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tant pis pour les avis que les autres avaient à émettre sur vous. tant pis pour ce que les gens pouvaient penser. elle veut plus les entendre, pas y prêter attention. parce que dans le fond, personne ne comprendrait jamais ce qui vous liait. personne ne serait jamais à votre place pour saisir votre complexité. et peut être que ça faisait mal, peut être que parfois c'était trop mais l'amour qu'elle te portait était sûrement la chose la plus sincère de sa vie. tu l'es tout autant parce qu'elle t'avais pas fait que du bien. parce qu'elle avait parfois prit du plaisir à te faire mal, à te rendre la monnaie de ta pièce encore et encore. vous étiez les même, c'était sûrement le pire. idiot souffle quand les lèvres s'approchent, à ne jamais se lasser des échanges répétitifs, à revivre dans chacun des baisers que tu lui octrois. t'es à moi parce que l'inverse était vrai. raison qui l'avait poussé à déraper quand beverly s'était de nouveau retrouvée ici. à perdre le contrôle quand il était impensable après tout ça qu'une autre puisse t'approcher. baiser qu'elle dépose sur ta mâchoire, quitte ton corps, les opales qui dévient sur l'appartement. et c'est le colis toujours scellé qu'elle récupère, le ramène jusqu'à toi. tu peux arrêter d'être con et l'ouvrir maintenant ? parce qu'elle avait vraiment cherché à te faire plaisir. avant même que les choses ne dérapent ou s'accélère entre vous. sourire en coin quand c'est les prunelles brillantes qu'elle pose sur toi, à s'agenouiller devant le canapé sans te quitter des yeux.

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et c'est dit aussi simplement, après des années douloureuses où tu parvenais pas à exprimer ce qui grondait au fond de toi, comme le plus grand malheur du monde que tu ne voulais pas révéler. à croire que c'était mieux ainsi, qu'elle ne pouvait pas voir en toi autre chose que son bourreau et l'imbécile qui prenait trop de plaisir et de passion à l'opprimer. gamins terribles. pourtant tu te fais pas d'illusion, les confessions susurrées contre les lèvres, à sembler ne pas pouvoir y mettre fin, t'es conscient que la bataille a été gagnée mais pas la guerre. t'es qu'un idiot oui, idiot de l'aimer à en crever et à continuer cette parade pour tromper. ça sonne comme une menace quand c'est toi qui le dit. tu sais que vous êtes redoutables, qu'il n'y aura pas la question d'épargner une seule seconde, aussi bien bien toi qu'elle. que à partir de maintenant tout ne ferait que plus rage, les regards qui traînent ailleurs, les doigts qui se risquent à frôler une autre peau ou même les messages échangés. moindre écart qui servira d'excuse pour rallumer le brasier et le faire valoir, parce que vous êtes l'un à l'autre, il n'y aura pas de place pour le partage. souffle bruyant quand elle se retire, ramène le carton que t'évites depuis des jours sans t'en soucier. tu pars toujours au pire moment, tu fais chier. à trop la vouloir, la désirer plus que de raison quand t'avais passé des années à ravaler tes fantasmes. dos de la main qui essuie ton front encore humide, les vêtements qui collent trop au corps quand t'avais pas pensé tomber sur elle et t'enfuir sous la douche pour t'aider à reprendre pied. position assise au bord du canapé, ouvres avec lassitude le carton quand tu guettes ses réactions, car tu sais qu'elle en fait tout autant. tu mentais pas ? surprise sur le visage à effleurer la boite de la console. mouvement de recule et d'incompréhension. en quel honneur en fait ? y'a rien qui justifie le cadeau, encore moins un de cette envergure là. bras qui se tend pour saisir la taille et la ramener vers toi. et si j'te remerciais maintenant et après on joue ? t'as clairement le sens des priorités.

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mh, peut être que ça en est une pour toutes celles qui auraient la bêtise de t'approcher. de croire qu'elles pourraient tenter de t'avoir. parce qu'il était hors de question qu'elle laisse ça arriver. à vouloir te garder pour l'éternité. arrête de te plaindre un peu roule des yeux quand tout ce qu'elle veut c'est que tu l'ouvres. regarde avec insistance quand elle sait que tu fais de même, sourire qui ne quitte plus ses lippes quand tu découvres enfin l'intérieur. t'es incroyable et toujours aussi avare des remerciements sans le moindre doute. mais elle se contente de rire, hausse les épaules. contrairement à ce que tu penses, mon passe temps préféré n'est pas de t'emmerder quoi que ça dépendait particulièrement de ses humeurs à vrai dire. sourire qui s'agrandit, décale une mèche brune derrière son oreille, lèvre inférieure qu'elle mordille. me remercier comment ? souffle amusé, à reprendre place sur tes genoux, les bassins qui se collent instinctivement. frôle tes lèvres, à s'enivrer de tes souffles. viens avec moi souffle contre sa bouche, quitte le canapé, ses doigts qui glissent dans les tiens pour t'entraîner avec elle, salle de bain en objectif. pousse la porte, toi qu'elle attire contre elle, les doigts qui accrochent ton tee shirt, tire vers le haut pour le retirer, les doigts qui glissent sur ta peau. trop d'années passées à se désirer en silence, à laisser les autres avoir à leur place quand c'était la fierté qui les empêchaient sûrement de se dire la vérité.

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c'est ta façon de montrer que ça te touche, à pas directement succomber sous le coup de l'émotion. non, c'est du grand ryung que tu lui sers à être détaché, feinter le désintérêt quand pourtant t'es touché, ouais vraiment. j'aurais pas dit, parce que tu passes quand même ton temps à m'casser les couilles. tu le jures, c'est dit avec affection et même si ça sonne faux, y'a toujours la tendresse dans les gestes pour rattraper. à l'enserrer pour qu'elle se rapproche, les yeux qui se lèvent au plafond pour réponse. t'as pas grand chose à lui offrir dans la vie qu'elle n'a pas déjà, et la réponse semble juste couler de source. sous tension constante, quand ce n'était pas les affrontements immatures, c'était les corps au combat. cadeau qui passe rapidement au second plan, te laisses guider dans la salle de bain, l'enchaînement rapide à être privé du tee shirt. t'es clairement en train de me dire que je pue, c'est ça max ? moquerie lancée quand les lippes s'accrochent à la mâchoire. tellement romantique. tellement vous, à ne pas jouer selon les mêmes règles que les autres, les inverser pour vous les approprier. réflexe de masquer la peau du cou où trône encore la morsure empoisonnée de la vermine. et comme pour l'anéantir tu diriges ses lèvres au même endroit, réfuter qu'un jour c'est une autre qui avait eu la même passion pour toi. parce qu'elles comptent plus les autres, elles ont juste été des instruments pour la blesser et aussi occuper tes nuits solitaires quand tu la croyais inaccessible. les rencontres éphémères à s'unir avec des visages flous, à noyer ton chagrin dans les cocktails en sachant qu'elle faisait la même chose, tentatives que te déjouais dès que ten avais l'opportunité.

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et maintenant ? question qui résonne quand elle sait que ce sera probablement compliqué. que rien ne serait jamais réellement tranquille, certainement pas dans les débuts de cette relation. et pourtant, elle était prête à tout endurer. à se battre contre les avis de ceux qui ne voyaient pas ça fonctionner. parce que c'était elle et toi. ça avait toujours été comme ça. c'est pas ce que j'ai dit sourire fin qui étire les lippes, baisers qu'elle dépose sur ta peau en continue, marque rouge de l'autre démon toujours visible. et ça l'agace max, qu'elle ait encore eu accès à toi, qu'elle ait eu le loisir de te toucher tant de fois. ses lippes qui prennent place au même endroit, mordille la peau avec insistance, remplace par sa propre marque. les doigts qui se serre autour de tes hanches, poupée plus pressante quand les envies la submergent, à être sûrement trop attirée par toi, à enfin pouvoir avoir le loisir de t'avoir jour après jour. j'ai.. envie de toi à murmurer au creux de ton oreille, recule d'un pas, les doigts qui viennent déboutonner doucement les boutons de son chemisier, les opales fixées sur toi.

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y'avait rien de comparable, pas même le bonnet d de beverly ou sa lingerie de chez fenty. c'est max tout entière qui te fait vibrer, aussi bien dans ses robes de soirées où les yeux se braquent sur elle, que le dimanche pluvieux sous un plaid à se plaindre que t'as pas baisser l'abattant des toilettes chez elle. mais ce qui t'avais toujours pris de court c'était comment elle te fixait lorsque tes lèvres s'accrochaient à d'autres que les siennes. passe-temps frivole où tu te plaisais à imaginer que ça provoquait quelque chose chez elle, l'éveil de secrets enfouis qui disparaissait lorsqu'elle faisait la même chose. et tu voyais flou, à te laisser emporter par la rage et tout oublier. expiation des péchés passés, une demande de pardon silencieuse, aucun mot ne pourrait être à la hauteur des excuses que tu lui dois, les années à lui en avoir fait baver pour la provoquer avec la première cruche vide à porté de main. mais c'est révolu, tu l'espères, parce qu'elles valent rien du tout comparé à elle. élan pour heurter vos bouches ensemble quand les mains t'agrippent, avant de te relâcher. demande qui provoque la fièvre, et ce regard. tu traînes trop. trop quand vous aviez une abstinence aussi longue à oublier, effacer de vos souvenirs ceux et celles qu'il y avait eu avant. elle y tient à ce chemisier, comme au reste d'ailleurs, alors y a de la précipitation dans tes gestes, mais une infime délicatesse à pas vouloir bousculer, tout ça traduit par l'impatience. chemise qui rejoint le sol quand la peau découverte est le champ de bataille d'une multitude de baisers toujours plus envieux. maintenir la taille fermement pour te laisser le loisir de dessiner les courbes du bout des lippes, souffle tiède sur la peau frissonnante. l'échange des rôles à la libérer de la ceinture qui entrave les hanches, laisser le pantalon glisser sur le carrelage. je t'aime. et c'est redit avec plus d'assurance, la sincérité entrecoupée par les baisers qui attaquent les clavicules.

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et c'est brut d'une certaine façon, les impatiences qui sont traduit dans la précipitation des gestes, le coeur prêt à imploser à chaque respiration qui s'abt sur son épiderme. les difficultés encore à réaliser ce qui était en train de se produire. sûrement parce que ça n'avait été que de l'ordre de fantasme pendant des années. à t'observer avec les autres, sentir la rage toujours plus puissant naître en elle quand elle avait envie de toutes les faire disparaître plutôt que supporter l'image où t'étais à elles. possessivité exacerbée avec le temps, à faire naître des revanches pour blesser au même point que ce qu'elle pouvait avoir mal. combler le vide avec d'autres âmes quand dans la finalité, elles n'avaient jamais été à ta hauteur. les frissons qui parcourent l'échine, les tissus qui rejoignent le sol bien trop vite, les envies palpables dans les prunelles quand ses doigts glissent sur ton jogging, lui réserve le même sort que le reste. baisers brûlants, baisers passion, pulpe des doigts qui s'accrochent à toi, corps à corps qui devient un besoin quand tu l’enivres d'un regard. et les mots qui font battre le coeur toujours plus vide, sincérité des sentiments qui se dévoilent enfin. je t'aime aussi souffle quand les obstacles sont tous au sol, à trouver soudainement si naturel le tableau de vous deux. s'écarter de toi pour allumer l'eau, t'attirer sous le jet quand vos lippes reviennent à l'assaut, à se nourrir de ces instants où plus rien n'importe hormis vous deux.

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tu serais pas sincère si tu disais que tu l'avais jamais imaginé à leur place, te focaliser sur les corps bien davantage que les visages toujours trop sophistiqués. parfois ne pas supporter les voix, à t'interpeller par ton prénom quand tu n'avais en tête que le sien. et l'après sur le balcon à fumer en surveillant la lumière chez elle, voir des silhouettes s'y promener en pensant que ça devrait être toi à leur place, ou alors elle à la leur. et ça n'a plus la moindre importance quand c'est bien maxine qui accapare tout ton univers, à ne graviter qu'autour d'elle. planète et son satellite qui se meuvent ensemble quand l'eau autrefois utilisée comme arme pour la dissuader de te ravager, devenait le voile d'une toute autre scène. buée sur les vitres quand les souffles sont trop préoccupées à se communiquer mutuellement. répétition de la nuit dans l'empire minwards pour la première découverte, à apprendre comment vous apprivoiser quand la connaissance de l'autre était incomplète. jamais vous n'aviez passer cette étape, la tension qui n'avait fait qu'empirer depuis qu'elle avait refusé d'aller au bout de votre jeu. et t'y es déjà accro, à la cambrure du dos quand tes mains se placer au creux pour la ramener encore plus vers toi. les formes que t'avaient déjà eu le loisir d'observer quand elle banalisait de vous changer ensemble, à ne pas prêter attention aux regards pourtant parfois trop insistants malgré toi, trouver une quelconque excuse pour la dénigrer si elle venait à te surprendre. mais t'as tout le loisir de le faire maintenant ryung, saisir les arabesques des hanches quand tu délaisses les pulpeuses pour descendre le long de la gorge où perlent les gouttes d'eau. et vu comme ça, ça semble étrangement naturel, guidé par les envies endormies jusque là, celles qui ne faisaient que de se manifester sauvagement depuis que c'était devenu réalisable.

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t'y crois à l'éternité ? parce qu'elle ne la voit qu'avec toi. tout qui parait fade et sans saveur depuis qu'elle a pu te goûter toi. c'est presque déconcertant, facilité avec laquelle elle t'apprivoises, sensation que c'était écrit depuis le début. d'une logique imparable quand chaque baiser créé des réactions, les soupirs qui s'échouent contre ta peau, milliers de désirs qui germent dans l'esprit. le besoin d'assouvir tout ce qui avait été manqué pendant toutes ces années, à avoir préféré faire naître le pire chez l'autre plutôt que s'abandonner à une vérité imparable. ferme les yeux, l'esprit qui divague, emmêle les doigts dans les mèches brunes quand la respiration s'affole. mécanique du coeur parfois impossible à comprendre quand il n'a toujours battu que pour toi. c'est idiot tu vois. de s'être battus autant contre l'autre pour en arriver à ce point là. d'avoir autant semé la pagaille pour en être à ce point. c'est son coeur que tu remet en place à être présent à ses côtés, à enfin accepter d'être avec elle plutôt que faire naitre les larmes dans ses yeux. se hisser doucement,  atteint difficilement tes lèvres, à murmurer les mots d'amour quand ça semble désormais si facile. l'eau qui s'écoule, ruisselle sur les peaux en émois, caresse la peau en répétition, les mains à la découverte de tout ce qui te compose. et ça la rend dingue, fait naître les tensions quand tu représente tout ce qu'elle désire. et t'as raison, peut être qu'elle est maso, étrange sur trop de point mais elle revit dans ces instants, les corps à corps qui deviennent une nécessité.

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les plaintes récurrentes du voisinage pour les cris, hurlements aux consonances d'insultes qui explosaient à toute heure du jour et de la nuit. n'épargner personne, se déchirer comme si vous étiez seuls sur une île déserte en accusant l'autre de vous avoir mener à votre perte. et c'était aussi bien pour du légitime que les pires gamineries, à qui trouver le meilleur prétexte pour élever la voix sur l'autre et ainsi rappeler que la paix n'était jamais de mise. et à présent ? ça sonne d'une autre manière, quand les soupirs sont atténués par la peau contre laquelle ils glissent. joutes de mots qui sont remplacées par la dispute langoureuse quand les baisers s'approfondissent, preuves que de la haine à l'amour il n'y a qu'un pas. la voracité qui contrôle l'être tout entier, retenir l'empressement quand tu sais qu'à présent tout t'est accessible, que t'aurais plus à rêver la chaleur qui émane d'elle lors de tes veillées solitaires. conquête des courbes de la pulpe des doigts à décrire des cercles sur le ventre avant de t'enhardir à faire dégringoler les caresses, pulpeuses en renfort qui couvrent la poitrine. p u l s i o n s depuis l'adolescence quand t'étais rentré sans toquer dans sa chambre, à seulement avoir aperçu la longueur des jambes et les épaules dénudées quand elle sortait de la douche, serviette qui avait caché l'essentiel sur lequel t'avais seulement spéculé avant de pouvoir avoir mal au coeur à la voir réellement. respiration courte accentué par l'état d'ivresse, vapeur des souffles qui s'ajoutent à la brume ambiante. baiser déposé sur le sternum quand le torse se soulève avant de coincer les joues entre les doigts de la main libre, les lèvres qui viennent chatouiller le lobe. j'te veux max, j'te veux tellement. et ça sort rauque, comme si d'une seconde à l'autre tu pouvais perdre raison, le corps malmené par les désirs que t'avais voulu faire taire quand ils te réclamaient seulement la vérité.

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