Une soirée pas comme les autres (CELTON)

Je préfère m’amuser sans trop me poser de questions car c’est une chose que je fais à la perfection depuis quelques semaines. Je rigole toute seule alors que j’ai bu les deux verres aussi rapidement que possible même si j’ai pris plus de temps pour boire le deuxième, ça devient dur d’ouvrir la bouche pour boire plusieurs gorgées…. Je relève mon regard vers mon ami avant de hocher la tête pour valider ses dires. « Oui partons chez toi avant que je ne rampe pour avancer. » Je riais alors que j’étais déjà un peu joyeuse et je le laissais me lever de ma chaise tout en prenant son bras pour marcher aussi droit que possible. « On prend un taxi, rassure moi. » Pas sur que j’arrive à marcher très droit et à tenir debout durant de longues minutes… « Tords pas du cul Ash ! » Je ne le voyais pas faire mais je sentais ses pas qui n'étaient pas très droits et ça avait le don de m'amuser.

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Tu trouvais la chose vraiment étonnante que de la voir plonger un peu sa tête et pensée dans l'alcool ce soir, elle devait vraiment te faire confiance pour te suivre dans ce sens là et accepte de poursuivre la soirée chez toi pour éviter les accidents. Oui un taxi. Tu appelais le premier taxi que tu voyais et tentait tant bien que mal d'avancer jusque là alors que tu partais dans un grand fou rire en l'entendant. Je sais que tu l'aime mon cul, arrête de faire style que non. Lui fais-tu savoir alors que vous rentrez ensemble tant bien que mal dans le taxi qui prit la direction de ta penthouse. Tu garde un sourire dessiné sur tes lèvres alors que tu laisse celle-ci se poser contre la joue de ton amie. Tu sais que je t'adore toi. Plusieurs rues défilaient et ton habitation se rapproche de plus en plus rapidement.

« Je passe mon tour. » Je riais alors qu’il parlait de ses fesses mais il était préférable que je ne réponde pas à ce qu’il venait de dire car ça pouvait déraper sans même arriver à faire marche arrière au bon moment. Je le regardais avant de m’installer dans le taxi et je me logeais dans ses bras avant de sentir ses lèvres sur ma joue et je souriais bêtement. « Ce qui est rassurant puisque c’est réciproque beau brun. » L’alcool m’aidait à m’ouvrir d’avantage ce qui avait le don de me livrer sans avoir peur de ce qu’il pouvait se passer. Le taxi s’arrêtait et je sortais de ce dernier en le remerciant avant de tendre la main à Ashton. « Simplement pour m’assurer que tu ne tomberas pas à la renverse ! » Je ne tenais pas mieux que lui debout mais à deux c’était plus simple sauf quand je voyais les nombreux escaliers qui nous attendait.

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Elle te fit rapidement comprendre en ne réagissant pas vraiment que tu lui plaisais, cette attirance était plutôt entraîn de s'ouvrir et le trajet en taxi calme un peu la chose, oui il faut se tenir. Elle te répond alors que les choses étaient réciproque et tu en étais tout de même rassurer de l'entendre, même si tu n'en doutais pas. C'est plutôt qu'avec nos quatre jambes, on en fait que deux au final. Oui, autant l'un que l'autre, chacun s'appuie sur l'accompagnant, du coup, l'équilibre est respecté. Tu arrive face aux escaliers qui pouvait mener jusqu'à ta penthouse et tu te mis a rire. Ne t'en fait pas chou, l'ascenseur est pas loin, n'ai pas peur. Tu l'attire sur le côté devant la porte d'ascenseur que tu appelais au rez-de-chaussée. Vous entrez une fois que les portes s'ouvrent devant vous et entre à l'intérieur pour finir par s'appuyer contre la paroi arrière de celui-ci après avoir appuyer sur le bouton de ton étage.

Je riais doucement alors que nous sortions de la voiture et je le regardais dans les yeux sans comprendre comment je faisais pour arriver à tenir debout sur mes deux jambes mais heureusement pour nous personne ne chuta. « Si tu te tords une cheville je ne serai pas apte à te soigner sache-le. » J’avais bu et plus qu’un verre de trop mais c’était uniquement parce que j’étais bien accompagnée car sinon je n’aurai pas pu boire autant, j’en avais fais la promesse à plusieurs de mes amis. Je le laisse m’attirer dans l’ascenseur et j’attendais avant de sauter sur son dos alors qu’il venait de mettre en route la cabine afin que l’on puisse entrer chez lui. « Essaie de ne pas tomber sinon tu auras ma mort sur ta conscience ! » Riais-je avant de lui déposer un baiser sur sa joue et je restais accroché sur son dos tel un koala.

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