Avec Sally, tu avais déjà ressenti le manque. Et pas seulement quand tu ne pensais qu'à des envies de faire de vilaines choses d'adulte. Non, quand elle tu t'étais absenté l'été dernier, elle t'avait manqué. Ta partenaire, la mère de ta fille t'avait manquée à ce moment-là. Et plus tard quand tu avais comme pris eu ce déclic, Sally t'avait manqué plus encore quand tu la savais fréquentant d'autres mecs. Pire après elle avait vécu avec toi trois semaines, et à son retour à Cambridge, tu avais ressenti un grand manque. Mais là vingt-quatre heures avaient suffi à ce que tu notes le besoin de la retrouver. C'était plaisant. Les retrouvailles étaient plaisantes. A nouveau, elle te confiait sa crainte face à ta venue ce soir et tu as rit légèrement. J'ai bien mis un an et demi pour oser sauter le pas.. tu crois quand même pas, tu te doutes bien que ce n'est pas pour tout envoyer valser si bêtement.. Oui c'était aussi en ça, que vous étiez différent mais complémentaire. Tu étais la raison, elle était la passion. Et paradoxalement tu étais le genre passionné malgré tout, et elle était raisonnable aussi malgré tout, surtout quand il s'agissait d'honorer son rôle de mère.

Avais-tu seulement peur ? Pas vraiment. Tu avais des craintes, certes, mais elles étaient moins nombreuses qu'avant même d'avoir sauté le pas. Pour autant toi, si tu n'étais pas à l'aise avec ce clip, tu avais bien insisté sur le fait que ce qui t'avait autant mis hors de toi, c'était le fait que tu n'aies pas été au courant avant de tomber dessus. Tu as sourit à sa réplique avant de finir par dire. Tant que tu ne tournes pas un truc pareil toutes les semaines, ça devrait aller pour moi. Oui c'était pas plaisant. Tu étais avec elle maintenant, tu voulais être le seul à profiter de cette proximité. C'était normal, c'était humain, et c'était à l'image de votre histoire qui avait été sérieuse dès le début vu votre passé. Prolongeant son baiser, tu finissais par dire. On a encore beaucoup à se dire mais j'ai d'autres envies là, tout de suite. Tu voulais la retrouver c'est vrai. Tu ne voulais pas gâcher ça, et même tu devais lui parler de l'autre point de votre dispute, à savoir ton absence l'été dernier, là tout de suite tu ne t'en sentais pas l'envie. Cela dit tes lèvres elle s'étaient déjà perdues à son cou. Elle sentait tellement bon.

C'est vrai qu'à ce stade, tu n'avais pas osé lui demander de ne pas se relancer dans un clip pareil. De ne plus en faire pour tes beaux yeux. Pourtant l'entendre dire qu'elle en ferait plus c'était assez agréable, d'ailleurs ça te tirait un soucis plutôt satisfait. Tant mieux, parce que j'en suis fan. As-tu répliqué en parlant de son corps si parfait, et comme tu venais le dire, il te faisait envie. Tu ne t'en lassais pas d'ailleurs. Glissant tes mains sous son haut, tu continuais à l'embrasser à son cou, laissant doucement ta langue s'y faire sentir par moment. Tu crois que Zoé est partie pour faire sa nuit ? Tu n'avais pas vu ta fille de la journée. Par conséquent difficile de dire si elle s'était endormie parce que complètement épuisée, ou si tout ça ne serait qu'un petit somme. Mais tu avais comme besoin de savoir pour mieux profiter du moment.

Alors vos corps respectivement apprécié par l'autre n'était pas un scoop. D'ailleurs ça ne l'avait jamais été. Voilà qui datait déjà de l'époque de New York, quand on sait que vous aviez passé plusieurs nuits ensemble sans trop vous connaître. Pour autant c'était certain que plus votre relation évoluait plus ce détail était vrai. Tu aimais son corps, et petit à petit, tu considérais même qu'il t'appartenait. Déboutonnant son chemisier tu glissais tes lèvres à son buste et courbes de sa poitrine pour répondre. Quoi ? Non! Je veux simplement savoir quel genre de choses on peut se permettre de faire.. Un petit coup de vite fait ? Apparemment ça n'allait pas être le cas. S'il n'y avait pas de risque pour qu'elle se réveille, tu étais plutôt d'avis qu'il allait vous falloir en profiter, pleinement. D'ailleurs tu envoyais valser son chemisier.

Le côté coquin et sensuel de Sally te faisait vibrer, c'était certain. Jeunes parents que vous étiez il allait vous falloir renoncer à des moments d'intimité volé et complètement spontané, et ce bien que vous ne soyez qu'au début de votre relation. Mais Zoé était encore petite, alors en sachant qu'elle ne risquait pas de se réveiller, tu étais tenté de profiter pleinement du moment comme il se présentait à vous. Alors qu'elle tirait sur ton pantalon, tu jouais, malicieux pour finir par dire. Je suis ton homme, fais de moi ce que tu veux. Relevé après qu'elle ait tiré sur ton pantalon, tu te sentais d'humeur à la laisser prendre le rênes, mais tu ne résistais à un baiser langoureux, plein d'envies.