Je n’avais pas pensé retomber dans ses bras aussi vite. En réalité, je n’avais pas pensé retomber dans les bras de qui que se soit avant longtemps, avant très longtemps. Je suis la première surprise par la tournure des évènements. J’avais pensé qu’Alejandro n’accepterai même pas de me recevoir chez lui ou même de me parler. Mais il m’a accueillit, il m’a écouté, il m’a proposer de m’héberger, et nous voilà à présent entrain de nous embrasser avec une passion que je n’avais jamais connue avant lui. Après quelques baisers brûlants, nous essayons de nous refroidir un peu l’esprit. Finalement, c’est confortablement installé sur son canapé que nous parlons de tout et de rien, de la vie, de lui, de moi... Er c’est juste un moment absolument parfait.

Finalement, je suis tellement enivrée par lui, troublée par son regard sur moi, tremblante quand il me caresse la jambe, que je fini par l’embrasser de nouveau. Ce fut plus fort que moi. Ma décision d’être raisonnable est bien vite oublié. Comment rester de marbre face à cet homme qui, de toute évidence, semble toujours attiré par moi. Il ne semblait pas vouloir être sage non plus. Et bien rapidement, la température grimpa d’un cran. Il ne fallut finalement pas grand chose pour raviver la flamme entre nous, c’était comme une évidence. Alejandro se déshabille avec toujours autant de facilité. Sa peau doré, douce, parfaite, est un ravissement pour les yeux et bientôt, pour mes mains que je glisse sur ses épaules musclées. Mon cœur bat plus vite. Mes doigts glisse doucement le long des chaînes qu’il a autour du cou, puis descendent encore jusqu’à être paumes à plat sur ses pectoraux. Mes lèvres ne peuvent plus résister à l’appel de sa peau, je l’embrasse dans le cou, le goût sucré de sa peau associée au goût métallique de ses chaînes donne à tout cela une saveur délectable. Je remonte finalement jusqu’à sa mâchoire avant qu’il ne m’embrasse de nouveau. Je souris contre ses lèvres.

Il est toujours aussi doux quand il retire mon blouson en cuir et le caraco en dentelle que je porte en dessous. Il dévoile un simple soutien gorge en coton noir, qui tranche avec ma peau de porcelaine.

Désolée... c’est pas ce qu’il y a de plus sexy... mais je n’avais pas prévu de finir dans ton lit cette fois encore...

Je ris légèrement. Après tout, il parait que les sous-vêtements tout simple font souvent craquer les hommes... c’est peu être le cas d’Alejandro. De nouveau, je souris contre sa bouche dans un baiser enflammé. Vous êtes déjà dans le feu de l’action monsieur Ortega? Mais quelle impatience... Mes mains glissent de nouveau sur son corps et s’affairent a ouvrir le bouton de son jean et descendre la braguette. Je peux constater, comme je l’avais déjà deviné, qu’il est déjà pret à l’action. Et dire que c’est moi qui le met dans cet état... Quand il me dit de m’accrocher, je me cramponne à son cou et enroule mes jambes autour de lui. Mes lèvres glissent de nouveau dans son cou quand il me transporte jusqu’à la chambre. J’ai envie de lui faire complètement perdre les pédales. Ma peau est en ébullition contre la sienne.

Une fois déposée sur son lit, il honore de nouveau ma peau de ses lèvres. Je laisse échapper un bref soupir. Je l’attirai avec moi en basculant en arrière. Allongée en travers du lit, l’espagnol au dessus de moi. Nos lèvres soudées ne se détaches plus les unes des autres.

Tu m’a tellement manqué...