feat. tyler seguin
- 15 MAI 1994
- MONTREAL,
QC, CAN - AGE
- CANADIEN
- HÉTÉRO
- CÉLIBATAIRE
- AISÉE
- MÉDECINE
- SPORT
- JOUEUR DE HOCKEY
- BOURSIER
J’ai été capitaine de mon équipe tout au long de mes études et j’ai eu les meilleures années de ma vie dans le sport qui me passionne le plus. Une réponse qui a surpris les gens lors de mon entrevue avant de finalement faire partir des étudiants d’Harvard était que même si le hockey me passionnait énormément, je n’ai jamais voulu devenir un joueur de la ligue national de hockey. Ce n’était pas dans mes cordes et d’une manière, je n’ai jamais été cet homme qui se désirait avoir de l’attention constante sur moi. Le fait d’avoir été moi-même dans mes réponses, je me suis sentie confortable à répondre aux autres questions.
Je n’ai pas hésité à rejoindre l’équipe de hockey du campus parce que c’est une façon pour moi de garder ma zone de confort et de ne pas perdre ce que j’ai acquis avec le temps. Ce qui n’avait pas tant impressionné les interviewers était le fait que je me concentre beaucoup plus sur le hockey que sur mes études, mais que mes notes en dépassent les attentes requises. La jalousie se faisait ressentir dans la salle, mais je n’avais rien du tout à me reprocher.
Je n’avais pas attendu longtemps avant d’avoir une réponse pour mon admission. Mes parents était très fière de moi et surtout que mon jumeau ma aussi suivis à Harvard, s’était vraiment une belle première expérience à vivre avec mon frère jumeau.
Je ne m’étais pas vraiment concentrer sur le fait d’être dans une confrérie pour débuter mes études à Harvard. Je voulais simplement me concentrer sur cette belle expérience et de jouer au hockey. Par contre, j’ai réalisé que mon côté compétitif faisais de plus en plus surface et j’ai décidé de rejoindre la maison des Winthrops avec mon frère. Avoir des jumeaux tatouer et sportif dans une confrérie simplement composé de mâle est comme un appât facile pour les jolies demoiselles de la maison des Cabots et aussi des autres maisons.
Je suis avec les Winthrops depuis 4 ans maintenant et le « brother hood » est très présent entre nous. On se connaît tous et il n’y a pas une chose que l’on ne sait pas de chacun. C’est normal d’avoir des moments négatifs, car personne n’est parfais et même que parfois, il y en n’a qui se prenne pour quelqu’un, mais ça, c’est leurs problèmes. Je ne changerais pas de confrérie pour une autre, car nous formons une grosse famille et c’est très agréable à vivre.
drôlenerveuxpassionnéanxieuxambitieuxtête de cochon
Je souhaite ▲ (retire la balise le symbole et sa couleur qui ne correspond pas)
je veux être parrainé si oui, par pseudo du parrain (voir la liste des parrains)
Je recense mon avatar ▲
si personnage inventé:
- Code:
[size=10][url=http://www.i-love-harvard.com/u8746]☆[/url] ☆ <span class="pris">TYLER SEGUIN</span> ◊ “ Mason O. C. Schoof ”[/size]
please tell us more
Ce n'est pas évident parfois ce se faire appeler autrement lorsque les gens ignore comment vraiment prononcer de la bonne manière ton nom de famille. J'ai arrêté de compter tous les fois qu'on m'appelé "School", "Shoof" ou même "Shof". Encore aujourd'hui, les gens n'arrive pas à écrire ou dire mon nom correctement et je fais chier bien des gens quand je ne répond tout simplement pas lorsqu'il m'adresse la parole ou lorsqu'il me demande une question. Déjà que la plus part m'appelait "School" était quand même un bon début pour prononcer mon nom de la bonne manière, mais on s'entend que je suis loin d'être une école. Je ne suis pas fait de brique qui contient des centaines d'étudiants. C'est simplement une remarque et encore, je le prend parfois personnel, mais bon, pourquoi être aussi sérieux. Je reste encore quand même insulté par le fais qu'on déforme mon nom de famille, mais j'ai aussi compris que ce n'étais pas juste moi, mais même ma mère avec son nom typiquement français Québécois se fait prononcer très différemment et surtout de tous les façons. Mon père qui est simplement anglophone arrive parfaitement à le prononcer sans faire d'erreur. Et ceci ne lui a pas pris 26 ans de mariage pour apprendre à le prononcer correctement. Et oui, mes parents sont ensemble depuis plus de 30 ans et marié depuis 26 ans. Un mariage civil Écossais dans un petit village tout près d'où est-ce que ma mère a grandi pratiquement toute sa vie et en 1994, j'ai vue le jour à l'hôpital Sainte-Justine à Montréal. Ma mère m'a toujours raconté que s'était une grossesse terrible et douloureuse, car elle avait moi et mon frère jumeau en même temps. C'est tu pas assez rien qu'un peu et nous sommes totalement identique. Merci à cette césarienne qui a encore plus mis ma mère dans un état très douloureux, mais aujourd'hui, elle se dit fière d'avoir eu des jumeaux en partant. Elle a eu 2 autres grossesses après nous dans laquelle elle portait nos petits soeurs. Moi et Zack avons 2 ans de différence avec Leah (22 ans) et 4 ans de différence avec Evelyne (20 ans). Je dois dire que je suis très protecteur envers mes petites soeurs. Et je dois aussi dire que grâce a l'équilibre qu'il y avait à la maison, j'ai eu la chance dans apprendre beaucoup sur le comportement féminin. Ce que je veux dire, c'est que j'ai beaucoup remarqué que ma mère était une femme extrêmement nerveuse et qu'elle tapais sur les nerfs à mon père. Elle-même le réalisait, mais ne voulait pas l'admettre. S'était assez évident dans son visage et aussi de la manière qu'elle agissait physiquement. D'un autre côté, ce n'est pas de sa faute, car elle a le syndrome de la Tourette depuis qu'elle est jeune. J'ai aussi développé ce syndrome lorsque j'étais jeune. Ce parcours difficile de ma vie a débuté de la manière que ma mère. Par contre, ceci ne m'a jamais empêché de continuer à pratiquer mon sport favoris qui est le hockey. Et, je ne dit pas que ma mère n'aurai pas du laisser tomber les arts martiaux, mais il y a aussi une manière comment bien traiter ceux qui désire apprendre a comment se défendre de un et de deux à atteindre des objectifs important pour se surpasser.
J'admire ma mère beaucoup. Elle sait comment surpasser ses plus grand moment de stresse et d'anxiété, mais il y a des moments où est-ce qu'elle peut facilement péter un câble ou simplement commencer à pleurer pour aucune raison. C'est aussi difficile d'admettre à soi-même que l'on souffre aussi de dépression. C'est assez évident de le réaliser et surtout quand on grandi dans cette environnement avec elle. Je ne changerais aucunement ma mère pour une autre femme dans ce monde, car je me sens très choyé et chanceux d'avoir cette femme dans ma vie. Elle m'a transmit beaucoup de chose et beaucoup de connaissance que je suis fière de partager aujourd'hui avec les autres.
La vie de famille chez moi c’est très peu ordinaire et ce, pour plusieurs raisons. Être 4 enfants à la maison, c’est rock n’ roll pour mes parents et surtout qu’ils désiraient simplement avoir 3 enfants, mais comme nous sommes aimées inconditionnellement tous les 4, c’est un amour que ma mère porte et qu’elle nous a transmis depuis que nous sommes au monde. Par contre, étant jumeau, s’était assez facile de faire des mauvais coups à la maison et parfois à l’école. J’ai arrêté de compter tous les fois que nous nous sommes retrouvés dans le coin dans le fond de la classe nez fasse au mur pour une réflexion. Pour nous, s’était encore plus hilarant, car nous n’avions aucun filtre et le bureau de la directrice était comme notre deuxième classe d’apprentissage. Je ne dis pas que mes parents n’essayaient pas de nous faire la discipline, mais nous avions une sacrée tête de cochon.
Au Lycée, moi et mon frère étions beaucoup plus mature. Il le fallait pour avoir notre place dans l’équipe de hockey et il fallait être mature dans nos notes scolaires. Être 98% identique faisait en sorte que nos professeurs ne nous faisaient pas totalement confiance, car nous étions vraiment imprévisibles. S’était assez étonnant de voir aussi à qu’elle point ils étaient aussi des visages à 2 faces. La plupart de nos anciens professeurs avaient perdu leurs emplois après avoir essayé de nous faire échoué, car ils nous détestaient ou ne nous faisait aucunement confiance. Mes parents avais passé un message clair à notre Lycée que s’était inacceptable et qu’ils étaient pour entreprendre les mêmes démarches pour défendre nos sœurs si s’était pour se reproduire. Aujourd’hui, je suis totalement comme mes parents. Je défends les membres de ma famille et ceux proche de moi à 100%. Tout comme mes coéquipiers, nous sommes comme des frères et avec les Winthrops, nous sommes une belle grande famille. Il n’y a rien de mieux de se sentir comme chez soi lorsque nous sommes avec ceux que l’on aime.
bienvenuuuue