis que tu es de retour chez elle. et jfais ce que je veux que tu ajoutes alors que tu la coinces contre le mur et toi. ma place est la tu passes ta main sur son cœur et y a que moi qui pourra rester là t'es bien certain de tes dires Jamie, peut être même un peu trop et tu ne détaches pas ton regard du sien. Petit sourire en coin, ton visage s'approche du sien et lorsqu'elle te dis que tu lui as manqué. Tes lèvres qui se posent sur les siennes. Baiser chaste, que tu finis par prononcé, laissant ta langue s'immiscer entre ses lèvres, tes mains qui se posent sur son visage

Trop similaires, parfois contradictoires. Comme le soleil éblouissant rencontrant son reflet. Si je n'aime pas qu'on me donne des ordres, j'apprécie particulièrement de les dicter, chose que tu ne manques pas de souligner. « Peu importe, je n'aime pas ça. » Apparence répulsée par tes entreprises, mais le corps parle bien autre chose, les peaux s'appellent, irrémédiablement mes pupilles s'apaisent et je te déteste pour provoquer cela en moi. Ta paume passant au centre de ma poitrine, mes joues rosissent naturellement sous cet affront, de cette proximité nouvelle que tu oses avec moi. Gamine encore... « Tu es un homme d'espoir. » Et prétentieux sans doute même si ce n'est que la vérité qui sort de tes lèvres en l'occurrence. « Et moi ? » Paume féminine qui glisse le long tu torse androgyne, phalanges qui s'écartent comme pour mieux s'imprégner du martèlement qui y réside. « Est-ce que j'ai ma place ici ? » Petite fille qui ne viendra pas ranger sa fierté sous le tapis si l'adversaire ne fait pas de même. Mais ta silhouette s'approche, tes lèvres viennent se coller contre les miennes, pressantes, moi trop faible pour leur barrer l'accès, mes doigts agrippent instinctivement en douceur ton col. « Dis-le moi. » Que tu resteras là, que ma place restera auprès de toi.

T'as toujours pensé qu'un homme volerait ton cœur, que ce sera un homme qui mettra des étoiles dans tes yeux et qui fera tomber toutes tes barrières mais tu ne pensais pas que ce serait elle. Que ce serait cette jeune femme à la chevelure de feu qui mettrait à terre toutes tes idées, qui empêcherait ton cœur de se laisser vivre. Tu la pousses dans ses retranchements, espérant qu'elle parle et qu'elle se laisse aller. Toi tu ne dis rien, t'es encore bien trop fier pour lui avouer qu'elle te fait tourner la tête et qu'elle met ton cœur en émoi. tu n'aimes peut être pas ça, mais c'est comme ça, arrête de vouloir me tenir tête capicrieuse qu'elle, c'est toi qui finira par avoir le dernier mot. Tu fronces les sourcils, lui fais les gros yeux pour qu'elle arrête de te tenir tête et tu la déstabilises à nouveau. Ta paume qui s'installe sur elle, entre sa poitrine, pour sentir son cœur battre à la vitesse de l'éclair. Tu souris, tu sais que ta place est là, jeune homme à l'égo assez surdimensionné lorsqu'il s'agit d'elle. Personne ne prendra ta place, personne et tu feras en sorte de chasser toutes les personnes qui seront sur ton passage. Bien décidé à ne plus la laisser dans l'antre d'un loup que tu ne connais pas. Seul toi reste le prédateur de cet agneau en perdition. non je suis un homme censé là est toute la nuance de tes propos et de tes agissements. Tu ne dis rien et la laisse faire lorsque ses phalanges se posent sur toi. Ton cœur bat trop vite, il te trahi. Ce petit con d'organe ! Tu grimaces un petit peu, que dire à ça ? Elle a la réponse à sa question. Tu fermes quelques instants les yeux avant de ne dire aucun mot et de l'embrasser avec insistance. Tes mains autour de son visage, tu laisses la passion soudaine t'emballer. mon cœur est à toi... mots qui s'échappent sans que tu ne puisses réfléchir avant que tes lèvres retrouvent les siennes et que tes mains dansent dans son dos, passant sous son tee-shirt

Je suis rebelle, inconstante, n’aimant pas me prêter aux ordres, quoi qu’il advienne. « Je n’arrêterai pas. » Plutôt mourir que de me plier aux volontés d’un autre. L’orgueil n’admet pas au départ le vide que tu as laissé mais les choses changent lorsque ton corps se rapproche du mien et que nos lèvres viennent se sceller. Corps plus doués pour s’entendre que nos âmes. Rire qui vient s’échapper de ma gorge parce que la folie nous guette souvent, que la fantaisie s’installe dans nos quotidiens qu’on ne souhaite pas mornes et que… « Tu es tout sauf censé Jamie. » Regarde-nous. Regarde ce foutoir qu’on est entrain d’installer. On ne peut pas se contenter de quelque chose de rangé, de lisse. Il faut qu’on ajoute des paramètres, foutre un coup de pied pour semer un plus le bordel. Happée par cette passion inédite qui s’installe entre nous, un soupir de mes lèvres vient s’échapper, instinctivement mon corps se colle au tien, pour que tu ne t’échappes pas encore au pays de Jamais jamais. Et les mots souhaités sont prononcés. Le battant s’emballe, la tête tourne un peu alors que nos phalanges viennent explorer le revers des tissus, la peau plus fine et lisse sous les tissus, venant te débarrasser de ta chemise, mes doigts viennent glisser dans ton dos, soumise à cet instant à une bien plus sourde et lascive appartenance, dictature de mon corps et de mon désir sur ma raison.

Les évènements prennent une toute autre tournure. Tu ne réponds plus de toi, tu n’arrives plus à te contenir. Tu n’aimes pas quand elle est autoritaire mais tu fais toujours la même chose avec elle. Tu fronces les sourcils sur cette gamine capricieuse tais toi que tu lui balances avec un petit sourire. Ce manque de respect que tu lui fais subir à chaque fois que tu ne la comprends pas et que tu ne te comprends pas toi même. Tu tombes dans l’ivresse, ta tête qui se laisse emporter par le moment, cet imprévu que tu ne contrôle pas alors que t’as tout bonnement envie de l’embrasser et que tu laisses la situation s’y prêter finalement. Au moins elle se tait et elle arrête de dire des conneries. tais toi je te dis… que tu rajoutes une nouvelle fois lorsqu’elle te dit que tu es tout sauf censé J’suis un fou en perdition et ton corps se colle au sien, les lèvres suivent leur passion alors que vos langues se découvrent et que cette fois ce n’est plus du tout le même baiser que la dernière fois. Plus fort, plus passionné, cette fois tu actionnes une toute autre manette. Une envie qui s’intensifie alors qu’elle te retire le tee-shirt. Tes mains baladeuses qui en font tout autant avec son tee-shirt et tes phalanges qui viennent dégrafer son soutien-gorge pour y découvrir cette petite poitrine innocente. Tes mains s’attardent sur sa poitrine, tu ne réponds plus de rien et tu sens cette bosse grossir dans ton pantalon. Commençant à être à l’étroit, tu n’as pas envie d’aller trop vite mais bon dieu que t’aimerais bien pouvoir la toucher et continuer sur ce chemin. Tu la porte jusqu’au lit, l’installe et te mets sur elle ma douce folie… elle t’emporte plus que de raison dans une folie qui semble grossir à chacune de vos entrevues.

La folie nous embrase, la raison abdique. Corps transportés par leur désir, corps encore juvéniles de ses passions qui les tourmentent. La chose est inédite me concernant, lorsque cela concerne un homme. Mais puisque cet homme c’est toi, tout est différent. Corps gracile et exposé, mes pommettes rosissent plus que de raison alors que mes ongles s’attardent quelques instants sur les lignes d’encre qui contrastent avec la blancheur de ta peau. Je ne suis plus capable de parler, seulement rongée par l’intensité du moment, pas même lorsque tu me portes jusqu’au lit, soupirant ainsi exposée et ton corps qui vient se poser sur le mien, mes mains glissent à ta ceinture alors que le stress me gagne à nouveau. « Jamie… je … » Comment dire ça ? C’est si étrange et tout va trop vite, pourtant j’en ai envie aussi, mais j’ai si peur, c’est paradoxal. « Je ne l’ai jamais fait. » Et pourtant, je ne pourrai rêver mieux que toi.

Tu tentes de te contrôler mais çà devient de plus en plus compliqué. Folie qui vous embrase, t’arrives difficilement à tenir, ton corps collé contre le sien et cette bosse qui se forme dans ton pantalon. Cet effet qu’elle te fais, comme si t’avais tout gardé pour toi depuis bien trop longtemps. Tu la portes jusqu’au lit, te mettant sur elle en laissant tout de même un peu d’espace entre vous pour ne pas l’écraser. Sa peau douce que tu caresses avec tes mains la sentant frissonner à chaque passage. Tu te fais un peu plus pressant, prenant soin de détailler sa poitrine et de venir l’embrasser. Mais elle s’arrête une fois ses mains sur ta ceinture. Tu te redresses doucement lorsqu’elle te dis qu’elle n’a jamais fais çà. Tu souris tendrement. Tu n’en étais pas certain mais tu avais quelques doutes. Elle est étrangement belle avec cette peur que tu peux lire sur son visage. Tu passes une main sur sa joue, dégageant en même temps une mèche de cheveux. Petit sourire qui étire tes lippes, tu prends ses mains pour la redresser elle aussi on ne fera rien si tu n’es pas prête que tu lui dis doucement avant de passer tes mains sur ses épaules et de les faire descendre sur ses bras je vais devoir redescendre là que tu lui dis en plaisantant tout en montrant ton entrejambe tu ne m’as pas répondu d’ailleurs… que tu ajoutes, déterminé à ce qu’elle te réponde elle aussi.

Les choses ont évolué entre nous, tacitement, progressivement. Au départ, tu m'énervais plus qu'autre chose, et puis ta fantaisie a résonné dans la mienne, cette volonté farouche de s'affranchir des marges, ta liberté qui tout simplement appelle la mienne. Différents et pourtant semblables. « Fais-moi découvrir doucement. » Un sourire timide mais coquin vient naître sur mes lèvres. Prenons le temps, je ne veux pas me laisser aller à la précipitation, regretter certaines choses. Nous ne sommes pas du genre à faire des serments et si mon corps doit connaître un homme, je souhaite qu'il ne connaisse que toi, mais pour autant, je ne veux pas être pressée de le faire. Je veux apprivoiser ces sensations. Sourcil qui vient se hausser, tu ne lâches rien alors que mes mains passent autour de ton cou, attirant tes lippes contre les miennes, sauvage et avide, bien que douce. « Non... » Mes dents étreignent furtivement ton inférieure. « Elle ne vaut pas mieux que toi. » Aveu soupiré alors que mon corps s'allonge à nouveau, entraînant le tien dans sa chute.