feat. madelaine petsch
- 29 JUILLET 1998
- TORONTO
- 19 ANS
- CANADIENNE
- HÉTEROSEXUELLE
- EN COUPLE
- MODESTE
- PSYCHOLOGIE
- PERDUE DANS SA VIE
- ASSISTANTE DE CLÉOLYA
- NON BOURSIER
ziggy elle se voit parfaitement à la mather house. quitte à avoir débarqué à harvard, elle se dit maintenant qu'intégrer une maison ça ne peut que favoriser sa vie étudiante. puis la mh, ça la fait fantasmer pour vrai. cette liberté qu'il représente c'est exactement ce qu'il lui faut parce que ziggy, elle est avant tout libre. alors ouais, c'est là-bas qu'elle veut mettre les pieds. sans le moindre doute. probablement qu'elle idéalise un peu trop l'endroit mais ziggy, c'est une fêtarde dans l'âme, une anti-conformiste alors forcément, dans sa tête, elle se dit qu'elle se sentira parfaitement chez elle là-bas. ziggy, c'est une mather dans l'âme, elle en est persuadée.
elle a du mal à se dire qu'elle pourrait convenir à un autre endroit alors ziggy, elle se dit que si la mather ne préfère pas la laisser intégrer ses rangs, elle restera sur le côté et retentera l'année d'après. parce que concrètement, ziggy, elle sait ce qu'elle veut dans la vie, y a pas de place pour les seconds choix. alors ouais, mather ou rien. elle fait pas d'infidélité à ce qu'elle est.
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si personnage inventé:
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[size=10][url=http://www.i-love-harvard.com/u7890]☆[/url] ☆ <span class="pris">MADELAINE PETSCH</span> • “ meghan harrison ”[/size]
MORE OF YOUR OWN STORY
ziggy elle a six ans. elle est haute comme trois pommes et comme tous les jours dans la cour de récréation, elle profite de ce moment pour sauter partout sans jamais s'arrêter. ziggy elle ne s'arrête jamais. et y a sullivan, assis dans un coin, à attendre que le temps passe. sully, c'est son voisin. une fois, elle avait tenté de lui parler mais il avait baissé la tête, visiblement pas intéressé. ziggy, elle avait dit qu'il était bizarre. qu'il était pas comme les autres. et jours après jours, dans cette cours de récréation, il était la cible des autres. un ballon dans la tête. un deuxième. c'était toujours la même rengaine et aujourd'hui, la petite fille qu'elle était avait décidée de ne pas trouver ça juste. alors elle avait riposté, récupéré le ballon et l'avait lancé à son tour contre l'agresseur faisant alors une trajectoire directe dans sa tête. petit sourire satisfait sur le coin des lèvres, elle avait haussé les épaules à la remarque. « merci, mais t'aurais pas du, ils vont s'en prendre à toi » « j'ai pas peur moi. » alors qu'ils viennent donc. elle savait riposter. si jeune et pourtant avec déjà beaucoup trop de caractère.
puis sully, il était soudainement devenu toute sa vie. son meilleur ami. c'était avec lui qu'elle passait le plus clair de son temps. c'était une habitude pour elle de grimper à sa fenêtre après le couvre-feu juste pour passer une partie de la nuit à ses côtés. à parler de tout et de rien. à refaire le monde à sa façon. clairement, ils étaient inséparables. et elle le poussait comme elle le pouvait pour qu'il s'ouvre au monde mais sullivan, il était fidèle à lui-même. si ziggy c'était le genre à sortir tout le temps, à avoir des milliers d'activités extra scolaires et un cercle d'amis à n'en plus finir, sully il était tout son contraire. mais peut-être que c'était ça le truc qui fonctionnait entre eux. d'être autant opposé. dans tous les cas, ziggy elle ne voyait pas un monde sans lui. plus exactement, elle ne voyait pas SON monde sans lui. il était son tout, ses rires, ses pleurs et sa plus grande source de réconfort. rien ne pourrait jamais le changer. « Ziggy, Ziggy... ZIGGY ! » elle lève les yeux sur lui intriguée. c'est elle qui crie généralement, pas l'inverse. « Ziggy, tu devineras jamais » un sourire venant étirer ses lèvres, elle ne pouvait s'empêcher de lui balancer une pique dont elle avait toujours le secret. « Quoi, t'as réussi à faire poo-poo dans les toilettes des vestiaires ? » et son air perplexe voulait tout dire. « Ugh, non, jamais. Non, c'est pas ça, j'ai eu une conversation avec un recruteur... Un recruteur de Harvard ! » « Depuis quand Harvard envoie des gens recruter au Canada ? » « J'en sais rien, je m'en fiche, ils veulent m'accorder une bourse complète pour que je sois dans leur équipe quand je serai diplômé. Harvard... Ziggy, Harvard ! » ah. fallait pas se méprendre. elle était heureuse pour lui. vraiment. mais harvard, c'était loin. harvard, c'était pas ce qu'elle avait imaginé pour elle alors là, elle se retrouvait le cul entre deux chaises.
elle avait longtemps hésité. pesée le pour et le contre. dans la finalité, c'était toujours la même chose qui revenait. elle ne pouvait pas briser son rêve. alors elle s'était battue. avait écouté aussi attentivement qu'elle le pouvait tout ce qu'il tentait de lui apprendre pour qu'elle rejoigne elle aussi cette université. elle avait galéré, avait eu envie d'abandonner des milliers de fois et pourtant, aujourd'hui, elle tenait cette lettre entre ses mains. anxieuse, grimpant à sa fenêtre comme à chaque fois, elle toquait trois fois contre la vitre entrant dans sa chambre quand il daignait lui ouvrir. « j'ai tellement la trouille » « depuis quand ziggy atkinson à la trouille ? » bien ouej. elle souriait faiblement déchirant le rebord de l'enveloppe en sortant alors le bout de papier. ses yeux parcouraient les mots encore et encore et d'un coup, elle sautait au sol, un hurlement strident sortant de sa bouche. « J'AI ÉTÉ ACCEPTÉE » ils allaient à harvard. tous les deux. ils allaient changer de pays, de vie mais le ferait ensemble comme ils se l'étaient toujours promis. puis c'était pour son bonheur à lui et ça, ça valait tout l'or du monde.
kaiden winston ran away from home at 16 former homeless · single rich · philanthropist · kind boxing to handle his anger |
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YOU SHOULD SEE ME IN A CROWN
1:10 ━━●━━━━━ 3:00
⇆ㅤ ◁ ❚❚ ▷ㅤ ↻
you'll fear the cold and crave the burn. ❞
now he's thinking about me every night oh, is it that sweet? I guess so. say you can't sleep, baby I know
- anya et la chasse aux ventricules:
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Si j'rappe et que tu dérapes, c'est que ta chatte souffre d'handicap
juste... est-ce qu'on parle de ça ?
@Sullivan Wright @Philip Harrison @Cléolya A. Strauss
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