naissance
14 Février 1999

nom & prénoms
Marius Iversen
nationalité(s)
Américaine

origine(s)
Danoise

orientation sexuelle
Hétéro

statut amoureux
Célibataire

études
En étude d'Histoire, une vraie passion !

bourse
OUI ! Il a reçu une bourse grâce à ses résultats scolaires exceptionnels mais aussi à son statut d'Orphelin dépendant donc de l'État.

statut social
Pauvre. Il n'a jamais eu la moindre famille pour l'aider.

job étudiant
Il est serveur dans un petit café depuis ses 15ans pour se faire un peu d'argent et réussir à subvenir à ses besoin lorsqu'il pourra enfin quitter l'Orphelinat (18ans)

maison
Aucune !

Marius n'a jamais aimé l'administratif. Cela l'ennuie et il n'est pas vraiment doué pour ça. Surtout qu'il n'a personne pour l'y aider, même s'il pouvait demander de l'aide à l'Orphelinat en cas de besoin. Pourtant, c'est avec beaucoup d'assiduité qu'il a remplie son dossier d'admission, prenant son temps pour faire les choses correctement. Il y glissa trois lettres de recommandation de ses professeurs de lycée dans lesquelles ils firent les louanges de ce jeune homme très travailleur. D'ailleurs, ce n'est pas tant son intelligence qu'ils mirent en avant, mais surtout sa détermination à réussir tout ce qu'il entreprenait, lui permettant ainsi d'être parmi les meilleurs élèves de son établissement. Il y glissa aussi une lettre de son employeur au Café, qui salua son professionnalisme et son sérieux au travail. Marius était à ses yeux quelqu'un qui s'investissait pleinement. La dernière lettre qu'il glissa fut celle du directeur de l'Orphelinat. Il ne se sentit pas vraiment légitime en l'y mettant, n'ayant pas envie d'inspirer la pitié. Mais cette lettre permettait de mieux comprendre pour il était qui il était à travers ce qu'il avait subit, faisant de lui quelqu'un qui avait un grand besoin de faire ses preuves.

Le sujet d'écriture de son essai fut très facile à trouver pour lui. D'une logique implacable. Il écrivit donc 19 longues pages sur l'Écologie. L'importance de protéger notre environnement et toutes les espèces animales qui vivaient avec nous, comme nos voisins, sur cette Terre. Dans un plan détaillé et bien construit, Marius avait développé tous les travers de notre société et les conséquences dramatiques que cela avait. Pour lui, il était urgent de trouver un moyen pour devenir plus respectueux de notre environnement pour protéger celle qu'il appelait affectueusement Mère Nature. La seule et unique Mère qu'il avait.

L'entretient fut en revanche ce qui le stressa le plus. Il n'était malheureusement pas très social. Oh pas qu'il n'aimait pas les gens, au contraire. Mais ayant été rejeté toute sa vie à cause de son albinisme, il n'était pas très à l'aise quand il se retrouvait avec des gens. D'autant plus pour un moment aussi important que celui-ci. Mais il fit de son mieux et resta naturel et honnête. Il voulait intégrer Harvard pour devenir l'un des plus grands Historien du monde. Et quoi de mieux que d'être diplômé d'une des université les plus prestigieuses pour y arriver ? De plus, c'était pour lui une manière de prendre sa revanche sur la vie et la société. De montrer que lui, Marius l'Orphelin Albinos, paria et rejeté, deviendrait quelqu'un d'important et de reconnu.      

Au premier regard, Marius est un jeune homme très doux et gentil. Solitaire bien malgré lui, il n'en est pas moins empathique et apprécie la compagnie des gens quand il en a l'opportunité. Il est aussi timide et réservé,  incapable de faire le premier pas pour aborder quelqu'un. Non, il a bien trop peur d'être rejeté, insulté, voir même battu pour ça. Trace du traumatisme laissé par son enfance difficile. Les enfants sont cruels entre eux, il le sait bien, il en a fait les frais. Marius est quelqu'un de calme la plus part du temps, c'est un jeune homme réfléchi et perspicace.

Mais quand on creuse un peu plus, on découvre un jeune homme plein de colère et de rancœur. Il est en colère contre la société pour l'avoir traité ainsi. Si la société et les mentalités avaient été différente, ils n'aurait pas été abandonné, ou, au moins, il aurait été adopté et aurait eu une famille. Cette blessure encore ouverte dans son cœur fait de lui quelqu'un qui a énormément de mal à pardonner les autres, mais aussi dont il est difficile de gagner la confiance. Tel un animal sauvage, il faut l'apprivoiser.

Pourtant, malgré tout ce qu'il a vécu, Marius est rempli d'amour. Cela dit, il n'a personne avec qui le partager. Il aimerait, pourtant. Mais il ne sais pas ce que c'est que d'aimer une personne, pas plus qu'il ne sait ce qu'est l'amour familiale. Il espère qu'un jour, quelqu'un lui apprendra tout ça. C'est aussi un rêveur, Marius. Il rêve souvent d'un monde meilleur, plus égalitaire et tolérant, où les gens pourraient vivre leur vie en pais. Oh i sait bien que ce n'est qu'un Utopie... Mais ses rêves font du bien à son cœur blessé.      

décris ici en quelques anecdotes ton personnages. cette zone peut également servir de substitut à l'histoire, à condition que l'histoire du personnage puisse y être comprise dans son ensemble.
anecdote une Marius est abandonné peu après sa naissance par ses parents dans un Orphelinat. Officiellement, ils ne pouvaient pas assumer cette vie, cette responsabilité. Officieusement, l’albinisme de leur fils était une tare qu’ils ne voulaient pas assumer. Une honte qui les dérangeait. Les regards des gens sur leur passage et les remarques à peine masqués étaient insupportables et ils n'arrivaient pas à vivre avec ça.  Et, quelle serait sa vie à cette enfant ? Et à eux ? Trop dur psychologiquement, ils préféraient l’abandonner, espérant malgré tout qu’il soit adopté par une famille qui assumerait cette particularité.

anecdote deux Différent, il eut beaucoup de mal à se faire des amis dans l'orphelinat où il grandit. Les enfants sont parfois très cruels les uns avec les autres, et Marius le comprit très vite, se forgeant une carapace pour supporter les brimades, moqueries, et autres violences psychologiques qu’il subissait. Les années passaient, les familles défilaient, mais la magie ne se fit jamais. Il vit des enfants se faire adopter, mais lui, il restait un orphelin. Un exclu. Un paria. Il se voyait comme la personne dont personne ne veut. Pas même comme ami. Surtout pas comme fils. Pour enfant, c’étaient des émotions violentes, traumatisante, qui laissèrent des traces au fer rouge dans son cœur et une forte rancœur contre la société.

anecdote trois Ce fut son amour pour la nature, principalement, qui l'aida à supporter le traumatisme psychologique qu'il vivait au quotidien. Passant beaucoup de temps à flâner dans les parcs et autres boisés. Il donnait aussi de son temps à des associations de défense des animaux, devant un jeune homme très engagé. Si engagé qu'il n'hésita pas à plusieurs reprises à en devenir violent et en venir aux mains avec des personnes qui maltraitaient les animaux. Pour lui, c'était un devoir, une mission, de protéger les animaux et la nature. Mère Nature devant sa mère de substitution, la seule qu'il lui restait, il voulait à tout prix la protéger, quoi qu'il lui en coûte.  

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ILH, j'en pense quoi ? Très beau design !!
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