Prénoms: Zemoranya Alexyan Noms: Harya-Thomas.
Mère : 15 ans morte en couche  type hyspanique    
Père:16 ans ayant renoncé à ses droits.
Situation : Pas de frères ou soeur connues.
Orphelin, pupil de l'état de Californie


Balloté de famille d'accueil en famille d'accueil, incapable d'être adopté. Baby Zemo had a curse. Pourtant, il était comme tout les enfants au début. Curieux, innocent, voulant juste être aimé. Avec le temps vint l'horreur. Les mauvais placement existent, et les abus furent monnaie courante. Abus qui laissèrent pas mal de cicatrices, et d'aller-retour aux urgences quand physiques. A 10 ans, Zemo n'avait plus rien d'un enfant normal. Souffrant de PTSD, d'une incapacité à faire confiance aux gens, toujours sur ses gardes, fuyant, socialement inadapté, réfugié dans la connaissance, l'analyse des autres, une anesthésie émotionnelle qui couvraient les démons avec lesquelles il se débattait toujours. Il eut de l'aide, trop peu, trop tard pour que cela compte pour lui. Le seul réconfort fut la sécurité des plus petits que lui, le reste ne l'importait plus. Vivant chaque jours dans une indifférence émotionnelle, il glissa sur le chemin obscur des prises de risques inutiles. A l'adolescence il était étrangement la coqueluche de la gente féminine pour tous ces défauts : prise de risques inutiles, plutôt silencieux, quand il ouvrait sa bouche il scotchait tout le monde avec sa culture qu'il n'étalait que très rarement. Contre toute attente de la populace de son lycée banale et sans intérêt, il était toujours premier. Son indifférence émotionnelle n'avait d'égale que sa soif de connaissance. C'était d'ailleurs le plus grand salopard. Incapable d'être attaché à une fille ça ne l'empêchait pas de lier son corps avec n'importe quelle demoiselle en détresse physique... Et ce qui devait arriver arriva. Ce bâtard orphelin filant un mauvais coton avait foutue une (ou peut être même deux) filles enceintes. Sa réponse fut simple l'avortement. Sa mauvaise réputation le précédait partout où il allait.
Il réussit à décrocher une bourse pour une prestigieuse université et s'enfila en psychologie. C'était un domaine qui l'avait toujours passionné, aller savoir pourquoi.   Il était de loin le meilleure de sa promo, infatigable bourreau de travail pendant ses 4 années d'études en psychologie criminel. Heureusement pour lui qu'il a toujours eut beaucoup de charisme parce que sa nature primaire peu grégaire était un frein à ses relations sociales. Ce fut d'ailleurs sa petite amie de l'époque qui lui ouvrit les yeux sur son manque d'entrain et d'intérêt pour les femmes... Incapable de voir avec clarté qui il était lui-même il continua de s'entourer d'absolue et de convictions sur ce qu'il était. Étant ambitieux de nature, et déterminé à parvenir à son objectif, il enchaîna l'académie de police où il connu les premières difficultés, n'étant plus premier dans ce qu'il faisait mais seulement rageusement second. Une rivalité naquit entre les deux têtes de files de cette section, et c'est ainsi que Zemo connu le premier homme de sa vie.

Il rejoignit les forces de l'ordre. Protéger et servir, c'était un peu sa mission... Mais si il avait dû choisir une maxime, ça aurait plutôt été "rendre justice" et rien que ce changement lexical en dit énormément sur son état mentale. Plus le temps passait, plus il gravit les échelons, jusqu'à se spécialiser dans les crimes violents. Zemo préférait toujours s'occuper de scènes de crimes horribles, ou de courir après de "vrais vilains". Son insensibilité apparente, ainsi que sa formation en psychologie criminel était plutôt utile pour pouvoir amener certaines personnes complètement folles à se confier à lui. Zemo était un très très bon flic. Rares étaient les enquêtes non résolues, il ne tenait pas en place, c'était en fait une vraie plaie pour ses petits collègues, mais il était toujours là pour aider, à croire que sa vie privée ne comptait pas. Aller donc savoir comment il trouva du temps pour être en couple, et se marier à 31 ans avec une jeune femme avec qui il entretenait une relation depuis quelques temps. Le travail prenait vraiment une place très importante, et ça n'empêchait pas Zemo de chercher à être plus que ce qu'il n'était. Il devint un agent du FBI parce que c'est ce qu'il désirait et ça le remplit de joie et de fierté. Concernant son couple, détrompez vous, aucuns des deux ne se cachaient, ils avaient tous les deux des relations extra-conjugale, et tous les deux aimaient les hommes pour cette activité. En réalité, leur mariage était peu orthodoxe. Ils étaient ensemble, partageaient le même foyer, avaient des relations sexuelles ensembles, ayant d'autres personnes dans leurs vies. La seule limite à ses extra étaient "ne pas tomber amoureux" et si cela arrivait ça impliquait forcément un divorce. Entre Zemo et sa femme Maritza il n'y avait pas d'amour, mais de l'affection, de l'amitié, et du respect. Cela pouvait sembler étrange, mais ils étaient bien ensembles. D'ailleurs ils donnèrent naissance à des faux-jumeaux vers ses 35 ans. Sur le chemin, il écrivit plusieurs livres sur la psychologie de criminels, sur leurs origines, leur fragilités, etc.. Et ça se vendait plutôt bien étrangement.

Le travail s'empilait. Les horreurs se succédaient, par choix. Zemo avait beau être un père aimant, il en devenait souvent absent, le stéréotype du flic qui bosse trop et qui parfois même quand il est présent physiquement n'est pas vraiment là. Ses relations avec sa femme se dégradèrent. Elle voyait bien que quelque chose n'allait plus trop avec lui, ils se connaissaient suffisamment pour ça... Mais personne n'est plus qu'aveugle que celui qui ne veut pas voir, et Zemo était maître dans l'art du dénie quand ça s'appliquait à lui. Ils se séparèrent temporairement et il ne vit pas vraiment ses bébés pousser.  Après quelques années au FBI, Zemo tenta d'atteindre son objectif d'être assigné au NCAVC (National center for Analysis of Violent Crime). Il avait fait les démarches, et pendant l'attente de la réponse à sa candidature, Zemo eut une affaire. Loin d'être différente des autres, et pourtant elle fut bien plus que singulière. C'était une autre affaire impliquant un traffic d'être humains. Ce n'était pas la première fois, et ça n'aurait pas dû être la dernière. Sauf qu'à un moment donné Zemo à franchit la ligne. Il avait un des criminels en respect, ils étaient seuls et ça ne l'a pas empêcher de l'abattre. Cela lui prit quelques secondes avant de réaliser ce qu'il avait fait. En réfléchissant à ce qu'il venait de faire, ses yeux trouvèrent un flingue pas trop éloigné. Alors il fit ce que n'importe qui fit, il déplaça l'arme, et fit passer le tout pour une légitime défense. Ce n'était qu'un criminel qui vendaient des enfants pour être abusés, pas de quoi avoir des remords... Mais ce ne fut pas le cas. Cela revint le hanter. Le destin et le karma ont voulu qu'en recevant une réponse favorable à sa candidature pour changer de job, il décide de démissionner.

Il avait 37 ans, il venait de quitter le FBI. Il prit du temps pour lui et sa famille. Mais il était trop tard pour réparer. Sa femme demanda le divorce. Il n'y a pourtant aucune rancune entre eux, elle est partie parce que Zemo avait besoin de se retrouver, de soigner ce qui n'allait pas chez lui, plutôt que de vivre dans le petit confort de leur relation fonctionnant. C'est ce qu'il fit. Il continua de pousser la psychologie, s'intéressa de plus près à la sexologie, et continua de publier peut être même encore plus qu'avant, il fit des conférences, voyait des patients, enseignant dans une fac de la côté <= Est. Mais le soucis avec Zemo, c'est que son côté bourreau de travail l'empêchait de se pencher sur son cas trop longtemps, et c'est ce qu'il voulait. Du coup, ça lui arrive souvent de faire des cauchemars, et d'avoir des insomnies. En réalité, si il prenait 5 min pour s'analyser, il comprendrait que le soucis n'était pas tant d'avoir tué cet homme, aussi horrible ce constat est, que les trauma non résolu, non guérit de son enfance, refoulé, internalisé, et admit comme étant la baseline de son état.
Il est déjà venu plusieurs fois à Harvard comme intervenant, comme public aussi. Sa renommée dans le domaine de la psychologie criminel, et même simplement de la psycho et son expérience, le fit postuler à Harvard, et c'est seulement l'an dernier qu'il devint officiellement un des nombreux professeurs arpentant les couloirs de la prestigieuses universités.
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