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w/ @Maxine Edwards
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il voit l'incompréhension sur ton visage, ils la voient tous. ils t'avaient jamais fait le coup, te présenter comme un produit de luxe en vente qui tardait à être acheter. tu t'arrêtes, les traits trop sérieux soudainement pour accepter de s'y prêter. tiens toi mieux, ça engage à rien mais ... les parents de maxine en ont marre d'attendre après elle. il a pas besoin d'en dire plus, les regards du clan minki pourtant toujours discrets et composés, ils sont braqués sur la scène qui se déroule plus loin. tu te détournes à la recherche aussi de ce qui peut créer tant d'horreur dans leurs yeux, désolation à présent non dissimulées sur le minois des femmes de la famille, elles doivent tellement tout savoir sans jamais rien dire. geste bref pour refermer ta veste, époussettes le tissu pour retirer les marques humides de la pierre mouillée. c'est un labyrinthe, à éviter quand on t'interpelle, les anciens camarades présents avec leurs parents, les conquêtes à présent fiancées aussi. les anciens assis plus loin, qui veulent tout entendre du prodige à harvard. et tu promets, tu promets que tu viendras, mais après. ils sont là, près du buffet avec l'air courtois, avec les faux-semblants et pourtant la gêne que tu peux deviner d'ici, à encore quelques mètres. au passage tu saisis deux flûtes avant de fondre comme un oiseau de proie sur sa cible. je t'ai cherché partout, t'étais partie où ? forces le verre dans sa main pour te libérer, passer le bras autour de la taille avec la plus grande décontraction. visages surpris qui t'étudient, stupéfaction, incompréhension aussi. autant pour moi, ryung minki, enchanté. l'audace de tendre la main pour la serrer, bonté à s'imprégner sur ton visage quand l'intérieur n'est que chaos. père edwards qui n'a plus l'air dans son assiette, mais t'as tout prévu déjà. je crois qu'il y a un léger malentendu. tu ne leur as pas dit, mon coeur ? le regard qui s'abaisse vers elle, à tout donner jusqu'au clignement des yeux langoureux quand t'es face à elle. les jeunes hein, on se dispute et on croit que c'est la fin à chaque fois. sacrée maxine, t'avais oublié de dire à tes parents qu'on était revenus ensemble ou quoi ? tu vas même jusqu'à embrasser le coin des lèvres pour rendre encore plus concret ton acting. à moins qu'il ne s'agisse de la vérité la plus criante dont tu es été capable jusqu'à aujourd'hui.

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w/ @Ryung Minki
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alors c'était pour ça ? les cris à l'autre bout du téléphone pour la forcer à être présente ce soir ? le tout qui avait été sûrement prémédité à croire qu'on ne pourrait jamais lui laisser le temps d'encaisser. et c'est le dégoût présent sur son visage quand elle observe celui qu'on cherche à lui promettre. il a quoi ? dix ans de plus qu'elle ? peut être plus. le sourire fridige, le corps rigide, poupée mécanisée qui laisse les politesses filtrer de sa bouche quand elle menace pourtant de s'écrouler. tout mais pas ça. et pourquoi d'ailleurs ? l'injustice soudaine quand elle le voulait ryung, quand elle l'avait supplié de l'aimer en retour. et elle a du mal à saisir, sa mère qui tente une blague pour décrisper les invités quand les yeux sont braqués sur elle, à observer la scène nouvelle. et toi qui est soudainement là, coupe de champagne que l'ont glisse dans sa main alors que la question est jetée, à te regarder sans savoir quoi dire, surprise du trop plein d'actions. je.. et il faut qu'elle se débarrasse de la surprise, qu'elle entre dans ton jeu pour repousser ce qu'on avait cherché à lui imposer. je comptais le faire mais j'attendais que tu sois là souffle finalement, le coeur qui s'affole quand tu pousses toujours plus loin. et elle se risque à un sourire, la main libre qui s'accroche à la tienne, donne un peu du sien pour apporter le reste de conviction. incrédulité sur les visages edwards, les minki qui eux rayonnent quand pourtant, ce n'était rien qu'une connerie déversée à la face de trop de gens. et après ryung, t'y a pensé ? et les excuses que le père tente de jeter au prétendant évincé, le sourire narquois qu'elle peine à cacher. tu viens mon coeur ? je crois que tes parents veulent nous parler et que les edwards allaient suivre. sûrement pour tenter de comprendre ce qui venait de se passer.

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w/ @Maxine Edwards
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vérité, mensonge ? ils l'avaient pas vu venir celle-là. à toujours te plaindre aux repas qu'elle te repoussait, que t'avais beau y mettre tous les efforts du monde, maxine edwards ne voulait rien avoir à faire avec ryung minki. c'était comme ça, impossible. subterfuge qui frôle la perfection quand vos doigts s'enlacent, myocarde qui risque d'imploser à tout moment à cause de l'adrénaline, surtout pas à cause d'elle. l'arrogance pendue aux lèvres à étudier les faces décomposées, la déception qui doit pesée lourd pour le camp adversaire de voir s'envoler une si belle opportunité. vous allez en avoir des reproches, mais ils seront bittersweet, faire comprendre qu'on ne se moque pas des gens de la sorte, mais la finalité était plus importante. messieurs dames. légère courbette pour se galvaniser une dernière fois de l'expression déconfite de l'ex-futur monsieur tu-sais-pas-quoi-mais-t'en-as-rien-à-foutre. noyer le fou rire qui menace de tout ruiner dans ton verre, les yeux qui cherchent le plafond pour ne pas croiser son regard. et c'est comme ça que tu reprends la direction des tiens, parents, grands-parents, soeurs, tu crois même voir les oncles pas loin. souris maxi. tu lui glisses au creux de l'oreille, les lèvres qui viennent se poser sur la joue pour authentifier la supercherie aux yeux de tous, murmures qui s'élèvent dans l'assemblée quand la main se risque à être plus baladeuse, moins figée sur la taille. non, t'oserais jamais si c'était pas vrai, ça serait trop osé. ryung, maxine, c'est quoi "ça" ? il a beau vouloir parler le plus discrètement du monde le patriarche minki, ils sont tous autour à tendre l'oreille, tu jugerais que même la musique de fond à baisser de quelques décibels. tu soupires, posture nonchalante quand ton menton vient se poser sur sa tête, adolescent rebelle agacé par l'intrusion. c'est fou, on peut plus vivre tranquillement ici ? on est obligé de vous dire tout ce qu'on fait ? tu soupires, gorgée qui vient marquer une pause dans tes explications le temps que les edwards se joignent, ça ressemble plus à un jugement qu'à une réunion de très grande famille. vous voulez connaître aussi notre première fois ensemble ? les détails ? et ça arrache autant de rire que de regards durs. racontes maxi-chou. surnom qu'elle a toujours eu en horreur, mais ça rend le truc crédible.

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w/ @Ryung Minki
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qu'es-ce qui venait de se passer au juste ? parce qu'elle même à du mal à saisir, à s'acclimater à la nouveauté qu'ils allaient devoir jouer. te remercier pour l'avoir sauvé ? ou te frapper encore et encore pour lui offrir un espoir qui ne devrait pas exister. j'essaie mais qu'est-ce qu'elle y pouvait si elle était totalement crispée ? l'impression qu'elle allait exploser d'une seconde à l'autre. et le presque hoquet de surprise qui s'élève de sa bouche quand la main descend trop bas, vocifère des insultes discrètes quand bien trop vite pour étiez face au père minki. mh, disons qu'on voulait en faire la surprise ce soir puisque c'était visiblement le souhait des deux familles confondus, à avoir toujours tout fait pour que ce couple finisse par exister. si seulement il savait. frisson qui parcourt l'échine, repose sa coupe sur un plateau, les bras qui viennent entourer ta taille, à s'accrocher à toi puisqu'elle t'aime tant. hééé, parle pas de ça idiot chassez la naturel, il revient au galop. le ton froid qui pourrait tout faire capoter en quelques secondes si elle ne faisait pas plus d'effort. je t'aime mais y a des limites à ce qu'on peut raconter et le mot d'amour qui filtre, finit de convaincxe les deux clans. probablement parce que dans ses yeux, la sincérité était transparente. c'est réel cette fois ? vous allez rester ensemble ? suspicion dans les yeux du père quand il vous observe tour à tour. et poupée, elle laisse ses opales dériver sur toi, s'hisse pour t'atteindre, ses lippes qui touchent les tiennes. j'espère bien quand pourtant, une fois les rideaux tombés, elle serait de nouveau seule avec sa peine.

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w/ @Maxine Edwards
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défaut de ne pas se soucier de ce qui adviendra demain, carpe diem, on ne pourrait pas mieux dire. elles sont à deux doigts de nous faire un malaise tes soeurs, les premières à avoir jouer les entremetteuses quand vous étiez plus jeune, mais le plus souvent tu revenais avec une max que tu tirais par les couettes quand elles te disaient d'être plus doux avec elle. a-do-rable. c'est lancé quand les bras se serrent autour de toi, incapable de discerner si elle profite de l'instant présent ou si elle tente de mettre fin à ton existence en te brisant les côtes une par une. ça semble couler de source, la spontanéité dans tous tes gestes et les paroles qui glissent comme si c'était la vérité absolue. mais c'est faux, n'est-ce pas ? une comédie que tu tiendras le temps qu'il faudra, puis il sera impératif de trouver une solution. mais c'est pour elle que t'as fait ça, pour lui éviter d'être prisonnière d'un arrangement comme on faisait dans le temps. la mâchoire qui s'incline pour l'inviter et répondre à son baiser. t'y prendrais trop goût, à vouloir le prolonger quand instinctivement les doigts partent à la recherche de la peau sans se soucier du monde alentour. sauf que tu peux pas te le permettre ryung, pas quand ils sont tous là à décortiquer vos comportements. mais tu t'y perdrais. une seconde, où t'es faible, à rester dans le vide, nez qui frôle le sien avec l'avidité qui reluit dans tes yeux. vous savez que vous allez tous nous rendre fou ? rappel à la réalité, sincérité artificielle du rire que tu leur offres sur un plateau. c'est moi qui suis fou d'elle. et là t'y retournes, le verre qui se lève pour masquer légèrement vos visages, manque cruel d'intimité qui te pèse quand tu sais que tu joues avec le feu. on leur annonce maintenant pour le bébé ? c'est balancé comme ça, contre ses lèvres en sachant pertinemment qu'ils entendent tous, vague de surprise qui déferle avant que tu te retournes, moquerie dans la voix. je plaisante, détendez-vous, on sort à peine de notre troisième année, on a le temps. haha, c'est ça, rigoles bien tant que tu le peux ryung.

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w/ @Ryung Minki
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et c'est beau non ? le tableau idyllique qu'ils renvoient présentement. l'amour fulgurant à s'accrocher à l'autre comme si c'était essentiel quand elle a pourtant l'impression que c'est des coups de poignards que l'on plante dans son coeur à répétition. parce qu'une fois les masques tombés, qu'est-ce qui lui resterait ? et le baiser devient trop intense, à lui faire perdre les sens. pourquoi tu fais ça ryung ? pourquoi tu la malmènes de la sorte quand t'aurais pu t'en tenir au strict minimum. c'est moi qui suis fou d'elle. si seulement. seul l'inverse était vrai, à pouvoir se damner pour toi quand tu n'avais de cesse de la pousser le plus loin possible pour mieux la rattraper. et combien de temps pourrait-elle tenir cette cadence ? combien de temps avant de s'effondrer totalement ? et elle s'étouffe presque, le poing qui vient taper dans tes côtes par réflexe quand tu laisses éclater un rire, à croire que c'était la blague de l'année. tellement de temps avant de penser à ça souffle doucement, ses bras qui te lâche. si vous voulez bien m'excuser elle n'a même pas d'excuse réelle à fournir, se contente juste d'esquisser un sourire avant de tourner les talons, s'échapper de la salle avant de s'effondrer à la vue de tout le monde. les pas qui emprunte l’escalier principale, direction dans l'aile des minki quand elle n'avait même plus d'endroit à elle ici. à s'enfermer dans la chambre, la tienne. à se laisser glisser sur le sol, la tête entre les mains, les sanglots qui étouffent quand tu l'empêches de respirer convenablement.

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w/ @Maxine Edwards
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tu vous y vois presque, à projeter l'un des gamins de ta soeur comme le vôtre, belle photo de famille en perspective. mais hoquet qui vient mettre fin à ton ricanement, surprise qui explose sur le visage avant qu'elle ne prenne la fuite. tu ne peux que trouver n'importe quoi à dire, regard que tu lances en arrière avant de revenir dans le cercle et d'annoncer sur le ton de la confession. le stress des examens, elle gère mal en ce moment son anxiété, tout ça. ça lui coûtera moins cher que d'avouer la vérité. t'es retenu, famille lointaine qui vient t'assaillir comme si tu étais en campagne électorale, mais t'es distrait. réponds avec détachement, verre que tu ne touches plus si ce n'est pour te rendre compte que le liquide est chaud maintenant. les félicitations qui suivent, le même sujet qui revient constamment sur le tapis. ça y est. vous aviez finalement succombé l'un à l'autre. tout te ramène à elle, même l'appréhension qui vient naitre dans le ventre quand elle ne revient pas. prétends un coup de téléphone urgent à passer pour t'en aller en paix. main qui s'agrippe à la rambarde pour monter les escaliers. tu sais où aller, c'est viscéral comme instinct. poignée que tu saisis avant de pousser doucement la porte. max ? t'es là ? t'es prudent, prêt à recevoir n'importe lequel des objets de ta chambre en pleine face. mais c'est pire ce qui t'attend. max ? tu l'interpelles, interdit sur le pas de la porte à être impuissant quand tu remarques la silhouette comme ça, effondrée. t'en perds ton je-sais-tout, gorge nouée et la voix qui s'éteint. tu pourrais faire demi-tour, prétendre n'avoir rien vu. ou te moquer ouvertement d'elle, d'à quel point elle est faible de se rendre dans des états pareils. mais t'en fais rien, juste tu prends silencieusement place à côté d'elle, sans même chercher à la toucher, juste tu t'assois, regard dans le vide. t'as vu jusqu'où ça mène de te croire au dessus de tout le monde ?

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w/ @Ryung Minki
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elle pourrait même pas expliquer pourquoi elle réagit comme ça. peut être que c'est l'amour qui fait ça. ça fait des jours qu'elle est dans cet état. les crises de larmes qui surviennent à l'improviste quand elle n'arrive même plus à les contrôler. toi qui tourne dans sa tête à l'infini et l'impression qu'elle arrivera jamais à s'échapper de cette sensation. ça lui brise le coeur, tu lui brises le coeur. oh, elle sait que c'était pour l'aider ce soir. elle sait. et pourtant, c'était sûrement le pire des sentiments que d'être si proche de toi tout en sachant qu'il n'y avait pas une once de vérité. l'anticerne qui ne sert plus rien, les yeux trop rouges, trop gonflés par les pleurs par milliers. dix minutes, vingt. elle abandonne peut être, trouve pas la force de revenir, d'arrêter.  c'est comme se noyer infiniment dans ses propres douleurs, refaire les même choix et sans arrêt se planter. et elle le sent avant même que la porte ne s'ouvre, t'es là. sanglote toujours, triste paysage qu'elle t'offre quand elle reste recroquevillée sur elle même, à espérer que tu disparaisses. ça va.. aller. ça va aller même si ça sonne désespérée. mais tu bouges pas ryung, tu restes là. et peut être que c'est instinctif mais c'est de tes bras dont elle a besoin, à chercher une place auprès de toi. dis moi que ça va aller à murmurer contre toi, le coeur qui manque de défaillir à chaque fois.

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w/ @Maxine Edwards
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tu réconfortes pas toi, t'es celui qui cause les larmes déferlantes sur le derme, les sillons qui abiment les joues à cause des salines qui brûlent. t'as jamais été aussi défaillant que maintenant, à seulement servir de compagnie désagréable. c'est toi la cause de ça, elle a pas besoin de le dire ouvertement, tu l'as compris bien assez tôt. les paroles qui viennent rompre le silence, se conforter dans l'idée ou alors te clamer au visage que ce n'est que passager, mais les actions qui prouvent l'inverse. tu luttes pas, l'accueilles dans tes bras comme tu le ferais avec un enfant qui pleure, vouloir donner un peu de chaleur humaine. t'en es capable au moins ? bourreau. je veux que tu me répondes sincèrement maxine, vraiment. ça pourrait sonner horriblement, car la réponse est sous tes yeux depuis le début, des années qu'elle te l'agite dans l'espoir que tu finisses par y prêter attention. tu t'y perds, caresser le dos pour apaiser les sanglots, espérer qu'ils s'amenuisent pour ne plus soulever son corps de cette façon. est-ce que tu veux que je te laisse ? que j'arrête tout, absolument tout. c'est mécanique, la manière de brosser la main sur la robe, comme on le ferait d'un chat sur les genoux. je déménagerais, je demanderais à être transférer ailleurs, yale, cambridge, peu importe. tant que tu lui laisserais l'espace nécessaire pour sa survie et son bien être. je viendrais pas ici en même temps que toi, je ferais attention à ce qu'on se voit plus. et ça sera compliqué au début, puisque la dépendance est belle et bien partagée des deux côtés. et surtout je leur ferais lâcher l'idée, ils en parleront plus jamais de ça. pour ne pas dire nous. et t'aurais voulu le dire, mais ça reste dans le fond de la gorge, à t'étrangler presque quand tu devrais pouvoir le dire plus aisément. tu lui dois ça, pour toutes ces années où elle t'a supporté, aussi bien en mal qu'en bien. et toi t'es seulement assis là, à croire que tu peux éponger sa peine de cette façon, juste quand ton regard brille à fixer la boite poser sur le lit.

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w/ @Ryung Minki
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et elle voudrait comprendre pourquoi tu t'abandonnes à elle mais jamais entièrement. pourquoi cette nuit à existé enter les baisers passionnées et le besoin de l'autre pour que tu prennes finalement la fuite. et elle reste collée à toi, les soubresauts du corps rythmée par ses larmes, à te voir soudainement rendre les armes. alors quoi ryung ? tu supportes pas de la voir dans cet état ? non, non, c'est pas ce que je veux c'est plaintif, fait redoubler la peine quand tu lui laisses imaginer que tu pourrais ne plus être là. même si elle te réclame des pauses, même si elle met parfois tant d'efforts à te faire disparaître, elle voudrait jamais que tu le fasses réellement. et tu sais ce qu'elle veut réellement. tu le sais mais ne l'accepte pas. tu m'aimes ryung, je le vois dans tes yeux dans tes comportements. dans ton besoin de la suivre partout, de la blesser mais de t'assurer par la suite qu'elle allait bien. je veux que tout ce que t'inventes devant les autres soit réel et pas juste des jeux que tu instaures sans te soucier des dommages que ça pourrait faire sur son coeur. je t'aime et tu m'aimes alors pourquoi ? elle a pas envie de jouer, tu le sais. et elle arrive pas à saisir pourquoi pendant cette nuit, t'avais été si proche d'être à elle pour finalement t'en aller. t'as peur de quoi ? à placer ses doigts sous ton menton pour te forcer à la regarder, son front qu'elle pose contre le tien. tu sais que ça pourrait marcher si t'essayais.

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