it's all around the world ★ dimanche 5 juillet ─
w/ @Matteo G. Versace

Pourquoi c'est toujours @Paolina Diestrovich qui te traîne dans des plans divers et foireux ? Des soirées qui, sur le papier, sont sommes toutes des plus banales, jusqu'à débarquer et te retrouver propulsée au milieu d'une foule comme venue d'une autre planète. en soit, ils sont tous de la même planète que toi, hin. C'est juste que toi, t'as pas encore assez d'alcool dans le sang pour te retrouver à planer comme eux. T'es là, assise sur un petit fauteuil à te poser mille questions sur le sens de la vie et ton utilité à cette soirée, ta bière à la main alors que t'as perdue ta copine parmi la foule. Tu veux juste rentrer à l'hôtel et aller te glisser dans le lit d'@Ottis Heimann, mais le destin semble en avoir décidé autrement alors qu'une copine de la pfor te traîne avec elle vers un jeu d'alcool. Bon ok, cinq minutes et tu te casses. Tu farfouilles dans ta poche pour prendre ton téléphone en envoyer le dixième message à Pao "t'es où ???!!!!" (avec tous ces points d'exclamation oui oui). Dans la contemplation de ton téléphone, tu ne tiltes pas tout de suite ou est-ce que tu viens de prendre place et lorsque tu redresses le nez, c'est pour découvrir le goulot d'une bouteille au sol tourné vers toi. Tu relèves encore plus la tête, découvres tous les regards du petit cercle tourné vers toi et... son visage juste en face. Ouais, Louis. Enfin, heu.. Matteo. Bordel, mais qu'est-ce qu'il fou ici ?! A tokyo, à cette soirée, à ce jeu d'alcool, poussé vers toi par le destin et cette bouteille à la con. « oh bordel, c'est toi ! » ouais Kat, c'est lui. Tu veux pas jouer à ce jeu, tu veux te casser d'ici. Tout ça t'apprendra à suivre aveuglement une nana de la pfor en fixant l'écran de ton portable sans regarder où tu vas. Tu le pointes du doigt avant de désigner une autre partie de la pièce, l'air de lui imposer de te suivre. Tu te lèves, il fait de même, y'a quelques sifflements dans le groupe de joueurs et tu roules des yeux au ciel. Tu sors sur la terrasse du gigantesque appartement où se trouve la soirée et déposes tes avant bras sur la rembarque, ta bière toujours à la main, le regard vers l'horizon avant de finalement te tourner vers lui, les yeux grands écarquillés, tu lances « sérieusement, je suis choquée de te voir ici. » c'est à peine visible sur ta tronche, hm.

code by lumos s.

Voilà que même à Tokyo, je me retrouve dans une soirée. Putain, je ne m'éloigne jamais de mes démons. Je me lance dans la soirée, à boire bien entendu. Je tiens bien trop l'alcool pour être ivre, alors j'enchaîne les verres et les petits shots. Les mecs veulent s'amuser, alors on se lance dans un bière-pong. Je bois de temps en temps dans le verre plein d'alcool, un mélange, c'est dégoûtant. Nous continuons de boire, mais nous changeons de jeu. Ils veulent jouer au jeu de la bouteille, ouais, comme lorsqu'on avait 12 ans quoi. Je refuse, mais ils insistent. Cette fois-ci, nous ne sommes pas en cercle, nous ne sommes pas placés de sorte qu'il y ait un garçon, une fille etc etc. Nous faisons tourner la bouteille et nous embrassons la personne qui est désignée. Tout le monde y passe, c'est plutôt fun, mais lorsque je tourne une nouvelle fois la bouteille, cette dernière tombe atterri aux pieds d'une jeune femme. Olivia, non Katalia est là à Tokyo et en plus de ça, à cette soirée. Les mecs sifflent, me pousse à l'embrasser. Non, même pas en rêve, sauf qu'elle ne m'aide clairement pas en faisant signe de la suivre. Je lève les yeux au ciel, alors que les mecs en rajoutent. Je me redresse, la suivant, une bière à la main. Je sors sur la terrasse immense, de cet appartement immense. "Pourquoi es tu étonné ?", je lui demande d'un air amusé en prenant une gorgée de ma bière. "Tu n'as pas l'air de t'amuser...", je lui fais remarquer. Je pose ma bière sur la rembarre assez large pour qu'elle tienne. Je sors mon paquet de clopes de la poche de ma veste, puis en allume une. Je tire dessus, et repose mon regard sur Katalia.

w/@Katalia Borgia-Locke

Accoudée sur cette rambarde, tu fais mine de regarder au loin avant de finalement te tourner vers lui, ne sachant cacher ton étonnement. « parce que je ne me suis toujours pas remise d'avoir appris qu'on est dans la même université, et encore moins que t'es Matteo Versace. » tu ris doucement. Ça et du coup le fait qu'il se retrouve dans le même voyage d'étudiants que toi, le summer camp. T'es donc assignée à passer ton été à le croiser sur le territoire asiatique. Tu l'imites, viens boire quelques gorgées de ta bière, un peu vite car t'es perturbée par la tournure de la soirée. Il s'allume une clope en annonçant une vérité que tu n'arrives pas à cacher. Tu soupires doucement « ouais, je veux rentrer, mais j'ai perdu ma copine dans la foule, hors de question que je la laisse seule ici. » Elle est fêtarde Pao, mais ici vous êtes en terrain inconnu et vous ne connaissez presque personne à la soirée. Hors de question de la laisser seule et éméchée au loisir d'un type louche, par exemple. Peut être que c'est un putain de coup du destin, que de l'avoir mis sur ta route ici et maintenant, histoire que tu puisses enfin lui balancer ces trois petits mots que t'arrives jamais à dire... « je suis désolé. pour l'autre jour à la soirée, t'avoir fait sortir par la sécurité. et puis d'avoir menti sur mon identité, aussi... » les derniers mots, tu les prononces tout doucement et sans le regarder. C'est bon, déjà que tu t'excuses (choses très rare chez toi), tu ne vas pas non plus le dire fort et dans les yeux non plus, faut pas trop t'en demander. C'est la première fois de ta vie que t'avais fait ça, mentir si longtemps sur toi-même, à quelqu'un. Mais vu qu'il a fait la même chose, vous êtes à égalité du coup, nan ?

A sa demande, je la rejoins. Ma bière à la main, je suis Kat jusqu'au balcon et me sors une clope. "Woah, ça te perturbe à ce point !", là, c'est moi qui suit étonné. Je suis Matteo Versace oui, mais elle est Katalia Borgia et oui, nous sommes bizarrement dans la même Université. Après, nous ne sommes pas dans la même branche d'études, c'est peut-être pour ça qu'on ne s'est jamais croisé. Les soirées étudiantes sont tellement énormes que là aussi, on ne sait peut-être jamais croisé. On se retrouve même ici, à passer les vacances en Asie, après avoir passé un mois en Australie l'année derrière. Décidément, je crois que le karma a décidé que nous allions souvent nous croiser. Je tire sur ma clope, et je remarque bien que la belle brune semble se faire chier. "C'est qui ta copine ? Tu veux que t'aide à la chercher ?", je lui demande, tirant sur la clope et attrapant ma bière pour prendre une gorgée. Je peux comprendre qu'elle soit inquiète pour son amie, on se trouve dans un pays inconnu et on ne connait personne. Certains des étudiants d'Harvard sont là, mais il y a aussi des étudiants de Tokyo. Ici aussi, les gens sont complètement cons et peuvent faire des conneries. Je me retourne, pose mes avants bras sur la rembarre. Katalia reprend la parole pour s'excuser, deux fois même. Je la taquinerais bien un peu, mais elle semble sincère et sérieuse. Elle ne me regarde même pas. "Pour la soirée, ce n'est pas grave, tu ne pouvais pas savoir...", je lui répond dans un premier temps, avant de reprendre, "...je m'excuse aussi, d'avoir menti sur mon identité...on aurait dû se dire la vérité...mais j'ai passé un super mois avec toi et je ne le regrette pas !", je lui avoue en souriant, regardant devant moi tout en tirant une nouvelle fois sur ma clope.

Tu ris doucement à ses mots avant de rétorquer « d’habitude, je suis imperturbable. mais que veux-tu, te devrais te sentir flatté. » tu ne peux t’empêcher de plaisanter. Bah quoi ? mieux vaut en rire qu'en pleurer, de cette situation plus qu'étrange et gênante. La situation ne sera ainsi que si vous le décidez. Vous pouvez à la place décider de vous expliquer et qui sait, peut être vous entendre ? Ça te changerait tiens, d'avoir un "ex" avec qui tu t'entends bien. Pour une fois que ça ne se termine pas mal, dans les cris et les larmes, il faut que t'en profite. Il te propose de t'aider à retrouver Pao et tu hausses légèrement un sourcil, agréablement surprise. En fait, c'est assez perturbant, car tu l'as tout de même connu pendant tout un été, et pourtant, t'as l'impression de ne pas le connaitre. Pourtant c'est le cas, il avait menti sur son prénom, mais pas sur tout le reste, non ? Un caractère inventé, c'est impossible à tenir aussi longtemps. L'été dernier, avant de partir pour l'Australie, il t'avait tout de suite tapé dans l’œil de part son charisme et sa sympathie, alors pourquoi désormais cela semble t'étonner qu'il le soit encore, sympa ? Bref, tu ne cherches plus à comprendre le bordel dans ta tête et te contentes de répondre à la place « c'est Paolina Diestrovich, je sais pas si tu connais. une grande brune canon qui parle fort et qui rie beaucoup lorsqu'elle a un coup dans le nez. » à peu près comme plein d'autres gonzesses de la soirée, un peu comme toi aussi hahem. Bref, ta description est nulle, mais t'as pas su faire mieux. Le temps des excuses arrive, tu ne le regarde pas en face cependant, désormais penaude. Tu te contentes de hocher la tête de haut en bas suite à ses mots. C'est clair que vous auriez du être honnête, mais bon... « tu te rends compte que, sur la fin du voyage, je m'en suis un peu voulu d'avoir menti... si j'avais su ! » tu ris en portant la bière à tes lèvres que tu termines cul sec. « j'ai passé un super moment aussi. mine de rien, le fait d'avoir semblé se lancer dans l'inconnu, ça a rendu tout ça encore plus fun. » tu restes un peu songeuse. C'est clair que si tu avais su son véritable nom dès le début, peut être que tu ne te serais pas tant lâchée pendant ce voyage. C'est sur, même. Tu aurais comme d'habitude voulu paraître parfaite et lisse sous toutes les coutures, auprès d'un type faisant parti de ton milieu. « on oublie tout ce bordel alors, on repart sur de bonnes bases ? »

"Est-ce que ça veut dire que je te perturbe ?", je rétorque pour la taquiner. Quoi ? C'est elle qui a dit qu'habituellement, elle est imperturbable, ce n'est pas moi...Je suis content qu'on puisse réussir à s'entendre, vu qu'à Londres, c'était mal parti. Elle comme moi, nous avons menti. Nous ne pouvons pas être fiers de cette connerie, ce n'était pas bien, mais ça nous a permis de savoir ce que c'est d'être deux personnes simples. Je lui propose de l'aider à chercher son amie, puisque visiblement, Katalia a été abandonné. Je ne la connais pas, mais j'espère qu'il ne lui est rien arrivé. "Hmm, ouais une nana comme toi quoi...", je ris. Elle passe ensuite aux excuses et je fais de même. Nous avons tout les deux étaient cons, mais on ne peut rien changer du passé. Aujourd'hui, nous avons la chance de se retrouver et d'être nous même, alors allons-y, et soyons honnête cette fois- ci. "Pourquoi ? Ce n'est pas comme si tu comptais me revoir...", je réplique en haussant les épaules. Moi, j'aurais aimé la revoir et lui dire la vérité, mais elle, clairement pas. Je l'écoute, je lui souris d'un air amusé lorsqu'elle reprend la parole, mais je ne répond rien. Non, je préfère prendre une gorgée de ma bière. "Bien sûr, j'espère que Katalia est ton vrai prénom", je ris, tout entrant à l'intérieur, pour qu'on puisse se mettre à la recherche de son amie. Sa description n'aide pas vraiment, car des nanas brunes canons il y en a pleins. En plus, les filles parlent automatiquement fort lorsqu'elles ont un coup dans le nez. "Tu sais si elle connait quelqu'un ici ?", je lui demande en attrapant sa main, pour ne pas la perdre. Il y a beaucoup de monde, j'ai déjà une nana à chercher, deux ça ferait quand même beaucoup. Alors nous scannons d'abord le salon, personne. Je tire Kat jusqu'à la cuisine. "Tu la vois ?", je lui demande.

« ne me fait pas dire ce que je n'ai pas dit. » tu rétorques avant de lui tirer la langue. Merde Kat, qu'est ce que t'es en train de faire ? t'es comme ça, t'es une joueuse, t'aimes beaucoup trop piquer. Mais il ne serait pas question de repartir sur cette pente là avec lui. Plus le moment, pas l'envie, c'est juste un réflexe, un instinct, chez toi. Qui finalement te fait rire aux éclats avant que le sujet arrive sur ta copine. Au fond, ça te fait un peu plaisir de constater que la complicité, bien qu'encore très fébrile et timide, n'ai pas disparue après votre au revoir de l'an dernier. Peut être qu'il y a moment de faire quelque chose de bien entre vous ? d'oublier les rancœurs, les erreurs, et d'être de bons amis ? « non, elle est moins subtile que moi mais plus belle. » tu réponds en riant doucement. T'es un peu piquée par ce qu'il te dit, car, au fond, il n'a pas vraiment tord. Ouais, l'an dernier t'avais vraiment vu ça comme une aventure d'été, hors de question de le revoir par la suite. Ça avait dès le début dans ta tête une parenthèse pour te sortir de ta vie et de ton quotidien. Bon finalement aujourd'hui, tu te rends compte que c'est un fail monumental car il est dans la même université que toi et surtout issus du même monde que toi... Le frère de ta copine Oriana en plus, le monde est beaucoup trop petit... Il te sort de tes songes avec ses mots au sujet de ton prénom et tu viens terminer ta bière cul sec avant de répondre après quelques secondes « c'est mon vrai prénom, Katalia Olivia Borgia, enchantée. » tu lui tends une main avec un sourire, l'air de dire "on repart à zéro, sur de bonnes bases ?" La recherche de Paolina est lancée alors qu'il attrape ta main pour te tirer dans ton sillage à travers l'immense appartement. Dans la cuisine, tu plisses les yeux pour observer la foule, pas de Pao en vu. Tu secoues tristement la tête de gauche à droite pour répondre à ta question avant de poser ta bouteille de bière vide sur le comptoir et t'en prendre une nouvelle. Juste la troisième et dernière, pour la route. Tu dois rester passablement sobre pour retrouver ton amie et surtout, ne pas perdre la face devant Matteo. Tu avances dans un couloir au hasard pleins de portes et commences à ouvrir la première. Rien ni personne. Seconde idem. La troisième porte s'ouvre sur un couple à moitié à poil collé serré sur un lit « oh mon dieu » Tu refermes la porte aussi sec et manques de faire échapper ta bière de ta main sous le choc de cette vision avant de mettre une main devant ta bouche pour retenir un rire en croisant son regard.

Maintenant qu'on s'est expliqué, nous pouvons repartir à zéro. Je m'amuse à la taquiner, à l'embêter un peu et elle ne le prend pas mal, bien au contraire. L'année dernière, tout était naturel entre elle et moi. Nous pouvions être nous-mêmes, sans forcément dévoiler notre vraie nature. Nous étions plus naturels en étant deux menteurs. Aujourd'hui, on dirait que le destin a décidé de nous jouer un tour. Peut-être pour que nous puissions quand même être nous-mêmes, mais cette fois-ci, en connaissant la vérité. Nous faisons donc la paix et j'accepte de l'aidé à chercher son amie, qui est quelque part ici. "Une nana plus belle que toi....ça sera simple à trouver !", je ris avant de me taire. Oui, je la pique une nouvelle fois, mais elle le mérite un petit peu quand même. En plus, elle devra s'y faire puisque nos chemins semblent aimer se rencontrer. L'année dernière pour l'Australie et ces dernières semaines, où nous avons remarqué que nous sommes à la même Université et que l'une de mes amies les plus proches, n'est personne d'autre que sa cousine. Bon, elles ne s'entendent pas, mais quand même. Je fais même un commentaire sur son prénom et là, elle fait comme si nous étions entrain de nous rencontrer pour la première fois. Je hausse un sourcil, un air amusé sur le visage alors que je lui serre la main. "Matteo Giuliano Versace, ravis de faire votre connaissance...". Très bien, repartons à zéro, elle a bien raison. Je lui souris, puis on se lance dans la mission : à la recherche de Paolina. Je la traîne jusqu'à la cuisine, où je lui demande si elle la voit. Je regarde les jeunes filles, elles sont mignonnes, mais pas belles. C'est bien ce qu'elle m'a fit non ? Qu'elle est belle. Je la laisse filer dans un couloir, un oeil quand même sur elle, j'attrape une bière, puis je la rattrape. J'entend un bruit de fracas et lorsque j'arrive à la hauteur de Kat, je bois sa bière au sol, sa main sur sa bouche. "Qu'est-ce qu'il y a ?", je lui demande inquiet alors qu'elle lâche une petite expression qui me fait rire. "Oh tu peux m'appeler Matt tu sais, mais Dieu ça me va aussi...", je ris, alors qu'elle m'explique ce qu'elle vient de voir. Fronçant les sourcils, j'ouvre la porte pour voir et la referme aussi tôt. Woah, ils sont vraiment souples ces deux là. "C'est elle ?", je lui demande, car honnêtement, c'est clairement pas le visage de la jeune femme que j'étais entrain de regarder. Je la regarde, buvant une gorgée de ma nouvelle bière.

Ta bière qui vient finalement s'échapper de ta main et se renverser au sol, c'est malin. Le bas de ton jean est tout trempé du breuvage moussant et tu te penches rapidement pour ramasser la petite bouteille de verre désormais presque vide. Tu soupires longuement en passant ton regard sur le bas de ton pantalon. On dirait juste que t'as décidé de tremper tes jambes dans une piscine en oubliant de retirer tes fringues... ridicule. Rapidement tirée à la réalité par sa petite vanne, tu finis par laisser tomber cette drôle d'expression à moitié choquée sur ton visage et rire à ses mots. « je vais rester sur Matt, si je t'appelle Dieu tu risques de te sentir pousser des ailes. » Tu lui expliques alors ce que t'as vu, et lui il faut quoi sérieux ? au lieu de juste te croire et continuer les recherches, il pousse la porte. Comme s'il ne t'avait pas cru, ou comme s'il voulait voir ça de ses propres yeux hm... « non non, c'était pas elle. » tu lâches doucement. Il sirote doucement sa bière, toi la tienne est complètement vide. T'as les doigts tous collants et ton jean ne ressemble plus à rien. Tu dois vite trouver une salle de bain. Tu lui piques sa bière des mains pour en boire quelques gorgées avant de te mettre à la recherche de la dite salle de bain histoire de rattraper les dégâts. Une fois trouvée, t'es étonnée de remarquer qu'il marche toujours à côté de toi, peut être car il veut s'assurer que tu n'entres pas encore dans une chambre comme un l'instant et te retrouves malgré toi embarquée dans un plan à trois ? La salle de bain est vide de monde. bien. Tu attrapes une serviette propre dans un placard, l'humidifies un peu dans l'évier et viens tapoter à plusieurs reprises tes jambes là où il y a des traces de bières. T'es assise sur le rebord de la baignoire et finalement lorsque tu redresses le nez vers lui, c'est pour dire en riant « si on te demande comment j'ai pu terminer dans cet état, t'auras qu'à dire que tu sais pas. »

FIN DU RP