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Lien du postSam 5 Sep - 17:43
les talons qui cliquent sur le sol du bar fréquenté pour la énième. toujours avec le même groupe, toujours les même personnes, toujours noah. et quand elle s’assoit enfin, verre à la main, paille à la bouche, c’est ses opales qu’elle garde de rivé sur lui, observe chaque trait, chaque expression. folie qui consume, anime ses entrailles. simple pensée de toi qui l’embrase, la rend un peu plus dingue à chaque quand pourtant elle hurle aux autres que tu l’a dégoûtes, que jamais elle ne pourrait envisager quoi que ce soit avec toi. mais elle les voit tu sais ? les filles qui te tournent autour. les visages aux traits presque parfait qui viennent te faire la cour. parce que c’est typiquement les scènes qui font naître la rage en elle. les doigts qu’elle serre un peu plus sur sa boisson, se redresse quand elle voit l’idiote poser sa main sur ta cuisse, les envies meurtrières qui inondent son esprit. elle voudrait bien se retenir lena, répondre aux regards interrogateurs des autres qui ne semblent pas comprendre pourquoi cet élan mais elle saurait pas l’expliquer. surtout pas à elle même. mèche de cheveux qu’elle rabat derrière son oreille, quelques pas en avant et le verre qui se vide sur la poupée envahissante, le sourire narquois qui vient étirer les pulpeuses de la brune.oups. et sans accorder plus d’attention, elle se dirige vers l’extérieur, le besoin d’air, l’envie de partir loin. brise d’un vent trop froid qui fouette l’épiderme alors qu’elle sait depuis le temps que tu ne mettras pas longtemps pour la rejoindre. pour hurler encore et toujours. c’est sûrement ce qui la pousse à accrocher le premier idiot dans sa pause cigarette. le sourire enjôleur et les compliments sans fond juste pour un peu de proximité. pour te prouver une nouvelle fois que toi aussi tu détestes ça.
@Noah Yun
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Lien du postSam 5 Sep - 18:11
Toujours les mêmes lumières, à passer d’un néon à l’autre, et l’habitude à frôler l’épilepsie, l'insupportable fond sonore qui concorde avec le bar des multiples désirs, jusqu’à éprouver les corps en transe sur les mélodies d’une médiocre qualité, jusqu’à abreuver les corps en manque évident d’un nectar toxique pour les esprits, à oublier la lucidité, à se noyer dans la stupidité. Et les pieds qui foulent de nouveau le médiocre endroit, palace des jeunes frivoles, à vouloir s’oublier dans les flirts de mauvais goût, et toujours le même petit groupe d’amis, à ceux que le mensonge doute, à dire qu’elle n’est guère le fruit de mes passions, et les disputes incessantes, les voix qui s’écrient comme on se déteste tant, la haine au bout des lippes, et le poison sur la langue. Incapable de l’expliquer, cette addiction folle à vouloir être à elle quand on crie au monde qu’on désire être séparés, à inventer les excuses pitoyables pour refouler le myocarde qui veut foutre le camp vers elle. Et cette fille, ces doigts tentateurs qui glissent le long de la cuisse, guère le frisson qui parcourt l’échine, mais le rictus arrogant à l’observer, ô ma jolie déesse, que l’on vienne nous bousculer une nouvelle fois, parce que c’est l’essence d’un nous électrique. Et le rire, réponse à cet innocent règlement de compte, mâchoire serrée, pauvre fille qui s’offusque, et la folie consume, le corps qui s’élance à l’extérieur, là où la brise fraîche s’oppose à l’épiderme qui s’échauffe, le rictus à l'énervement, à son paroxysme. Et à détester ça, quand ça répugne au plus profond moi, et le corps qui bouscule, pourvu que ce bouffon dégage, et aux opales qui font comprendre, noir, ténèbreux le gamin. La main qui claque fort contre le mur, fait reculer la demoiselle contre celui-ci, parce que c’est légitime : il ne doit y avoir que moi. “ oops, j’crois que j'ai fait fuir ton petit gigolo. ” oops, t’es trop près, j’suis en train de m’y brûler.
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Lien du postSam 5 Sep - 18:22
est-ce que ça s’arrêtera un jour ? cette guerre sans fin. ce besoin de remporter une bataille ou la triste vérité était qu’il n’y aurait jamais le moindre gagnant. elle sait pas où vous allez lena. chemin dangereux que vous ne cessiez d’emprunter quand vos connaissances communes n’avaient de cesse de vous demander d’arrêter. ça crève les yeux qu’ils disent à tout va. lui et toi. toi et lui. ça crève les yeux pour tout le monde sauf elle. parce qu’elle préfère hurler à quel point elle te déteste plutôt qu’avouer que ça lui comprime le coeur quand c’est une autre qui goûte à toi. t’attise juste sa colère, rien de plus. passion malsaine, dévorante, qu’elle repousse autant qu’elle peut. et plutôt que cesser de vous brûler, elle l’attise tout ça. cette haine violente, ce besoin de ressentir la jalousie qui fait battre ses tempes. sourire victorieux qui étire les pulpeuses quand à la fin du décompte de son esprit, c’est ta silhouette qui est finalement là. prévisible. parce qu’elle te connait trop noah. hausse les épaules, l’intérêt déjà loin pour la marionnette choisit dans un court instant.j’en trouverais un autre qu’elle avance de toute sa superbe alors que son dos entre en collision avec le mur, flamme étincelante de provocation dans les prunelles.la jalousie ne te va pas. et si t’es jaloux, pourquoi tu ne lui dis pas que tu la veux elle ? qu’elle est ce dont tu as besoin ? elle crèverait de l’entendre mais c’est plus facile de l’insulter que de l’aimer pas vrai ? elle connaît si bien le schéma.quand est-ce que tu comprendras que je ne veux pas de toi ? à moins que tu sois celui à ne pas vouloir d'elle. ping pong constant de méchanceté pour apaiser les coeurs qui ne demandent qu'à s'aimer.
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Lien du postSam 5 Sep - 18:38
Et t’en crève ? De cette dévastatrice guerre, à celui qui pourrait sortir vainqueur, à celle qui pourrait obtenir victoire. Et à s’en blesser, pourvu que ça reste bon, et c’est une toxique addiction, et t’en crève. J’en crève. C’est le venin sur les pulpeuses, et les opales qui les dévore, à prier les dieux, pourvu que tes courbes puissent m’appartenir. Facilité à se détester, et à attiser les diablotins moqueurs, à voir ceux qui te dévorent, à l’imagination loufoque qui me torture, et à imaginer les rapaces qui te veulent comme proie, tandis que je songe à te faire l’amour, tandis que dans mes rêves, mes lippes l’épouse, à connaître chaque parcelle d’elle, à m’en souvenir même dans les nuits de l’oubli. Et c’est le rictus arrogant sur les lèvres, la langue qui glisse sur la fine peau des pulpeuses, le corps qui s’approche du tien, deux doigts qui remonte ton menton vers moi, aux visages qui s’approchent, dangereuse proximité, aux souffles qui s’entrecoupent, à ceux qui s’attirent. “ la jalousie me va, elle me sied parfaitement bien, mais être langue de vipère… hm, c’est attirant, c’est ça que t’aimes ? ” aux lippes qui effleurent l’épiderme, aux murmures qui te supplient, ô ma selena. Et à l’ode aux amours interdits, aux lèvres qui l’effleurent, et les murmures qui interrogent : est-ce cette douceur qui l’intrigue ? Et à la voix rauque qui vient s’éteindre au creux de son oreille, et attiser les feux ardents, à la colère à son paroxysme, et à l’arrogance qui s’écrase contre l’épiderme. “ et tu sais, j'vaux pas mieux que les autres, mais avoue le toi, j'vaux mieux que tous ceux qui te baisent les pieds, t'es incapable de faire sans moi, tu veux que moi, t'es si aveugle, j'vais te faire voir que je suis le seul. ” brusques, les pulpeuses qui possèdent les siennes, le temps d’un instant. La main qui claque de l’autre côté de sa tête, et les lippes qui possèdent ardemment, quitte à faire naître la furie.
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Lien du postSam 5 Sep - 18:51
est-ce que tu serais capable de l’aimer noah ? et c’est l’esprit ravagé qui hurle la négation. personne ne pourrait t’aimer selena. poupée désarticulée, abimée par le temps. l’impossibilité à offrir quoi que ce soit, noirceur qui recouvrent l’épiderme, les pensées. beauté empoisonnée par le temps et les gens qui se complait dans son propre malheur, n’a de cesse de s’enfoncer toujours plus loin dans les méandres du chaos convaincue qu’elle ne mériterait jamais mieux. et c’est le battant qui fait taire les bruits de fond, proximité qu’elle redoute entre vous. l’allume et la terrifie en même temps. pince les lippes pour garder son calme quand ton souffle s’abat sur son visage -mélange mentholée à l’alcool ingurgité.je sais ce que je n’aime pas en tout cas. toi, toi. toi qu’elle déteste au yeux du monde. toi qu’elle méprise à chaque fois que vos regards se croisent et son corps qui hurle pourtant tout l’inverse. les joues qui se teinte de rouge. fureur qui naît au creux de ses veines, tempête que tu déclenches par les mots que tu maîtrises si bien. les bouches qui s’écrasent, se possèdent, sa main qui vient claquer si fort contre la peau qui est tienne quand pourtant tu ne recule pas. danse lascives entre vous, met son coeur en émoi, ce même coeur qui agonise à cause de toi. et elle plante les ongles violemment contre tes hanches, te force à cesser les baisers que tout son être redemande. à bout de souffle, violence dans le regard qu’elle relève vers toi.j’ai jamais voulu de toi noah le rire qui s’élève dans la pénombre, souffle doucement.je voudrais jamais de toi. trémolos dans la voix, prouve le peu de conviction au propre mot qu'elle jette.ne refais plus jamais ça jamais.
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Lien du postSam 5 Sep - 19:11
Et c’est ici qui tout prendre sens, au corps qui réclame à celui qui se paralyse lorsqu’un autre daigne offrir ce dont je suis incapable de ressentir, et c’est pourtat le bordel dans la haine. Et dans le paroxysme d’une haine à s’en mépriser, elle et moi, j’en crève d’amour. Pourtant, c’est le myocarde dans son dégoût qui désire s’enfuir vers elle, à s’en donner à corps perdu, quitte à ce qu’elle me blesse, à faire de moi son jeu favori, pourvu que je lui rende bien. Alors c’est sur les pulpeuses qui se déchaînent, et l’épiderme marqué, et l’ardence qu’elle me rend, le rictus fier sur les lippes, s’y accrochent, perdurent, et le râle rauque qui s’échappe lorsque les ongles pénètrent les chairs. Et à l’odeur mentholée, et écœurante d’alcool, qui s’échappe de nos souffles, et là que tout devient une addiction, pure simplicité de savoir l’aimer. “ tu veux pas de moi, mais c’est ton corps qui est attiré par le mien, putain c’est trop con, pas vrai ? ” et brusque, le corps qui se détache, dans la violence, se détache d’un appel si tentateur. Et parce qu’on le doit, se détester, parce qu’on se répugne, parce qu’on le jure, à blasphémer sur les dieux. Et c’est le venin qui ressort, disquette rayée, les mots que l’on endure, quand on commence à peine s’aimer dans le jeu, ou à jouer dans l’amour. Putain de réaction chimique au goût de l’éphémère, mais qui perdure sur l’épiderme, et s’imprègne en moi comme une mauvaise routine. “ t’aime juste me baiser de temps en temps, quand t’as décidé d’arrêter d’être une connasse, c’est ça ? j’suis ta pute, hein ? ” et au goût amer d’un rire jaune, quand la gorge déploie l’arrogance mêlée à la déception quand tu sais pas m’aimer, selena. C’est la main, rude, rêche, que je passe dans mon épaisse chevelure, et mordre la fine peau des lippes quand la nervosité me prend à son tour, pute de mes propres émotions. “ tu te joues de moi, si bien, hein ? c’est ça que t’aime, j’suis ton gigolo personnel, mais c’est mal, tu veux pas de moi mais c’est mon prénom que tu cries. ” et à attiser les feux, à l’espoir que tu puisses un jour m’appartenir, j’attise la furie, que tu puisses t'abattre sur moi, pourvu que je sois le seul à exister.
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Lien du postDim 6 Sep - 10:27
ou refait le encore, éternellement. pas de juste milieu. ou tu t’en vas loin, quitte son coeur et les obstacles ou tu restes. pour l’éternité. elle n’en accepterait pas moins, ne le formulera non plus. c’est un jeu de devinette, un putain de plateau ou tu dois décider sans savoir. parce que lena n’a jamais fait les choses comme les autres. parce qu’elle empruntera toujours les chemins les plus tortueux plutôt que les rues éclairés. toutes les émotions violentes qui s’entrechoquent quand elle ne sait pas quoi dire. sors l’inverse de ses pensées, répand une toxicité sans nom dans l’espoir de te faire lâcher prise. mais qu’est-ce qu’elle fera quand tu seras partie ? sûrement rien, pas grand chose. à nourrir les regrets devant le manque de courage, à continuer d’hurler qu’elle te hait plus que tous les autres. que t’es le pire -quand t’es finalement le meilleur.l’espoir fait vivre sourire carnassier, ferme les yeux une nouvelle fois devant l’évidence. tu inventes, tu mens. elle n’est pas attirée par grand chose, sûrement pas par toi. les quelques exceptions ne sont dût qu’aux hormones parce que jamais elle t’aimera lena. elle t’aime déjà à en crever parfois.ma salope rectifie, ironie palpable quand elle se joue de toi.je t’ai jamais laissé le moindre billet. souffle, tire sur le chemisier, air de défi dans les prunelles.pourquoi tu fais la victime ? ridicule. croise les bras sur sa poitrine, toise du regard ta silhouette.t’en as autant eu envie et t’as tout autant été un connard ensuite. relation tordue ou vous étiez deux à vous tirer continuellement dessus. les insultes, les coups et tout ce qui pourrez satisfaire vos envies de destruction.t'as même dit à tom, je cite, elle est inintéressante et n'est même pas un bon coup. heureusement que j'avais huit verre dans le sang pour faire passer le moment. roule des yeux, deux pas en avant pour réduire la distance.pourquoi vouloir être le seul quand j'suis pas digne de ton intérêt ? tu vois noah, tu joues tu perds.
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Lien du postDim 6 Sep - 11:36
Et à refaire toujours les mêmes erreurs, à quand l’éphémère de l’aimer, à quand l’éternel de nourrir le dégoût, peut-être bien l’inverse, parce que c’est un coup de poker. Et à vouloir trop se détester, et à finir par s’aimer, quand l’évidence nous ronge, parce que c’est là que ça devient l’évidence, finalement, c’est quand elle ronge, quand l’épiderme est bouffé, et quand dans la tête l’envie d’elle. Comme un château de carte, la brise destructrice, à en voir l’éclat d‘une relation toxique, à voir que c’est tordu pour les autres, pourtant si sain à nos yeux, au venin qui nous insulte, et à nos corps qui se réclament, ivres ou sobres. Et le rire nerveux, le rictus toujours si arrogant, à faire croire aux belles poésies, à faire croire que tout va bien quand j’crève d’amour pour elle, quand tomber amoureux devient le rose qui empoisonne, fleur du mal. Les opales qui détaillent, langue qui glisse sur la fine peau des lippes, à en voir qu’elle change, à croire que le mensonge ne sied guère à celle qui rend fou, et apporte la folie sur un plateau d’argent. “ putain mais même toi t’y crois pas. tu me fais bien rire sous tes airs de pétasse prétentieuse. ” et la langue qui caresse le venin quand le myocarde s’affole, putain c’est ces airs qui m’attirent. La mâchoire si fine qui détaille la colère, à son paroxysme, l’être qui bouillonne, à l’épiderme qui consume, qui est consumé, les opales qui transpercent, à vouloir lire dans son être comme dans un livre ouvert, à vouloir en connaître chaque parcelle, et les opales qui détaillent le corps, les dents qui agrippent la peau fine des lippes jusqu’à s’en blesser. “ c’est pas ça que t’aime ? notre petit jeu ? ” et je jure devant les dieux, blasphème, scandale. Que l’autre se taise, parce que c’est bon avec toi, c’est là que je vis. Et la main qui glisse au creux de tes reins, et nos corps qui s’aimantent, quand le mensonge n’a guère besoin de vivre, ce sont nos être qui clament la vérité. Le souffle qui s’écrase derrière ton oreille, qu’on fasse ça pour l’éternité, joue ma belle. “ sens-le, sens que je suis le seul pour ton corps, sens que t’es la seule aussi, arrête de jouer, tu sais très bien qu’on pourra jamais se retenir, selena. ” et la voix rauque qui éteint le mensonge maquillé, susurre la cruelle réalité de notre poison.
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Lien du postDim 6 Sep - 19:30
à venir te plaindre des mots envoyés, de ses actions. à venir réclamer des choses que tu n’est même pas capable d’assumer. parce que tu vaux pas mieux dans le fond, tu tiens le même discours à répétition. ne cesse de la rabaisser encore et toujours pour finalement venir lui murmurer des semblants de mot doux et de dépendance dont vous ne sauriez quoi faire en réalité. relation qui aspire dans un gouffre infernal, retire parfois l’espoir d’avancer un jour. trop malsain pour l’autre, trop ravagé pour vous offrir quoi que ce soit de bon.connasse, pétasse énumère de ses doigts les insultes prêtés en si peu de temps sans y accorder réellement la moindre importance. rire cristallin qui résonne dans la rue alors que ses mains se placent sur ses hanches, souffle doucement son dépit.toujours le même discours, c’est plus intéressant. et en réalité, ça picore le coeur d’entendre les noms d’oiseaux dont tu l’affubles quand elle ne cesse de s’accrocher si fort à toi sans même le vouloir.notre ? arque un sourcil, provocation qui revient en première ligne. parade de sarcasme prêt à entrer en jeu, coupé par ta main qui l’accroche, vos corps qui se combinent, l’appel redoutable.hun hun tu peux déclencher le meilleur des frissons qu’elle ne t’accorderas pas la victoire si facilement. elle les connait les gars dans ton genre. les esprits perfides qui tentent de lui vendre un conte de fée quand elle ne sera jamais plus qu’une figurante. elle a apprit par coeur à se méfier de l’humanité et des fausses promesses balancées.t’es le seul noah, je donnerais n’importe quoi pour être à toi minaude comme une enfant, l’ironie palpable. parce que y a rien de sérieux dans ses intonations. vérité pourtant sortie mais qu’elle ne pourrait pas assumer.et là, tu penseras avoir gagné, en profitera pour raconter à tout le monde à quel point je suis dingue de toi pour finalement me briser le coeur parce que.. c’est notre petit jeu. soupire doucement, la main qu’elle pose sur ton torse, commande un recul.c’est à force de fréquenter des idiotes que tu crois que ça marche comme ça ?
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Lien du postMer 9 Sep - 12:56
Et à venir se lover dans le désespoir, à croire les insultes lancée à son égard, à croire que le poison, de cette langue vipère, au délicieux fantasme d’un garçon odieux, et ces faux airs de mauvais garçon. La toxique addiction de s’aimer lorsqu’on se déteste, et aux corps qui s’aimantent, délicieux proximité qui me rend dingue, à me faire perdre les mots, à presque lui dire, oh putain que je t’aime. Et cette manière de l’arrogance au goût de l’ironie, ou peut-être l’attirante ironie arrogante, à celle de son rictus lorsqu’elle me déteste plus encore, cette manie étrange de vouloir qu’elle me blesse plus encore, pourvu qu’elle continue de jouer avec moi, qu’on soit deux pantins, à croire qu’on se contrôle. Et ce sont les opales qui admirent ses lèvres, à cette langue joueuse qui joue des miennes, à s’en perdre sur les bouts de chairs que je veux enflammer. Opales qui glissent, sur les traits de son visage, et les mots écho dans le crâne, au gamin qui ose s’y perdre, en elle, à s’imaginer le loufoque, à se persuader le dégoût. Rictus arrogant au coin des lèvres, à observes ces détails, colère qui titille la demoiselle, à s’accrocher encore plus à elle, sans même n’en désirer la moindre étincelle. “ tu parles beaucoup, jamais sans agir, c’est incroyable comme t’es langue de vipère quand même. ” et prends-moi, quand je suis tout à toi. Et à en voir de toutes les couleurs, à me détester, à me haïr jusqu’au plus profond de toi, sois-en bouffée jusqu’à la moelle, pourvu que ça ne soit que moi dans ton esprit, à te bousculer, à dire mon nom même quand j’suis pas là. Et c’est la mâchoire qui se dessine, et l’ironie que l’on ne supporte guère plus, à détruire les belles paroles, à susurrer les mots durs, brusques. Et le rire, sans émotion, adieu les jolis poèmes, les malheurs que l’on conte, et les bonheurs loufoques que l’on imagine avec trop de conviction. On imite du doigt les discours, et les violons, autant y pisser. “ et toi ? c’est à force de fréquenter des connards que t’es devenue de pierre ? ” le corps qui recule, les mains qui se lèvent, et on dépose les armes, le corps qui s’élance ailleurs, à crier de ne plus jamais revenir, à ne guère se sentir attiré, et pourtant le buste qui se tourne, lance le regard de défi. “ va dire à tes amis que noah a tiré sa révérence, toi et moi, le sexe, tout ça, c’est fini, tchao bella. ” ô le mensonge, vilain, à ne pas y croire quand je veux m’avouer qu’elle est moi, ancrée là sur l’épiderme.
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