caractèreJ’ai un caractère assez particulier. Certaines personnes décrivent mon comportement par un trouble de la personnalité et ils n’ont pas tout à fait tort. Je suis bipolaire mais commençons si vous le voulez bien pas mes nombreuses qualités.
Au Luxembourg je suis doux, gentil, généreux, à l’écoute et apprécie le petit peuple, protecteur, attachants, aimant, souriant, blagueur, montre l’exemple, courtois, drôle.. mais aussi de nombreux défauts qui est en partie causés par sa maladie. Il est Froid, Insensible,  Complexe à décrire, Difficile à cerner, Manipulateur, Prince héritier et aime le faire entendre,  Violent verbalement et physiquement, excentrique, susceptible, jaloux, bagarreur, arrogant, ingérable, infidèle, saute d’humeur. .

admission à harvardTON ADMISSION À HARVARD - Mon retour au pays m’a permis de retrouver mes proches et de me sentir soutenu même si cela n’efface rien cela fait un bien fou de rentrer à la maison.
Pourtant l’envie de repartir se fait ressentir et mon avenir d’étudiant ce dessine droit devant moi ... direction le continent américain. Ce fut pourtant pas gagner. Après avoir envoyé mon dossier d’admission pour l’université d’Harvard. Il a fallu répondre à toutes sorte de tests. 1500 au stats, une dissertation qui je dois l’avouer, fut  une réussite pour moi. J’ai tout simplement parlé de moi, mes envies et mes ambitions professionnelles, ce que je ressent face à mon avenir sur le trône bref visiblement cela a bien plus.
Rien n’était encore gagné car lors de l’entretien je me suis senti très mal à l’aise. Pris de panique et d’angoisse j’ai mis un moment avant de me sentir comme à la maison et d’enfin surprendre le jury de par ma motivation à faire partie des meilleurs étudiants du campus mais aussi de ma détermination à ressortir diplômes en poche et pouvoir devenir un juge de grande renommé.

story of my lifeJe m’appelle Théo j’ai 25 ans, je suis luxembourgeois mais j’étudie le droit à Harvard. Oui j’ai quitté mon pays pour rejoindre le sol américain il y a 5 ans de cela.
Déjà tout petit, je suis conditionné pour réussir. Une famille aimante avec une éducation stricte qui souhaite avant tout le meilleur pour leurs enfants. Des écoles de renommées, des fréquentations triées au peigne fin pour devenir des enfants digne du royaume.
Une cuillère en argent dans la bouche, Je suis chouchouté, aimé, choyé, mais surtout très médiatisé car le petit prince, un jour il deviendra grand et portera parfaitement la couronne.
Je suis un enfant sociable, gentil, doux, agréable à vivre mais par moment j’ai des réactions étranges qui force les parents à consulter de grand spécialiste comportemental. Très vite le résultat tombe. Je suis atteint de trouble comportemental grave. Si jeune, il est impensable de parler de trouble bipolaire mais lés médecin n’exclut pas cette hypothèse pour autant. La naissance des triplés y est pour beaucoup. Il n’y a donc aucun traitement médicamenteux possible mais de nombreuses visites chez le psychologue rythme mon enfance jusqu’au jour où J’ explose et refuse d’aller plus loin. Bien entendu la famille tente par tous les moyens de dissimuler ce côté obscur de leur petit protégé et pour le moment ça marche.
J’ai énormément d’amis et très proche de l’une de mes sœurs charlotte plus précisément. Entre elle et moi c’est l’amour fou, nous somme inséparables et je ne m’en cache pas au point de créer des conflits entre frangins.
Charlotte est comme moi, on se comprend. Nous somme tout le temps ensembles et je prends mon rôle de grand frère très au sérieux. Protecteur à la limite un peu trop étouffant sur lés bords personne touche charlotte ou c’est la douche froide direct!!

Avec mon autre sœur c’est comment dire.... un peu plus difficile ! Elle est trop cul cul la praline à mon goût. Ne croyez pas que je ne l’aime pas car c’est faux mais notre complicité est différent de celle avec charlotte. Puis le frère, c’est pas l’amour fou non plus mais au yeux de nos parents nous somme la famille idéale, parfaite même.

Parfaite.... c’est encore à voir car moi le trône je n’en veux pas mais hors de question de l’avouer et surtout encore moins de laisser ma place. Je suis pas fait pour diriger un pays je n’ai pas le caractère pour. Mais je n’ai pas le choix et puis je suis trop fière pour le laisser au frangin... alors je fais avec et que peut-être en grandissant, un jour, quelque chose me fera changer d’avis qui sait.

Pour l’instant je ne suis qu’un enfant, un ado qui souhaite devenir juge pour enfants quand je serais grand. alors je travail dure à l’école mais dans notre pays aucune école n’est à la hauteur de mes attentes moi je veux voyager, fréquenter les meilleurs écoles du monde et papa n’est pas contre cette idée il veut ce qu’il y a de lieu pour son fils alors il me laisse partir. Ce qui fut le plus difficile pour moi est de laisser ma sœur mais je rentre au pays assez souvent durant les vacances scolaires par exemple.
La première école que j’ai fréquenté fut en France puis en Angleterre, en Allemagne ou j’ai appris énormément de chose. Il est vrai que ce ne fut pas facile tous les jours. Être loin de sa famille, de ses proches, des gens que l’on aime et qui nous manque mais cela m’a permis de grandir plus rapidement et devenir autonome.
Et puis j’ai rencontré cette fille ... celle qui a réussi à prendre mon petit cœur d’adolescent. Un premier amour mais un amour exceptionnel. Et puis un soir en rentrant du collège 4 mecs nous cherche des poux et vont réussir à nous séquestrer dans une cave. Ce moment fut horrible car ils vont abuser de ma petite amie sous mes yeux. Un traumatisme pour elle et pour moi qui n’arrange en rien mon comportement. Cette histoire met fin à notre relation je n’ai pas su la protéger, je ne peux plus me regarder en face et encore moins être avec elle. Cette séparation fut pour moi très difficile à gérer les jours passent et le manque est de plus en plus grand. C’est à ce moment là que je décide de retourner au pays pour continuer mes études avant de faire ma demande pour entrer à Harvard.
Depuis avec lés filles ce n’est jamais rien de bien sérieux et c’est temps mieux car il est hors de question pour moi de m’attacher de nouveau et surtout de souffrir encore une fois alors je passe mon temps à étudier et avec mes proches et amis lorsque je ne suis pas à la salle de sport.
Tout va bien pour moi mes crises se font de plus en‘ plus rare et c’est pas plus mal.