« En vrai, rien que ça, ça me va » Donc laissons de côté cette histoire de sugar daddy, concentrons nous sur ce qui se passait ce soir. Ces deux ébats partagés et ceux encore à venir. Parce que je comptais en profiter encore et encore de ton corps, de ta musculature imposante. Te voyant te rapprocher, je reposais la fin de mon burger sur la table de chevet à côté de moi avant de réceptionner tes lèvres. Répondant ardemment à ce baiser, je glissais une de mes mains dans ta nuque, quand l'autre s'attelait à caresser ton corps d'Apollon. « 1101... 10110001... » que je disais pour te taquiner, alors que j'enfouissais mon visage dans ton cou.

Ne serait ce pas deja ce que je t’offre alors ? Serait ce devenu ton sugar daddy sans le savoir ? Je vais peut-être avoir une attaque. J’en riais de cette histoire. Parce que je l’imaginais pas vraiment se contenter que je lui remplisse son frigo. Enfin meme sans coucher ensemble, je pourrais le faire. Mais pour le moment, c’etait le cas. Tu cherches les problèmes. ne bouge pas..

Tant mieux, je m'en voudrais de t'avoir cassé. Et ne plus avoir de prochaine fois. Et s'il me rappelait, je ne saurais dire non. Petit humain était encore en Vie donc, j'étais rassurais. Je suppose que l'un comme l'autre avions eu notre compte pour cette fois. Je baille, parce que j'étais clairement vidé de toute énergie pour le coup. Et clairement satisfait de ce genre de fatigue. Je bascule la tête en arrière, fermant les yeux. Je ne sais pas l'heure qu'il est. La fin pointant le bout de son nez. J'allais devoir puiser dans mes dernières forces pour me rhabiller et me foutre dans mon plumard. Je tape sur mes cuisses. Bon allez, sinon, je vais rester coincé ici et baver sur le fauteuil. Je me lève et commence à chercher mes fringues éparpillées.

« Avec tout ça, y'aura une prochaine fois » Je rigolais, malgré le peu de force qu'il me restait. Clairement, c'était le genre de nuit qu'il me fallait, oublier tout, me laisser aller dans des pulsions primaires et te laisser prendre en main mon corps et mon esprit pour tout déconnecter. « Mh... tu m'en voudras pas mais je vais profiter de la nuit payée pour rester ici » Plus aucune force pour rentrer chez moi. J'suis sûr que j'en ai même pas pour me rhabiller. Et puis j'étais bien là. Vidé, épuisé, éreinté. Une fatigue qui faisait du bien et qui me pousserait à avoir une bonne nuit de sommeil. Toujours dans la même position, j'étais presque prêt à m'endormir. Mais j'attendais que tu sois parti, ne serait-ce que pour la politesse.

La chambre est faite pour, profite en mon gars. Si tu as besoin, ecris-moi, il me semble que tu connais le chemin. Je termine de me rhabiller. Et secoue ses cheveux, remontant la couverture celui. A plus ! Et je lui laisse tout son intimité. J'étais rincé. Conduisant prudemment jusqu'à l'appartement. Grimpant les escaliers quatre à quatre, je me déshabille et ne me fais pas prier pour ronfler dans les bras de Morphée.