Painful
   w/ @Cece Wang
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Mon cœur s’emballe mais pourtant j’essaie coûte que coûte de maintenir mes émotions à flot mais j’ai qu’une envie c’est d’exploser. J’ai l’impression de perte une des personnes a qui je tiens le plus, à une vitesse dingue. J’ai pas envie de lui en mettre plein la tête mais je suis tellement déçu de ne pas avoir été la pour l’épauler et surtout qu’elle n’ai pas souhaité ma présence à ses cotés. Mes mains deviennes de plus en plus humide au fur et à mesure qu’elles jouent entre elle pour essayer de s’occuper les mains et signe du mal être qui c’est installé en moi. Alors que je lui tourne de dos, je peux reconnaître la colère qui né et qui se mêle avec la peine qu’elle ressent. Je ne tarde pas à sentir un premier oreiller qui vient frapper contre mon dos. Pour la première fois, je n’en reçoit pas un pour le plaisir de se taquiner mais comme signe de sa rage. Je me mords le bas de la lèvre, levant les yeux au ciel en me retournant pour lui faire face. « Une compétition ? Est ce que j’ai parlé de ça ? D’être le premier ou quoi ? » Lâchais-je un peu trop vivement, en haussant le ton.  « J’ai jamais parler de ça ! Mais avoue franchement, tu n’avais pas l’intention de m’en parler ! » Je n’avais jamais demandé à être le premier au courant loin de la mais j’aurais simplement aimé le savoir en même temps que les autres et pas plusieurs jours et même semaine après les autres, au point d’être ridicule face à Ace qui s’étonnait lui même que je ne sois pas déjà au courant. Alors qu’elle s’approche dangereusement de moi, je ne cherchais pas à fuir son regard alors qu’elle n’arrive pas à croiser le miens bien longtemps. Je me sens con d’agir de la sorte parce que clairement ça ne me ressemble pas d’être comme ça, ce n’est pas moi, et encore moins rentrer en conflit avec les gens que j’aime et les gens en général. Puis finalement, elle enchaîne les mots, ne me laissant pas vraiment le temps de prendre la parole. Et au final, je n’ai pas envie de lui couper puisque c’est ce que j’attendais depuis le début, qu’elle se livre enfin à moi. En écoutant chacune de ses phrases, mon cœur se serre encore plus, j’ai qu’une envie c’est de la serrer contre moi, de la rassurer et de lui dire que tout ira bien mais est ce que je dois, est ce que je dois limité cette proximité qu’il pouvait y avoir entre nous, juste pour me préserver moi. Et puis merde, c’était insupportable de la voir comme ça, je m’approche rapidement d’elle venant poser mes mains de part et d’autre de son visage venant limite poser mon front contre elle.  « J’aurais pu être la pour t’aider, et putain ça me ronge de savoir que tu as essayé de m’éloigner de ça, pourquoi tu me l’as pas dit putain.. » soufflais-je contre son visage venant fermer les yeux pour encaisser quelques secondes avant de finalement venir croiser son regard, essuyant à l’aide de mon pousse une larme qui dansait le long de sa joue.  « J’ai besoin d’être la pour toi. » avouais-je même si de tout évidence je devais prendre mes distances, prendre du recule par rapport à tout ça et surtout par rapport à mes sentiments.

   

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Painful
   w/ @Lei Feng Xi
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la colère comme un poison, elle grouille en ses marbrures, éveille en elle cette envie de hurler à l’injustice, de dégueuler sa peine pour s’en débarrasser, se purifier. et le comportement de lei n’aide en rien le mal-être qui la ronge depuis qu’elle se sait enceinte. le regard n’est plus habité par la flamme habituelle, il est noir de désespoir quand il se pose sur la silhouette qui se retourne de lei, après qu’il ai reçu l’oreiller. les voix sont haussées ; situation rare dans leur relation. alors le voir en colère pour ça la rend mal. elle ne comprend pas le comportement. elle ne comprend juste pas. « c’est tout comme ! » à ses yeux. « tu ne comprends vraiment pas lei » qu’elle geint, à secouer le visage de droite à gauche, les épaules qui s’affaissent sous le poids avant de déballer ce qu’elle a sur le cœur. situation ingrate, qu’elle n’a jamais imaginée. elle n’a pas le droit d’être enceinte. pas maintenant, pas comme ça, pas à cet âge. et cece, elle regrette presque d’en avoir parlé à qui que ce soit, elle aurait dû s’en débarrassé le jour même où elle a découvert qu’elle était enceinte. les mains qui se perdent dans la chevelure, bien sur qu’elle allait lui en parler ; seulement, elle ne savait pas comment. peur avide de le voir s’en aller s'il l’apprenait. alors le voir s’énerver parce qu’elle ne lui a pas dit renverse ses doutes, fait naître en elle des questions qu’elle avait jusqu’à alors toujours déniés. elle se fige lorsque de ses mains, il vient capturer son visage, à presque poser son front contre le sien. cece, elle ferme les yeux, laisse couler les larmes sur ses joues, elle n’a pas la force de combattre ; à déposer les armes. son contact réchauffe, son contact adoucit les peines. ses mains viennent s’accrocher à ses poignets comme à une bouée de sauvetage. ses mots fissurent la carapace. les lèvres se pincent. persuadé qu’elle a fait exprès de le maintenir à l’écart, elle s’apprête à lui répondre, mais coupée par des mots qui font bondir le cœur. cece, elle relève son regard vers lui, le plonge dans le sien et elle secoue la tête. « j’ai pas essayé de te tenir à l’écart lei, j’allais te le dire, j’savais juste pas comment » voix brisée par quelques sanglots, elle pose son front contre le sien. « j’avais juste peur, j’ai honte de moi lei, j’ai honte d’être enceinte. j’avais peur que- que tu as honte de moi, que tu partes » et plus encore. « je voulais te le dire, s’il te plais crois-moi, c’est juste que, t’es pas comme les autres, c’est plus facile de le dire à ace ou à soo qu’à toi et je sais pas pourquoi » peut-être parce que, inconsciemment, l’amitié est en train de bourgeonner en quelque chose de plus profond.  

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   w/ @Cece Wang
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Malgré la colère qui monte en moi, j’essaie malgré tout de me contenir, s’énerver m’allait mener à rien de bon. Mais pourtant face à certain argument de la jeune femme, je ne peux m’empêcher de hausser le ton. C’est tout comme, non, non il n’y a rien de comparable, jamais je n’ai demandé à être premier c’est bien évident qu’elle allait en parlé à ses copines en première comme la plupart des femmes mais je pensais être assez important pour elle, pour qu’elle n’attende pas plusieurs semaines avant de poser les choses et me raconter ses soucis.  Alors que je vois sa peine s’afficher de plus en plus sur son visage, mon coeur flanche et je m’approche rapidement d’elle, tenant son visage entre mes mains, pendant l’espace de quelques secondes, je me prend à fixer ses lèvres, cette pensée qui me hante depuis un petit bout de temps mais que je me refuse à laisser s’installer plus longtemps en moi, je balaye rapidement ce désir pour me concentrer sur la situation. Elle est belle Cece même lorsqu’elle pleure mais je n’ai pas envie de voir ce si beau visage rempli de larmes surtout lorsque l’on sait que la douleur se cache derrière elle. Alors que son regard croisent à nouveau le mien, je peux sentir la culpabilité dans sa voix, elle se sens tellement misérable d’être tomber enceinte qu’elle n’a pas voulu m’en parler, voilà la vrai raison. Même si c’est dur à entendre, je suis capable de comprendre son point de vu « Tu sais que tu n’as pas besoin de cacher, tu sais très bien que tu n’as pas à avoir peur avec moi. » Parce que j’étais prêt à tout endurer pour elle, elle pouvait tout me demander, je ferais n’importe quoi. Au final, elle vivait la même situation que moi, il y avait quelques années passées, lorsque la mère de Tao était tombé enceinte par accident un soir où pour une fois j’avais abusé de l’alcool. « Honte de quoi Cece ? Ca arrive et parfois pour le meilleur. » soufflais-je parce que jamais je ne pourrais regrette l’arrivé de mon fils dans ma vie, c’était sûrement la plus belle chose.« Pourquoi je serais parti ? Je suis ton meilleur ami, non ? »  Je n’arrivais pas à comprendre son raisonnement, parce que ouais j’étais déçu, jaloux de cet homme qui avait posé ses mains sur elle mais au final, jamais je ne l’aurais abandonné surtout pas dans cette situation. Je suis un peu troublé par ses dernières paroles, pas comme les autres ? Cela signifiait que je n’étais pas capable de la comprendre ou de l’aider. Blessé par ses paroles, je me recule légèrement laissant tomber de ses joues, mes mains. Pas comme les autres, on me l’avait répété des centaines de fois, je savais bien que je n’étais pas comme les autres. Je mords légèrement la lèvre avant de répondre. « Et bien tu devrais peut-être les appeler pour qu’ils viennent te réconforter la maintenant. » répondis-je avec amertume. « Je devrais te laisser avec eux alors. Appelle les. »
   

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   w/ @Lei Feng Xi
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 elle se sent misérable, cece. elle est misérable ; fragments de son âme éparpillés à ses pieds comme de vulgaire morceaux de verre. cece, elle prend cette nouvelle comme une tornade, comme une catastrophe — à penser à trop de choses, à toutes les conséquences que cela peut avoir sur son futur. elle a peur, ça monte en elle comme un poison, à bouffer le peu de conscience saine qu’elle a encore. et sous le regard de lei, la situation ne s’arrange pas. elle pense mal, bouffée par les pensées noires. à penser plus qu’il ne le faudrait. les mains qui tremblent, qu’elle essaye d’arrêter en fermant les poings. le palpitant qui déraille lorsqu’il attrape son visage entre ses mains — l’épiderme brasier sous son toucher, à ne pas réussir à capter son regard plus longtemps que quelques secondes. par peur d’y voir ce qu’elle refuse de voir. mais lei, la rassure. elle ferme les yeux, se bouffe la lèvre inférieure, réprime les sanglots. « -je » mais il n’y a rien qui sort, c’est coincé. elle le sait, elle le sait, mais elle ne peut s’en empêcher. ça la prend aux tripes, c’est. à déglutir difficilement. la proximité qui la rend folle. à vouloir se loger dans ses bras, pourtant la retenue est si forte. et cece, elle secoue la tête. « non, pas dans mon cas » qu’elle murmure ; brusquée par cette vérité. cece, qui se doit de se tenir à carreau dans cette pseudo liberté. à devoir honoré le nom wang comme il se doit, et pas en couchant à droite à gauche, tombée enceinte d’une nuit sans lendemain. à sentir son cœur se fissurer - meilleur ami. et ça sonne tellement faux à ses oreilles, parce que lei, c’est beaucoup plus que ça depuis quelques temps. c’est tellement plus. et lorsqu’elle essaye de lui faire comprendre, c'est des mots maladroits qui sortent. l’incompréhension, la peur se mélangent en ses iris lorsqu’il se recule, comme si elle venait de le brûler. à ressentir l’amertume dans ses mots ; c’est comme des balles tirées en pleines poitrines. à s’approcher de lui. « non, c’est pas ce que j’voulais dire, c’est pas comme ça » qu’elle panique cece, à se prendre la tête dans les mains avant de lui attraper une main. « c’est pas comme ça, lei » et elle cherche les mots, les bons mots, mais c’est le bordel dans son esprit, les mots s’emmêlent. « j’veux pas que tu me laisses, j’veux pas que tu partes. je ne veux pas que tu disparaisses, t’es beaucoup plus que ça, t’es pas que mon meilleur ami et j’arrive pas à comprendre pourquoi lei. t’es … t’es trop important pour moi » ça sort en vrac « t’es plus qu’un meilleur ami et tu le sais. j’ai pas réussi à te le dire, parce que c’est trop dur, j’avais peur que tu me regardes différemment. que ce ne soit plus comme avant. ça me bouffe lei, je tiens trop, beaucoup trop à toi, j’sais pas comment l’expliquer » et le regard se relève lentement vers le sien. brille des larmes retenues. à le regarder. se faire mal de cette expression peinte sur son visage à cause d’elle. elle s’accroche à sa main comme si il était sa dernière bouée de sauvetage. « je suis désolée » qu’elle murmure. encore, une fois.  

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