Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibility I need to see your face to know if you're okay. - Page 2
I LOVE HARVARD
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.
AccueilAccueil  
  • RechercherRechercher  
  • MembresMembres  
  • S'enregistrerS'enregistrer  
  • ConnexionConnexion  
  • Le deal à ne pas rater :
    Pokémon EV06 : où acheter le Bundle Lot 6 Boosters Mascarade ...
    Voir le deal

    I need to see your face to know if you're okay.
    Page 2 sur 2 Précédent  1, 2
    InvitéInvité
    feat
    Arrivée
    Multicomptes
    Crédits
    Discord
    Pseudo & pronom IRL
    Anonymous
    Informations
    participer à veritas ?les secrets à ne pas révéler
    Veritas
    Lien du postMar 11 Mai - 0:41
    taggercitereditionsupprimeradresse

    I need to see your face to know if you're okay. 
    @Taylor V. Foster
    Alors que je me trouve assise auprès de ma meilleure amie Taylor, je lui fais part de deux histoires que j’ai vécu et qui m’ont marqué, seulement, lorsque je souffle ce qui s’est passé avec Victor, pour laisser un petit rire mutin s’extirper d’entre mes lèvres, je ne cesse de penser à lui : Wilby. Il monopolise mon esprit, à croire qu’il est parvenu à s’immiscer à l’intérieur de façon permanente, et cela, ne me plaît pas. J’en viens même à interroger ma Taylor, ne sachant plus de quoi je parle à cause de LUI et puis j’ajoute qu’il m’a fait grimper au rideau, mon Victor, seulement, là encore, ce sont ses prunelles bleutées qui restent encrer sur ma rétine. *Fiche-moi la paix.* Je songe en pestant contre ce dernier dans mon esprit qui se trouve de plus en plus embrumé alors, à sa nouvelle question, je ne sais pas réellement quoi répondre. Qui est-ce que je souhaite revoir ? Évidemment, son visage apparaît avec son sourire suffisant et je déteste cela. De ce fait, rien que pour lui « tirer la langue à distance » j’aimerais dire à Taylor que c’est mon beau Victor que je veux, seulement, nous sommes si proches que je ne peux pas me permettre de lui mentir. Du coup, c’est dans un souffle que je prononce que je n’en sais rien pour fixer mes mains et ainsi baisser le regard. Ai-je honte ? Disons que je n’ai jamais eu pareil coup de cœur depuis Francisco et cela m’effraie, réellement. Puis ils ont tous deux mauvais caractère et je crains ses coups, un jour, si nous venions à nous revoir et plus si affinité. Du coup, je continue et je prononce un fait réel : je ne connais que le prénom de l’homme que j’ai sauvé, ce qui fait que je ne risque pas de le retrouver un jour. Puis Victor, je l’ai aimé alors pourquoi en serait-il autrement au jour d’aujourd’hui ? C’est donc lui, qu’il me faut et personne d’autre, comme je l’affirme. De ce fait, ma décision étant prise, je me relève afin de trouver sa cuisine et je l’interroge sur sa propre histoire d’amour, après l’avoir interrogé sur ce qu’elle souhaite faire, là, avec moi. Nettoyant ma tasse, je m’essaye à le chasser de mon esprit, ne serait-ce que son regard ou encore son sourire, mais il faut croire qu’il s’est réellement encré en moi, à l’image d’un parasite. *Merde !* Je jure intérieurement pour revenir auprès de ma belle brune qui est toujours aussi pâle, ce qui me peine, réellement. Lèvres pincées, je la rejoins donc et tandis qu’elle lève ses mains en l’air pour m’arrêter, sans doute, je fronce mes sourcils et patiente. « Quoi ? » Je dis immédiatement après ses deux « attends » pour baisser une nouvelle fois mon visage et fixer mes mains, à nouveau. « Je ne vois pas de quoi tu parles. » Je réponds tout bas, à l’image d’une enfant qui vient de se faire prendre par l’un de ses parents et alors qu’elle continue, je ne pipe pas le moindre mot. « Ce dont j’ai envie... » Je prononce, bougonne, en entremêlant mes doigts. « Je ne… Je ne sais pas. » Je mens, évidemment, seulement, si je prononce la vérité, est-ce que je parviendrais à ne pas fondre en larmes ? Car il m’a touché en plein cœur cet idiot alors qu’il se trouve en colère contre la vie, contre le monde et ça, je ne sais pas si je serais capable de le supporter. « S’il te plaît. » Je l’implore à présent, des trémolos présents dans ma voix tandis que ma lèvre inférieure tremble. « Il ne voudra jamais de moi et puis il est colérique et semble violent. Est-ce que je suis vouée à tomber amoureuse d’hommes qui le sont tous, à l’image de lui ? » Cette fois, je retrouve ses prunelles et de mes billes coulent quelques larmes que j’efface à l’aide du revers de mes mains. Puis le silence s’installe et elle reprend au sujet de son petit-ami que je ne connais pas, pour être franche. Alors qu’elle m’assure qu’il est venu lui rendre visite lorsqu’elle se trouvait à l’hôpital, j’esquisse un sourire, mais à la suite de ses dires, après qu’elle ait mentionné Mila, je comprends qu’avec son soldat, ça sent le roussi. « Vous allez vous séparer ? » Je l’interroge tout bas pour me mordre ma lippe inférieure. « Dans tous les cas, sache que je serais toujours là pour toi. Pour te tenir la main, te réconforter, te faire manger de la glace ou encore nous noyer dans autre chose comme des boites débordant de chocolat. » J’appuie mes dires dans des hochements de tête positifs tandis que je m’empare de ses mains.
    InvitéInvité
    feat
    Arrivée
    Multicomptes
    Crédits
    Discord
    Pseudo & pronom IRL
    Anonymous
    Informations
    participer à veritas ?les secrets à ne pas révéler
    Veritas
    Lien du postVen 21 Mai - 10:02
    taggercitereditionsupprimeradresse
    I NEED TO SEE YOUR FACE TO KNOW IF YOU'RE OKAY. - 26/01 - @Gabriella B. Mitchell
    « Quoi ? » Mais je ne me répèterai pas, car clairement, elle a compris ce que je voulais qu’elle entende. Le fait qu’on ne fait pas les choses par devoir, mais qu’il est bien aussi de vouloir. Ca ne sert à rien de jouer l’innocence avec moi, c’est simple, ça ne fonctionne. « Je ne vois pas de quoi tu parles. » Oui, bien sûr, et moi, tu vois, je n’aime pas le café, je le jure, je le promets. Evite, Gaby, il n’y a que toi et moi, ici. Pas d’apparences à sauvegarder, je ne suis absolument pas là pour juger. « Ce dont j’ai envie... » C’est ça, oui, qui importe réellement dans la vie. « Je ne… Je ne sais pas. » Alors tant qu’elle ne sait pas, je crois qu’il n’est plus question de choix. « S’il te plaît. » Il me semble que ça, ce serait plutôt à moi de le prononcer. De nous deux, elle est celle en train de se fourvoyer. A vouloir se convaincre que c’est l’ex petit ami qu’il faut garder. Quand on voit où ça m’a mené, de faire le choix de mon passé. « Il ne voudra jamais de moi et puis il est colérique et semble violent. Est-ce que je suis vouée à tomber amoureuse d’hommes qui le sont tous, à l’image de lui ? » Et de la voir ainsi, à fleur de peau, à essuyer quelques sanglots, je me dis que ce n’était peut-être pas une bonne idée, d’essayer de la mettre dos au mur au sujet des hommes qu’elle a récemment croisé.

    En un soupir, ma paume se pose sur la sienne, dans un désir de lui prouver que je serais là, quoi qu’il advienne. « Gaby… » et la douceur dans ma voix. « Ils ne sont pas tous comme lui. » il est bon de le préciser, prouver que tous les hommes ne sont pas faits sur le modèle de celui qui a pu l’abîmer. « Puis, tu ne le connais pas vraiment, ce Wilby. » Il a peut-être montré, sa façon à lui de se défendre, en amont dur pour être, possiblement, un tendre. « Et un homme pourrait ne pas vouloir de toi ? » Après tout, elle est bien celle qui tonne à qui veut l’entendre qu’aucun ne peut lui résister, n’est-ce pas ? « Aies confiance. » en lui, mais surtout en toi.

    Et juste comme ça, parce que je ne peux pas l’éviter plus longtemps, la conversation glisse sur moi. Et sur Joshua. « Vous allez vous séparer ? » C’est inévitable, je dois l’avouer. « Dans tous les cas, sache que je serais toujours là pour toi. Pour te tenir la main, te réconforter, te faire manger de la glace ou encore nous noyer dans autre chose comme des boites débordant de chocolat. » Et ses mains dans les miennes, j’en craque un sourire. On est belles toutes les deux, tu ne crois pas ? Un soupir s’échappe de mes lèvres, quand je m’essaie à m’expliquer, je ne suis pas du tout douée en ce qui concerne le fait de parler de ce qui me peine. De mes sentiments, qu’ils soient d’amour ou de haine. « Je ne sais pas à quoi je pensais. » A l’instant je l’ai choisi, en août dernier. « J’ai voulu revivre une histoire passée. » Et c’était par avance, fichue. Notre idylle, c’est en deux milles seize qu’elle s’est perdue. « Tu vois, ce n’est pas forcément une bonne idée. » Et je fais l’amalgame avec son Victor, je ne m’en cache pas. « Parce que je me retrouve six mois plus tard à ne pas savoir quoi faire de moi. De tout ça. » Parce que je suis accrochée, malgré tout, malgré moi.        

    Codage par Libella sur Graphiorum
    InvitéInvité
    feat
    Arrivée
    Multicomptes
    Crédits
    Discord
    Pseudo & pronom IRL
    Anonymous
    Informations
    participer à veritas ?les secrets à ne pas révéler
    Veritas
    Lien du postJeu 24 Juin - 0:05
    taggercitereditionsupprimeradresse
    ❛❛ I NEED TO SEE YOUR FACE TO KNOW IF YOU'RE OKAY.

    @Taylor V. Foster

    Soudainement, je ne suis pas des plus à l’aise. Je vois où veut en venir ma meilleure amie Taylor et malgré moi, au début, je fais mine de ne pas comprendre. Le fait est que je ne peux pas faire semblant. Je ne peux pas nier avoir compris ou encore l’avoir entendu et puis je la connais, ma belle brune qui a parfois des allures de tigresse et de ce fait, je sais pertinemment qu’elle n’abandonnera pas, jamais, à ce sujet. Wilby, il a su touché mon cœur dans chaque acte de tendresse, lorsque nous nous sommes retrouvés à l’hôpital, dans sa chambre. Lorsque je me trouvais caler tout contre lui, son bras s’enroulant autour de ma taille, j’ai senti comme des papillons dans mon bas-ventre. Il y a eu ce feu ardent, qui m’a immédiatement animé et qui - lorsque j’y pense, à chaque fois - renaît en ce dernier. À cet instant précis, je le retrouve, il me dévore, mais je m’essaye à l’éteindre. Je n’ai pas le droit de le choisir lui, de l’aimer, car j’ai reconnu dans son caractère, dans son côté lunatique, cet aspect colérique qui me fait si peur, à présent. Francisco m’a détruite, davantage psychologiquement que physiquement. Mon corps s’est plus ou moins remis, en apparence, c’est vrai, mais mon esprit, lui, n’a rien occulté. Malgré mes tentatives désespérées à suivre une thérapie, je n’arrive pas à oublier ce que j’ai vécu à ses côtés et encore aujourd’hui, c’est en nage que je me réveille, la plupart des nuits.

    C’est uniquement lorsque sa main se pose sur la mienne que je reviens à nous, à notre moment. Larmes aux yeux, lèvres tremblotantes, je m’essaye à ne pas fondre en larmes. Après tout, si je suis venue ici, c’est dans le but de tenir compagnie à ma meilleure amie, de prendre soin d’elle, de lui changer les esprits et non pas de me plaindre ou encore de lui insuffler une sorte de pitié, quant à mon passé et à mes amours plus chaotiques les uns que les autres. « Oui ? » Je prononce avant de renifler, lorsqu’elle m’appelle, use de mon surnom. « Je… Je sais. » Je réponds tout bas, visage baissé, à ses mots. Est-ce que je m’essaye de m’en convaincre ? Je ne sais plus. Je pense qu’elle a raison, je le sais, mais parfois, je peine à le croire. « Non, c’est vrai. » Je continue dans un murmure, puisque je ne sais pas qui il est, Wilby, bien que je m’imagine qu’il est dans le genre casse-coups, étant donné qu’il se trouvait dehors durant la tempête de neige. *Un pari ? Une envie de se confronter aux éléments ? De se penser invincible ?* Ses questions, elles ne cessent de s’imposer dans mon esprit et lorsqu’elle m’interroge, j’en redresse mon visage et plante mes prunelles bleutées dans les siennes. « Tu sais très bien que je dis ça sans le penser. » J’en rougis. « Je ne suis pas aussi vaniteuse, c’est une façon de montrer que je suis forte, sûre de moi alors que ce n’est pas le cas. » Je sais qui je suis, à quoi je peux jouer en faisant croire être une autre, une femme que je ne suis pas. « Je n’ai pas confiance en moi, côté cœur. Comment pourrais-je avoir confiance en un autre homme ? » Ce coup-ci, une larme roule sur ma joue et je la laisse faire sans même l’écraser. Après tout, à quoi bon dissimuler ma tristesse ainsi que mes doutes alors que c’est plus que criant ? De plus, je suis en terrain sécurisé avec ma belle amie, seulement, je me questionne sur sa relation à elle, à présent, celle quelle entretien avec Joshua, un ex avec qui elle a renoué. À ses mots, je serre sa main dans les miennes et je reste silencieuse, ce qui est une première. Que dire ? Quoi faire ? J’imagine qu’elle sait que tout est fini, au fond d’elle et comme dit plus tôt, je répondrais présent pour dévorer des glaces avec elle ou encore d’énormes boîte de chocolats. « Ce n’est pas forcément une bonne idée, non. » J’en conviens et je comprends qu’elle fait allusion à Victor. « Le fait est qu’avec l’homme que j’ai retrouvé, je n’ai pas vécu la même chose que toi, je pense. » Car après tout, ça n’a pas duré longtemps, notre idylle, puis j’étais l’épouse d’un autre et qu’il a plié bagages peu après l’avoir appris. « Tu sais, je me pensais amoureuse de lui, à l’époque. Sans doute parce qu’il me traitait comme une reine et non pas en m’assénant des coups. » Je commence à être réaliste, il faut croire. « Du coup, je ne sais plus réellement si ce que je ressentais ou encore ce que je ressens à son égard est véritable. Est-ce que je préfère mettre des œillères en me pensant l’aimer parce que c’est plus simple pour moi ? » J’interroge ma Taylor, désireuse d’avoir son avis, puisque je sais qu’elle sera juste et qu’elle me donnera ses meilleurs conseils, comme toujours, étant donné que je pourrais toujours compter sur elle.  
    InvitéInvité
    feat
    Arrivée
    Multicomptes
    Crédits
    Discord
    Pseudo & pronom IRL
    Anonymous
    Informations
    participer à veritas ?les secrets à ne pas révéler
    Veritas
    Lien du postSam 10 Juil - 22:53
    taggercitereditionsupprimeradresse
    I NEED TO SEE YOUR FACE TO KNOW IF YOU'RE OKAY. - 26/01 - @Gabriella B. Mitchell
    Au fur et à mesure de la discussion, je réalise que l’on pourrait écrire tout un livre à propos de nos émotions. De ce que ressentir, elle et moi, nous pouvons. Deux grandes filles, indépendantes, fortes et brisées. On forme ce duo qu’on ne peut résumer. Et je le vois, dans ses façons de faire, dans sa façon de me parler, dans ses manières, qu’elle ne s’est pas remise de son enfer. Et j’en veux à son ex pour lui avoir fait subir ces choses-là. Plus encore, je m’en veux aussi à moi, car à cette époque, pour elle, je n’étais pas là. Je suis bien consciente que c’est ridicule, car l’on ne se connaissait pas, mais c’est simplement plus fort que moi. Et lorsqu’elle me dit que forte, elle ne l’est pas, je pense tout le contraire, moi. « Je n’ai pas confiance en moi, côté cœur. Comment pourrais-je avoir confiance en un autre homme ? » C’est possiblement stupide, ce que je m’apprête à prononcer, surtout lorsqu’on me connaît. Mais je n’ai rien de mieux en stock, et à défaut de l’aider, peut-être que ça l’empêchera de plus pleurer. « En essayant ? » parce que sans ce faire, elle ne le saura jamais réellement. C’est en tentant qu’elle saura, que ce soit avec Victor, Wilby, ou une autre encore, jusqu’à trouver celui pour qui son cœur battra plus fort.

    Puis me voilà, à parler de celui qui me rend dingue sans même s’en apercevoir, qui est absent, plus que je n’aurai jamais pu le croire. Cette fois, il ne m’a pas abandonné, seulement, je ne sais jamais lorsque je vais le retrouver, ce n’est pas de cette manière, que l’on construit une relation, que l’on fait des projets. « Ce n’est pas forcément une bonne idée, non. » De replonger, absolument pas. Mais on fait partie de celles qui sont bornées, je le crois. « Le fait est qu’avec l’homme que j’ai retrouvé, je n’ai pas vécu la même chose que toi, je pense. » C’est même certain, je me doute que Victor lui faisait, au milieu de son tumulte quotidien, tout simplement du bien. Une échappatoire à son noir destin. D’ailleurs elle me le précise, qu’il était doué pour au mieux la traiter. Jusqu’à ce qu’elle me pose une question au sujet de ses propres ressentiments. Et je ne saurais lui répondre comme elle l’attend. « Je pense que tu sais qu’il te traitera bien. » Parce que tu le connais, parce que tu sais l’homme qu’il est. Parce qu’il s’apparente, entre guillemets, au meilleur que jusqu’à présent tu as connu, et justement, Wilby, c’est l’inconnu, et c’est ce qui fait que tu es autant perdue. « Que ce serait simple. » de l’aimer. « Mais est-ce que ce sera vrai ? » qu’est-ce que j’en sais ? Je suis comme elle, je suis paumée. « Mais il y a une chose que je peux affirmer… » et aussi fou que cela puisse paraître, c’est Gresham qui me l’a appris l’été dernier… « Si tu te poses autant de questions, c’est que ce n’est pas le bon. » Et bien évidemment, ça ne sera pas la finalité de notre conversation. C’est pendant plusieurs minutes encore que nous continuerons, comme on sait si bien le faire, toutes les deux. Décortiquer nos déboires amoureux, pour nous souhaiter le mieux, que nos cœurs ne soient plus jamais abimés ou malheureux.  

    FIN DU RP :heaart: :heaart:      

    Codage par Libella sur Graphiorum
    Contenu sponsorisé
    feat
    Arrivée
    Multicomptes
    Crédits
    Discord
    Pseudo & pronom IRL
    Informations
    participer à veritas ?les secrets à ne pas révéler
    Veritas

    Page 2 sur 2 Précédent  1, 2
    Permission de ce forum:
    Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum