Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilitynolena ❝ don't say you love me, unless you do - Page 3
I LOVE HARVARD
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  • nolena ❝ don't say you love me, unless you do
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    Lien du postLun 28 Sep 2020 - 20:28
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    elle pourrait pas expliquer. on pourrait lui demander des milliers de fois qu’elle ne saurait dire pourquoi est-ce que l’attraction était si belle, si prenante. elle ne saurait poser des mots sur l’alchimie, sur le besoin de te provoquer. elle veut te posséder et cherche en même temps à te repousser. parce que c’est ça lena ; la contradiction à l’état pur. incapable de réellement s’engager dans quoi que ce soit, la peur maladive de finir encore plus amochée que ce qu’elle était déjà. et si elle était belle la poupée, les traits fins et le visage poupin, elle était surtout complètement défoncée. l’alcool qui vient emplir ses veines chaque soir sans exception, s’enivre le cerveau pour ne plus avoir à penser. elle est trop abîmée pour savoir offrir correctement. conditionnée à penser qu’elle ne méritait pas, qu’elle n’avait jamais méritée. parce que c’était là la seule explication qu’elle avait su trouver pour les galères et les peines infligées. pour l’enfance désastreuse qui avait aussi bien marqué son épiderme que son esprit. je sais pas.. elle avait pas les réponses, les auraient jamais. et dans le fond, peut être que ce n’était pas ce qu’il lui fallait l’important parce que dans la réalité, elle saurait se contenter de bien peu. tout était dans le mérite, mérite qu’elle ne pensait pas avoir pour droit. déverse le poison et la toxicité, préfère passer pour l’horrible personne que laisser entrevoir la dualité entre son esprit et son coeur. tu crois que je sais pas ça ? que c’est toi et toujours toi. que tu l’hantes au point qu’elle ne réponde plus de rien quand il s’agit de toi ? elle en est consciente de cette torture que ça inflige, aussi bien à elle que toi. elle sait à quel point c’est douloureux, prenant. preuve dans les baisers qu’elle t’offre une nouvelle fois, douce addiction qu’elle voudrait perpétrer sans réussir à s’en donner le droit. à épouser tes pulpeuses encore et encore quitte à faire exploser son myocarde dans sa poitrine. j'veux pas t'aimer et je t'aime déjà redoutable puissance des mots mais qui pourtant ne change rien. rien aux conflits, rien aux doutes
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    Lien du postSam 3 Oct 2020 - 12:56
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    Exquise tentation, que de vouloir posséder les pulpeuses, plus encore, pourvu que le myocarde puisse y perdre le souffle, à la cage thoracique abîmée tant il tente de s’échapper, à dire adieu aux jolies paroles, tant ça assassine. Et le jeu tentateur, presque les airs de garçon détestable, tant le rictus arrogant insupporte, et ne guère prendre au sérieux les aveux, peut-être. maybe. Les opales qui détaillent, les pulpeuses qui se meuvent sous les mots blessants, quand ce sont les doutes les bouffons, ou peut-être les démons, à torturer l’esprit déjà tant égaré, et pourtant l’envie de s’y perdre un peu plus, au désir de n’être qu’à elle dans ce jeu destructeur. Peut-être juste incapable de devenir le bon, à rester le pauvre truant, détruire le myocarde déjà si envoûté, et l’alcool qui devient les ténèbres, les nuits à faire perdre pied, et la tête folle. L’alcool qui noie les envies d’elle, lorsque même le corps s’évapore dans les odeurs exquises du nectar des dieux, et s’en jouer, au joli héros, devoir oublier la sirène qui au loin m’appelle, à s’y tenter, dans l’ombre, épouser les courbes qui rendent si désirant. Et la marque que l’on laisse, sur l’un, sur l’autre, à s’appartenir sous toute cette colère, s’attirer, puis se rejeter, marionnette de l’un, pantin de l’autre, et dans ce jeu dangereux, les gamins se retrouvent blessés, à tendre la main, pourvu que l’on puisse se sauver. Et dans l’attente d’une réponse, ce sont les opales qui capturent, et susurrent de me suivre, là où la nuit est constante, là où nos têtes n’ont plus sens. Et ne guère entrevoir la dualité entre elle et moi, à désirer être à elle, et pourtant l’envie tentatrice de rejeter les sentiments nouveaux, à devoir s’y oublier dans les draps des autres, et pourtant geindre son nom. “ tu sais que c’est moi, mais maintenant suis-moi, j’veux que toi, c’est dingue comme je veux que toi, je suis un peu maso, même quand tu m’insultes je te veux. ” et la langue qui glisse entre les pulpeuses, les doigts qui glissent dans le creux de ses reins, à attirer le corps frêle contre le mien, les lippes qui effleurent sa mâchoire, à l’appel qui désire faire perdre pieds, car c’est elle, le fruit des fantasmes. Et à glisser le murmure dans le creux de son oreille “ viens à moi, si tu m’aimes, je t’attends depuis trop longtemps, selena. ” les dents qui capturent le lobe de son oreille, et brusquement les corps qui se séparent, un pas en arrière, puis un autre. Et les opales qui appellent, que la sirène se laisse envoûter par le marin, pourvu que le jeu puisse être l’éphémère éternel. putain de paradoxe.
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    Lien du postJeu 8 Oct 2020 - 9:29
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    elle restera probablement terrorisée à vie des relations et de tout ce que ça implique. gamine sérieusement amochée qui fuit sans cesse le bonheur sous toutes ses formes. et peut être est-ce parce qu’on lui a jamais apprit à vraiment se laisser aller. poupée désabusée qui se complait dans la souffrance comme si c’était là son oxygène quand elle pourrait simplement laisser tout ça s’envoler. et peut être qu’elle pourra jamais vraiment fonctionner comme les autres. les défenses qu’elle a du ériger bien trop envahissante pour un jour pouvoir s’écrouler. selena, mur de glace. garce sans coeur comme certain pourrait dire quant à l’intérieur tout n’est que désespoir et tristesse. personne ne serait jamais vraiment apte à comprendre ce qu’elle avait pu vivre, pourquoi c’était si dur et à quel point elle avait besoin qu’on la laisse seule. alors pourquoi étais-tu venu tout dévaster sur ton passage ? parce que c’était ce que tu faisais noah. renverser la tendance. envahir son esprit et battre son coeur. elle a jamais voulu ressentir tout ça et pourtant, t’étais là à tenter de la nourrir d’espoir quand autant ricky que levi avait bien comprit que tu n’étais qu’une cause perdue. on pouvait pas t’aimer, jamais sur la longue durée. tornade fracassante qui dans la finalité ne faisait rien d’autre que blesser les gens. je.. incapacité à finir ses phrases, y a plus que ses doigts qui s’accrochent à ton tee shirt, tire dessus doucement quand vos lippes s’entrechoquent à l’infini dans les mélanges de sentiment que tu lui faisais exploser au visage. douceur qui émane, pure passion et le vide soudain. le vide quand tu t’écartes et que ses opales t’observent reculer. ses doigts qu’elle porte à ses lèvres, le goût de tes baisers qui restent pour l’éternité. et quand tu me briseras la coeur, je ferai quoi ? parce que c'est souvent comme ça. un pas en avant pourtant, sa main qui se tend pour attraper la tienne. toi, juste toi.
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    Lien du postSam 10 Oct 2020 - 13:17
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    Et la main qui agrippe, attire, c’est les corps qui s’entrechoquent, et c’est peut-être trop intense. C’est là qu’on remarque les membres désarticulés, à en croire les pantins de l’être, peut-être juste trop accros aux mauvais sentiments, abusés de leurs émotions comme de vulgaires marionnettes désespérément attachées au sentiment du myocarde qui s'accélère, et le pauvre fou qui s’accroche machinalement à un espoir que ni elle, ni moi, ne pouvons croire. Ô la jolie ode à l’amour que l’on conte, et dans le secret, que l’on susurre au creux de l’oreille, à la conviction que c’est beau, l’adoration de l’être, au centre qu’est elle, au monde qui s’y met, au cœur de l’univers, on ne sait plus, et c’est les mots qui butent contre les pulpeuses adorées, à l’incapacité de pouvoir poser le moindre mot sur la sincérité qui s’échappe de mes lippes. Aux deux gamins sûrement trop blessés, à s’y vouloir torturés, à se découper morceau par morceau sans savoir réellement où l’exquise douleur pourra nous emmener, et aux songes délicieux de sa voix qui titille le creux de mon oreille, au souffle qui mordille l’épiderme, et qui tard le soir m’emmène aux extases. Quelle douce mélodie, ode à la poésie, et ce sont les opales qui l’observe, pendant qu’elle se répète. je, je, je. Jeu. Être la tornade qui dévaste, à détruire le monde, à vouloir foutre en l’air le mur de glace, selena, et à répéter son nom, à l’observer elle, dans le détail, à la mémoire qui l’imprime : ses yeux, ses lèvres, ses sourcils qui se froncent, à la beauté de sa colère - quand elle ne me déteste guère au final - et au goût de mes baisers qu’elle goûte du bout des doigts, et à ce fichu rictus arrogants qui se peint sur mes lippes, à en croire les beaux roméo. “ et quand toi t’iras piétiner le mien, je ferai quoi ? ” parce qu’on est deux, jamais l’un sans l’autre, et la main qui attire brusquement, peut-être la douleur quand les deux corps se bousculent. Et les opales qui discutent de jolies choses, à vouloir attirer dans le crépuscule, à croire les nuits cauchemardesques, à crier ton nom, là, dans la pénombre, quand dans les draps se taisent la déception et le rire fou. joker. Un pas en arrière, deux pas en avant, peut-être l’inverse, pour finalement tomber éternellement dans les bras. Au putain de paradoxe. “ tu me détestes quand je t’aime. ”  et je t’aime quand tu me détestes.
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