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elle a même pas envie de te parler, d'écouter quoi que ce soit. les faits qui sont assez convaincants pour ne pas avoir besoin de poser le moindre mot dessus. et puis merde à la fin, qu'est-ce qu'elle avait cru ? lève les yeux au ciel, la main qui se tend vers l'avant, menace silencieuse de lui rendre son téléphone. oh ? t'as pourtant l'air de les apprécier les imbéciles ! parce que quand tu te tapes des pots vides comme beverly, t'as pas spécialement ton mot à dire. et faudrait sincèrement que tu perdes cette manie de la trimballer partout comme si elle était un sac à main, à l'empêcher de s'en aller pour l'entrainer vers la salle de bain. mais putain lâche moi ! t'avais demandé quoi ? qu'elle se calme ? elle avait juste récupérée son téléphone, pas d'insulte, rien. menteur. douche froide dans tous les sens du terme, trace de mascara sur les joues. l'avantage étant sûrement de pouvoir pleurer sans être interceptée. t'as fini ? piteux état qu'elle représente, cheville en morceaux, les traces de griffure sur les bras et complètement trempée en conclusion. si t'étais rentré chez moi et que y'avait un mec à moitié nu sur mon canapé. que j'étais à moitié nue aussi avec des putain de suçon dans le cou, t'aurais été pire que moi. j'suis pas idiote et toi t'es un fucking hypocrite. à lui reprocher ses réactions, à vouloir contenir une colère qui était plus que légitime.

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elle peut parler tant qu'elle veut, la facture d'eau c'est qu'un détail et si tu dois vider toute la réserve de la résidence pour qu'elle se taise, tu le feras sans problème. t'aurais juste du prendre le temps de te mettre à l'abri ou enlever les premières couches. comme quoi tu peux pas vivre une journée sans finir avec de l'alcool sur toi ou les vêtements mouillés. toi, t'as fini ? et tu brandis ton arme pour montrer que tu peux y retourner d'une seconde à l'autre, ça sera une guerre des nerfs que t'es prêt à mener. roules des yeux à t'en donner le tourni, main instinctivement qui se porte au cou pour passer les doigts sur la marque. déjà j'étais complètement à poil, j'avais juste cette serviette pour garder ma dignité quand t'as débarqué. franchement, le cul à l'air entre beverly et maxine, ç'aurait pu être un fantasme avant, mais ça sonnait plus comme une mission suicide maintenant. et c'est qu'un seul suçon, j'ai vérifié, j'ai même voulu l'enlever, mais t'es bien placée pour savoir qu'on peut rien y faire. t'avais bien lu des recettes de grands-mères avec un glaçon à placer là, mais t'avais eu ni le courage, ni le temps de tester l'astuce. tu te relèves en reposant le pommeau à sa place, les mains qui s'aggripent au meuble du lavabo pour ne pas plus glisser, pulpe qui attrape la serviette propre qui attend sur le séchoir avant de revenir et de la poser sur sa tête. je lui ai dit de récupérer ses affaires, elle est venue et elle a essayé, mais j'ai refusé. tu déplis le linge pour commencer à frotter les cheveux mouillés, t'auras rien pour enlever les marques de panda sur son visage, et c'est hors de question de le faire avec ta serviette blanche brodée à ton nom. j'suis parti me préparer, et tu connais la suite. t'avais sûrement été con de croire qu'elle allait vraiment se plier à ta demande et partir sans demander son reste, mais tu t'attendais pas à la retrouver en mode play boy dans ton salon. tu peux te lever ? on va désinfecter ça, puis trouver un bandage pour ta jambe. on sait pas où elle a trainé la b avec ses griffes, vaut mieux passer les plaies à l'alcool à brûler.

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parce qu'elle avait tous les droits du monde d'être en colère, de s'emporter. non ? elle en sait rien. l'esprit qui part en vrille, à plus savoir se contenir dès que ça touchait à toi. et peut être que c'était de ta faute, à prendre trop de place, à l'empêcher de réfléchir correctement. et elle serre les dents la gosse, tu commences mal ryung. la ferme ! pourquoi tu fais ça ? à ajouter de l'huile sur le feu quand elle a perdu patience il y a bien longtemps. et c'est la main qui te pousse, t'empêche de continuer ton manège où tu prenais soudainement soin d'elle. ça va, j'peux le faire toute seule. quand la tâche de se relever est pourtant difficile avec un pied en piteux état. reste au sol, les doigts qui viennent défaire les lacets des baskets, retire doucement la chaussure pour observer les dégâts. contours oscillants entre le violet et le bleu, violence du choc à l’atterrissage sûrement. change de position, à user de la force de ses bras pour se redresser sans être en appui sur la jambe, inspire profondément pour canaliser la douleur. et tant pis pour l'image qu'elle allait offrir à devoir traverser dans cet état, avance précautionneusement jusqu'à la sortie, téléphone qui devient le dernier de ses soucis. je te transfèrerais le mail, t'iras chercher ton colis tout seul parce que c'était pour ça qu'elle t'entrainais dehors de base. allez récupérer un fucking colis pour toi quand ça faisait des mois qu'elle avait commandé. à connaître par coeur tes passes temps et tes envies, ps5 en rupture partout et les attentes interminables pour en recevoir une. trop bonne trop conne. et elle est morose maxine, un peu amère.

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vous avez rien perdu de votre charme avec les insultes qui remplacent les déclarations baveuses quand le soleil se cache. pas de doute, ça changera jamais. elle est aussi capricieuse que toi, à te trouver tous els défauts du monde quand elle était tellement similaire, seulement t'avais le don de parvenir à tout t'approprier, alors max il lui reste plus grand chose pour elle. mais vous êtes les mêmes. pour ça que ça passe ou ça casse, et t'oserais pas te prononcer encore, y'a trop de paramètres à prendre en compte pour savoir si vous aviez véritablement une chance de survivre aux aléas de vos tempéraments. gamine puérile. tu marmonnes en lui balançant la serviette au visage, tant pis pour elle, elle sera moche et mouillée en plus, de quoi bien s'attirer la sympathie d'alex qui doit faire les cents par dans son salon pour trouver le courage de t'affronter. m'en bat les couilles de ton colis, ça pue la merde j'suis sûr. et c'est quoi ? un coussin avec une photo de vous deux ? ou alors carrément un montage avec vos meilleurs moments passés ensemble ? tu veux pas de ça chez toi, t'as pas envie qu'elle commence à plus s'introduire quand votre histoire part déjà mal. elle est toujours d'actualité d'ailleurs ? tu peux en douter maintenant. pas un pardon, pas un seul "pauvre ryung ça a du être horrible". car ça l'a été, de sentir de nouveau les pulpeuses gonflées par des piqûres quand t'étais enivré aux lèvres douces de max. tu te lèves, admires le spectacle ridicule qu'elle t'offre, bête blessée autant dans l'orgueil que dans la cheville. et tu t'écartes pour lui laisser le passage de libre, à presque chronométrer le temps qu'elle mettra à seulement trouver son équilibre. tu m'emmerdes. l'agacement qui se manifeste quand tu tournes le dos, viens t'accroupir devant elle en fixant le sol avec la bouche qui se pince. arrêtes ton cinéma et grimpes que j'te porte au lit, c'est chiant là. t'as pas envie d'y passer la nuit non plus et l'offre expire dans approximativement vingt-cinq secondes maintenant.  

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va te faire foutre ok ? parce que t'es chiant. parce que tu sais même pas ce que ça pouvait être. t'es juste trop à même de critiquer sans chercher à savoir quoi que ça. gamin pourri gâté à tout prendre pour acquis et dénigrer sans arrêt. toi aussi tu m'emmerdes clairement. à constamment mal parler plutôt que la rassurer. mais c'est plus simple pas vrai ? de toujours te comporter comme le dernier des abrutis. les bras qu'elle passe pourtant autour de toi, résolue à l'idée de pas être capable d'avancer par elle même sur ce coup. quitte le sol à nouveau, les opales bien à la hauteur des marques violacées que t'avais laissé l'autre écervelée. ça me dégoûte pose le doigt dessus comme si ça allait disparaître quand elle savait pourtant qu'elle allait devoir le supporter pendant des jours avant que les traces n'appartiennent plus qu'au passé. tu comprends même pas que j'ai eu peur de te perdre à ronchonner contre toi quand c'était pourtant évident. réagir de la sorte quand l'autre était une menace, quand elle avait pas supporté la voir se pavaner comme si t'étais sa propriété. et mon colis c'est pas de la merde, t'es vraiment un enfoiré à toujours te comporter comme ça. elle saurait même pas dire pourquoi t'étais celui désagréable quand t'étais pas en position de l'être. gamine trempée que tu poses sur le lit, s'empresse de retirer ses vêtements pour faire le moins de dégâts possible, cherche des yeux un truc à enflier. donne moi un tee shirt ou j'sais pas puis un sous vêtement aussi quand t'avais tout ruiné avec ta douche improvisé. regarde ce qu'elle m'a fait traces rougeâtres sur les avant bras, chienne enragée.

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c'est poétique, tu m'emmerdes is the new je t'aime. incapables d'agir comme le ferait une personne normalement constituée, c'est votre façon à vous de veiller l'un sur l'autre, vous supportez en dépit des insultes qui sont faciles à sortir. fraicheur des doigts qui se plaquent contre la zone déjà abimée quand elle s'accroche à toi comme un signe à son cocotier. aïe max vires tes mains, elle m'a mordu c'est sensible là. à t'en coller aussi bien des frissons de dégoût que t'électriser quand elle te touche de nouveau. ton fardeau sur le dos, référence aux soirées étudiantes où vous finissiez pas être en équipe, tu te l'es tapé dans tous les sens du terme maintenant. me perdre de quoi ? j'suis là, t'es là, personne est perdu, y'a que mon tee shirt qui a disparu dans la nature. t'aimerais bien savoir comment elle a fait pour s'en sortir avec la moitié du fessier qui ressort, t'espères juste pas la revoir venir pour quémander ce qu'elle a laissé derrière elle. tu la déposes sur le matelas, vêtements qui volent, tu passes ton temps à récupérer les affaires des autres, elles en auront jamais marre de t'ensevelir sous les culottes et les skinny jeans. j'te propose pas ce qu'elle a oubliée ? elle est tendue celle-ci ryung, tu t'écartes immédiatement pour faire un tas de ce qu'elle a enlevé, mains qui viennent farfouiller dans le tiroir de ta commode pour en ressortir son vieux pyjamas avec le tanga qui va avec, pour quand max la menace était plutôt max la soulasse qui arrive plus à rentrer chez elle après deux verres. fais voir. tu t'agenouilles en déposant ce qu'elle avait réclamé à côté d'elle. pulpe qui se pose délicatement sur les avants-bras pour les approcher de ton visage. mon pauvre bébé coeur d'amour, elle est vilaine. la comédie dans la voix à faire les yeux de caliméro, déposer des baisers rapides sur les plaies avant d'y frotter ta joue. max mon chou, ça va aller, je vais désinfecter tout ça, mais tu dois être courage ça va faire pique-pique sur les bobos, ok ? et tu fuis ryung, libères les bras avant de t'éclipser dans la salle de bain pour trouver le spray.  

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pourquoi tu t'amuses de tout ? à jamais rien prendre au sérieux. ses peurs qui deviennent un moyen de rire, l'agace toujours plus. à croire que tu fais exprès, te nourrir de ses colères pour ensuite les lui reprocher. l'amertume qui prend encore plus de place quand elle souffle à répétition, les opales assassinent quand t'oses. ça te fait rire ? ça sonne sec, tranchant. parce que tu vas trop loin quand sa patience a déjà été mise à rude épreuve. sale con marmonne entre ses dents avant que les vêtements ne soient posés à côté d'elle, les bras qu'elle tend vers toi quand tu daignes y montrer un peu d'intérêt. pour une courte durée. mais ? tire sur ses bras quand tu fuis, chance incroyable qu'elle ne soit pas en mesure de te poursuivre. et tu dépasses les limites ryung, tu le fais tout le temps. les doigts qui s'emparent du pyjama, à enfin enfiler quelque chose de sec, soulagement que ce soit une tenue d'hiver après la douche glacée qu'elle venait de subir. et elle ferme les yeux, se laisse tomber en arrière sur le matelas, soupir du fond du coeur quand t'as le don de tout rendre compliqué. c'était pas réellement ce qu'elle avait en tête au commencement de la journée, c'était pas censée dériver comme ça. ton parfum qui revient embaumer la pièce, se tourne davantage pour ne pas te regarder. j't'aime plus la voix boudeuse qui s'élève, continue à râler encore et toujours. ses mains qu'elle coince sous sa tête, oreiller de substitution. t'es le pire dans toutes les actions que t'avais pu avoir aujourd'hui. à continuer encore à la provoquer comme si c'était pas grand chose. du grand ryung, comme toujours.

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t'es bien là, protégé dans ta forteresse où tu sais qu'elle pourra pas t'atteindre même en balançant de toutes ses forces un oreiller, ou quelque chose de contendant. fermes le placard après avoir récupéré le désinfectant et le bandage, tu devrais savoir gérer vu ce que tu t'es déjà pris parfois pendant les matchs de lacross, c'est qu'une formalité. ça m'fera des vacances. t'hausses les épaules en t'avançant vers elle, une gosse dans le pyjamas rembourré aux motifs hello kitty. il est vraiment hideux ce truc, t'as genre autant de sex appeal qu'une limace cramée au soleil. ta spécialité pour qu'elle se sente bien, toujours la valoriser et la couvrir de compliment à la hauteur de sa beauté. tu prends place au bord de lit, la pousse pour la forcer à te faire une place quand tu pourrais tout simplement t'assoir ailleurs, mais non, c'est là que t'as envie de te poser. allez, passes tes blessures de guerre. obligé de la tirer comme un sac de pommes de terre pour qu'elle revienne ici. t'actionnes la pompe pour pulvériser l'eau bénite, ouais c'est ce qu'il faut quand beverly vous griffe, pas moins. c'est pas joli, les ongles en acrylique qu'elle va se faire faire toutes les semaines pour que ça soit assorti à sa tenue du moment, même son sac à main. la seule qualité que tu leur trouvais, c'est que ça gratte tellement bien la tête et le dos, à en avoir des frissons à l'infini. t'es vaccinée contre la rage ou pas ? simple précaution. un petit rappel ça serait pas mal non plus, elle est connue pour trainer un peu partout la b, même si le plus souvent c'était avec toi, tu sais que les toilettes du drink ont bonne réputation avec elle. tu t'avances, précautions pour saisir la cheville, et même toi tu grimaces juste en l'observant de là. c'est vraiment pas beau max, t'aurais pu t'faire pire, mais là t'as été trop loin. ou trop bas, au choix. tu poses la gaze sur le côte pour te relever, t'avais oublié le plus important avec l'anti inflammatoire en crème. ça va être gelé, j'te préviens. tu décapsules avant d'étaler le produit, même toi ça te refroidis les doigts en dix secondes à peine, mais ça évitera que ça gonfle plus. bande qui va par dessus et tu l'enroules jusqu'à parvenir à la nouer. c'est bon, t'es un quart de momie maintenant. tu viens t'échouer à côté d'elle, plafond pour seul spectacle, non tu lui souriras pas, t'as pas du tout envie.

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t'enchaînes encore et encore. la méchanceté, les commentaires disgracieux. t'en as jamais assez, tu t'arrêtes jamais. à croire que lui faire mal était ton objectif de la journée. compter combien d'insultes t'arriverais à lui jeter au visage. combien de fois tu serais capable de la piquer. toujours le même, à pas te soucier des conséquences, à pas avoir peur de grand chose quand tu sais qu'elle revient toujours. et elle l'écoute plus, le regard dans le vide quand elle voudrait une bonne fois pour toute sortir ce qu'elle avait sur le coeur. pourtant elle sait. elle sait que quand elle le fera, tu trouveras un moyen de la ridiculiser, de lui faire regretter. à te foutre encore et toujours de tout quand ça te concerne pas toi. le produit qui pique les plaies encore fraîche et pourtant elle dit rien. poupée désarticulée qui se laisse toucher sans réaction, à juste attendre que t'ai finis de jouer comme bien souvent. détourne les yeux quand tu t'attaques à sa cheville, le froid désagréable, le manque de douceur aussi quand t'enroules la bande autour de son pieds. puis le silence. celui qui s'installe, celui qui est pesant. personne pour venir le rompre et elle qui abandonne. fatiguée sûrement. brune qui se redresse difficilement, grimace à chaque pas quand elle tente pourtant de s'appuyer le moins possible. son téléphone qu'elle récupère, peste quand l'écran est amoché. ta faute encore. et elle ouvre la porte d'entrée, y découvre alex le poing en l'air. qu'est-ce qu'il t'a fait ? et sûrement qu'à voir, les doutes étaient permit. rien. il a rien fait. parce que tu fais jamais rien, pas vrai ? pousse toi là, j'veux partir s'agace quand il n'a rien fait. voisin oppressant à toujours vouloir s'accorder ses faveurs. les bras qu'il passe sous ses jambes pour la soulever, pseudo chevalier qui veut la ramener. non, non. pose moi de suite alex ! et putain, qu'est-ce que vous aviez tous à la balader comme une poupée ?

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ça annonce pas du bon quand elle répond pas, pourtant tu tends des perches, ton humour aussi piquant que le désinfectant pour lui soutirer une réaction, n'importe quoi. qu'elle t'énumère toutes les insultes qu'elle t'associe, récapitulatif des espèces d'oiseaux que t'es, mais au moins entendre sa voix. chaleur qui quitte ton corps quand elle se lève, juste le regard qui la suit quand tu penses qu'elle va sûrement chercher de l'eau, son paquet, n'importe quoi avant de revenir. et t'aimerais pouvoir agir autrement, lui dire que t'avais pensé qu'à elle depuis, que la marque sur ton cou avait une saveur amère pour laquelle t'avais pas été consentant. aussi que tu l'aimes cet affreux pyjamas, qu'il te donne envie de lui enlever pour plus le voir, mais pour autre chose aussi. non. porte d'entrée qui s'ouvre et ça éveille ton attention, te relever brusquement quand l'autre voix résonne dans le couloir, ou plutôt juste devant chez toi. t'as à peine le temps d'arriver sur le lieu du crime que tu vois juste le dos d'alex et son visage qui supplie qu'on la lâche entrer dans l'ascenseur. il déconne là ? tu t'élances, les paumes qui se heurtent aux portes métalliques qui se referment sans que tu puisses rien y faire. putain ! et c'est parti pour te taper l'étage à monter plus rapidement que la machine. c'est même pas par deux que t'escalades les marches, mais tu les sautes comme si ta vie en dépendait, t'as pas d'autre choix que d'y arriver avant eux. et le voyant rouge qui s'allume à l'instant même où t'es devant l'ouverture. lâches. la. immédiatement. coeur qui bat des records de battements à la minute. mais il réagit pas l'autre, poing qui frappe l'armature de l'ascenseur qui résonne dans tout l'étage. t'es sourd ou quoi alex ? j'te casse la gueule si tu la laisses pas tout de suite, j'le jure ! mais il sait que t'es foutu, t'oseras jamais foncer dans le tas tant qu'il la tient. alors tu fais comment maintenant ryung. tu bloques les portes qui veulent se refermer, les yeux qui se baissent sur elle. max, frappes le. si seulement elle pouvait y mettre autant de rage qu'avec la beverly, ça t'arrangerait

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