feat. Laura Vandervoort
- 18 février 1990
- Montevideo, Uruguay
- 28ans
- Américo-Uruguyienne
- Bisexuelle
- Libérée Délivrée
- Moyenne
- Assistante administrative et médiatrice
- Droit et Médiation, puis Administration et Psychologie. 3 ans chacun
Konstantin n'enseigne pas à Harvard. Elle n'a jamais été tenté d'enseigner, et si un jour elle devait enseigner quelque chose, ça serait probablement des cours sur la résilience, puisqu'elle a traversé des épreuves difficiles et en est ressortit forte, mais pas repliée sur elle. Konstantin fait partie de l’administration, mit médiatrice mit agent d'administration. Elle aime Harvard, et elle a postulé à Harvard parce qu'elle avait déjà plus ou moins travaillé à ce style de poste dans la fac où elle étudiait l'administration, plus comme une assistante à tout faire, et elle avait beaucoup aimé ça, et comme elle déménageait pour Boston, elle a tenter Harvard, et quelques autres facultés dans les environs. Il faut croire qu'elle a été plus enthousiasmantes comme candidates que les autres sinon elle ne serait pas là.
OptimisteRayonnanteDiplomateForteProfessionnel Résiliente
Je souhaite ▲ (retire la balise le symbole et sa couleur qui ne correspond pas)
je veux être parrainé si oui, par pseudo du parrain (voir la liste des parrains)
Je recense mon avatar ▲
si personnage inventé:
- Code:
[size=10][url=http://www.i-love-harvard.com/u8999]☆[/url] ☆ <span class="pris">Laura Vandervoort</span> • “ Konstantin Aguilar ”[/size]
please tell us more
Pour beaucoup de gens, la vie est un fleuve tranquille troublé uniquement par les premiers émois de l'adolescence. Pour beaucoup de gens, la vie est de toute beauté, précieuse et unique. Mais pour les malchanceux comme Konstantin, la vie est une suite de combat sans aucune trêves. Elle n'a jamais fait partie de l'aristocratie, Konstantin est née dans une famille tout ce qu'il y a de plus banale, et moyenne, en apparence. Derrière les apparences se cachait la véritable horreur de la vie. Pour beaucoup les violences conjugales n'existent pas, comme une chimère qu'on peine à imaginer tant que nos propres yeux ne se posent pas dessus. Pour Konstantin, les violences familiales étaient son quotidien. Maintenant que je vous ai parlé de violences dans sa famille, vous imaginez tous à quel point son père abusait des deux femmes de sa vie... et vous auriez tort. Konstantin a grandit dans une famille, où le monstre n'était pas son père mais la mère. La femme qui l'avait mise au monde, la femme qui aurait dû prendre soin d'elle. La femme incapable de l'aimer. Incapable d'aimer tout court. Je ne vous dépeindrais pas un tableau où la violence était excusable, puisque rien ne peut jamais excuser de lever la mains sur une personne qu'on dit aimer. Son père tentait toujours de protéger sa petite fille, mais quand elles étaient seules à la maison, c'était l'enfer. Konstantin apprit très vite à traîner le plus tard possible avant de rentrer, mais pas trop non plus, sinon elle donnait un prétexte pour se faire battre. Elle dissimulait très bien les bleues derrières son sourire à toute épreuve. Konstantin était douce, adorable, aimante, tout ce que sa mère ne savait pas être. Son père fit ce qu'il pouvait pour s'en sortir, mais ce n'est pas chose aisé, beaucoup n'y croit pas, un homme battu par une femme.. C'était pourtant la réalité. Konstantin avait une meilleure amie qui la laissait souvent dormir chez elle, qui avait très vite compris le petit manège de la mère de Konstantin, mais vu leurs âges, elle ne pouvait rien faire que protéger sa meilleure amie. Quand elle entra au lycée sa mère était partie, elle avait "trouver mieux" elle voulait "être libre de ces boulets" "refaire sa vie". Ils n'ont pas osé lui dire qu'ils n'attendaient que ça depuis des années. Konstantin et son père réapprirent à vivre ensemble, tout les deux, sans menace, sans violence, dans une entente toute à fait normale. Konstantin eut des histoires avec des garçons, avec des filles qui ne lui laissèrent pas beaucoup de souvenirs marquants. Puis elle entra à la faculté. Elle commença des études de droits et de médiations. Elle finit par rencontrer un gars. Un gars dont elle tomba éperdument amoureuse. Le début de la fin. Il n'aimait pas ses amies, il était jaloux, il trouvait que Konstantin ne s'intéressait pas assez à lui. Elle aurait dû voir les signes, elle aurait dût fuir. Son père et sa meilleure amie ont essayé de lui faire comprendre, mais c'était trop tard, elle avait emménager avec lui. Ils s'étaient mariés. Elle était coincée, elle était seule, isolée et le cercle vicieux avait déjà recommencer. Les remarques désagréables, les commentaires cinglants, les coups, les excuses, le calme, puis la tempête, la douleur, et la joie, le tout mélanger dans un beau bordel, si bien que son corps ne supportait plus cet enchevêtrement d'opposés. Elle n'alla même pas à sa remise de diplôme, elle qui avait travailler si dur pour l'obtenir. Au lieu de ça, ce jour là, Konstantin était agonisante sur le sol de leurs appartement. Heureusement, ne trouvant pas Konstantin à sa remise de prix, son père et sa meilleure amie, entrèrent chez elle, et la trouva à temps. Elle passa quelques jours à l’hôpital, quelques jours pendant lesquelles, elle déposa plainte contre son mari, et enclencha son divorce. Soutenue par sa meilleure amie, et son père, et les preuves que Konstantin avait recueillit, elle obtint gain de cause. Et se mit à reprendre sa vie comme si de rien n'était. Malheureusement, même si elle s'engagea dans une relation sentimentale avec sa meilleure amie, son travail ne lui convenait pas. Gérer les conflits l'avait un peu échaudé, et elle préféra reprendre le chemin des études pour commencer de l'administratif avec une mineure de psychologie sans quitter son job. Au terme de ses études, sa relation avec sa meilleure amie se fana d'elle-même, et Konstantin déménagea dans une grande ville Boston. Elle finit par être embauché à Harvard grâce à ses études, ses jobs, à sa force de caractère, son sourire charmant, son énergie positive et rayonnante, sa jeunesse et sa détermination. C'est ainsi que ça fait deux ans que Harvard voit une blondinette se promener dans les couloirs de la faculté dans tous les sens. Elle a un bureau, comme tout les membres du personnel administratif, mais Konstantin est toujours ailleurs que dedans. Toujours en train d'apporter des dossiers aux professeurs ou à défaut à leurs assistants, à aller trouver des les étudiants qui désirent lui parler. Konstantin ne fait pas déplacer les gens à son bureau, non Konstantin c'est un peu la factrice, celle qui vous trouve dans la fac. Elle s'occupe de choses administratives comme le planning, les salles, le matériel, les relations prof-administration, assistant- administration, assistant-prof, élèves-profs, élèves-assistants, parce que Konstantin est une médiatrice et un agent administratif. Toute façon elle n'a aucune envie d'avoir un bureau et d'y rester. Elle aime être au contact des gens, se promener dans les couloirs de la fac, répandre la joie et la bonne humeur, et faire ce qui doit être fait. Parfois même les secrétaires qui ne veulent pas se déplacer demander à Konstantin de faire le relais.
bon courage pour ta fiche !
kaze faulkner widower · heterosexual · |
— 00 RPs › 05/05 → 12/05
— 01 RPs › 12/05 → 19/05
|
|