• T’as littéralement lâché la rampe. Au bout du rouleau, du t’effondres sur le lit et te soulèves quelques fois en rigolant « J’ai pas la force de me foutre à poil » Tu continues de t’esclaffer contre le matelas, ce dernier s’affaissant sous le poids d’Eliott venu te rejoindre. Moment de tendresse écourté par une envie urgente, tu te redresses et youhou, t’entends tout ce qui a de plus dégoûtant au monde. « J’espère que tout va bien, tu t’es pas noyé hein ? » Inquiète, tu te remets sur tes pattes et titubes jusqu’à la salle de bain où tu le retrouves en train de se brosser les dents, belle initiative. Attrapant ta brosse, tu l’imites et souris dans le miroir qui vous reflète. La mousse partout autour de la bouche, tu craches et te débarbouilles dans le lavabo. « Bon, on est prêt pour ronfler je crois » L’attirant avec toi, tu quittes ton ensemble et le rejoins dans le pieu où les draps défaits vous attendent. La nuque soutenue par l’oreiller, tu places ta main sur son coeur et te sers de sa respiration pour tomber dans le sommeil. Au lendemain matin, vous aviez effectivement remis ça et cela avait été parfait, bien qu’un tantinet comique. La soirée avait laissé des traces, mais c’est enchantée et à bout de souffle que tu commenças cette dernière journée de ton séjour si court.
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• T’as littéralement lâché la rampe. Au bout du rouleau, du t’effondres sur le lit et te soulèves quelques fois en rigolant « J’ai pas la force de me foutre à poil » Tu continues de t’esclaffer contre le matelas, ce dernier s’affaissant sous le poids d’Eliott venu te rejoindre. Moment de tendresse écourté par une envie urgente, tu te redresses et youhou, t’entends tout ce qui a de plus dégoûtant au monde. « J’espère que tout va bien, tu t’es pas noyé hein ? » Inquiète, tu te remets sur tes pattes et titubes jusqu’à la salle de bain où tu le retrouves en train de se brosser les dents, belle initiative. Attrapant ta brosse, tu l’imites et souris dans le miroir qui vous reflète. La mousse partout autour de la bouche, tu craches et te débarbouilles dans le lavabo. « Bon, on est prêt pour ronfler je crois » L’attirant avec toi, tu quittes ton ensemble et le rejoins dans le pieu où les draps défaits vous attendent. La nuque soutenue par l’oreiller, tu places ta main sur son coeur et te sers de sa respiration pour tomber dans le sommeil. Au lendemain matin, vous aviez effectivement remis ça et cela avait été parfait, bien qu’un tantinet comique. La soirée avait laissé des traces, mais c’est enchantée et à bout de souffle que tu commenças cette dernière journée de ton séjour si court.
