métamorphose.
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ROME 2009. Ce soir encore, tu es assise sur le canapé à regardé la télévision alors qu'il est déjà vingt deux heures. Une petite fille de ton âge devrait être au lit, tu le sais bien. Seulement, une fois de plus, ton père travaillera tard, Monsieur Strozi a organisé un dîner ce soir, ce diplomate a encore besoin de lui. T'en a marre toi d'être toujours toute seule, voir ton père faire le larbin en permanence pour des riches ça te rend folle de rage. Il te dit sans cesse d'être gentille et compréhensive, mais ça fait dix ans que tu te débrouilles toute seule. Ton père, tu peux plus le voire, sa simple présence t’insupporte tu comprends pourquoi ta mère s'est tiré après t'avoir mit au monde. Cette égoïste aurait pu t'emmener avec elle. La gentille fille à son papa en a assez de tout garder en elle, de sentir cette haine coulé dans ses veines. Alors ouais, t'as décidé qu'il était temps de faire ce que toi tu voulais. Tu te lèves du canapé et tu pousses la porte de ce pauvre trois pièces dans lequel vous vivez au dessus de chez ce friqué. Doucement, tu descends les marches et tu finis par ouvrir la porte qui mène chez les Strozi. Te faufilant dans la cuisine, tu trouves les plats prêt à être servis et là t'attrapes le poivre et le sucre. Malicieusement, tu prends plaisir à en verser dans les assiettes avant de disparaître dans le salon. Les invités s'y trouve, mais pas ton père. Mademoiselle Macchiato vous n'avez rien à faire ici. Tu te tournes face au maître de maison et silencieusement tu t'avances dans sa direction. Lentement, alors que tu ne quittes pas son regard. Tu prends son verre sur la table et tu lui jettes le contenu au visage. Petite insolente, je vais te donner une correction. La main qui se lève dans ta direction et toi qui envoie ton poing dans ces parties génitales. Il hurle de douleur et tu lâches un cri dure et froid. Regardant les invites un par un alors que ton père arrive. Son visage se décompose, alors que toi tu ressens un bien fou s'emparer de toi. Il t'attrape le bras et te tire vers la sortie pour te ramener chez vous. Et toi tu te laisses faire dans un silence glaciale. Une fois à l'intérieur, il te hurle dessus, mais ça n'est pas suffisant après l'humiliation qu'à subit son patron. Celui déboule et semble hors de lui. Vous avez intérêt à lui donner une bonne leçon Roberto ou bien vous pouvez vous considérez sans travail et disparaître de ma vue. Tu vois ton père se figer à cet annonce, puis son regard noir se poser sur toi. Les deux hommes t'observes et soudain tu le vois qui quitte la pièce revenant bien trop vite avec une ceinture entre les mains. Et là, tu le sais il va oser pour cet homme frapper sa fille et quelque chose en toi se brise à cet instant. Plus les coups sont violent et plus la haine s'anime en toi alors que tu serres les dents et ne verse pas une larme.

perséphone.
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BOSTON 2015. Assise dans cet avion, tu te félicites d'être parvenu à tes fins. Adieu l'Italie et ton père ce connard que tu ne peux plus encadrer. T'as faillit le tuer et te voilà avec un casier sans doute parce qu'il est temps pour toi de te calmer. Lol. C'est tellement bon cette manière de contrôler tout ces gens qui t'entourent, ce besoin de faire le mal autours de toi ça te fait limite jouir. Strozi, il a jouit lui quand tu t'es pointé dans son bureau à vingt et une heure, que t'as laissé ta robe sur le sol. A poil tu t'es avancé vers lui et tu t'es assise sur son bureau en prenant plaisir à écarter les jambes. Il a pas mit deux minutes avant de te prendre comme un gros porc, il t'a retourné et il a recommencé mais il a pas vu ton téléphone qui était allumé. Lui pensait que tu gémissais de plaisir, mais tu simulais des cris de défense. Parce que tu l'as fait chanté cet enfoiré pour gagner ta liberté et ton billet pour Harvard. Ce plaisir que t'as prit à le voir te supplier de ne rien dire à sa chère femme. Ce que t'as ressenti t'as encore envie que ça se produise, parce que tu te sens vivante ça te fait gémir de voir les gens à ta merci. Tu le sais que t'es mauvaise et c'est pas d'aujourd'hui, tu l'as en toi depuis toujours. Seulement, maintenant tu l'assumes et t'as pas l'intention de jouer les gentilles. Tu as bien l'intention de faire ta loi à Boston, de prendre ce que tu veux et qui tu veux. L'avion commence sa descente vers Boston et t'attends qu'une chose c'est de quitter cet avion et de commencer cette nouvelle aventure.