because i don’t want you to go
w/ @Maxine Edwards
~~~~

tu sors des conneries grosses comme ton égo, mais t’aurais véritablement assumer de t’éloigner là ? et là il est pas question de seulement moins se voir, mais de mettre un terme à tout ce que vous aviez vécu ensemble jusque là. nier l’existence même de votre relation, la renvoyer à l’état de souvenir obsolète. t’aurais pu ryung ? regardes la dans les yeux et oses lui dire que t’en serais capable. les mots qui sont cinglants. tu l’aimes. pourtant tu l’as jamais dit, t’as même pas acquiescer toutes les fois où elle te l’a balancé en pleine face. car ils sont lourds de sens, ils écrasent au point de te faire suffoquer. t’aimes pas ryung, c’est juste utile de le faire croire aux autres, ça t’aide à parvenir à tes fins, à obtenir ce que tu veux sans faire le moindre effort. tu te détournes, veut fuir quand pourtant elle te bloque, t’obliges à ne pas t’effacer cette fois-ci. ça recommence inlassablement, à vouloir contrer ce qu’elle te prouve, comme si tu voulais lui maintenir que le soleil ne brillait pas, même la nuit quand personne le voit. je sais pas si j'peux t'offrir ce que tu veux ... t'es pas un casanier à rester dans ton lit quand tu peux être dans celui d'une autre, à ne jamais trop t'attarder au même endroit, ne redevenir qu'une ombre qui s'éclipse des draps pour n'y laisser qu'un parfum qui s'épuisera les nuits suivantes. j'veux pas perdre ma liberté max, je l'aime trop pour ça. et là tu fais l'affront de l'utiliser ce mot, aimer, mais encore une fois pour le faire égoïstement. les yeux qui parviennent pas à soutenir les siens, à redescendre inlassablement jusqu'à la bouche humidifiée par la peine. toi tu crois que ça peut le faire, mais qu'est-ce j'en sais moi ? tu devrais accepter de renoncer à tout ce que t'as connu jusque là, mettre un terme à ces deux décennies d'immaturité réfléchie, être le maître de tes envies et y répondre quand bon te sembler. t'as envie ... non, t'as besoin de stabilité, d'un truc vrai. mais j'suis pas comme ça, c'est pas moi, et t'en as conscience. le pire, elle te l'a toujours dit. pourtant t'as beau lui dire les horreurs que t'as dans le coeur, tu la lâches pas, visage qui s'abaisse pour que le front s'appuie sur son épaule, t'es foutu ryung, pourri.

credits img/gif: pinterest
code by lumos s.

because i don’t want you to go
w/ @Ryung Minki
~~~~

si t'arrêtais de trouver toutes les excuses du monde pour contrer ce qui était réel ça pourrait marcher. mais t'es borné, toxique. tu préfères tout détruire autour d'elle mais te préserver toi. et t'es un putain d'égoïsme ryung. tu sais même pas ce que je veux à la prendre en excuse plutôt qu'assumer que t'avais la trouille. et elle est ridicule putain. ridicule à continuer à te courir après quand tu lui claques les portes les unes après les autres. d'accord profonde inspiration quand la lèvre tremble encore, passe ses mains sous ses yeux pour sécher les larmes. d'accord, d'accord ryung. on en parlera plus. parce que c'était fatiguant les rejets à répétition. parce que t'étais le malsain dans l'histoire à lui donner des faux espoirs pour les lui arracher. à la garder prisonnière quand tu ne voulais pas. tu sais pas ce que je veux. arrête de penser que tu sais ce que je veux parce que t'avais jamais rien comprit. parce que t'étais toujours là à décider pour elle quand t'étais personne pour le faire. et c'est la main qu'elle pose sur ton bras, te repousse. inspire lentement avant de se redresser. et elle a la tête qui tourne, les doigts qui cherchent l'application, réserve rapidement. poudrier qu'elle sort d'un sac, camoufle encore une fois ce que personne ne devait voir. pars, reste, change de campus, déménage ou pas, je m'en fiche. les doigts qui agrippent sa valise quand il est hors de question qu'elle joue encore à ça. que ce soit ta mascarade où le week end avec toi.

credits img/gif: pinterest
code by lumos s.

because i don’t want you to go
w/ @Maxine Edwards
~~~~

il te faudrait quoi pour tout déclencher ? la perdre pour de bon ? qu'on vienne te l'arracher ? parce que dis nous ryung, t'as ressenti quoi toutes les fois où elle n'était pas avec toi ? quand tu la sentais filer entre tes doigts, tout ça pour que tu resserres ta poigne, la retienne prisonnière de ton narcissisme. et tout à l'heure, à comprendre qu'ils en avaient assez de vos enfantillages, à la pousser à voir plus loin ? même toi, même toi, ils voulaient que tu passes à autre chose tellement t'es un cas tourmenté. buste qui bascule vers l'arrière, sans lutter une seule seconde. t'es ailleurs, tu veux pas l'entendre répondre à ça. ça fait mal. mais c'est pas un pourcentage de ce que toi tu lui as assené. aucun mouvement, mutisme absolu quand la mâchoire se serre, dents qui attaquent l'intérieur des joues pour garder l'apparence du calme. non, ça t'atteint pas. c'est ce qu'il faut, qu'elle te déteste pour mieux pouvoir se détacher de toi. c'est ça ton but depuis le départ, la pousser à bout, qu'elle passe de l'amour à la haine, les sentiments les plus puissants. t'y es parvenu, tu sens qu'elle en peut plus, c'est pas comparable aux autres fois. t'as assisté à sa déchéance, t'as été le témoin de sa détresse, mais t'as rien fait. la porte qui s'ouvre sans que tu bouges. c'est ça, reste prostré là, sur le sol de la chambre qui vous a vu grandir, mais aussi échanger votre premier baiser, semblable davantage à une épreuve horrifique que d'apposer vos lèvres sur l'autre. c'est que là que ça a commencer aussi. tu veux aussi que ça se finisse ici ? malgré toi, t'as beau vouloir t'y opposer, tu te lèves, accroches la porte pour t'élancer après elle, le bruit des semelles qui percutent le parquet quand tu sais qu'il faut la rattraper avant que quelqu'un ne la voit. vos prénoms qui sonnent menaçants depuis la pièce principale, échos des voix parentales à votre recherche, encore. tu la vois, avec sa valise comme fardeau, ses rêves éclatés qu'elle traine avec elle. à peine le temps d'attraper le bras pour la tirer dans le placard à côté, porte qui se referme à l'instant même où sa mère passe devant. t'as la paume sur sa bouche, absence de lumière en dehors de celle qui filtre dessous. les pas qui restent à rôder non loin. d'accord maxine. et ton souffle il est saccadé, bombe à retardement dans la poitrine. prouves moi que j'ai tort. tu demandes doucement, respiration qui s'écrase contre le dos de ta main. mais m'en veux pas si j'ai raison. et ça sera ça, votre ultime défi.

credits img/gif: pinterest
code by lumos s.

because i don’t want you to go
w/ @Ryung Minki
~~~~

et t'as pas le droit tu sais ? de la coincer de la sorte. lui refuser quelque chose de réel mais vouloir en jouer devant les autres. elle est pas un jeu, t'as plus le droit de continuer à la contrôler comme si elle n'était pas maître de ses propres actions. t'as pas le droit de l'attirer dans tous les pièges et penser que t'en subirais jamais aucune conséquences. alors peut être que le clan minwards était prêt à te donner le bon dieu sans confession, toi qui savait si bien manipuler les autres mais elle, c'était terminé. elle avait essayé pourtant, de voir au dessus du reste, à t'aimer malgré tout. et combien de fois t'avais t'elle tout donné ryung ? à tout pardonner, à prendre soin de toi quand tu en avais besoin en dépit de toutes les crasses que tu ne cessais de lui faire. et c'était trop, trop à supporter. dernière fois où tu lui cracherais au visage de la sorte, dernière fois où tu viendrais la tourmenter. les talons qui claquent sur le sol, traîne la valise derrière elle quand elle sait qu'en bas ça va s'offusquer. quand elle entends déjà les protestations du clan et quand elle est parfaitement consciente qu'elle sera encore placée en fautive. puisque ryung était si parfait, qui pouvait merder à part elle ? elle sait même plus si elle est en colère, si elle a mal, peut être un mélange des deux. et la gosse qu'on emporte, entrainée soudainement. les protestations qu'elle voudrait émettre quand la main se colle contre sa bouche, étouffe les insultes pourtant violente. d'accord quoi ? le sourcil qui se arque quand elle flotte dans l'incompréhension. analyse la situation, tente de saisir la demande. sa main qui pousse la tienne, libère ses pulpeuses quand elle souffle. alors n'essaie pas de nous saboter parce que c'était ce que tu faisais toujours, pas vrai ? les opales qui te fixent, tente de réaliser si elle a bien comprit ce que tu voulais. embrasse moi si c'est réel le besoin de sentir ta sincérité. de savoir si t'étais vraiment prêt à être à elle.

credits img/gif: pinterest
code by lumos s.

because i don’t want you to go
w/ @Maxine Edwards
~~~~

t'es un sinistre, qui s'abat sans prévenir et disparait tout aussi rapidement, quand on se croit hors d'atteinte tu re-frappes un coup, faire le plus de dégâts possibles. et si t'acceptais de faire l'inverse, parvenir à ériger quelque chose, putain que ça pourrait être beau ryung. beau comme toutes les soirées où t'avais le regard trop appuyé sur elle, t'emplir la tête d'images dont elle ne se doutait pas. nuits étoilées sur le toit de l'immeuble, danser ensemble comme il n'y avait que vous sur terre, finir parfois par s'endormir blotti l'un contre l'autre quand l'été et sa tiède torpeur venait vous surprendre en même temps que la fatigue. tu vois, ça pourrait être la même chose, mais avec la fièvre au corps en plus, assumée cette fois-ci. tu sais que je le ferais. pouce qui vient effacer les méfaits sur le visage, chasser les mauvais souvenirs qui seront persistants, mais on peut t'accorder le mérite d'essayer. tu refuses de la perdre, ça serait comme annoncer ta propre f i n. discours sans sens, à maintenir une position avant de l'abandonner et prôner l'autre. mais c'est toi, te galvaniser des extrêmes dont t'es capable. embrases moi. tu regrettes déjà, la romantisme qui te soulève l'estomac, t'as horreur de ça. mais c'est ce qu'elle provoque, éveille en toi la chaleur dont tu manques habituellement, maintenir la flamme à son minimum vital. t'hésites, devines les traits avec les ombres qui dansent à vos pieds. prénoms qui sonnent plus loin à présent, sans savoir que vous êtes là, piégés ensemble dans une folie qui coûterait si cher. pulpe qui descend jusqu'à dessiner le bord de la bouche, le découvrir sous un nouvel angle. c'est ça, te jeter dans l'inconnu sans savoir où t'atterriras, mais tu le fais. tu lui offres entièrement, cet amour ravalé. étrange mélange de suavité sauvage, à agripper les cuisses pour la plaquer encore plus contre le mur à ta hauteur, faciliter l'échange de la rancoeur contre celle du coeur.

credits img/gif: pinterest
code by lumos s.

because i don’t want you to go
w/ @Ryung Minki
~~~~

tu le sens, pas vrai ? qu'elle a atteint ses limites, qu'elle est au bord du gouffre. que si tu ne veux pas essayer, elle partira définitivement cette fois. parce qu'elle peut plus s'enfermer dans cette torpeur à répétition. être l'objet avec lequel tu te pavanes sans jamais rien lui donner en retour. elle ne peut plus. où je t'empêcherais de le faire parce qu'elle veut plus max. elle veut plus te voir vous saboter à répétition quand vous pourriez avoir quelque chose de beau. et bien sûr que vous étiez vous, bien sûr que ça serait difficile. les conflits seraient toujours présent, les peines aussi mais tout paraissait bien plus surmontable si vous acceptiez de vous aimer réellement. souffle doucement, le coeur qui s'agite à nouveau trop fort quand elle réalise qu'elle remporte cette victoire. celle de ton coeur. et elle ferait n'importe quoi pour toi, tu le sais ça ? dos au mur, la poitrine qui se soulève trop rapidement et les lippes qui scellent les mots pour de vrai. pas de déception dans les minutes à venir, pas de retour en arrière. juste elle et toi dans un nouveau tournant. passion qui l'anime, à ne plus pouvoir te lâcher, murmure des je t'aime contre ta bouche quand elle pourrait rester planquer là juste pour te découvrir encore et encore. MAXINE soupir quand le ton monte, le rire qui s'échappe de ses lippes, vole un nouveau baiser. je crois qu'on va devoir attendre ce soir à moins de vouloir agacer le clan plus que de raison. et elle est bien là, à plus sentir la douleur immense qui l'avait fait suffoquer ces derniers jours.

credits img/gif: pinterest
code by lumos s.

because i don’t want you to go
w/ @Maxine Edwards
~~~~

tu dois plus penser en terme d'affrontement, tout un nouveau mécanisme qui va se mettre en place pour s'adapter au changement. ça sera long, laborieux et t'es lucide, va aussi y avoir des moments de régression. on peut pas anéantir les mauvaises habitudes ancrées aussi profondément. mais t'y prends goût, au charme de ces baisers inédits. les premiers qui ne sont pas le fruit d'une comédie ou d'un attentat pour la diminuer. quoique non, ils ont tous été sincères, ceux échangés ces derniers jours, maquillés par ta mauvaise foi, mais au fond de vérité. lèvres qui ne peuvent s'empêcher de s'étirer en sourire, à interrompre les échanges tant les répétions provoque une euphorie. qu-- quoi ? visage qui se recueille, pris au dépourvu face au rire qui a chassé les larmes, tu pourrais décrire son expression amusée par coeur. les yeux qui doivent briller, la bouche rouge et les pommettes saillantes à cause de la réjouissance. vraiment max ? t'es sérieuse ? question plaintive, t'as beau entendre ton prénom aussi, tu peux facilement en faire abstraction tellement tu t'en fous actuellement. qu'ils cherchent, fouillent chaque pièce du manoir, ils auront jamais le courage suffisant de vous débusquer quand la fête doit battre son plein en bas. et vous cherchez pour quoi ? vous y étiez, à entreprendre ce pour lequel ils avaient brûler des encens, sûrement aussi demander à allumer des cierges et prononcer des prières. tout ça pour quoi ? vous interrompre maintenant ? non, pas quand t'as finalement céder, ça serait trop injuste. le cou qui se tend en arrière à doucement relâcher la prise autour d'elle, soupir audible qui s'échappe quand t'aurais incapable de le retenir plus longtemps. vas-y, j'viendrais plus tard. hors de question de t'afficher comme ça, avidité et frustration encore trop présente à la fois dans l'esprit et dans le corps, autant directement envoyer un message à tout le monde pour annoncer qu'ils avaient ruiner tes espoirs.

credits img/gif: pinterest
code by lumos s.

because i don’t want you to go
w/ @Ryung Minki
~~~~

et elle voudrait faire taire les voix incessantes qui ne cessent de scander leurs prénoms. le besoin avide d'avoir la progéniture en bas pour se pavaner devant tous les invités. inconscients de la scène qui était en train de s'écrire, la réalité qu'ils apportaient enfin à toutes leurs espérances. et l'index qu'elle pose sur tes lèvres, fait taire les plaintes quand elle profite du calme pour se rendre compte que les voix se sont éloignés. peut être abandon pour mieux les réprimander par la suite. t'imagines sûrement pas à quel point elle t'aime, à avoir imaginé cet instant des milliers de fois sans jamais pouvoir vraiment lui donner vie. sensation que vous étiez soudainement deux adolescents, à vous cacher du monde pour profiter des plaisirs charnels à l'abri des regards. l'adrénaline présente, fait pression dans l'esprit quand elle a du mal à se détacher de toi. te retient contre elle, s'accroche plus fort quand ses propres envies prennent le dessus. non murmure plaintif, retourne chercher tes lèvres avec ardeurs, à en rougir les contours avec force. on ira plus tard sourire malicieux, les doigts qui glissent à la ceinture, détache la boucle quand rien n'a plus d'importance que d'être avec toi. et ils peuvent attendre plus longtemps, les invités ne disparaitraient pas, les milliers de question non plus. refoule tout le reste pour se concentrer sur toi, pulpe des doigts qui vient explorer ta peau, à te coller toujours plus contre son épiderme, les soupirs qu'elle étouffe contre toi.

credits img/gif: pinterest
code by lumos s.

because i don’t want you to go
w/ @Maxine Edwards
~~~~

mal de mer à tanguer comme, les ascenseurs émotionnels qui ne parviennent pas à cesser, c'est un savant mélange que tu subis ce soir. grand roi habitué à ne connaitre que l'exaltation et la facilité, claquer des doigts et se voir offrir tout ce dont il rêve. en vrai t'es qu'une sale gamin capricieux, versatile et même lunatique. rien que ça. nicotine qui vient comme une piqûre de rappel, quand c'est le corps entier qui réclame. substitut sur lequel tu vas te reporter, dévier l'attention et amoindrir la peine. tu prêtes attention aux pas qui pourraient faire grincer les planches d'une seconde à l'autre, attendre le moment propice pour la laisser s'en aller, la valise que tu ramèneras plus tard pour ne pas attirer plus l'intérêt. vous direz quoi, quand la fameuse question sera posée ? l i e comme marque de fabrique, prétendre une urgence. non ? attiré contre elle de nouveau, et tu suffoquerais presque sous l'empressement des baisers, seul moyen d'y survivre, les rendre au centuple. et pourquoi quand c'est elle t'as l'impression de tout revivre pour la première fois ? comme si avant n'avait plus de sens, que tout débutait ici. les corps qui se confondent dans ton esprit, à ne plus être représentés par des masses floues qui s'éteignent quand tu fermes les yeux. mutuellement s'insuffler un nouveau départ, les paumes qui encadrent son visage, et tu la remercies jamais assez de porter des talons ce soir. attends. c'est murmuré contre sa bouche, à t'aplatir contre elle quand tu devines la poignée qui tourne un instant, porte qui s'entrouvre. non, quand même, tu crois ? lumière qui baigne l'intérieur quand tu poses ton doigt entre vos lèvres, battant dans le dos avant que le grincement n'annonce l'abandon. les muscles qui se relâchent, le sourire qui vient s'appuyer de nouveau contre les lippes, rire nerveux qui se doit de rester silencieux. chambre ? maintenant que l'étage entier a été passer au peigne fin, y'a plus de risque, n'est-ce pas ?

credits img/gif: pinterest
code by lumos s.

because i don’t want you to go
w/ @Ryung Minki
~~~~

c'est presque dingue l'état dans lequel tu l'as met, la femme qui laisse place àl l'adolescente fébrile, à simplement vouloir te posséder comme si plus rien n'importait. attends. et quand elle y prête attention, elle entends les pas qui se rapprochent, retient sa respiration quand la porte s'entrouvre. le silence de mise pour ne pas se faire prendre, à sourire contre ta bouche quand vous n'étiez toujours pas prit. chambre attends quelques secondes supplémentaires, entrouvre légèrement le battant pour vérifier que la voie est libre, ne supporterait pas une frustration supplémentaire. et les talons qu'elle retire, les tiens d'une main, l'autre fermement accrochée à la tienne, à t'entrainer dans le couloir jusqu'à la chambre ayant presque vu votre fin. les opales qui brillent, tire le verrou pour vous assurer une tranquillité plus que bienvenue. maxine fébrile, complètement envoutée par toi depuis des années, prête à passer le cap ce soir. les doigts qui viennent défaire doucement les bouton de sa robe, la laisse glisser sur le sol. les pulpeuses qui reviennent à la charge, libération des superflus pour se découvrir pleinement, laisser les corps retranscrire les passions et les envies dans une union nouvelle. passion qui coupe le souffle quand ça semble pourtant évident, à se sentir complète avec toi comme jamais avant. [...] plus de retour en arrière, pas vrai ? les doigts qui dessinent doucement sur ta peau, se redresse doucement. on devrait y retourner quand elle aurait préféré rester avec toi comme ça pour des heures encore. son nez qu'elle frotte au tien, le sourire qui ne la quitte plus. ils vont nous tuer si on réapparait pas davantage elle que toi.

credits img/gif: pinterest
code by lumos s.