feat. Bae Suzy
- 13 juillet 1995
- New York
- 22 ans
- Américaine
- Bisexuelle
- Célibataire
- Aisée
- Design de la mode
- Théatre
- Mannequin
- Boursière
Emprisonnée dans la route que mes parents m'avaient tracé, je me sens désormais plus libre. Il est temps pour moi de retrouver la vie sociale que j'ai jeté à la mer lorsque j'étais jeune. J'ai envie de fêter, de vivre à fond ma liberté sans mes parents pour m'obliger à faire ce qu'ils veulent. Je vole désormais de mes propres ailes, libre comme l'air. Je compte bien en profiter à 200% !
Le temps est venu de lier des liens solides avec certaines personnes. Les bonnes amies ne manqueront pas à Harvard. Je peux désormais profiter d'une vie sociale à son maximum, les sorties entre amis ne manqueront pas avec la Cabot House. Enfant unique, je pourrai enfin vivre l'expérience d'avoir des sœurs, des personnes sur qui on peut toujours compter et à qui on peut tout dire même nos plus grands secrets.
ouverte d'espritbienveillanteattachantefêtardenaïveinfluençable
Je souhaite ▲ (retire la balise le symbole et sa couleur qui ne correspond pas)
adhérer un flood d'intégration (?)
je veux être parrainé si oui, par pseudo du parrain (voir la liste des parrains)
Je recense mon avatar ▲
si personnage inventé:
- Code:
[size=10][url=http://www.i-love-harvard.com/u8477]☆[/url] ☆ <span class="pris">BAE SUZY</span> • “ Anna A. Lewis ”[/size]
please tell us more
Le compte en banque n'était pas un problème, mais une bourse ne pouvait qu'aider ma situation. Je l'ai obtenu à ma dernière année, tous les efforts que j'avais mis à étudier et à travailler fort m'avaient récompensé. Évidemment, cela n'était pas assez pour satisfaire le désir de voir réussir leur fille qu'avaient mes chers parents.
« C'est désormais ta meilleure chance d'intégrer l'université dont tu as toujours rêvé, ma fille. Tu devras exceller aux SATs si tu veux y arriver, alors ne perds plus de temps et va étudier dans ta chambre ! »
Étudier encore et encore. Ma vie sociale était complètement absente, comme si elle n'allait jamais exister. Ça me rendait malade, je ne parlais à personne d'autre que mes parents, trop absorbée par le fait d'écouter les professeurs à l'école et à réviser en mangeant sur l'heure du dîner ou les pauses entre les cours. Des amis, des fêtes, des éclats de rire, tout ça n'était qu'inatteignable pour moi. C'était à la foi comme si ces sources de bonheur était si proche mais si loin de moi. Je voulais les atteindre mais je ne voulais pas y mettre l'effort pour les atteindre.
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Lorsque j'ai reçu la lettre d'admission pour Harvard, c'était une libération, un poids qui s'enlevait immédiatement de mes épaules. J'étais libérée de mes parents, libérée de cette cage dans laquelle on m'avait mise depuis toute petite. Mes parents ont pleuré de joie pour mes études, j'ai pleuré de joie pour la vie sociale que j'allais enfin pouvoir retrouver. Ils étaient contents puisque j'aurais une bonne éducation, j'étais contente puisque j'allais finalement pouvoir m'amuser. Les fêtes n'attendaient plus que moi. Croyez-moi, je ne laisserai mon titre de « Reine de la fête » à personne.
Welcome hereee
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