37 résultats trouvés pour récoltedefondsadams
House of biscuits | Windian
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House of biscuits | 11/12/2022
Fière de son geste, elle a un mouvement de recul pour mieux le regarder, déclinant son regard sur l’ovale de son visage quand il dépose les pâtisseries qu’il a apporté sur la table désignée. Ses lèvres au goût de paillettes, elle les pince pour qu’il n’interprète pas en mal l’arc de son sourire, elle le trouve ridiculement beau, plus que ce que leur relation ne lui permet de le dire. Surtout quand ils sont comme maintenant, entourés. Mais c’est plus fort qu’elle, l’expression de Sheng portant un bonnet de père Noël, afin de la satisfaire ça pourrait, tout du moins en ce qui concerne cette journée, clairement lui suffire. " Pas d'oreilles de troll cette année ? " Ses mâchoires se contractent, en un acte manqué, puisqu’elle ignore le dress code en rigueur en décembre dernier. D’une part parce qu’elle ne faisait pas partie de la Adams, venait tout juste de quitter la Curier, qu’entre la chambre de son penthouse et son salon, elle jonglait. « Je croyais que tu avais une préférence pour le rouge. » elle se contente de prononcer, amusée.Tandis qu’il dépose les biscuits, elle les observe afin de les comparer aux siens. Clairement différents des baniques amérindiennes qu’elle s’est appliquée à réaliser. Et parce qu’ils jonglent du regard quelques secondes entre elle et les autres étudiants, elle fronce les sourcils, quand il reprend. " Ca ne va pas être pratique. " Sans comprendre et sans pour autant se défaire de sa bonne humeur, elle interroge naturellement… « Pour ? » Vendre leurs biscuits ? Elle, elle estime que pour ce faire, il ne faut pas être forcément un génie.
#récoltedefondsadams #adamscalendar #standsadams
House of biscuits | Windian
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H
ouse of
Biscuits
Biscuits
P
as très discret lors de son intervention dans la conversation de sa fraternité, il est évident maintenant pour beaucoup d’étudiants de sa maison que l’héritier en pince un peu pour la Haiwee. Ou tout du moins qu’il aime pousser les limites de leur amicale relation jusqu’à des jeux osés. Pourtant, ils sont nombreux, les poètes Adams, à vouloir s’amuser lors de rendez-vous sans lendemain mais en ce qui le concerne, c’est comme une évidence aux yeux d’autrui, une relation qui les mènera certainement à plus que de partager un lit. Un début de week-end passé à se confronter en cuisine et ils ont tous deux choisis d’aller sur le stand Adams du marché de Noel pour vendre les spécialités de leurs pays. Une tache moins difficile pour lui, habitué et aidé par son majordome venu en renfort la vieille pour confectionner les mets de sa ville natale : des gâteaux de lune en peau de glace. Plutôt denses et sucrés, ces biscuits s’offrent d’ordinaire pour célébrer l’astre lunaire à la mi-automne, accompagnés d’un thé chinois traditionnel pour en alléger la saveur. Alors il s’est rendu un carton sous le bras et un sac contenant deux thermos jusqu’au square où ils se sont donnés rendez-vous pour l’occasion, la condensation de son souffle régulier s’échappant à chaque expiration.
Et son sourire à la vue de la sauvageonne, il le cache bien derrière le col de son trench révélé, observant à mesure qu'il approche d'elle le coté pailleté de ses traits. « Je l’ai apporté pour toi, spécialement. » Le paquet tout juste déposé sur une table en retrait qu'elle l'affuble d'un couvre-chef ridicule à souhait sans qu'il ne puisse le réaliser, accrochant du regard le pom-pom qui pendouille sur sa joue en ôtant sa veste pour afficher un pull bariolé. " Pas d'oreilles de troll cette année? " Il les aurait peut-être préférées et lorsqu'il se place sur le devant du stand en sa compagnie, déballant une à une les sucreries, il jauge ses lèvres, le regard fuyant vers les autres étudiants. " Ce ne va pas être pratique " ni très discret de l'embrasser à la volée sans se faire griller par les quelques paillettes qu'il pourrait lui usurper.
MADE BY @ICE AND FIRE.
Granny Runner [Windian
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Granny runner ▬ ♪♫♪
Les sourcils froncés, elle observe le papier, avance de quelques pas, convaincue que celui qu’elle accompagne est enclin à la docilité, qu’il lui emboite naturellement le pas, comme il se doit. Naïve qui ne s’aperçoit pas que le vieillard se la joue vagabondage le temps qu’elle épèle mentalement les lettres qu’elle parvient à décoder, et arrive finalement à la conclusion que c’est le mot « journal » qui est calligraphié en premier. Malgré elle, elle tique, sur l’ordre de ses priorités, avant de relever son nez.
Elle exulte un « Mais ?! » lorsqu’elle s’aperçoit qu’il n’y a aucune trace de l’homme dans le rayon. Cadeau empoisonné, c’est ce qu’elle ne peut éviter de se dire de prime abord avant de s’affoler. A la recherche du septuagénaire perdu. Elle se met quasiment à courir entre les allées, pour le retrouver deux rayonnements plus loin, le regard en l’air, l’index aussi, accroché à son caddie comme à une bouée, à chercher son chemin. Elle doit s’armer de toute sa patience pour réussir à rester douce au moment de lui souffler, « Si vous partez sans moi, je ne vais pas réussir à vous aider. » c’est l’évidence même si bien qu’elle ne s’imaginait pas être dans l’obligation de le conseiller. « J’crois, j’crois qu’on tourne en rond. » La voix lui fait tourner la tête sur le côté, lui affichant un sourire un tantinet blasé quand elle souligne ce qu’il se passe de son côté, « Au moins, vous tournez. » Car l’homme ne semble absolument plus déterminé à avancer, si bien qu’elle articule avec un peu moins de bienveillance qu’à l’accoutumé ; « C’est le jour-nal en premier. » Haiwee, elle refuse de perdre sans avoir tout fait pour gagner.
- JOURNAL: 1 REUSSI
- PILES: 2 REUSSIS
- DENTIFRICE: 1 REUSSI
- POMMES: 3 REUSSIS
Elle exulte un « Mais ?! » lorsqu’elle s’aperçoit qu’il n’y a aucune trace de l’homme dans le rayon. Cadeau empoisonné, c’est ce qu’elle ne peut éviter de se dire de prime abord avant de s’affoler. A la recherche du septuagénaire perdu. Elle se met quasiment à courir entre les allées, pour le retrouver deux rayonnements plus loin, le regard en l’air, l’index aussi, accroché à son caddie comme à une bouée, à chercher son chemin. Elle doit s’armer de toute sa patience pour réussir à rester douce au moment de lui souffler, « Si vous partez sans moi, je ne vais pas réussir à vous aider. » c’est l’évidence même si bien qu’elle ne s’imaginait pas être dans l’obligation de le conseiller. « J’crois, j’crois qu’on tourne en rond. » La voix lui fait tourner la tête sur le côté, lui affichant un sourire un tantinet blasé quand elle souligne ce qu’il se passe de son côté, « Au moins, vous tournez. » Car l’homme ne semble absolument plus déterminé à avancer, si bien qu’elle articule avec un peu moins de bienveillance qu’à l’accoutumé ; « C’est le jour-nal en premier. » Haiwee, elle refuse de perdre sans avoir tout fait pour gagner.
- JOURNAL: 1 REUSSI
- PILES: 2 REUSSIS
- DENTIFRICE: 1 REUSSI
- POMMES: 3 REUSSIS
Chouchous et croustillons (Arlo)
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Depuis le début de la semaine ton moral n'était pas au beau fixe. Les histoires révélées par Veritas t'avaient fait beaucoup de mal, d'autant plus que cela concernait les personnes les plus proches de toi, à savoir ta propre sœur et ton meilleur ami. Ça t'avait d'autant plus trigger que tes parents étaient en plein divorce justement à cause de la liaison de ton père alors forcément, tu en avais ras le bol que les liaisons des uns et des autres puissent avoir des conséquences sur ta vie, parce que toi, tu n'avais rien demandé à personne. Parce que des conséquences, il y en avait. Quand tu ne vivais pas avec Shay, tu vivais en coloc avec le meilleur ami en question alors forcément, quand ce genre d'histoire remontait à la surface, tu ne te sentais pas à l'aise dans cette maison. Tu avais donc déserté depuis le début de la semaine, pour une durée indéterminée. Tu allais probablement devoir y retourner un jour puisqu'il y avait encore une partie de tes affaires chez toi. Depuis que la session d'examens avait démarré, tu restais à la Adams, quand tu n'étais pas à la bibliothèque pour réviser. Tes absences répétées au cours du semestre tant à cause de ton état de santé défaillant que tes obligations royales fragilisaient tes chances de réussir tes examens mais tu ne lâchais pas la barre. Comme d'habitude, tu t'investissais à fond dans tes études et advienne que pourra. Tant que tu t'accordais quelques moments de détente, tu ne risquais pas de péter un plomb. En parlant de moment de détente, tu avais fait des sablés de Noël plus tôt dans la semaine. Tu avais dû faire quelques fournées avant de réussir la cuisson mais tant que tu te focalisais là dessus, tu ne ressassais pas tes idées noires alors c'était toujours ça de pris. Tu avais confectionné une dizaine de sachets contenant un assortiment de biscuits, tu n'avais pas eu le temps d'en faire plus étant donné que tu avais aussi tes cours à réviser. L'important c'est de participer, pas vrai? C'est ainsi que tu t'es retrouvé à ce stand créations pour espérer récolter quelques dollars pour la collecte de fonds organisée par ta confrérie. Ces biscuits avaient été confectionnés par tes soins, un exploit quand on sait que tu n'étais pas particulièrement manuel, les loisirs créatifs ce n'était pas du tout ton truc mais tu te démerdais pas mal en cuisine. Au moins les sachets étaient mignons, avec leurs nœuds en bolduc rouges et verts et des gommettes aux motifs de Noël pour les refermer. On ne pouvait pas dire que tu ne t'étais pas donné du mal pour les faire, tu les avais faits avec sérieux et application. Tu étais en train de fumer ta cigarette et de pianoter sur ton portable, non loin de l'endroit où tu t'étais installé avec ton panier, espérant que quelqu'un s'approche pour t'acheter un paquet.
@Arlo Woods
#récoltedefondsAdams
#standsadams
#adamscalendar
(HJ : Désolée pour le repost, je m'étais trompée d'endroit
)House of biscuits | Windian
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House of biscuits | 11/12/2022
Postée derrière le stand aux couleurs brillantes de la Adams house, des guirlandes bleutées, des paillettes qui n’en finissent pas de scintiller. Elle se réjouit de l’ambiance festive qui règne sur le marché. L’année dernière, faute de sa convalescence, elle n’avait pas pu en profiter. Alors il est vrai que pour ce mois de décembre, elle joue le jeu à fond, effectuant une pause dans ses révisions. Puis elle ne peut mentir, depuis qu’il lui a rappelé la récolte pour le prochain voyage de la maison, elle ne rechigne pas à la tâche. Donne de sa personne, plutôt fière, lorsqu’elle dépose sur la table, plusieurs assiettes garnis de différents biscuits. Ne manque plus qu’un seul détail … Qui ne tarde pas à faire son entrée, elle en mord un sourire, en songeant à l’accessoire qu’elle compte bien lui imposer. Le jumeau du sien, d’ailleurs, sur ses boucles ébènes, positionnés. Il vient parfaire sa panoplie de lutin de Noël, son maquillage mordoré, les paillettes sur ses paupières et lèvres qu’elle a pris le temps de déposer. Une fois qu’il est à côté d’elle, elle sort de sa poche, le bonnet rouge au pompon blanc. « Je l’ai apporté pour toi, spécialement. » Et avant qu’il ne puisse rechigner, elle pose sur sa tête, ledit bonnet.
#récoltedefondsadams #adamscalendar #standsadams
meetsachussets/manintherain
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update
Work in progress
On verra s'ils survivent à la cuisson
#récoltedefondsadams #adamscalendarGranny Runner [Windian
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Tw: maladies, vieillesse
♪♫♪
Pour l’heure la petite grand-mère devant lui ouvre la marche, le forçant à s’éloigner à regret de son initiale position pour trouver quelque chose qu’elle semble rechercher avec une motivation sans nom. « On cherche quoi ? » A défaut d’être pleinement impliqué, il se pourrait qu’il puisse l’aider à aller plus vite. Mais la crinière argentée vogue de droite à gauche en titubant au son des cliquetis de ses escarpins bien limés, sans le regarder. Voilà que pour la première fois de sa vie le sino n’est pas au centre de l’attention de la femme qu’il côtoie, sa fierté mise à mal, ce qui tend à l’irriter. Si elle ne souhaite pas lui parler, c’est qu’elle ne l’a tout simplement entendu, bien trop occupée à chercher sur l’entête des rayons un mot qui pourrait la faire se décider. Une fois à droite, ils s’engagent dans un rayon sans trouver de quoi la satisfaire, pour rebifurquer encore une fois à droite, la granny marchant toujours en tête sans chercher une seconde à se retourner.
Une main campée sur le caddy, sa jumelle vient s’écraser sur son visage lorsqu’il s’avachit sur son support, l'Adams dépité d’avance lorsqu’il aperçoit les deux silhouettes tantôt abandonnées. Il hésite à lever son index et à bredouiller à sa partenaire lorsqu’ils arrivent à hauteur du binôme d’Haiwee : « J’crois, j’crois qu’on tourne en rond. »
papier wc: 1/2 réussis
confiture: 0/1 réussi
infusions: 0/1 réussi
eau de Cologne: 0/3 réussis
G
ranny
Runner
Runner
S
i l’homme avait eu bien des années de moins, l’Adams aurait pu en être jaloux parce que dieu sait qu’il ne connait pas sa chance lorsqu’elle se présente à lui pour l’escorter et passer quelques minutes à ses côtés. Il s’en rongerait presque les doigts d’avoir eu cette drôle d’idée. Pour l’heure la petite grand-mère devant lui ouvre la marche, le forçant à s’éloigner à regret de son initiale position pour trouver quelque chose qu’elle semble rechercher avec une motivation sans nom. « On cherche quoi ? » A défaut d’être pleinement impliqué, il se pourrait qu’il puisse l’aider à aller plus vite. Mais la crinière argentée vogue de droite à gauche en titubant au son des cliquetis de ses escarpins bien limés, sans le regarder. Voilà que pour la première fois de sa vie le sino n’est pas au centre de l’attention de la femme qu’il côtoie, sa fierté mise à mal, ce qui tend à l’irriter. Si elle ne souhaite pas lui parler, c’est qu’elle ne l’a tout simplement entendu, bien trop occupée à chercher sur l’entête des rayons un mot qui pourrait la faire se décider. Une fois à droite, ils s’engagent dans un rayon sans trouver de quoi la satisfaire, pour rebifurquer encore une fois à droite, la granny marchant toujours en tête sans chercher une seconde à se retourner.
Une main campée sur le caddy, sa jumelle vient s’écraser sur son visage lorsqu’il s’avachit sur son support, l'Adams dépité d’avance lorsqu’il aperçoit les deux silhouettes tantôt abandonnées. Il hésite à lever son index et à bredouiller à sa partenaire lorsqu’ils arrivent à hauteur du binôme d’Haiwee : « J’crois, j’crois qu’on tourne en rond. »
MADE BY @ICE AND FIRE.
Granny Runner [Windian
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Granny runner ▬ ♪♫♪
Alors toute sourire, elle attend sa réaction, chose qui ne tarde pas, d’un regard de biais pour l’amorcer, « Mais je n’ai pas froid. » elle s’amuse d’autant plus du fait que pour l’instant, il ne comprend pas. Mais en un mouvement de menton en direction de la grand-mère, elle précise son choix, l’invite à aller se joindre à elle pour effectuer sa bonne action de cette fin de journée. Il s’en approche à petits pas, comme s’il se méfier d’avance, de ses possibles déviances.
Et si la dame lui lance un sourire significatif, l’amérindienne dénote l’expression de son acolyte, en pinçant ses lèvres afin de réprimer un rire, de toutes les façons, elle n’est pas aussi crédule que cela, Sheng aurait rechigné dans tous les cas.
Evidemment, c’est à son tour de déterminer qui elle se devra d’accompagner, et le visage de la brune suit le chemin que trace le regard de l’étudiant, sur le vieil homme s’arrêtant. « Vois çà comme…un entrainement lorsque plus tard je serais pareil. » Pas dans ses habitudes, mais elle lui en décoche pour toute réponse, une œillade assassine. « C’est touchant. Tu crois encore au Père Noel Wind River. » Bien sur, elle aurait préféré qu’il choisisse de la sienne, la cousine.
Mais à son intention, elle n’ajoute rien, parce qu’elle est trop polie et qu’elle saura se venger lorsqu’ils seront tous les deux sur un autre terrain. « Baby, it’s cold inside. » Elle l’écoute malgré elle, riant en secouant le visage, à la hauteur du grand-père, une dernière fois, elle l’entend, « Il DIT IL FAIT FROID DEDANS. » Elle doit se forcer pour recouvrer son sérieux, afin de se présenter à son petit vieux, « Je suis Haiwee, et c'est donc moi l'étudiante désignée pour vous aider. » Mielleuse, douce, armée de son sourire… C’est la douche froide quand il finit par lui dire, « J’en sais rien. » Si bien qu’elle ose à peine lui prendre le papier qu’il tient entre ses mains. Elle l'avoue, oui, elle en a perdu ses airs sereins, recherchant la silhouette de Sheng un peu plus loin... Les yeux finalement fixés sur la liste qu'elle vient de récupérer, à s'essayer à la lecture de ses besoins. « Un entraînement... » dont elle aimerait déjà voir la fin.
Et si la dame lui lance un sourire significatif, l’amérindienne dénote l’expression de son acolyte, en pinçant ses lèvres afin de réprimer un rire, de toutes les façons, elle n’est pas aussi crédule que cela, Sheng aurait rechigné dans tous les cas.
Evidemment, c’est à son tour de déterminer qui elle se devra d’accompagner, et le visage de la brune suit le chemin que trace le regard de l’étudiant, sur le vieil homme s’arrêtant. « Vois çà comme…un entrainement lorsque plus tard je serais pareil. » Pas dans ses habitudes, mais elle lui en décoche pour toute réponse, une œillade assassine. « C’est touchant. Tu crois encore au Père Noel Wind River. » Bien sur, elle aurait préféré qu’il choisisse de la sienne, la cousine.
Mais à son intention, elle n’ajoute rien, parce qu’elle est trop polie et qu’elle saura se venger lorsqu’ils seront tous les deux sur un autre terrain. « Baby, it’s cold inside. » Elle l’écoute malgré elle, riant en secouant le visage, à la hauteur du grand-père, une dernière fois, elle l’entend, « Il DIT IL FAIT FROID DEDANS. » Elle doit se forcer pour recouvrer son sérieux, afin de se présenter à son petit vieux, « Je suis Haiwee, et c'est donc moi l'étudiante désignée pour vous aider. » Mielleuse, douce, armée de son sourire… C’est la douche froide quand il finit par lui dire, « J’en sais rien. » Si bien qu’elle ose à peine lui prendre le papier qu’il tient entre ses mains. Elle l'avoue, oui, elle en a perdu ses airs sereins, recherchant la silhouette de Sheng un peu plus loin... Les yeux finalement fixés sur la liste qu'elle vient de récupérer, à s'essayer à la lecture de ses besoins. « Un entraînement... » dont elle aimerait déjà voir la fin.
Granny Runner [Windian
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Tw: maladies, vieillesse
♪♫♪
moufles ? Interloqué, le sino a ce réflexe idiot de se grandir, la questionnant du regard. « Mais je n’ai pas froid. » Il n’a pas encore compris mais cela ne saurait tarder, se dirigeant nonchalamment vers la mémé au crépu cendré, blanc comme la neige du mois de janvier. Au moment même où il pose sa main sur le caddy pour s’en octroyer la conduite, la petite vielle que la sauvageonne lui a assignée fait de même pour le récupérer, dévoilant sa manucure ce qui le fait subitement se reculer.
Elle aurait pu mal le prendre mais au lieu de ça, la sexagénaire lui sourit de presque toutes ses dents. La répulsion une fois passée, il s’essaye à le lui rendre en prenant soin de regarder Haiwee de côté, se gardant bien de prononcer un « Tu veux jouer à çà » …lorsqu’il détermine d’un coup de tête celui qui sera le partenaire de l’amérindienne pour la journée. « Vois çà comme…un entrainement lorsque plus tard je serais pareil. » Un peu gâteux et dépendant d’une personne pour le ramener sans cesse dans le droit chemin. « C’est touchant. Tu crois encore auPère Noel Wind River. » Il n’allait certainement pas l’épargner vu le cadeau empoisonné qu’elle lui a fait. Pour l’heure, il se ravise vers celle qui observe les alentours, trépignante et prête à démarrer au quart de tour, pour lui proposer, sans savoir comme aborder le sujet, la paire de moufles histoire de s’isoler du danger. « Baby, it’s cold inside. » Un air qu’elle aurait pu connaitre aux vues de son grand âge et pourtant, tout ce qu'il en ressort, c'est une question au timbre très mal calculé parce qu'elle ajuste sa voix à ce que son audition lui laisse présumer. « Qu'EST ce QU'I DiT?? » Sa paume venant se caler sur son oreille, les traits crispés, l'Adams perd déjà patience lorsqu'il réagit de façon spontanée. « Il DIT IL FAIT FROID DEDANS. » Après une onomatopée, la petite grand-mère le snobe littéralement pour faire trois pas en avant et lui assigne d'une main - qu'elle a bien du mal à lever - à le suivre, visiblement pressée d'aller retrouver ses programmes télévisées qui bercent quotidiennement ses soirées.
G
ranny
Runner
Runner
À
les écouter, l’une a survécu à toutes les misères du monde quand l’autre se plaint des désagréments du temps sur sa petite personne. Elles pourraient refaire ainsi l’histoire entière avec leurs regrets partagés, des souvenirs qu’elles s’empressent de se raconter, bloquant par la même de leurs caddys accolés l’entrée. Certains clients, en les dépassant, ne peuvent s’empêcher de râler en se retournant, les jaugeant en oubliant trop rapidement le respect qui est dû à ceux de l’ancien temps… Un concept qu’il n’a jamais oublié quant à lui parce que dans son pays, c’est toute sa culture qui est basée sur ce principe. L’asiatique analyse les diverses réactions sans prendre conscience de l’amérindienne qui s’écarte en direction d’un rayon pour ne revenir qu’une fois en possession de gants qu’elle lui tend, armée d’un sourire des plus satisfaits, angélique à souhait. « Je crois que tu vas avoir besoin de ça. » Des Elle aurait pu mal le prendre mais au lieu de ça, la sexagénaire lui sourit de presque toutes ses dents. La répulsion une fois passée, il s’essaye à le lui rendre en prenant soin de regarder Haiwee de côté, se gardant bien de prononcer un « Tu veux jouer à çà » …lorsqu’il détermine d’un coup de tête celui qui sera le partenaire de l’amérindienne pour la journée. « Vois çà comme…un entrainement lorsque plus tard je serais pareil. » Un peu gâteux et dépendant d’une personne pour le ramener sans cesse dans le droit chemin. « C’est touchant. Tu crois encore au
MADE BY @ICE AND FIRE.
Granny Runner [Windian
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Granny runner ▬ ♪♫♪
Ca lui fait du bien de le retrouver après ce mois de silence, sous le thème de cette légèreté, bercé par cette ambiance de presque fêtes de fin d’année. Les vitrines s’étant déjà parées de décorations guirlandes et Père-Noël esquissés à la peinture sur les différentes devantures comme les portes coulissantes qu’ils viennent de traverser. L’arrivée du mois de décembre, elle l’attend avec impatience, la Haiwee. Tout comme les premiers flocons de neige, même s’ils ne pourront pas y couper lorsqu’ils seront chez elle. A Boston, ce n’est pas pareil.
Seulement pour l’instant, elle n’a pas envie d’y songer, elle préfère cette ambiance bon enfant, celle qui s’installe par automatisme lorsqu’ils sont prêts à jouer pour être, à la finalité, tous les deux gagnants. Elle apprécie la teneur de son sourire qui lui répond de prime abord, et l’écoute émettre une précision, « A condition que je choisisse aussi pour toi. » elle plisse les paupières afin de jauger la proposition, mais c’est de bonne guerre alors elle accepte d’un mouvement de tête après une fraction de seconde d’hésitation.
Les voilà donc à s’avancer du petit groupe qu’il reste, elle se fait charmante, douce et souriante, quand lui semble être craintif, ce qui engendre une envie de l’amérindienne de lui désigner, celle qui être la pire, se pourrait. « Si on les choisit toutes les deux, on n’avancera pas, » il souligne ce qu’il voit comme une vérité, et bien sûr, à les contempler discuter on pourrait croire que rien ne pourrait les arrêter. Peut-être que, justement, c’est sur l’une d’elle qu’il faut miser. Puis l’espace d’une pensée, elle se dit que ne pas avancer à ses côtés, ça lui plairait.
Toutes à ses réflexions, elle observe toujours les trois derniers seniors qu’il leur reste comme possible choix, et s’arrêtant sur le détail de l’une des dames précédemment citées, elle attrape dans l’étalage de bonnets, écharpes et autres accessoires dédiés à l’hiver, une paire de moufles pour les lui montrer, sous son nez les agiter, amusée, « Je crois que tu vas avoir besoin de ça. » mordant un sourire quand elle désigne de sa main libre, l’une des grands-mères dont les ongles pourraient rivaliser avec certains monstres que l’on ne voit qu’au cinéma.
Seulement pour l’instant, elle n’a pas envie d’y songer, elle préfère cette ambiance bon enfant, celle qui s’installe par automatisme lorsqu’ils sont prêts à jouer pour être, à la finalité, tous les deux gagnants. Elle apprécie la teneur de son sourire qui lui répond de prime abord, et l’écoute émettre une précision, « A condition que je choisisse aussi pour toi. » elle plisse les paupières afin de jauger la proposition, mais c’est de bonne guerre alors elle accepte d’un mouvement de tête après une fraction de seconde d’hésitation.
Les voilà donc à s’avancer du petit groupe qu’il reste, elle se fait charmante, douce et souriante, quand lui semble être craintif, ce qui engendre une envie de l’amérindienne de lui désigner, celle qui être la pire, se pourrait. « Si on les choisit toutes les deux, on n’avancera pas, » il souligne ce qu’il voit comme une vérité, et bien sûr, à les contempler discuter on pourrait croire que rien ne pourrait les arrêter. Peut-être que, justement, c’est sur l’une d’elle qu’il faut miser. Puis l’espace d’une pensée, elle se dit que ne pas avancer à ses côtés, ça lui plairait.
Toutes à ses réflexions, elle observe toujours les trois derniers seniors qu’il leur reste comme possible choix, et s’arrêtant sur le détail de l’une des dames précédemment citées, elle attrape dans l’étalage de bonnets, écharpes et autres accessoires dédiés à l’hiver, une paire de moufles pour les lui montrer, sous son nez les agiter, amusée, « Je crois que tu vas avoir besoin de ça. » mordant un sourire quand elle désigne de sa main libre, l’une des grands-mères dont les ongles pourraient rivaliser avec certains monstres que l’on ne voit qu’au cinéma.
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