Il avait habité avec son cousin, c’était une information bonne a sa voir.

-Je vis avec ma sœur, comme je suis venue de Corée pour la voir, je n’allais pas habiter tout seul.

Ça aurait juste été un sacrilège de ne pas vivre avec elle, elle me manquait tellement. Et puis aux vues des derniers évènement, j’étais bien content d’être souvent avec elle pour l’épaulé et veillé sur elle. L’histoire qu’elle m’avais racontée me laissait encore des sueurs froides.
Je regardais un peu partout autour de moi, curieux, un de mes plus important défaut, aussi, je fus pris au dépourvue quand je lui lançais un regard je le vie revenir en train de déboutonner sa chemise.

-Sushi… Je répondais totalement au pif.

Je n’arrivais pas a détourné les yeux de son torse totalement bien foutu. Je restais bloqué quelques seconds avants d’enfin regardé ailleurs, enfin tout sauf lui. Pourquoi le corp des hommes ne pouvait pas me laissé indifférent comme la majorités des hommes de la planètes ? Mais non, il fallait que ça me fasse de l’effet. J’écoutais ce qu’il disait d’une oreille distraite en hochant la tête avec un sourire. Puis je l’entendis s’excuser pour aller prendre une douche.

Ok, j’avais besoin de m’assoir.

Seul, j’expirais enfin l’aire que j’avais retenue dans mes poumons inconsciemment. Ce mec n’avait aucune pudeur. Je regardais son téléphone quelques seconde avant de lever les yeux au ciel, j’avais aussi un téléphone, pas besoin de me prêter le sien. Et puis, je n’aimais pas utiliser celui des autres. Je regardais alors sur internet avec le mien, en regardant le livreur de sushi ou j’avais l’habitude de commander. Choisissant rapidement, je n’eus pas à attendre bien longtemps, il avait visiblement pris une douche expresse.
Sauf que j’aurais dû m’en douter, monsieur était exhibitionniste et ressortais à moitié à poil, avec les cheveux humides qu’il s’essuyait énergiquement.
Mais il me faisait un remake d’un mauvais drama ou quoi ? et moi je réagissais exactement de la même manière que ces filles amourachées idiote. Je ne savais pas ce qui m’énervait le plus dans l’histoire. Parce que je n’arrivais pas à rester de marbre face à cette vision. Je détournais de nouveau rapidement le regard pour regarder mon téléphone.

-Ouais, ce menu, ça te va ce livreur ? Je demandais en lui montrant mon téléphone.

J’en profitais pour lui rendre le sien avec un petit sourire. Il s’était enfin habillé et je pouvais de nouveau le regarder sans me sentir étrange.

-T’es pas pudique toi. Je commentais.