feat. sebastian stan
- 18 novembre 1990
- gold coast, australie
- 27 ans
- australien
- hétérosexuel
- célibâtard qui se suffit avec sa main droite
- pauvre, contrairement au reste de sa famille
- mime et ventriloque dans un cirque
- n'a pas fait d'études, il a intégré le cirque quand il n'était encore qu'un adolescent
comment te vois tu dans 10 ans ? - son avenir il est incertain depuis le jour de sa naissance alors il veut pas se projeter, il peut pas se projeter. pour l'instant il est à cambridge dans l'espoir de retrouver sa famille, pas pour être sympathique mais pour obtenir réparation. peut-être que ça se passera bien, peut-être qu'il s'installera dans la ville. ou peut-être que ça se passera mal, peut-être qu'il repartira sur les routes avec le reste de la troupe. peut-être qu'il devrait demander à la voyante de la troupe mais il sait, lui, que c'est des conneries pour attirer les touristes. une chose dont il est certain par contre : dans dix ans, dans vingt ans ou même dans trente il sera toujours le mime et ventriloque du cirque, son unique famille depuis bien des années.
cambridge c'est simplement une ville de plus dont il foule le bitume, une ville dans laquelle il se créera de nouveaux souvenirs. et les souvenirs finiront par s'estomper au fil du temps. il prend ses marques pour l'instant et il vagabonde. parfois il passe près de la célèbre université pour se confronter à sa famille mais il se contente de ruminer dans son coin sans franchir le pas, absorbé par ses stratégies. cambridge et pas boston simplement à cause de la proximité avec harvard. puis il a besoin de sa tranquillité cole parce qu'il est pas très bavard, qu'il aime pas particulièrement la foule. alors pour l'instant cambridge c'est suffisant pour lui, qui sait si il ne verra pas plus grand un jour ou l'autre. mais dans l'immédiat la tranquillité de la ville lui convient parfaitement et surtout la proximité avec sa famille.
manipulateurégoïstedétachésarcastiqueloyalrancunier
Je souhaite ▲ (retire la balise le symbole et sa couleur qui ne correspond pas)
adhérer un flood d'intégration (?)
je veux être parrainé si oui, par pseudo du parrain (voir la liste des parrains)
Je recense mon avatar ▲
si personnage inventé:
- Code:
[size=10][url=http://www.i-love-harvard.com/u8417]►[/url] ► <span class="pris">SEBASTIAN STAN</span> ◊ “ Cole Maxwell ”[/size]
please tell us more
(l'abandon) il était trop petit, trop jeune.
pour ressentir la douleur qui vrillait ses entrailles de bébé. plus âgé sans doute aurait-il comprit ce qu'il foutait devant cette grille en fer. mais là il pouvait pas, il était silencieux entre ses draps. c'était un jour gris, pas pluvieux pour autant et pourtant un épais nuage noir cachait le soleil. les voix des adultes résonnaient lointainement à ses oreilles, de toute manière il pouvait pas comprendre.
alors il restait immobile dans les bras de la personne qui le tenait.
on l'avait baptisé cole. cole maxwell.
fallait bien garder ce nom de famille. peut-être pour l'héritage mais à l'époque ça se disait pas.
il bougea entre les bras des adultes. un baiser sur le front avant de voir les grilles se refermer sur la silhouette de deux amoureux.
et une goutte d'eau tomba sur sa joue. il pleuvait.
ou il pleurait.
(les rues) il avait cessé de compter les familles d'accueil.
parce qu'il était trop baladé de part en part. cole c'était un fugueur.
pire, c'était un poids. personne ne voulait d'un poids alors il avait commencé à errer dans les rues sans se préoccuper du reste. sans demander de l'aide. il squattait chez les uns, il squattait chez les autres. il se démerdait tout seul.
c'était ce qu'il faisait depuis sa naissance.
et il en avait provoqué des bagarres en autant de temps. personne le canalisait. personne ne canalisait la colère qui grondait en lui, encore moins son instabilité. alors il se battait pour ressentir de l'adrénaline. parfois simplement pour montrer qu'il ne fallait pas le faire chier. mais c'était qu'un môme. et comme tel il ne comprenait pas toujours tout, il ne comprenait pas pourquoi il devait trouver une famille.
c'était quoi le concept d'une famille ?
des personnes capables de l'abandonner au pied d'une porte en ferraille, c'était ça sa famille. et si c'était ça il préférait se battre dans les rues.
(le cirque) mais c'était parler trop rapidement. parce qu'il la trouva finalement sa famille. auprès d'un homme au maquillage étrange, auprès d'une jolie dame avec son cerceau, auprès d'un dresseur de fauves au costume intéressant, quelques acrobates, une voyante rigolote, un nez rouge, un pantin en cire et du maquillage blanc.
une troupe de cirque.
on pensa d'abord à le former en acrobaties. mais c'était la catastrophe. il se cassa deux fois la cheville droite, porta un plâtre au bras pendant de nombreuses semaines. tomba sur la tête, frôla le traumatisme crânien. il s'ouvrit l'arcade sourcilière une fois, deux fois, trois fois. il arrêta de compter.
puis on arrêta de s'acharner sur les acrobaties. il parlait pas alors on le maquilla de blanc pour le transformer en mime et il excella dans son domaine.
puis on lui donna une poupée. on lui donna billy. et il donna vie à billy. et il ne quitta plus billy.
(les départs) une nouvelle vie qui se profilait.
une nouvelle famille, un nouveau métier. il se plaisait dans sa nouvelle vie. il avait l'impression de vivre, non plus de survivre. il était heureux.
ou presque.
parce qu'il manquait toujours quelque chose dans sa vie. quelque chose dans son sang, qui concernait son sang. il grandissait et il se posait des questions. parfois il ne trouvait pas le sommeil. il quitta l'australie, nouveau départ.
mais il continuait de chercher sa famille biologique.
dans toutes les villes dans lesquels il mettait les pieds, il cherchait. il espérait trouver des réponses à toutes les questions qui se bousculaient dans sa tête. en attendant il découvrait le monde. parfois il restait une semaine dans une ville, parfois six mois. il vagabondait avec le cirque, il se créait des souvenirs.
et finalement il trouva.
(vengeance) il susurra le nom de la ville à l'oreille de son patron. il accepta avec plaisir, il ne pouvait rien refuser à son petit protégé. à celui qu'il considérait comme son fils. mais le fils par procuration, lui, allait retrouver son père. l'homme particulièrement riche qui avait osé l'abandonner bien des années auparavant aux portes d'un orphelinat.
cet homme avait eu d'autres enfants scolarisés à harvard.
et cole, le rictus aux lèvres, comptait bien faire connaissance avec eux.
parce qu'après tout, c'était ça une famille, non ?
PREMS
JE T'AIME
MA VIE
CHLOÉ BAE
LOVE FOREVER
bon courage pour ton histoire
MON FRERE CHERI QUE JE SAIS PAS SI JE VAIS L'AIMER OU LE DETESTER Non en vrai ils sont trop semblable pour se haïr
Bon courage pour ta fiche et j'ai hâte de te retrouver en rp (a)
En plus Stan quoi
on arrête de suite de sauter par tout, okéé. jtm babe.
@Stella Alvès @Agathe A. de Belgique-S @Callum Fraser merci beaucoup tous les trois
@Megara Maxwell MA SŒUR
tu vas m'adorer, je te laisse pas le choix en plus on va faire des rp de fous.
ya que des bg dans cette famille, je hurle.
rooooar bb trop de love
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