MIN JAE WOO ► park jinyoung

s é o u l
enfant ailleurs - l’enfant aimé, et peut-être étrange ; comme on le pensait si différent, à jamais réellement s’intégrer ; cadet d’une famille qui aime (( on le pense si doux )) cadet qui s’intéresse si vite à la nature ; celui à qui l’on refuse une école parce que le môme est ailleurs, la terre pour lui n’a guère de sens ; quand le gamin s’apparente aux astres ; c’est rejeté qu’il subit l’école, les autres qui rejettent l’imaginaire loufoque ;; et le gamin que l’on dit trop stupide ;; c'est une école prestigieuse que l'on lui refuse (( i n u t i l e )) ; presque vue comme le cancre, pourtant si doué ;; et c'est une rencontre qui change, c'est l'amitié qui amène vers les rêves qu'on ne veut exaucer.

p a r i s
c'est cette école qui conduit à son épanouissement ;; c'est presque une histoire d'amour platonique ;; à ces deux bambins qui partagent le charme français (( h a r u )) ;; c'est l'école qui accepte l'enfant de la lune, à réaliser les songes à s'en cogner le crâne ;; et les fleurs, soudaines pensées, qui fleurissent sur l'épiderme ;; c'est la vie parisienne qui parfois offre la mélancolie, aux désirs de retrouver la terre natale, et parfois à celle d'être ailleurs, de découvrir de nouveaux horizons ;; le diplôme en mains, c’est le drame qui s’annonce, c’est l’aînée qui brutalement s’effondre.

b o s t o n
et là, c’est comme les ténèbres qui s’amassent, quand brutalement le rideau tombe, et là-bas, l’ange qui s'endort, dans l’éternelle candeur. à la burlesque tragédie, aux larmes creusant le visage si doux, à la douceur assassinée de la tristesse, quand l’ange devient pantin de ses sombres songes. (( n a r a )) cauchemardesques nuits, aux insomnies, à y sentir les éternelles tachycardies, le cadet qui devient l’échappatoire, à fouler les pieds de boston pour exaucer les vœux de paix.

z é p h y r
au fleuriste aux songes pleins la tête ;; m i n j a e - home des fleurs ; à la beauté semblable au printemps ;; envoûtant écrivain qui médite sur les mots ;; les proses qu’il étale sur le papier ;; et le syndrome de la page blanche qu’il tente de guérir ; on lui propose un rôle ;; (( animer l'atelier des plumes )) parce qu’offrir le savoir aide l’esprit à s’harmoniser avec les métaphores et autres odes aux plantes ;; c’est la librairie du coin qui l’épanoui, quand c’est les autres qui l’inspirent (( l u i  )) ;; l'enfant qui s’exprime, grande artiste, aux similitudes avec l’aînée.

et la petite boutique du coin de la rue, en plein milieu de la ville, quand le parfait garçon d’à côté charme de ces odeurs de roses, quand les lys capturent l’attention, à s’y arrêter des heures durant lesquelles l’esprit s’évapore en lui.
et les lippes de z é p h y r qui vous guide au pays des merveilles, l e  a l i c e  qui s’exprime dans ses compositions rêveuses.