Elle se relevait, tout doucement, encore sonnée de cet ébat si intense. Que dire après tant de sensations ? Pas grand chose. Louison se sentait confuse et embarrassée d’avoir cédé dans un tel endroit et auprès du gars qui l’avait dépucelé. Elle s’était cependant rattrapée en l’invitant à la raccompagner. C’était mieux que le cool non ? « Je suis k.o, je dois me ravitailler avant » Explosant de rire, elle commença à marcher vers le paquebot qui flottait au port, mais Mael l’interpella drôlement. « Tu rêves, il est encore le mien et je l’offre à qui je veux » Décollant ses racines pour plus de volume, elle riait encore du culot dont avait preuve l’étudiant. Le pire, c’est que cela ne l’étonnait pas, c’était un beau-parleur ce Mael. « Tu peux aller chercher une autre nana, je connais le chemin » qu’elle le nargua en haussant les épaules. Si son corps continuait de lui appartenir et si on voulait en disposer, il fallait avant tout conquérir son coeur. « T’embêtes pas, repose toi ici, à plus tard peut-être ! »

je souris, lui demande si elle veut un deuxième round mais visiblement louison n'est pas une grande joueuse. non, elle doit se ravitailler avant. petit sourire, je lui dis alors que son corps m'appartient. je veux voir ce qu'elle compte répondre. c'est ce qu'on verra, alors, chica.. lui réponds-je, mélangeant alors la langue de molière et l'espagnol que je maîtrise à la perfection. ça va aller, j'ai de quoi faire là. je la détaille du regard, j'ai encore envie d'elle. je ne suis pas encore totalement rassasié. je m'avance, me positionnant à ses côtés. j'ai dit que je t'accompagnai, je suis un homme de parole. je la regarde tout en marchant. tu veux déjà te débarrasser de moi ?

Louison préférait garder un peu de mystère et se faire désirer. Elle s’éloignait et ne s’avouait en aucun cas propriété de quiconque. Pour l’instant, elle était soucieuse de garder sa liberté. La prudence faisait partie de son nouveau mode de fonctionnement. Elle se méfiait effectivement des trop grands sourires et se préservait des relations sentimentales qui finissaient toujours par le chaos. Amusée par Mael, elle se cachait de rire et continuait d’avancer sur la plage, ne comprenant pas sa fixation pour elle. « Non, mais je ne comprends pas pourquoi tu veux me suivre, je rentre me terrer, y a rien d’intéressant à ça » Elle l’imaginait tellement fêtard et entouré, qu’elle ne pigeait pas son comportement actuel. Louison avait changé, elle n’était plus aussi noctambule que ça. Elle avait adopté la discrétion et les loisirs de grand-mère. « C’est comme tu veux, moi je vais juste vers ma douche et un bon livre » Bah ouais, après la baise, ça faisait du bien de se reposer tranquillement. « Tu sais lire toi ? »

elle m'intéresse. et bien qu'elle m'ait offert son corps le temps d'une petite soirée, elle me semble toujours inaccessible. je la veux pour moi, mais la route semble longue avant d'arriver à ce moment. et j'ai cette impression qu'elle veut que je m'en aille, j'hausse les épaules à sa réponse. j'sais, mais j'ai dit que je t'accompagnai. donc, je t'accompagne. lui dis-je alors. elle s'amuse à me taquiner, ce qui me fait sourire. tu sais que je suis… haut potentiel intellectuel ? et pourtant, vu comme ça, on ne dirait pas. clairement pas. je peux toujours prendre ma douche avec toi. m'amusé-je à répondre finalement alors que nous arrivons enfin au bateau.

Il te suit. Ma belle, on dirait bien que tu lui plais, accepte, t’as rien à perdre. Abaissant les armes, tu décides alors de lui laisser sa chance et surtout d’honorer sa parole. Mael voulait te raccompagner, peut-être que tu lui ouvrais la voie vers la galanterie, bien qu’il devait sans doute déjà avoir les codes. Empreintes de sable derrière toi, tu le chambres sur ses capacités intellectuelles et ce qu’il te sort te laisse bouche bée. Un HPI ? « Wow, tu trompes bien ton monde toi » Parce qu’il n’avait pas le profil, foutus stéréotypes sur les binoclards à boutons qui mangent des livres plutôt que des chips. « Tu me laveras les cheveux » Ce qui sous-entendait qu’il y avait sûrement une brèche. Il pouvait aussi s’arrêter à la porte et laisser une autre occasion pour vous réunir. Montant sur le bateau, tu te dirigeas vers l’allée menant à ta cabine. « Okay je te ferais aussi un shampooing ET la lecture d'un vieux bouquin, tu viens ou non ? Quel est ton choix ? »

ça ne me ressemble pas du tout, pourtant, je la suis encore bien qu'elle m'ait explicitement demandé de la laisser. je me montre gentleman, pourtant ce n'est pas ma façon de faire. elle a de l'emprise, c'est bizarre à dire mais elle en a et je ne compte pas du tout assumer cela. bref, marchant alors sur le sable en direction du bateau, je lui dis alors que je suis un HPI, ce qui contraste pas mal avec ce que je montre en temps normal. et ouais, faut croire. réponds-je simplement, avec un haussement d'épaules. je ne me vante pas souvent de cette capacité intellectuelle. je m'amuse à lui dire que l'on peut prendre une douche ensemble, elle m'ouvre la porte en disant que je peux lui laver les cheveux. mais, bien sûr. la boite de pandore est ouverte, mes démons ressortent bien trop vite. nous montons sur le bateau, sa réaction me fait sourire. on peut passe outre la lecture du vieux bouquin, je ne dis pas non à un petit shampoing. tu pourras me passer le savon dans le dos, pour l'occasion. lui dis-je alors, amusé de la situation.

T’allais t’ennuyer avec un livre ? Pourquoi te refuser un instant en bonne compagnie ? Tu pouvais aussi le défier et voir s’il était capable de garder ses mains baladeuses en place. Lui offrant ainsi la possibilité de découvrir ta cabine en vrac, tu montas sur le bateau et pris la direction de ta chambre. « J’pense que je vais m’amuser à récurer tout ça » Faisant un geste de panthère vers lui, tu grimpas un escalier et traversas un long corridor dont dépendait ta cabine. Ta robe gouttant sur le sol, tu ouvris rapidement la porte et laissas entrer Mael le premier. Bon, tu pourrais très bien l’enfermer dedans pour lui faire une petite blague, mais il risquerait alors d’avoir le temps pour lire tes pensées et ça, c’était hors de question. Refermant derrière vous, tu te débarrassas de ton vêtement trempé pour attraper une nouvelle culotte et filer sous la douche. « Aller, on bouge ses fesses monsieur je sais pas quoi » Parce que ouais, t’avais son prénom, mais pas ce qui l’accompagnait. Le poussant vers la pièce exiguë, tu tournas les vannes et te glissas sous la cascade, ta panoplie de shampooing attendant bien sagement sur l’étagère.

petit sourire aux lèvres face à sa remarque alors que je viens à passer une main dans mes cheveux blonds. qui n'est clairement pas ma couleur naturelle, je suis plus brun ou châtains. on traverse les couloirs jusqu'à arriver devant la cabine de la fille d'aphrodite elle-même. je passe en premier dans la cabine, elle me suit derrière moi. je me retourne et découvre qu'elle a déjà retiré sa robe mouillée. elle est en sous-vêtement et mes yeux l'analysent bien rapidement. sourire en coin, j'apprécie la vue forcément.. sans faire attention à tout le bazar dans la cabine, j'enlève rapidement mes vêtements pour me mettre nu et la rejoindre dans la douche. velasquez. lui dis-je alors. je la rejoins rapidement sous la douche, me rendant compte du corps parfait qu'elle a. l'eau coule sur mon corps, je me retrouve rapidement mouillé. hey.. murmuré-je alors que ma main attrape le savon. faisant couler le liquide dans la paume de ma main, je viens à passer doucement celle-ci sur le dos de la jeune femme.

Velasquez. Peu français. Hispanique ? Sans gêne, étant donné le moment que vous veniez de passer, tu te débarrassas de tes vêtements pour te glisser sous la douche. L’eau ruisselant sur tes courbes, tu fus rapidement rejoint par ce jeune homme qui avait décidé de t’octroyer un peu plus de son temps. Redécouvrant sa silhouette harmonieuse, tu te retournas légèrement lorsqu’il commença à faire mousser ton dos. Chatouilleuse, tu ne pus t’empêcher de rire et te tordre sous sa main. Quelques secondes plus tard, tu t’armas de ton shampooing et en fis couler sur le sommet de son crâne. Assez petite, tu t’élevas sur la pointe de tes pieds et frottas doucement sa chevelure courte. « Un joli bonhomme en mousse » que tu lui lanças en déposant une larme de shampooing sur le bout de son nez. « À toi, t’as du boulot » Tes fesses face à lui, tu penchas ta tête vers l’arrière et attendis qu’il passe à l’action pour débarrasser ta chevelure du sel de la mer. « Fais gaffe je suis sensible »

rapidement, je viens à la rejoindre sous la douche alors que l'eau commence dors-et-déjà à couler sur notre peau. je prends l'initiative de la savonner, passant mes mains dans son dos pour y passer le savon alors qu'elle se met d'un coup à rire et à se tordre sous mes caresses. et doucement. dis-je en riant alors qu'elle peut se faire mal. ça vient vite à glisser la douche. elle attrape le shampoing, commençant alors à masser mon cuir chevelu. et par la suite, elle dit alors que je ressemble à un bonhomme en mousse. c'est pas une chanson française ? l'interrogé-je en souriant. elle se retourne, ses fesses vers moi et sa tête en arrière. il est si difficile pour moi de ne pas craquer. j'ai déjà envie de la prendre. tout de suite. faisant couler le shampoing sur ses cheveux, mes mains viennent à la masser. t'es sensible de quoi ? dis-je en riant alors que je m'approche un peu plus pour masser ses cheveux. mon visage vient dans son cou, y déposant un baiser.