JE SUIS NE(E) LE neuf janvier mille neuf cent quatre-vingt quatorze À Londres. J'AI ACTUELLEMENT vingt-cinq ans ET JE SUIS DE NATIONALITÉ anglaise. JE SUIS ATTIRÉ(E) PAR les femmes, malheureusement ET ACTUELLEMENT JE SUIScélibataire JE SUIS ÉTUDIANTE EN majeur journalisme et mineur droit ET POUR ENTRER À HARVARD JE N'AI PAS EU de bourse. NIVEAU SOCIAL JE SUIS riche. MAIS TRANQUILLE JE GÈRE grâce à papa.

PFORZHEIMER HOUSE ► Ambition. La jalousie haineuse, la bestialité, le mépris des autres, le plaisir sadique de la victoire et la réussite. Encore et encore. Une guerre sans arme dont les morts s’éteignent sur le chemin de ta réussite. Tu as cherché la peur pour la dominer, la fatigue pour en triompher, la difficulté pour la vaincre, les concurrents pour les écraser. L’ambition te poussant toujours plus loin. Cassie, bien que cela n’ait pas été particulièrement éreintant, tu as hérité d’une place dans cet univers et tu comptes l’honorer que cela soit par ton parcours scolaire exemplaire ou par l’accomplissement de diverses prouesses ou même par simple carnet d’adresse.

Ta mère est morte il y a quatre ans. Tant bien que mal, avant tu aimais la vie, parce qu’une naïve sensation enserrait encore ta poitrine te faisant gentiment croire qu’aucune forme de souffrance ne pouvait véritablement t’atteindre. En effet, elle était là, dans l’immensité du vive à te sourire, à te conseiller, à te rassurer. Tu aimais la vie. Aujourd’hui, tu chéris un fantôme, un souvenir. Son parfum t’échappe et son visage se brouille dans ton esprit. Tu penses à elle chaque jour, chaque minute, chaque seconde… Portant son héritage sur les épaules, arborant fièrement votre lien familiale, refusant de céder, travaillant toujours plus fort pour mériter son sacrifice, toujours plus pour sa fierté. Vous aviez le même état d’esprit, vous méprisiez la platitude et la médiocrité. Vous saviez pourquoi vous existez. L’aristocratie se perd mais votre famille garde son étendard haut levé. L’Université d’Oxford n’aurait pas suffit à tes envies de grandeurs. A ton ambition.  Ton dossier scolaire a toujours été d’une excellence presque ridicule. L’Université d’Harvard n’aurait pas pu envisager la moindre concurrence. L’excellence pour toi. Tout ce que tu ressentais, c’était une faim. Une faim terrible de réussite, de victoire. Tu aurais pu lui susurrer un petit nom tant elle était violente et proche de toi. Manque, besoin, impuissance, frustration… Obsédant besoin de réussite couronnée d’une intelligence rare et d’un travail acharné. Une fièvre proche de la crise de manque. Tu dois réussir plus que tout autre chose et le moindre échec est un pieu enfoncé au plus profond de ton ventre. Harvard félicite l’ambition, essence même de ton être… Comment était-il possible d’aller étudier ailleurs ?

Cavendish, paternelle héritage. Maternelle… Ta voix commence là où s’est arrêté la sienne, naissance même de la destruction. Lentement, elle disparaît alors que tu grandis. Cancer. Un peur palpable fait frissonner vos peaux, la culpabilité t’étrangler. Ta naissance contre sa vie. Cancer. Tu dois accentuer tes efforts pour elle. Rien ne doit faire vaciller son souvenir. Mécène de ton nectar vicié, tu portes son deuil dans le creux de ta peau. Ta vie ne peut être vaine, sa mort ne peut être oubliée. ► Adore les chats ► Duchesse de Devonshire, ichor coulant seulement dans l’effort, aucun goût âcre ne vient perturber cette passion dévorante. Pas la moindre inflammation, aucune honte. Toutes ces choses inquiétantes dans l’immensité de l’espace t’entourant, dans le mutisme même de ton corps n’ont su atteindre ton désir de victoire. Héritière apparente, sans aucune concurrence possible.► Fille unique ► Lesbienne, essence même d'une contradiction profonde. Rien n'appartenant à l'ordre du charnel, du passionnel ou du désir ne peut se fondre à l'Amour. Il n'y a pas de place pour ce vif sentiment qui s'accroche aux courbes féminines. Aucune. Le plaisir est un terrible mensonge qui s’agrippe à la peau. Tu refuses toutes formes de distraction, et ce même le plus trivial. Le vulgaire s’insinue seulement dans ton ascension du pouvoir. Tu oscilles entre une délicatesse maléfique et une dureté salvatrice. Loin de l’élan sensible qui agite les masses au moindre effeuillage, tu demeures d’une austérité rare. Il est impossible de détourner ton attention du besoin vital de réussite qui t’anime. Et quoi ? L’engagement ? Sottise amère qui n’apporte qu’abandon. Pourquoi lier son bonheur à une personne pouvant s’évanouir au moindre instant ? Les relations sérieuses sont vaines. ► Capricorne ► Verse des sommes considérables à la recherche contre le cancer ► Je t’aime. Tu exècres la facilité des sentiments. Flot abondant et nauséabond. L’amour, stupide placebo rassurant les pauvres gens, un voile couleur vermeille cachant l’atroce visage de la Solitude. Improbable croyance qui perdure. Éros est un menteur, son carquois est vide de flèches. Seule la faux y prend place, venant fauchée les pauvres idiots prononçant ses doux mots. Vivre dans l’amour sans aucune souffrance est impossible. ► A un accent anglais ► Maman. La Mort. De tes yeux s’amortissent de paresseuses larmes, l’air est brisé par un silence assourdissant. La stupeur. La morne scotomisation. Tes bras vaincus se balancent comme de vaines armes alors que la réalité s’échappe. L’irréalité des événements t’entraîne en des abîmes obscurs. Impossible. La perte n’est pas envisageable, pas la sienne. La Colère. Tu sens fondre en toi de lourdes épouvantes, des nuées de bataillons de fantômes épars te conduisent en une rage si intense… Il n’y a qu’un horizon sanglant qui semble demeurer possible. Qui ? Pourquoi ? Personne ne peut apaiser ta douleur et ta colère. Jamais tu ne pourras assouvir ta haine… Ton châtiment est simplement l’hériter de ta réussite. C’est de sa faute, de leur faute ! La Négociation. Il n’y a aucune prière plus intense que la tienne Cassie. Il s’agit presque d’une humiliation si ce n’était pour elle. Tu conjures le temps de revenir sur ses pas et de te la rendre. Implorer encore et toujours. Et puis, il a toujours ce silence. Elle est là, dans tous les détails de l’existence. Elle ne te quitte plus. Elle se mêle à la solitude de tes mots et tu es perdue sans ses conseils. Chacun de tes instants est empli d’une tristesse véritablement dense et palpable. Ce silence, c’est toi. Tu ne supportes plus l’agitation de la masse. Ton être réclame le monde comme prix de sa perte. Tu t’oublies dans les études, abandonnant la volupté. La solitude devient presque heureuse. Elle possède un goût différent que la douleur. Elle t’embrasse doucement, amie fidèle qui jamais ne t’abandonnera. La Dépression. Tu restes en ce lieu où le bouquet de tes larmes s’est embrasé, dans ce lieu où sa vie s’est fané, dans ce corps sans oxygène. Sa disparition prend le poids d’un supplice dont l’ombre même semble éteindre la moindre lumière. Tu lui dois tout le bonheur d’une vie et… Une vie même. ► Astraphobie ► Musicienne, elle joue du violon, du piano, de la harpe ► Education masculine. Ton père a-t-il été aussi aveugle qu’il le laisse voir ? Pistolet. Douceur métallique, parasite qui bat ton cœur à tes moindres ardeurs. L’odeur de la poudre. Cette déviance est une honte dûment dissimulée. Plaisir visuel que tu ressaisies sans le vouloir. Famélique désir de toucher. Chasse. Vitalité, liquide rougeâtre, perforation droit dans la chair. Les ventricules sauvegardés, masse informe pulsant, agitant des litres de sang s’écoulant dans la terre. Tes pas sont des sillons ensanglantés. Cible sur la poitrine gauche. Adroit. Plutôt rigide, certaine rigueur et détermination dans le geste. La balle filante. Tranchante binarité. La vie, la mort. Miroir effroyable de ta petite condition humaine. Rugby, Polo. C’est déjà ne plus être toi, c’est devenir une suite de passe, une phalange dans la main creuse du terrain. C’est le silence et voir la violence des percussions. Ne plus posséder, simplement s’abandonner au rythme. Aviron. Le rythme monotone de tes volutes fluviatile résonne dans la vallée. Dans chaque recoin de la surface se propage l’onde de ta force. Les nuages gris brillent sur l’eau. ► Ne croit pas aux miracles.

+ Susceptible + Cassiopée, écume infâme bouillonnant dangereusement à la surface même de l’élite. + Audacieuse + Brûlant et suant les moindres poisons. + Intransigeante + Insolant ambroisie assurant l’immortalité de son nom. + Impatiente + La pourriture ambiante récoltant les rayons d’un soleil rougeoyant ne saurait corrompre son doux suc. + Appliquée + La soif incommensurable des murmures de femmes, encore et encore, pare ton corps mais bien loin de toi l’idée de succomber sans réflexion à la luxure. + Imprévisible + Il n’y a point de plaisir où il n’y pas de mystères et de secrets. + Ambitieuse + Image même de la décadence de ce monde, il est inadmissible que tu puisses échouer dans la fange. Ton plaisir passe par la réussite avant tout. + Secrète + Peu importe finalement. + Têtue + Aucun sentiment ou même intérêt ne semble effleurer la moindre personne au-delà de l’amitié. + Précise + Tu n’as su te noyée dans les effluves de l’amour qu’une seule fois Cassie. + Intelligente + Aucune honte, seulement l’emprunte encore chaude de l’abandon. + Courtoise + Encore un. Ton cœur est silence entier, renfermant tout l’enfer de l’abandon. + Honnête + Il n’existe pas de plus grandes tortures que le spectacle amoureux des autres. + Captivante + Tu les méprises, crachant sur leur vain bonheur. + Minutieuse + L’amour est dérisoire, conduisant à l’abrutissement et à la souffrance. + Déterminée +

Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle Alison/Atrazine et j'ai 22 ans. Je suis belge et j'ai connu le forum grâce à ... Je ne sais plus, ca fait beaucoup trop longtemps. Le forum est magnifique, particulièrement actif, c'est toujours un plaisir de venir ici alors j'ai décidé de m'inscrire OU Je suis déjà présent sur le forum sous les traits de pseudos de vos comptes actuels (+ maison). J'utilise Willa Holland comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par BALACLAVA & tumblr. Je fais environ 500 j'imagines je ne compte pas mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.



Je souhaite ▲ (retire la balise le symbole et sa couleur qui ne correspond pas)

 je veux participer au Summer Camp ! (voir les explications, pas besoin de poster pour s'inscrire)

Je recense mon avatar ▲
si personnage inventé:  
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[size=10][url=http://www.i-love-harvard.com/u9481]☆[/url] ☆ <span class="pris">WILLA HOLLAND</span> ◊ “ C. 'Cassie' Cavendish ”[/size]

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