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{treason. the evil is marked on our heart}
crédit/ Dadoune ✰ w/Andaëlle

Je venais d’échanger quelque sms avec Andrew. Je me tenais face à mon père et je lui précise que je vais à la Eliot House, c’est tout juste s’il me demande pourquoi, et pourtant il est tard. Je lui réponds que je vais voir mon petit ami et il ne daigne pas y prêter d’importance. Mon père est toujours comme ça quand il est en plein dans ses bilans comptables pour la société. Je soupire, dépose un bisou sur sa joue, prend mes affaires et lance un simple « A demain père. » Mon père lève le nez de ces chiffres seulement une petite seconde en entendant la porte de l’immense villa se refermer derrière moi, il soupire. Je grandissais trop vite à son gout, pour lui j’étais encore son petit bébé. Sauf que je n’étais plus un bébé, plus depuis tout juste deux heures. Et je n’avais qu’une envie, être dans les bras de mon chéri ce soir, passé la nuit avec lui, passé mes premières heures de majorité rien qu’avec lui. Je donnais donc l’adresse de la Eliot House à Ferdinand pour qu’il m’y conduise. Mon chauffeur stoppa le véhicule devant la confrérie. Cette fois les verts étaient enfin rentré ? Ouf !

J’entre en toute discrétion dans la confrérie, tout le monde dort déjà certainement, mais moi non, et je suis certaine qu’Andrew non plus ne s’est pas encore endormis. Je m’avance dans le beau bâtiment. Discrètement sans faire un bruit. J’avais l’impression d’être une voleuse en plein cambriolage à ma manière de ne vouloir faire aucuns bruits. Je fini par enfin me rendre devant la porte de cet homme, celui qui a fait chavirer mon cœur sans même que je m’y attende. Je remets une mèche de me cheveux derrière mon oreille et arrange ma robe rouge de chez Dior. Je suis enfin prête. Je lui envoie un sms pour lui dire que je suis devant sa porte.

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J'avais eu du mal à rentrer dans la EH dans l'après midi, les Mathers avaient décidé de s'improviser une petite fête surprise. Je revenais du sport durant l'aprem quand ils étaient là. Bon je suis rapidement partit, ne voulant pas prendre part à cette guerre que je trouve certes drôle mais ridicule. J'étais retourner encore au sport ce soir pour essayer de reprendre ma forme puisque ce week end ça sera la fête. C'est l'anniversaire de ma petite amie, oui c'est encore fou de dire cela comme ça, ma petite amie. Bref au sport j'ai retrouvé Milena une amie avec qui j'avais déjà couché plusieurs fois ici et là quand l'occasion se présentait. Elle et moi, on avait pas la même relation que j'avais avec Athénaëlle. Non celle que j'ai avec le bébé Wildingham était différent, intense. Bref, j'ai parlé avec Milena et ça à fini comme avant dans la douche de la salle de sport, puis dans ma chambre quelques heures après. Voila j'ai couché avec elle. Le problème? C'est que théoriquement, je suis en couple avec Athénaëlle même si on a pas encore vraiment mis ses mots là sur notre relation et qu'on en a parlé que par SMS. Je ne sais pas ce qu'on est. Pour moi je l'aime, elle est ma petite amie que j'ai trompé comme un vulgaire gamin de 20 ans. Bon on va dire que j'étais pas prêt enfin si je l'étais je veux dire qu'au fond de moi il y a cette peur, cette peur de merdé... Et c'est ce qu'il s'est passé il y a maintenant quelques heures. Je soupire, dès que je remarque que rien n'était pareil, je décide de la faire partir de ma chambre, rapidement. Je l'ai mise dehors en quelques sortes. Voyant mon erreur. On va me tuer. Elle va me tuer.

J'étais allongé dans mon lit les mains devant mes yeux, en regrettant tout. Tout ce que j'avais pu faire durant cette journée, puis je reçois un SMS, c'était elle. Il n'y avait qu'elle qui avait comme pseudo sur mon téléphone "Petit ange". Je me lève et j'ouvre la porte de ma chambre. Elle était là devant moi. Mon coeur ne fait qu'un bon, elle était belle, si précieuse. Ma grande Athénaëlle et oui, elle avait officiellement 21 ans. Elle était majeure, et elle pouvait envoyer promener tout le monde. Quand je l'a vois, je comprend directement que j'avais réellement merdé, que c'était elle en faite que je voulais. Cette robe rouge lui allait comme un gant. J'étais en short et en T-Shirt, j'étais loin d'être présentable comme elle. Puis lorsqu'elle avait ses cheveux détacher... C'était ma faiblesse. "Bonsoir mon ange. Vasy entre." Faut pas qu'elle reste trop longtemps dans les couloirs sinon ça va encore parler. Puis les chambres n'étant pas mixte il ne fallait pas qu'on se fasse avoir. "Joyeux anniversaire encore une fois ma princesse." Je la fais tourner en lui prenant la main et je souris, puis je l'a prend contre moi en l'embrassant avec tout mon amour. Mes mains sur ses hanches. Mais je n'arrive pas, je n'arrête pas de penser à cette putain d'erreur. Je vais lui briser le coeur avant même qu'on officialise notre relation.

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Je suis devant la porte, et je n’attends pas longtemps avant que l’homme que j’aime m’ouvre la porte. Oui je l’aime. Il avait mis un peu de lumière là où je ne voyais que du noir, depuis ma rupture avec Amaël j’avais tout envoyé en l’air, ma vie, mes études, j’avais tout troqué contre les plan cul d’un soir, les soirées, bref, j’avais fait prendre à ma vie un virage à trois cent soixante degrés. Andrew était l’homme qui venait de raviver cette flamme éteinte en moi, il avait redonné vie à l’amour, ce en quoi je ne croyais absolument plus. Je n’ai jamais été heureuse d'être à l'endroit où j'étais, à chaque pas que je fais j'ai tendance à me poser cette question, "qu'est-ce que je fais ici ?". J'ai été à l'autre bout du monde pour essayer de trouver ma place et j'avais toujours l'impression que c'était mieux ailleurs, c'est toujours mieux ailleurs, j'ai toujours le mal du pays, partout où je vais, je suis nostalgique d'un pays qui n'existe pas. Je suis nostalgique et je pleure des gens qui ne font plus partie de ma vie et qui n'existent même pas eux non plus, je regrette l'image que j'avais d'eux, je regrette ce que je pensais ressentir quand j'étais avec eux, je regrette ce que je voulais qu'ils soient. Je passe mon temps à chercher un endroit qui ne se trouve pas sur terre et à courir après des gens que je ne connais même pas. Sauf quand je suis contre lui. Quand je m'endors tout près de lui, que je peux entendre son cœur battre et son souffle sur mes cheveux. Quand je suis tout près de lui je ne regrette plus, je ne cherche plus, je suis juste là et c'est tout ce qu'il me faut, je n'ai envie d'être nulle part ailleurs.

Il me laisse entrer dans sa chambre, son petit univers, tout comme il m’a laissé entrer dans son cœur, sa vie, son royaume. Il me prend par la main et me fait tourner, ce qui décolle un peu ma robe, je suis comme une vraie princesse dans le creux de ses bras. Je sens la chaleur de son corps contre le mien, et j’aime ça, j’aime cette sensation d’être là où je dois être … Enfin ! Et pour la première fois de ma vie, je me sens heureuse, légère, je suis sur un petit nuage. Il m’embrasse, ce baiser me fait tourner la tête, chavirer mon petit cœur. Je suis juste heureuse, et je souris, je lui souris en posant mon regard azur dans le sien. « Bonsoir mon amour. » Répliquais-je à son bonsoir si chaleureux. « Merci chéri. » et je venais reprendre un second baiser, pendu ses lèvres, je ferme les yeux et je savoure ce moment si cher à mon cœur, cet instant où mes sentiments. Je m’écarte un peu de lui et met mes mains dans les siennes, cherchant à l’entrainer avec moi sur son lit. Je le fais s’assoir et je m’assois à califourchon sur ses genoux. Je pose mon front contre le sien. « Je t’aime Andrew. Je voulais te le dire en face, je voulais te prouver à quel point tu es important pour moi. Notre histoire, elle n’est pas banale, elle est magnifique à mes yeux, tu es ce qu’il m’est arrivé de mieux dans ma vie. Je ne pensais pas trouver un jour le courage d’aimer à nouveau, et toi tu es arrivé et tu à tout chambouler, ma vie à changer, tu l’as changé, et je suis heureuse. » Je lui dérobe un petit baiser rapide avant de finalement plonger mon regard dans le sien et lui sourire.

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Je ne pouvais pas ne pas la laisser venir, la laisser entrer ici. A chaque fois qu'elle revient à la EH tout ce que je souhaite c'est qu'elle vienne dans ma chambre, dans mes bras. Je suis amoureux et voila je peux pas nier l'évidence. Comme j'avais vu avec Lily enfin parler avec elle par téléphone. Il fallait que je me force, que je prenne mon courage à deux mains pour une fois et être face à la réalité. Cette petite blonde aux yeux bleus avait pris mon coeur, et l'avait gardé à elle. Quand elle n'est pas là j'ai peur, je veux qu'elle revienne rapidement. Quand je ne vais pas la voir après ses cours, je ne suis pas bien, me demandant si elle pense toujours à moi ou pas. Si elle parle de moi à ses amies, à ses copines, à son cousin? Je ne sais pas si j'étais bien accueillit par eux. Bon elle en avait parlé à son père et il n'avait pas dit grand chose par rapport à moi. Tant mieux enfin il me connait pas, il connait pas mon passé et surtout il ne sait pas ce que j'ai bien pu faire il y a seulement quelques heures. Ces quelques heures où toute ma vie a changée, où j'ai encore foiré. Je ne suis qu'un connard dans le fond, Aymalyne a surement raison. Elle a surement vu dans l'avenir ou je sais pas. Elle savait que j'allais quoi qu'il arrive que j'allais recommencé à tromper. Sauf que voila quand j'ai couché avec Milena, j'étais pas au courant des sentiments réel pour Athénaëlle. Ces SMS avec toutes les déclarations elle les a envoyé après. Je lui avais dis que j'étais pas prêt à lui dire, il me fallait du temps mais elle ne voulait pas me croire ou m'attendre. Je ne dis pas que c'est sa faute, mais voila, je pense que des deux côtés il y a des fautes. Elle a besoin de retrouvé l'amour, je l'a sais au plus bas et ne voulant plus y penser, et moi de même. On a retrouvé tous les deux, le besoin de l'être cher. Enfin bon, une fois qu'elle entre dans ma chambre, je souris. Mon coeur battait la chamade, j'avais l'impression que la pièce autour de nous était devenu plus petite, avec un air plus chaud. C'était juste la chaleur de nos deux corps, de l'électricité dans l'air. Nos lèvres se touchent plus d'une fois, cette délicatesse, notre amour. Nos regards ne pouvaient plus se quitter, nos mains non plus. Quand j'entend sa voix douce, ce petit ange, je fond. C'était de ma faute? Je l'a rendais comme ça? Je l'a rendais heureuse? J'arrive à faire quelque chose de bien dans ma vie. "Derien mon coeur." Je souris encore et toujours. C'était quoi ce regard niais que je devais avoir?

Elle me pousse en me faisant reculer quelques pas, et me fait asseoir sur mon lit, elle vient sur moi, à califourchon. J'aime quand elle fait ça, je l'enroule de mes bras, les posant par la suite dans le bras de son dos, la collant au plus proche de moi. Mon regard était dans le sien, il alternait encore ses lèvres et ses yeux lorsqu'elle me parlait. Lorsqu'elle me dit ces mots, ces fameux mots qu'on rêve toujours d'entendre à un moment donner, mon coeur se stoppa net, et loupa un rebond. Elle était sérieuse alors par SMS, elle m'aimait réellement. Elle ressentait la même chose pour moi. Et j'avais merdé dans son dos. Putain mais quel homme je suis?  Qu'est ce que j'ai pu faire? Je me déteste par dessus tout. Elle allait souffrir. Je lui caresse la joue lui relevant le visage après qu'elle m'ai volé un doux baiser. Je ne savais pas par où commencer. J'étais tellement heureux, tellement fou. Mais il fallait que je lui dise aussi ce que j'avais sur la conscience mais non j'étais pas prêt. Pas de tout suite. "Athénaëlle Ambre Wildingham, je t'aime aussi mon coeur. Je t'aime sache le. Ca fait 6 ans que je n'ai jamais pu remettre en ordre ces mots, 6 ans que j'ai abandonné toutes idées de retomber amoureux, puis je t'ai vu à cette course équestre et j'ai tout de suite compris. J'ai compris qu'avec toi ça sera différent. Nous passons de plus en plus de temps ensemble, on s'était promis de pas s'attacher mais c'est dur. Vivre ensemble, s'embrasser, coucher ensemble, juste être nous." Je l'embrasse plusieurs fois la serrant contre moi. "Tu m'as changé, je le sais, je ne veux que toi dans ma vie, seulement toi, nous. D'ici quelques jours voila... J'ai bientôt mon bizutage et je pense que pour ton anniversaire, il faut qu'on nous trouve notre futur chez nous. On va pas rester ici dans cette petite chambre toute l'année." Je souris remettant une de ses mèches de cheveux derrière son oreille doucement et tendrement. Il fallait qu'on fasse cette recherche. C'était la première fois depuis 6 ans que je souhaite de nouveau vivre avec quelqu'un. C'est la première fois depuis 6 ans que j'aime une femme autre que Aymalyne. C'est la première fois depuis 6 ans que je suis moi même. Romantique, tendre, amoureux. Mais c'est aussi la première fois depuis 6 ans que je trompe en quelque sorte la femme dont je suis amoureux et que pour rien au monde je veux la perdre. Je baisse les yeux. Je dois lui avouer mais comment. Elle va voir que je lui cache quelque chose. Elle va le sentir. Mais je remonte mon regard, changeant celui-ci pour qu'il soit plus confiant. "Tu veux qu'on regarde maintenant les appartements ou on fête ton anniversaire comme il se le doit?" Je passe mes mains délicatement sous sa robe, sur ses cuisses, l'embrassant dans le cou. Elle avait 21 ans, je pouvais officiellement lui faire l'amour. Même si j'avais pas attendu ceux là depuis ces semaines avec elle.

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J’avais eu cette envie de le voir, cette envie de n’être qu’avec lui. J’avais cette passion qui consume mon âme, et je ne pouvais pas l’ignorer aussi simplement que je l’aurais voulu. Putain mais je m’étais promise de ne plus tombé amoureuse, de ne plus jamais mettre mon cœur à nus face à un homme. Son sourire à changer ma vie, son odeur à envahis mon esprit, et ses mains sur mon corps on laisser leur marque. J’avais encore peine à croire que je lui avais dit les mots que je ne voulais plus jamais prononcer. Comment un homme peut-il changer autant votre vie sans que vous ne puissiez rien y faire ? J’ai du mal à comprendre que parfois je puisse être spectatrice de ma propre vie. Je l’observais, et après un petit moment je me mets sur lui, venant tendrement poser mon front contre le sien, lui avouant alors ce que j’ai sur le cœur, lui avouant ses sentiments qui sont là, présent malgré tout ce que nous nous étions interdit. Ses mans dans le bas de mon dos me rapprochent un peu plus de lui. Je sens la chaleur de son corps contre le miens, et mon cœur bat la chamade. Je venais de lui avouer mes sentiments, mais j’avais une boule au ventre, je ne pouvais pas m’empêcher de vouloir savoir si lui aussi il avait ce petit papillon dans le ventre en me voyant, si lui aussi il devenait peu à peu accro ma présence tout comme je suis accro à la sienne. Je bois littéralement ses paroles, je suis sur le cul. Alors lui aussi il ressent ça envers moi. Ses mots me touchent et ravis à mes yeux une larme de joie. Suit à quoi le jeune homme dit qu’on ne peux pas rester dans cette chambre toute l’année.

Je l’observe et je souris, il n’a pas tort, mais cette chambre me manquera terriblement quand même. Pourquoi ? Car c’est cette chambre qui a vus naître le début de notre histoire amicale, c’est dans cette chambre que nous l’avions fait pour la première fois. « Tu sais cette chambre me manquera quand même un peu. Dans le fond c’est vrai, elle a été le témoin de notre amitié au départ, de nos moments les plus magique et les plus sincère. Ce soir encore, elle est le berceau de cette amour qui nais entre nous. Mais je sous tout de même d’accord, on ne peut pas rester ici toute l’année, quoi que je n’aurais rien contre en réalité. » Je viens l’embrasser « Mais tu as raison, on devrait se trouver notre petit chez nous, notre coin de paradis. » Soudain Andrew décroche son regard du mien, et là je sens que quelque chose ne va pas, ça me rend nerveuse, ais-je fais quelque chose de mal ? Ce moment de doute ne dure pas longtemps et l’homme que j’aime reprend rapidement un regard plus confiant, ce qui me fais sourire. « Si on le fête comme il se doit ? » je souris et me mordille la lèvre inférieure, je suis majeur, je peux enfin faire ce que je veux avec Andrew, bien que nous n’eussions clairement pas attendue. Son téléphone vibre une première fois, puis une seconde fois, et je suis perplexe. Je l’embrasse. « C’est peut-être important, tu devrais répondre. » Je m’enlève de ses jambes et j’assoie à côté de lui., posant ma tête sur son épaule. J’attendais qu’il réponde à ses message pour pouvoir être tranquille avec lui

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En quelques semaines, ce petit bout de jeune femme en face de moi m'avait fait entièrement changé. J'avais fais une croix sur les sentiments pendant plus de 6 ans après Aymalyne. J'étais venu ici à Harvard pour elle d'ailleurs, pour tenter de la retrouver, de l'aimer à nouveau et qu'elle retombe sous mon charme. Mais j'avais rapidement remarquer que c'était mort, elle ne m'aimait plus, je l'avais fait souffrir. Alors à ce moment l j'ai décidé de tourner la page et puis un rayon de soleil est arrivé, un ange est même tombé du ciel pour arriver dans ma chambre. Cette Athénaëlle. Les sentiments sont nés et voila, il n'y avait rien de plus à ajouter. Quand elle n'était pas avec moi, j'étais pas bien, il manquait quelqu'un, comme si elle était devenu une part importante de ma vie. Comme si j'avais besoin d'elle pour continuer à avancer maintenant. On pensait à vivre ensemble depuis le début, mais aujourd'hui encore plus encore plus qu'on est sur de nos sentiments et en vivant ensemble pendant ces quelques semaines, on a pu voir à quoi ça ressembler la vie en cohabitation. Les films le soir sur mon ordi, elle dans mes bras qui s'endort, le partage du dressing, de la douche... On avait pas nos espaces personnels mais on devait s'attacher l'un à l'autre, c'était le début d'une belle relation.

Voila qu'on parle maintenant de cette chambre après avoir parler du choix de notre futur chez nous. Elle avait pas tord, tout c'était passé dans cette chambre, notre début d'histoire, notre première fois, pas notre premier baiser tendre mais tout de même. Notre amitié, notre couple ce soir. C'était vrai. Mais je sais que ce futur appartement va en voir d'autre venir. Je ne voulais pas trop d'avancer dans l'histoire, on ne sait pas ce que demain sera fait, puis après tout ce que j'ai pu faire ce soir, elle va le découvrir tôt ou tard et elle me quittera. Je l'aime, et si elle me quitte je déprime. Je pourrais pas le supporter. Je m'en voudrais toujours. Aujourd'hui je voulais du sérieux, je n'ai plus 20 ans. J'arrive à mes 30 ans tout de même. "Cette chambre aura nos souvenirs, nos premières photos ensemble mais notre futur chez nous, aura nos futurs souvenirs, nos hauts, nos bas..." Je voulais plus de haut que de bas mais dans un couple c'est pas comme ça? Je ne sais pas, je n'y connais rien au fond. Ce soir je veux profiter d'elle, lui montrer qu'elle est mienne.

Alors qu'elle était entrain de m'embrasser pour fêter notre couple et que je commençais doucement à défaire sa robe dans son dos, la collant à moi. Je voulais la retrouver, l'aimer comme je l'aime comme un fou. Des années que je n'avais pas ressentit ça, je voulais oublier le fait que j'avais couché avec cette autre nana il y a seulement quelques heures. Je voulais juste effacer ce moment de ma vie où j'ai douté de mes sentiments pour Athénaëlle. On ne devait pas s'attacher. Mais voila c'est tombé et c'était beau tout de même. Mais voila que mon portable se met à vibrer. Je n'y fais pas attention, mais ça continue, ça n'arrête pas. Athénaëlle se décale de moi pour que je puisse y répondre suivant elle. Je le prend dans mes mains alors qu'elle avait sa tête sur mon épaule. Je suis surpris en voyant un SMS de nana que j'avais baisé plutôt dans la journée, soirée. Je soupire. Oh putain mais quoi qu'est ce que??? Son soutif?? Dans mon sac? Quoi? Je relis le message un peu plus doucement, et je sens le regard d'Athénaëlle se bloqué aussi sur le SMS.

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Milena a écrit:Bonsoir, Andrew, désolé de te déranger mais je crois que j'ai oublié mon soutien gorge dans ton sac après cette virée dans les douches puis dans ta cabine. C'était super bon au passage on remet ça quand tu veux ;)

"

Je ne lui répond pas et je supprime le message. Je met mon portable sur la table basse près du lit, je me tourne pour prendre Athénaëlle et l'embrasser, en espérant qu'elle n'avait pas lu ce que je venais de voir. Mais c'était mort. Elle me repousse, les larmes aux yeux. "Chérie.. Je vais t'expliquer..." Mais je sens que ça sera compliqué. Mon dieu non.. Je l'aime ma petite amie, je l'aime ma petite Athénaëlle. Je me déteste tellement. Puis je n'avais plus l'attention de voir cette Milena.

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Ma vie avait subitement changé, j’avais pris la décision de lui ouvrir mon cœur, de lui dévoiler mes sentiments, mais je me demande, avais-je bien fais ? Je pense que oui, je suis heureuse, dans le creux de ses bras. Je ne voudrais être nulle part ailleurs, alors je souris, je souris comme un enfant qui souris en découvrant les cadeaux du père noël au pied du sapin. Oui la vie m’a donné le plus beau des cadeaux, le plus merveilleux, le plus précieux, celui de pouvoir à nouveau aimer et être aimer. Que pouvais-je bien dire ? Notre histoire, elle est simple et pas banale à la fois. Voilà c’étais lui que je voulais pour partager ma vie, pas un autre, lui et uniquement lui. Je ne veux pas de bonheur s’il n’a pas avec lui, je ne veux pas de câlin si ce n’est pas lui qui me les fais. Être sans lui à mon côté c’est horrible, il n’y a que lui qui arrive à me rendre complètement heureuse. Ce soit on avait pris la décision d’être extraordinaire ensemble plutôt que d’être ordinaire séparément, on avait pris la décision de former un couple. La vie est pleine de surprises, qu’elles soient mauvaises ou bonne, toute valent la peine d’être vécue, car ce sont des obstacles, ses souvenirs, ses moment merveilleux qui font de nous ce que nous sommes.

Nous parlions d’appartement, alors oui j’ai un petit pincement au cœur et mon regard se jette dans la chambre, elle avait été témoins de la naissance de notre couple cette petite pièces. Je souris en pensant à toutes les premières fois qu’on a eu ici. Ma première nuit dans ses bras, les films sur son putain de petit écran d’ordinateur, mais aussi les fous rires, moi qui m’endors dans ses bras en plein milieu d’un film. Oui j’était riche de ses souvenir riche d’un amour qui été né de la plus belle des façons. Alors non de base on ne devait pas s’attacher, on devait profiter de notre vie, mais mea culpa, je suis tombée amoureuse d’un Anglais. Je fini par le regarder, je frisson lorsque ses mains se glisse dans mon dos, laissant la fermeture éclair de ma robe glisser un peu. J’avais vraiment envie de lui, de profiter de notre soirée, mais son portable nous rappel à la dure réalité des choses. Je souris, me décalant pour le laisser répondre à son message, enfin ses messages. Je ne pense à rien, j’ai juste la tête poser sur lui. Alors que par la plus grande des curiosités je lance un regard sur son écran, je me braque sur le mot soutif, oups, et là c’est tout le sms que je lis d’un bloque.

Je me recule un peu, et je sens les larmes qui monte. Andrew supprime son sms et se tourne vers moi, mais trop tard le mal est fait. Ses bras, c’est putain de bras, il les tend vers moi, il cherche un contact, quelque chose pour le rassurer. Mais c’est une putain de blague ?! Je le repousse, comment peut-il croire que je vais le laisser me retoucher ne serait-ce qu’une seule fois, alors que ses mains avaient parcouru le corps d’une autre ? Je me lève d’un bon de son lit, je fuis son regard. L’anglais réclame une chance de pouvoir s’expliquer, mais je suis déjà penchée au-dessus de son sac de sport, priant pour que ce soit une blague. Je n’ai pas envie que se soit vrais, je fouille dans son sac, et là je le vois, il est là, trônant dans ses affaires comme un trophée de chasse. Ma joue devienne rouge, je suis en colère, et je souffre. Je lui jette le sous-vêtement féminin à la tête de toute mes forces. « Et sa tu me l’explique comment ? Je suis là comme une pauvre imbécile à te déclarer mes sentiments, et toi ?! Toi tu baise une autre ! » Mon doit pointe sa personne, puis son portable. Je suis terriblement blessée. Je ne veux pas être ici, je ne veux plus être dans cette chambre. Je dois partir. Je ramasse mon sac à main, et ouvre la porte sans ménagement.

Je lui lance un regard noir, embué de larme. « Ne cherche pas à me contacter, je ne veux plus te voir, tu as cas aller voir cette fille-là, c’elle du sms, va te mettre en couple avec elle, baise là autant de fois que tu veux, je sors de ta vie ! N’espère plus jamais me revoir, ne m’écris pas un seul sms. » Je me mets à fondre en larmes. « Putain j’avais confiance en toi merde ! » lui hurlais-je dessus. Avant de finalement lui jeter mon sac à la figure. Si j’avais pus lui jeter la chambre entière à la gueule je l’aurais fait. Je jette un coup d’œil par la fenêtre de sa chambre qui donner une vue dégager sur la route, puis je le fusille du regard. « Adieu ! » lançais-je avec une voix pleine de sanglots. Je cours, comme si ma vie en dépendait. Je ne regarde même pas où je vais. Je sors brusquement de la Eliot House et je continue de courir, passant dans le champ de vision de sa fenêtre quand soudainement dans la nuit noire et silencieuse, un coup de frein se fais entendre, des pneus qui crisse sur le bitume. Et une voiture qui redémarre en catastrophe. Mon corps tombe lourdement sur le sol, je reste allonger, inconsciente, et du sang qui coule de mon front. Vais-je mourir ?

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crédit/ Dadoune ✰ w/Andaëlle

Ma vie allait changé ce soir, j'avais enfin rouvert mon coeur à des sentiments et ils étaient pour Athénaëlle. Elle était apparu comme une évidence en faite dans ma vie. Le destin nous avait mis sur le même chemin et voila. Elle était mon style de femme c'est clair, un doux sourire, des yeux malicieux. Sa voix si douce. Elle m'a rendu accro en quelques instants et surtout à rester avec moi dans mes bras pour regarder des DVD, profiter de nos soirées. M'écouter jouer la musique dans mon coin pendant que je bossais mes devoirs de composition. Même moi je l'aidais à apprendre ses cours. On avait une belle amitié, qui s'est transformé au fur et à mesure des jours, on couchait ensemble, on s'embrassait furtivement avant de se quitter. Je pense qu'on disait qu'on était amis certes, mais dans le fond on était plus que ça, et tous les deux on l'avait remarqué. On avait juste mis du temps à le comprendre. Et aujourd'hui c'était le jour. On va partir vivre ensemble qu'on avait déjà l'ambition de le faire lorsqu'on était amis, notre chez nous. Certes quitter la Eliot sera dure, ça va faire 2 mois qu'on partage cette chambre qui a tout vu mais il va nous falloir un nouveau départ. Puis comme cela j'oublie aussi ce qu'il s'est passé il y a quelques heures plutôt. Mais ce soir je voulais encore profiter de ma vie ici dans cette chambre, notre instant à nous. Mes mains commençaient à détacher la fermeture de sa robe. Je l'embrassais dans le cou en même temps puis sur ses lèvres douce. Elle était sur moi à califourchon passant ses mains sous ma chemise. JE voulais lui faire l'amour, lui prouver que je l'aimais hélas mon portable nous ramène à la réalité. Je regard le SMS et je vois que c'était Milena à propos de son soutif. Je soupire, je me retourne vers Athénaëlle qui avait lu et qui se lève rapidement. Elle fouille dans mon sac de sport et elle voit directement le soutien gorge de nana du SMS. Et bien sur la crise monte.

Je la regarde. "Athé... Ecoute moi." Mais non c'était pas ça, elle ne déclare pas ses sentiments dans le vent, je l'aime, c'est tout ce que je veux dans ma vie c'est elle. Je secoue la tête en la regardant. "Mais je t'aime ok? Elle non je m'en fous. Et j'avais même pas vu tes SMS avant de la baiser sinon jamais je l'aurais fais. Je pensais pas que tu ressentais la même chose que moi.". J'étais pas prêt à m'engager au début, quand j'ai vu ces SMS j'ai pris peur c'est vrai, j'ai eu besoin d'aller voir ailleurs, d'aller coucher avec une autre limite, voir ce que j'allais ressentir. J'ai vu son "je t'aime" hélas trop tard. Je m'en veux, je me déteste c'est clair. Je suis un connard je le serais toujours. Elle me dit qu'elle me quitte, qu'elle ne veut pas plus que je lui donne de nouvelles, qu'elle sort de ma vie et que j'aille voir cette nana. Je secoue la tête. C'était pas du tout ce que je voulais. Non, je m'en fous de Milena, mais à un point. "Athénaëlle, c'est toi que j'aime, pas elle, c'est avec toi que je veux faire l'amour, pas elle. Je m'en moque, c'est qu'un trou cette fille. Une simple Cabot qui voulait juste passer du bon temps. Il ne se passera plus rien avec elle puisque c'est avec toi que je veux passer du temps. " Je veux qu'elle comprenne pourquoi j'avais fais ça, je voulais m'expliquer. Elle connait mon passé, mon problème avec l'amour, avec mon ex. J'avais même pas confiance en moi même... J'avais brisé sa confiance en moi, j'avais brisé notre couple qui commençait à naitre. Peut-être qu'on allait trop vite pour la vie autour de nous. Peut-être qu'on veut nous donner du temps. Elle me quitte définitivement... Elle prend ses affaires, son sac et part en claquant la porte.

Elle était partit... En courant, je prend ma tête dans mes mains en soupirant, putain qu'est ce que j'avais fais? Pas encore... Non je ne veux pas perdre la femme dont je tombe amoureux. Je ne peux pas. On peut pas se séparer comme ça bêtement. Je veux lui parler, lui dire réellement ce que je pensais à ce moment là. Je soupire, puis j'entend un bruit de freinage, un boum. Oh putain je crains le pire. Je regarde par la fenêtre et je vois Athénaëlle au sol. J'ouvre de grand yeux en criant. "Chérie!! Putain non!" Comme si elle pouvait m'entendre, bien sur que non. Je cours aussi vite que je peux à l'extérieur et je me met devant elle à genoux. Les secours arrivaient rapidement. "Mon ange... Je suis là... Réveille toi s'il te plait." Je lui caresse la joue, putain non c'était à cause de moi tout ça. Je suis un homme mort. J'aimerais savoir si elle était bien là. Si elle allait bien malgré tout. Je pars avec les secours en direction de l'hôpital lui tenant la main. L'urgentiste me demande qui je suis. "Son petit amie, on s'est disputé elle est partie et... Dites moi qu'elle va bien s'il vous plait. Elle est tout ce dont j'ai besoin." C'était vrai, il me regarde et dit alors avec une voix simple sans intonation presque. "Elle respire... Elle a rien de cassé... On verra à l'hôpital." Je secoue la tête ne la quittant pas du regard. On arrive à l'hôpital mais on me demande d'attendre à l'extérieur. "Laissez moi entrer putain. " Ils sont tous négatifs. "Vous n'êtes pas de la famille monsieur." Je soupire en les insultant.

Je ne l’écoutais pas, je n’avais pas envie d’entendre son baratin, ses excuses, non je ne voulais pas vivre ça, c’était trop difficile pour moi. Ce moment, je n’en veux pas dans ma vie, je ne veux pas savoir qu’en quelque sorte j’ai été pseudo cocue, sa me bousille le cœur, sa met mon âme en vrac ! Je prends une grand bouffer d’oxygène avant de sortir de la pièce en courant, lâche-moi ne me retiens surtout pas ! Je veux fuir ça, cette merde qui me tombe sur la gueule d’un coup, je ne suis pas prête à vivre ce genre de chose, après ma rupture avec Amaël j’avais eu tout le mal du monde à me remettre en question, à renouer avec ma vie, j’avais eu un mal de chien à avoir de nouveau confiance en quelqu’un. Pourquoi ? Pourquoi est-ce qu’il piétine tout ça d’un coup ? Pourquoi ! Je me sens sale, comme si on m’avait jeté de la boue à la figure. Je sens le poids des remord et des regrets qui assaille mon cœur. Pourquoi ai-je été assez stupide pour faire de nouveau confiance à un homme ! Le drame n’est jamais bien loin de nos vies, quand on pense échapper à tout, être au-dessus des risques, c’est pile à ce moment-là, que la vie vous donne une bonne leçon, vous fait redescendre de votre petit nuage et vous rappel à quel point vous êtes mortel et fragile, éphémère. La voiture me heurta et le conducteur un peu ivre pris la fuite. Mon corps été là étendue sur le sol, sans espoirs de réaction de ma part puisque j’avais perdu connaissance.

Andrew rejoint mon corps, et les secours ne tardent pas non plus à arriver, et très rapidement nous sommes conduits à l’hôpital. Le corps médical ne se montre pas très chaleureux avec Andrew. Et les minutes d’attente vont être très longue pour lui. Les médecins me font passés tout un tas d’examen, ce n’est pas comme si j’avis un simple rhume, non je viens d’être renversé par une voiture et je suis inconsciente depuis. Très rapidement il s’avère que c’est plus de peur que de mal. J’ai quelque bleue sur le corps, et trois points au front qui a été salement égratigné. Un médecin est avec Andrew. « Bonsoir monsieur, votre amie est hors de danger, mais elle à besoin de repos. J’ai besoin de détails sur les circonstances de cet accident, pouvez-vous m’en donner ? » Le médecin se montre particulièrement froid avec Andrew. Sans même le savoir Andrew à face à lui le frère de ma défunte mère, autrement dit mon oncle. Cet homme à toujours été très protecteur avec moi, ne pouvant avoir d’enfant je suis devenue un peu comme sa fille, ce qui es d’ailleurs le sujet de beaucoup de conflit avec mon père. Pendant que mon oncle échange avec Andrew, je me réveille dans une chambre, seule, avec juste une infirmière qui arrive rapidement dans la chambres pour prendre ma température, ma tension et d’autre connerie de ce genre. « Je vais bien. » lâchais-je froidement envers la femme, la foudroyant d’un regard glacial et noir. Elle sort et informe le médecin présent avec Andrew que je suis réveillé.

« Mademoiselle Winldingham est réveillée. » l’homme soupire et fait signe à Andrew d’aller dans la chambre, restant silencieux sur certains résultats de mes analyses. Mon oncle savait pour Andrew et moi, je lui disais toujours tout, alors oui il savait que j’étais attacher à lui, et que je l’aimais. « Jeune homme, ma nièce m’as dit beaucoup de bien sur vous, alors aller la rejoindre. » Je n’avais en revanche pas eu le temps de le prévenir sur la faute qu’il venait de commettre se soir. Lorsque Andrew entre dans la chambre, je lui lance un regard sombre, remplis de tristesse et de colère. Je soupire, et lui annonce « Bien, je t’écoute cette fois. » En même temps je n’ai pas trop le choix, je suis sur un lit d’hôpital et je vais y rester très certainement une journée ou deux.

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{treason. the evil is marked on our heart}
crédit/ Dadoune ✰ w/Andaëlle

Je m'en voulais, voila j'étais au fond du trou, à cause de moi, la petite jeune femme dont je suis tombé amoureux malgré tout est maintenant allongé au sol. Les secours arrivent mais pas assez vite pour moi. Je l'a regarde, je lui tiens la main, je fais attention à elle. Le chauffeur était dehors en s'excusant, mais je l'insulte plus qu'autre chose alors que le problème c'était moi. C'était de ma faute, putain j'avais fais le con. On avait même pas eu le temps de savourer le fait qu'on s'aimait maintenant, qu'on était ensemble. On va toujours se rappeler de cette soirée et elle commence très mal. Je ne voulais pas la quitter, je voulais la suivre, aller à l'hôpital avec elle. Je l'aime beaucoup trop pour cela.

Une fois qu'on y était, elle part dans une salle, moi j'étais entrain d'attendre. On ne voulait pas du tout me laisser passer car je n'étais pas de la famille. Je pétais un câble.D'un coup quelqu'un arrive vers moi, un médecin. Je le regarde, il me parle d'Athénaëlle, elle allait bien suivant lui, rien de grave. Je soupire j'allais mieux, elle n'avait rien, juste surement un peu secouer, rien de plus. Ca me rassure. Mais tellement de questions se bousculaient dans ma tête, j'étais perdu. Je voudrais serrer ma petite amie dans mes bras, contre moi. La rassurer, c'était elle de toute façon que j'aimais. LE médecin me demande les circonstances "On s'est disputé ma copine et moi et elle est partit en courant... J'ai entendu un gros bruit de freinage et d'un coup je l'ai vu parterre." Je ne pouvais pas lui dire que je l'avais trompé même si théoriquement je ne l'avais pas trompé. On est pas ensemble théoriquement. Enfin on ne l'était pas à ce moment là où ma bite était dans une autre fille. Une infirmière arrive en disant qu'Athénaëlle était réveillé. Mon coeur se remit à battre, enfin merci. Je regarde le médecin qui se retourne vers moi et il m'avoua que Athénaëlle, ma petite amie, était sa nièce. Je le regarde surpris, et il me laisse aller la voir. "Merci monsieur." Je cours vers la chambre de celle-ci rapidement. Et elle était là dans le lit. Faible, son regard en disant beaucoup. Elle était aussi super énervé au timbre de voix. "Chérie, tu peux pas savoir comment je suis content que t'ai rien de grave. J'avais eu si peur tu peux pas savoir comment je regrette tout ce que j'ai fais, sans ça tu serais toujours bien, chez moi on serait dans la chambre, devant un film. J'ai merdé j'en suis conscient vraiment je suis désolé. J'ai jamais pensé tombé amoureux un jour... Et t'es arrivé dans ma vie, j'ai eu peur, et voila on était pas ensemble et j'ai couché avec cette meuf pour l'utiliser en faite savoir ce que j'allais ressentir. Et je peux te dire, que j'ai rien ressenti, car je pensais qu'à toi, j'ai regretter au moment où je l'ai repoussé à la fin. Car quand je suis revenu à la raison j'ai vu que c'était pas toi, tout ce que je voulais c'était simplement toi Athénaëlle. " Je la regarde dans les yeux, puis d'un coup le médecin entre dans la chambre à nouveau. Je le regarde, j'espère qu'il a rien entendu de la conversation. Je me tais en baissant les yeux. J'étais comme nu devant elle. Jamais je n'ai autant perdu mon égo, il a pris un coup.Je suis comme un soumis devant elle, par rapport à mes sentiments naissant. C'était donc ça l'amour? Fini en soumission?