there's nothing else to lose, except for time ★ mer 27 mai ─ w/ @Zeus Arnault

Son retour est avéré. Tu le sais depuis une semaine, ce lundi dernier où t'as été la confronter et où vous êtes déclaré la guerre... Rosalia, ta cousine, est de retour en ville. Après le mal et la peine de ton couple brisé est venue la colère envers ton sang. Puis ça été l'alcool, l'incompréhension et l'appréhension de ton attirance envers @Ottis Abatucci et enfin la panique de ton examen du code de la route que tu as passé ce matin. T'as pas eu une seule minute pour penser à toi ou te retrouver totalement seule. Tu le déplores mais à la fois tu te dis que c'est une bonne chose... Que, comme ça, tu ne peux pas penser à la peine au sujet de Toni, ni au bordel qu'Ottis a foutu dans ta tête... Bref, l'examen passé, tu te sens juste complètement vidée. Et un peu sans but, il faut le dire. T'as passé quatre jours à huit clos avec @Lukas O. Spritz à réviser ce maudit code, à rien faire d'autre que rester enfermés dans l'appartement à bosser bosser bosser. Et maintenant que tout ça est terminé, tu ne saurais presque plus quoi faire de tes deux jambes. En soit, t'as beaucoup de révisions pour tes partiels mais c'est finalement et naturellement que tu envois un message à Zeus pour lui demander s'il était disponible et à la pforzheimer house cet après-midi. Oui, tu ne le diras pas à voix haute, mais tu t’inquiètes pour lui. Tu t’inquiètes de ce que le retour de @Rosalia C. Borgia a pu provoquer dans sa vie mais surtout dans sa tête. T'as surtout peur qu'il retombe dans le panneau car tu sais très bien qu'il l'a aimé comme un dingue. Tellement qu'il en a même effacé votre amitié... Tu lui en veux encore beaucoup, mais tu ne peux pas te résoudre à le laisser souffrir seul. Il a répondu qu'il était disponible, surement très étonné par ton sms. Tu arrives à la pforzheimer house et le cherche un peu partout. Dans le salon, la cuisine, les espaces de révisions, introuvable. Puis tu te souviens de votre précédente discussion, première discussion depuis des mois, et t'as un pré sentiment. La terrasse. T'y vas aussitôt pour le retrouver le nez sur son téléphone, installé dans un petit salon de jardin. Tu approches et vas t'asseoir dans le canapé en face du sien, séparé par une petite table basse après avoir lancé un timide « salut Zeus... tu vas bien ? » pour attirer son attention. Il tourne la tête vers toi, tu lui offres un léger sourire. C'est juste naturel, un vieux réflexe, impossible de faire autrement. Puis à peine assise dans le canapé, tu continues d'un ton doux « bon écoute, je suis désolé, je ne vais pas passer par quatre chemins. » Long soupir avant de finalement terminer « j'imagine que t'es au courant que Rosa est revenue ? »

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Tu étais surpris lorsque tu avais reçu un sms de la part de @Katalia Borgia , cela faisait des années que ce nom n'était pas apparut en notification sur ton écran d'accueil. Tu étais très surpris, mais ta première réaction n'était pas de te demander ce qu'elle pouvait bien te vouloir, tu étais surtout très heureux de savoir qu'elle pensait à toi. Elle t'avait demandé si tu étais disponible et si tu étais d'accord de la retrouver à la pforzheimer house. Si Katalia te le demandait, tu étais obligé d'accepter, tu ne pouvais pas refuser de passer un petit moment avec elle. Tu savais déjà d'avance de quoi elle allait sûrement te parler et tu avais hâte de savoir le ressenti de ton amie sur le retour de Rosalia. Revoir ton ex fiancé au bal de fin d'année t'avais rendu très nerveux, tu n'étais vraiment pas prêt à la revoir ici un an après votre rupture. Tu savais que  Katalia allait à nouveau s'inquiéter pour toi, mais cette fois-ci tu ne tomberais pas dans le piège. Arrivé à la pfor house, tu décidas de t'installer sur la terrasse, ce fameux endroit où les retrouvailles avec Katalia avaient eu lieux, ravi de rejoindre à nouveau cet endroit un mois après. Tu avais été validé membre de la pfor, pour ta plus grande fierté. Tu avais en main ton téléphone, surfant rapidement sur les réseaux sociaux en attendant ton amie. Une petite voix attira alors ton esprit, tu relevas doucement la tête avant d’apercevoir Kat. Très rapidement la jeune femme s'installa face à toi et n'hésita pas à te demander comment tu pouvais aller.  « Salut Kat, je vais bien merci et toi donc? » demandais-tu à l'italienne, sa présence te faisait vraiment plaisir, tu avais presque l'impression d'être remonté quelques années en arrière, où vous retrouvez tout les deux après s'être envoyé un sms faisait parti de vos habitudes quotidiennes. Un sourire se dessinait sur tes lèvres, sourire qui n'allait peut-être pas durer dans le temps. Le sujet de Rosalia arriva bien vite, tu regardais Katalia en soupirant  « Ouais je l'ai croisé au bal et figure toi que je m'en serais bien passé » tu te serais bel et bien passé du retour de ton ex fiancé, surtout à ce moment là où dans ta vie tout se passait pour le mieux « J'ai comme l'impression que tu es inquiète, mais ne t'en fais pas Kat, je ne retomberai pas dans le panneau » tu avais été victime une première fois de la cousine Borgia, mais c'était certainement la fois de trop pour toi, surtout que ton coeur battait pour une autre personne actuelle, tes pensées étaient dédiées qu'à une seule et unique personne « J'ai tourné la page et pour moi c'est définitivement terminé, elle pourra pleurer, me supplier et se mettre même à genoux que j'en ai plus rien à faire » tu sortais une cigarette de ton paquet avant de l'allumer, tu étais déjà un peu agacé de la discussion, cette discussion au sujet de Rosalia, ton ex de peste à laquelle tu ne souhaitais pas penser. Mais tu étais quand même mitigé, car même si parler de ton ex t'agaçais fortement, tu étais content de voir que ton amie n'avait pas envie que tu te fasses une nouvelle fois piégé.

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La belle amitié perdue. Cette amitié oubliée que t'aimerais tant retrouver. Tu ne l'as pas réaliser avant qu'elle arrive de nouveau dans vos vies. T'as eu si peur pour lui, si peur pour Zeus. Qu'il se laisse embobiner de nouveau, qu'il retombe comme il est tombé des années auparavant. Et c'est là que t'as réaliser. Comment peux-tu vouloir tirer un trait sur Zeus dans ta vie et à la fois être si inquiète pour lui ? Inquiète comme seule une amie peut l'être ? T'as vu la souffrance dans son regard ce jour là sur la terrasse il y a un mois, à l'évocation du passé. Pour rien au monde, tu ne voudrais revoir ça. Tu ne souhaites ça à personne, pas même à ton pire ennemi. Quoi que... Bref, Zeus a accepté ta proposition de vous voir et tu arrives dans une robe courte et fluide et veste en jean sur les épaules sur la terrasse de la pforzheimer house. Le voilà enfin. Les banalités d'usage sont brèves car elles manquent encore un peu de sincérité. De ton côté, du moins. C'est trop dur, tu ne peux pas faire comme si de rien n'était et le saluer, pas comme avant... « pas trop, mais je ne suis pas là pour ça. » t’enchaîne très rapidement. Parce t'as pas la force ni le temps de parler de tout ce qui te tourmente... Ta rupture, ta dispute avec Toni après ça, la déception et la peine de l'avoir perdu à tout jamais... ton amis Lukas qui a des problèmes de santé, toi qui a loupé ton examen du code de la route et puis bien sur Rosalia. Rosalia. Ton démon sur talon aiguilles qui claquent sur le bitume aux airs d’écraser ton cœur toujours un peu plus. Inlassablement, à chaque pas qu'elle fait vers toi. La vérité s'invite dans la conversation. Il l'a vu au bal, ce n'était donc pas un mirage, c'était bel et bien ta cousine. Encore temps, t'as été assurée de la question, mais t'en souvenir est toujours douloureux, car c'est à ce moment là que tout a été terminé avec @Toni Caldwell, à cause d'elle notamment... Avant même que tu n'ai eu le temps d'ouvrir la bouche pour le questionner, il tente de te "rassurer" et glisse une cigarette entre ses lèvres. « ok je... tu me promets ? » Tu sais très bien comment les hommes peuvent parfois être, et tu connais si bien ta cousine, sa manipulation et ses vices... « je m'en voudrais beaucoup de te laisser souffrir sans rien faire... comme avant... » Pointe de douleur dans ton cœur, à l'évocation du moment où Zeus t'as complètement oublié au profit d'elle. En soit, ça serait différent cette fois, car vous n'êtes plus vraiment amis mais... ça n’empêche que tu ne veux pas le voir souffrir de nouveau pour elle.

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Katalia, ton amie depuis toujours, cette amitié perdue mais que tu espérais tant retrouver par le futur. Tu avais ouvert les yeux et tu avais enfin compris qu'elle n'était pas là pour détruire ta vie, mais bien au contraire c'était rien d'autre que ton petit ange gardien qui se préoccupait sans cesse de ton bonheur. Rendez-vous à nouveau sur la terrasse de la pfor house, à croire que ce lieu était devenu votre lieu à vous deux. La jeune femme s'approcha de toi, s'asseyant face à toi. Après t'avoir demandé si tu allais bien, tu répondais de manière positive, cependant ce n'était pas le cas de Kat. Un peu surpris de sa réponse, tu n'hésitas pas à rebondir « Qu'est-ce qui se passe ? » au vu de votre relation actuelle, tu ne savais pas si ta question semblait déplacée ou non, mais l'a voyant inquiète pour toi, ta question paressait normale, tu faisais de même envers elle. Katalia enchaîna sur le sujet de Rosalia, pour toi ce n'était pas étonnant. Tu avais donc décidé d'attraper une cigarette afin de l'allumer et de commencer à fumer tranquillement posé sur ton transat. Rien que d'entendre son prénom t'énervait et la savoir ici à Boston, ne te rassurait peu. Tu préférais prévenir Kat que pour toi la page été vraiment tournée et qu'il était hors de question que tu accordes encore du temps à cette peste de Rosalia, cette peste qui avait détruit ton cœur. « Elle s'est pointée chez moi la semaine dernière » avouais-tu à Katalia, tu avais eu une visite inattendue la semaine dernière; celle de Rosa bien évidement. « Elle voulait me rendre mes affaires » tu riais doucement pour appuyer tes propos, c'est vrai qu'avec un peu de recul, cela te faisait rire qu'elle veuille te rendre tes affaires, le jour pile des un an de votre rupture. « Je connais cette manipulatrice et elle n'aura plus aucun pouvoir sur moi ne t'en fais pas, ceci dit je suis agréablement surpris de ton inquiétude envers moi » paroles très sincères, tu étais en effet surpris que Katalia s'inquiète pour toi, mais ne cela ne te déplaisait pas, au contraire cet acte t'avais touché. 

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L'étonnement dans ses mots, l’inquiétude dans ses pupilles. Tu l'observes pendant une seconde, cette inquiétude dans le regard qu'il t'offre. Étonnée et surprise, finalement heureuse de la voir de nouveau à ton attention. « mon copain m'a quitté le soir du bal. » tu lâches sans te sortir forcée. Confession te laissant une drôle de saveur en bouche, la saveur de votre vieille amitié perdue. Là où tout était simple et où tu pouvais il pouvait te dire n'importe quoi, et où tu pouvais lui dire n’importe quoi en retour. Ça juste avant qu'il te retire ce droit. Ton regard s'envole ailleurs, vers les grandes étendues vertes du jardin de la pforzheimer house. Tu mords nerveusement l'intérieur de ta joue, te retient de pleurer mais une large silencieuse roule sur ta joue à l'évocation de ce souvenir encore brûlant et douloureux. Tu la chasses du revers de la main. Respire un grand coup puis tourne toi de nouveau vers lui. Rosalia. Si son retour à pu à toi te faire du mal, chez lui elle semble juste avoir déclenchée la colère. « tes affaires ? » tu hausses un sourcil et inclines légèrement la tête sur le côté. « elle avait encore de tes affaires ? » la question est ridicule mais tu te rends compte à cet instant que t'as aucune idée de la réponse. Parce que ce n'est surement pas Rosalia qui t'as raconté comment s'est terminé leur idylle. Zeus non plus, car il ne te donnait plus de nouvelles à ce moment là... Bref, t'en sais absolument rien sinon qu'avoir entendu dans la famille des "Rosa et Zeus Arnault, c'est terminé". « ok ok. » tu soupires quelque peu avant de continuer « parce que tu sais ce qu'on dit, les sentiments ça se contrôle pas... » et t'es très bien placée pour le savoir, ça. Toi et ton cœur qui se met à battre beaucoup trop vite et pour beaucoup trop de monde... Tu secours la tête de gauche à droite alors qu'un certain brun de la pfor à qui t'as proposé d'aller à une soirée à new york avec toi apparaît dans tes pensées. Il est surpris de voir que tu t'es inquiète pour lui et honnêtement vous savez quoi ? Toi aussi, t'es surprise. Tu souris cependant, détends légèrement ton visage et cesses de croiser tes bras devant ton buste. color=#8a4a4a]« ne dit pas n'importe quoi, ce n'est pas à cause de... tout ça, que t'as cessé d'être important à mes yeux. »[/color] léger mouvement de la main sur le "tout ça". Il y a eu des choses, c'est vrai, beaucoup de choses. Mais t'aimes à penser que vous aviez réussi à construire une base si solide d'amitié, capable de passer au delà. Peut être, qui sait ? Un jour ? Tu l'espères.

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Retrouvailles avec Katalia, des retrouvailles qui cette fois-ci n'étaient pas inattendues. Après s'être posé près de toi, elle t'explique qu'en ce moment elle ne va pas trop bien; inquiet et surpris par cette annonce, tu te sens obligé d'y demander ce qu'il se passe actuellement dans sa vie pour qu'elle te réponde ça. Elle t'explique que le soir du bal son copain l'a quittée, pauvre Katalia. Tu vois ton amie - ou bien ancienne amie , tu ne sais pas trop comment la considérer - avoir les larmes aux yeux. Assez surpris qu'elle ait les larmes aux yeux, tu l'as vois essayer de se retenir et qu'elle lutte contre sa tristesse. Tu refuses de la voir dans un état pareil « Kat ressaisie toi et puis pourquoi il t'a quitté ? » Tu savais vaguement qu'elle sortait avec ton pote Toni, il t'en avait brièvement parlé, mais tu ne t'étais pas attardé sur le sujet de Kat, comme tu ne lui parlais plus jusqu'à il y a bientôt deux mois. Retour au sujet que tu détestes le plus mais qui te vaut ton rendez-vous d'aujourd'hui avec Kat; Rosalia. « Visiblement oui, et en plus le meilleur dans l'histoire, c'est qu'elle a fouillé dans le téléphone de Charlotte pour se procurer mon adresse, elle est cinglée » Annonçais-tu à Katalia, en riant légèrement, même si le jour où Rosa s'était pointée chez toi, tu étais loin de rire. Katalia ne veut pas que tu retombes dans les griffes de Rosalia, mais si seulement elle savait que tu es bien loin de tout ça et qu'en ce moment même ton cœur bat pour une autre personne. « Je sais, mais tu peux comprendre que ça me fait plaisir que tu veuilles à nouveau m'aider » Sourire aux lèvres, cette situation te fais plaisir et peu à peu tu as l'impression de retrouver ton amie, peut-être qu'un jour vous vous retrouverez complétement qui sait ? « Puis tu dois surement être au courant de quelle fille je suis tombé fou ? » Tu avais avoué tes sentiments à Rim le soir de bal et la nouvelle s'était vite propagée. Tu avais aperçu Reda s'éclipser avec Kat lorsque tu avais embrassé la saoudienne, ce dernier fou de rage. Tu savais que c'était le meilleur ami de Katalia, mais tu t'en fichais. 

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Position pas facile dans laquelle Zeus doit être. Tu le sais sans vraiment le savoir, il est ami avec @Toni Caldwell. Sans le savoir oui, car au fond, vous n'étiez pas encore vraiment arrivé au stade de la relation à vous présenter vos amis ou ce genres de choses... Tout a été terminé bien vite et avant ça, surtout. Vous vous étiez mis en couple dans votre petite bulle rien qu'à vous deux. Loin de tout et de tout le monde, dans la maison de campagne de tes parents, seuls au monde à faire du cheval, vous promener dans les vignes, boire du vin, déguster de délicieux petits plats italiens et faire l'amour dans toutes les pièces de la grande maison vide... Et puis la réalité vous a rattrapé, ou plutôt le monde. Non, ils t'ont rattrapé toi, et tes démons t'ont empêché de voir ce qu'il était bon de faire pour vous deux. Zeus, ami de l'un, en train de parler avec toi désormais, pendant que deux protagonistes de l'histoire d'amour vont se faire la guerre. La tristesse qui roule sur ta joue sous la forme d'une larme silencieuse. La façade, toujours la façade, allez, prend là, Katalia. Tu mords l'intérieur de ta joue avant de tourner de nouveau la tête vers Zeus, impassible. « il n'avait plus confiance en moi, il ne supportait plus de me voir discuter avec des amis garçons. » la vérité un peu modelée, manipulée. Celle que tu veux croire, en fait. Tu n'en diras pas plus, sujet clos. Alors comme ça Rosalia s'est pointée comme une fleur sur le seuil de chez Zeus... ridicule. Prise à son propre piège, elle qui a voulu tout et tout le monde et qui désormais n'a plus rien. « oui je... je veux t'aider, je m’inquiétais pour toi. » tu réponds à ses mots lorsqu'il te dit que ça lui fait plaisir. Ça a été instinctif, en fait, le fait de vouloir prendre de ses nouvelles suite à l'arrivée de l'autre Borgia en ville. « j'en ai marre de faire comme si je ne te connaissais plus, tu me manque Zeus. » tu lâches sans réfléchir une seconde de plus. C'est bon, t'en a marre de perdre ton temps sur tout est rien. Tu veux (tenter) de vivre un peu au jour le jour, profiter des instants et des gens qui t'entourent, avant qu'il ne soit trop tard, à l'image de ton couple avec Toni... « j'espère que je ne le regretterai pas... » le fait de vouloir de nouveau lui donner ta confiance, tu veux dire. Les aveux lâchés, le cœur au bord des lèvres, tes pupilles quittent enfin les étendues vertes pour rejoindre les traits de son visage. Faible sourire, un peu penaude, situation dans laquelle tu n'es uniquement que lorsqu'il s'agit de gens qui comptent pour toi, qui peuvent réellement te toucher. Position difficile dans laquelle il te met à son tour. Toi prise entre l'amour que ton meilleur ami lui porte mais également celui de Zeus, que tu as découvert le soir du bal... « sublime Rim, reine des cœurs. » tu dis doucement alors que tu replaces une mèche derrière ton oreille, ton regard qui couve ton ancien ami t'offrant cette confidence.

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