Observe les traits féminins. Il s'en lasse pas, depuis le début. La voir grandir, s'épanouir, ça le comble. Il a pas le droit d'essayer de diriger ses pas, grand con qu'il est. Il se contente de sourire, un peu bêtement, amoureux. Observe silencieusement celle qu'il aime évoluer. Tend la main pour aider, pour être certain qu'elle ne se fasse pas trop mal en tombant. Il a bien compris qu'elle était cet oiseau libre qu'il a du mal à conserver au creux de ses bras. Dévore ses lèvres de baisers, prend un malin plaisir à l'enquiquiner. Il ne peut s'empêcher de sourire comme un gosse, de l'admirer comme si elle était la plus belle merveille du monde. Amour qui continue de grandir en lui chaque fois qu'il se retrouve contre elle, en se présence. Il se sent plus fort, plus important quand c'est elle qui le regarde, lui parle. Il s'amuse de son comportement, c'est comme ça qu'il l'aime le plus. Quand elle ne se prend plus au sérieux, quand elle ne doute plus et qu'elle retrouve son côté enfantin. S'installe sur le côté, manquant de se foutre par terre. « J'espère qu'on sera jamais des adultes, enfin pas complètement. J'aime trop quand tu es comme ça ! » L'embrasse et se lève sur le canapé, la surplombant de toute sa hauteur. Tel Peter Pan, il pose ses mains sur ses hanches. « J'ai faim Mademoiselle !! » Tapote son ventre découvert. « On commande ou je cuisine ? » Descend du canapé en attendant sa réponse. L'envie croissante d'une cigarette qui grandi, se retient à cause de Luna qui ne fume pas, du bébé qu'elle porte.

arrêter de se prendre la tête même si ce n’était que pour une fraction de seconde. cesser au moins le temps d’un instant de réfléchir comme une adulte, de regarder toutes les difficultés du monde et ce qui pouvait les attendre. troquer ce que l’on attendait d’eux contre quelques secondes d’insouciance ou la seule importance serait de se perdre dans les sourires de l’autre. t’es déjà un adulte réplique moqueuse avant de se faire voler un baiser. le sourire qui étire les lippes toujours plus, femme enfant qu’elle savait être majoritairement. et.. t’as toujours faim toujours le même amusement présent dans sa voix, reste affalée sur le canapé alors qu’elle hausse les épaules. si je dois choisir je dirais tu cuisine mais si t’as la flemme on peut commander sans importance tant qu’elle avait le loisir de passer du temps avec toi. et dans le fond, elle ne demandait jamais plus que ça. jamais plus que ta compagnie. simple besoin d’être à tes côtés peu importait le reste. c’était peut être pour ça que tu t’étais révélé comme étant son grand amour. parce qu’il n’y avait plus un instant où elle ne t’imaginais pas présent. parce que quand tu étais absent, c’était toi qu’elle réclamait. toi qu’elle cherchait du bout des doigts quand elle passait des nuits loin de toi. place bien trop conséquente que tu avais prise quand tu n’avais été en premier lieu qu’un point d’interrogation. un rendez-vous où elle n’aurait même pas pensé aller au début. effort qu'elle avait fait pour laisser alors naître sa plus belle histoire, le destin drôlement fait à bien y penser.

rp terminé