Enfin après quelques minutes, nous pouvions enfin nous mettre à table. Mon coeur se brisa lorsqu'elle me dit qu'elle avait très mal vécu ces derniers jours. Ma main pressa la sienne, afin de lui montrer que j'étais maintenant présent. "Tu ne seras plus jamais seule maintenant. Je te le promets. Je lui déposais un baiser sur sa main, avant de commencer manger. "Si ce n'est pas bon, on commandera. Dis-je, avant de croquer dans l'hamburger. Mais selon moi, celui-ci était parfait. Du moins il était à mon goût. Puis je pris une frite, que je mis dans la bouche, tout en regardant ma douce. Je rêvais déjà du dessert. Mon regard dévia même sur son décolleté.

Ma douce me dit comprendre qu'elle aimait mon repas et j'en fus ravi. "Simple et efficace. A la Victor Borges." Lui dis-je de nouveau. Puis alors que je croquais dans une des frites, mon regard dériva sur son décolleté. A ses paroles, j'en fus gêné et je plantais mon regard sur mes frites. "Désolé." Je ne voulais pas la brusquer. Mais bon sang, ce que j'en avais envie. Je sentais que cela allait être dur d'attendre. Je me concentrais alors sur mon plat.
Nous terminions le repas dans le silence, juste quelques petits regards par-ci par-là. Oui, en ayant été prit à la relooker, je m'étais senti très gêné et je ne voulais plus le refaire. Je ne savais donc ni quoi dire, ni quoi faire. Je me redressais, essuyais mes mains avec ma serviette, pour la regarder de nouveau. "Dessert?" Je fis un geste de la main pour qu'elle oublie. Je suis vraiment con. Puis ma main passa dans mes cheveux. "Tu n'es pas la seule à appréhender ce moment..." Terminais-je par lui confier.

J'en avais extrêmement envie de ma belle et douce Grace. Je la suivis donc dans la chambre, mais lorsque je la vis commencer à déboutonner son chemisier, mon coeur se mit à battre la chamade. Je fermais les yeux, pour les rouvrir et la stopper. "Stop." Ma main se posa sur la sienne. Timidement, je la regardais. Ma respiration se faisant de plus en plus rapide, je tentais d'en placer une. "Je ..." Je pris alors ses deux mains pour les mettre dans les miennes. "Ne te sens pas obligée." Bon clairement, pour le coup, elle semblait être plus prête que moi. "Il faut que je te montre quelque chose avant." Puis je retirais ma chemise à moi, pour me retrouver torse nu, face à elle. Elle pouvait déjà apercevoir des cicatrices sur mon torse.