feat. Magdalena Zalejska
- Officiellement le 11 juillet 1996, Officieusement le 30 avril 1997
- Londres
- Pour tout le monde j'ai 22 ans
- Anglaise et Américaine
- Hétérosexuelle
- Bien trop instable dans ma vie sentimentale
- Classe sociale très aisée depuis mon adoption
- Etudiante en Psychologie
- Journalisme
- Influenceuse sur les réseaux sociaux
- Non boursière
Dans une maison bien sûr ! Il est bien plus facile de s'intégrer et donc de se faire remarquer quand on est dans une maison. Et comme Phoenix n'arrêtait pas de me casser les oreilles avec la Cabot House, j'ai porté mon choix sur celle-ci en grande partie pour qu'elle me lâche. Bon en y regardant de plus près, leurs valeurs me correspondent plutôt bien mais je ne lui ferais pas le plaisir de lui avouer. Ce sont toutes des femmes avec un tempérament de battantes et j'en suis une. La mode n'a aucun secret pour moi, c'est une de mes grandes passions et ce n'est pas pour rien que je suis devenue influenceuse sur les réseaux sociaux. Et puis je dois dire que leur fondation défendant les droits des enfants du tiers monde me tient particulièrement à cœur. Ayant moi même été recueillie pendant mon enfance, je l'aurais même élargie à tous les enfants, mais je ne suis pas naïve au point de croire que le monde est tout rose et tout beau.
EnjouéeManipulatriceLoyaleSuperficielleSociableCaractérielle
Je souhaite ▲ (retire la balise le symbole et sa couleur qui ne correspond pas)
je veux être parrainé si oui, par pseudo du parrain (voir la liste des parrains)
Je recense mon avatar ▲
si scénario:
- Code:
[size=10][url=http://www.i-love-harvard.com/u8653]☆[/url] [url=http://www.i-love-harvard.com/t92242-fm-teamlannister]☆[/url] <span class="pris">Magdalena Zalejska</span> • “ London Lannister ”[/size]
please tell us more
Elle était bien trop occupée avec tous les mecs qui défilaient à la maison. Je me souviens d'une nuit en particulier où je m'étais levée pour répondre à l'appel de la nature. Et il y avait cet homme, là, debout dans le couloir. Le regard qu'il avait posé sur moi m'avait fait froid dans le dos. Je me souviens qu'il m'avait bloqué le passage et qu'il m'avait coincée contre le mur. J'en fais encore des cauchemars parfois. Quand il m'a enfin laissée partir, je me suis enfermée dans la salle de bain en pleurant toutes les larmes de mon corps. J'avais tellement mal et je me sentais si sale. Je ne saurais dire combien de temps je me suis acharnée sur ma peau, à vouloir en décaper la moindre petite parcelle, mais je me souviendrais toute ma vie de cette nuit-là. Je ne suis sortie de la salle de bain qu'au matin, quand j'ai entendu Nice se lever et je ne l'ai pas lâché d'une semelle jusqu'à ce qu'on sorte de la maison. Je n'en ai jamais parlé à personne, même pas à mon frère. J'avais tellement honte et c'est encore le cas aujourd'hui même si je sais que je ne suis pas celle à blâmer. Qu'est-ce que j'ai pu en vouloir à ma mère. Je dois dire que j'ai souhaité sa mort plus d'une fois, sans vraiment me rendre compte des conséquences que ça entraînerait. Et puis c'est arrivé. Une maladie qu'elle avait contracté à cause de son hygiène de vie peu recommandable.
Étrangement, c'est quand elle est tombée malade que j'ai arrêté de lui en vouloir. Du moins en partie. J'avais compris que sa véritable maladie durait depuis bien plus longtemps et qu'elle ne se rendait tout simplement pas compte de ses négligences. Cette maladie c'était l'alcool et la drogue. J'avais alors espéré qu'elle s'en sorte mais le sort en a voulu autrement. Comme quoi parfois, il faut faire attention à ce qu'on souhaite. J'avais 11 ans et Nice 12. On nous a envoyés vivre chez une tante qu'on n'avait même pas rencontré une seule fois avant cela. C'était seulement maintenant qu'elle se manifestait celle-là. Où était-elle depuis tout ce temps ? Je ne voulais pas aller vivre chez une inconnue et plus que tout, j'avais peur qu'on me sépare de mon frère.
C'est là qu'on s'est enfuis du pays. On a décidé de prendre un nouveau départ à New York, probablement attirés par ce que tout le monde appelait le "rêve américain". C'était loin d'être un rêve pourtant au début. Nous n'avions plus de toit et se trouver à manger était compliqué. Heureusement, Nice a réussit par je ne sais quel miracle à intégrer une école de photo et c'est là que notre route a croisé celle de la famille Lannister. Je dois dire que quand ils ont commencé à parler d'adoption, j'ai eu peur qu'avec la tripoté d'enfants qu'ils avaient déjà adopté, il n'en choisissent qu'un seul de nous deux et s'il y avait bien une chose que je n'aurais laissé arriver pour rien au monde, ça aurait été qu'on nous sépare. Mon frère était mon point d'encrage, la seule personne en qui j'avais réellement confiance et il était hors de question que des étrangers se mettent entre nous. C'est comme ça que j'ai mentis sur ma date de naissance. Nice et moi avons fait croire à tout le monde que nous étions jumeaux et sur mes papiers d'identité, il figure désormais que je suis née à la même date que lui.
Nous n'avons pas eu beaucoup de mal à le faire croire avec les 15 petits mois de différence que nous avions et notre relation était déjà celle de vrais jumeaux. L'intégration dans la famille n'a pas été facile. Ils avaient déjà beaucoup d'enfants et la seule famille que je n'avait jamais considéré comme telle c'était Nice et personne d'autre. J'ai finalement réussi à m'y faire même si je dois bien admettre que je suis loin de m'entendre à merveille avec tout le monde, mais ils m'ont fait découvrir ce qu'était réellement une famille, avec laquelle je pourrais me sentir en sécurité. Et pour ça, je ne les remercierais jamais assez. Ne plus être livrés à nous même n'avait d'ailleurs pas été le seul changement.
Les Lannister avaient de l'argent, beaucoup d'argent et le regard des gens n'était plus le même que lorsque nous trainions dans les rues essayant désespérément de nous débrouiller comme nous le pouvions. Je me suis mise à attacher beaucoup d'importance à l'image que je pouvais renvoyer aux autres et le shopping est devenu ma passion numéro 1. Accompagné des réseaux sociaux bien entendu et surtout de Snapchat, mon petit bébé ! J'adorais cette nouvelle façon qu'on avait de me regarder et encore aujourd'hui, je fais tout ce que je peux pour me faire remarquer. Paraître forte et sûre de moi me donne en quelque sorte l'impression de me protéger. Et je crois que si je suis aussi suivie sur Internet, c'est aussi grâce au fait que je me bats pour la cause féminine. Je voudrais que les femmes se sentent fortes et que plus personne ne subisse ce que moi j'ai pu subir.
C'est en partie grâce à ça que j'ai commencé des études en Psychologie. Ma volonté à vouloir me démarquer des autres était aussi passée par mes notes et mes excellents résultats m'avaient valu de sortir du lot. Et c'est tout naturellement que je me suis orientée vers Harvard. J'hésite encore beaucoup avec le journalisme, qui serait également une bonne manière de dénoncer ce que peuvent subir les femmes mais aussi parce que je ne me vois pas lâcher mon travail d'influenceuse mode. Mais j'ai encore le temps pour réfléchir à tout ça.
Bienvenue parmi nous
Je suis trop contente que tu es choisis notre famille pour intégrer la grande famille ILH
N'hésite pas si tu as besoin, toute la famille est à ta disposition
@Ushuaia Lannister @Quito Lannister @Sydney Lannister @Nice Lannister
Et je réponds à ton petit mp tout de suite
Bienvenue à toi
bienvenue et bon courage pour ta fiche
I look and stare so deep in your eyes. I touch on you more and more every time, when you leave I'm begging you not to go. Call your name two or three times in a row. Such a funny thing for me to try to explain. How I'm feeling and my pride is the one to blame ? 'Cuz I know I don't understand, just how your love your doing no one else can. |
kaze faulkner widower · heterosexual · |
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