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I LOVE HARVARD
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    Riandro ق mio cuore parla solo di te...
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    Lien du postMer 27 Sep 2017, 20:26
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    je ne sais plus pourquoi j'ai commencé à laisser des traces brûlantes le long de son cou, je ne sais plus pourquoi je suis devenu aussi fébrile à son contact et bizarrement, tout ça ne m'effraie pas. je ressens une envie nouvelle, un désir différent de tout ce que j'avais pu ressentir jusque là. ma préoccupation première n'est plus de prendre mon pied mais plutôt de voir si j'arrive à lui faire ressentir cette passion qui me dévore de plus en plus. mon souffle se fait de plus en plus court tandis que mes paupières se ferment en laissant le désir monter à nouveau. j'ai beau me répéter incessamment que Ria est un homme, cela ne semble pas perturber le fil de mes pensées. ce sentiment, cette attache que j'ai toujours ressentie pour lui vient de se révéler à nouveau, plus forte, plus intense aussi. je suis incapable de me dire que ce que je suis en train de faire est mal, non. pour moi, ce sentiment est nouveau, ces palpitations au niveau du coeur sont réelles et cette envie de lui encore plus. certes, il n'a pas d'atouts féminins mais au fond, si mon coeur est amoureux de cet homme, pourquoi ma raison devrait elle me freiner ? je suis songeur et pourtant, c'est Ria qui vient m'arrêter dans ma course folle en soulignant que l'on avait encore du travail. je souris d'un air plus qu'amusé avant de lui répondre « t'as raison, faut que j'me calme » dans un rire doux tandis que je reprends la feuille sur laquelle j'étais vaguement en train d'écrire quelque chose. perturbé, j'esprit ailleurs, je l'entends à peine me dire qu'il ne fallait pas oublier ce pourquoi il était là. mais moi, tout ce que je sais c'est qu'à partir du moment où il se trouve près de moi, je suis incapable de penser à autre chose qu'à lui. son absence m'a ouvert les yeux. chaque seconde, ma vie était rythmée par une pensée pour lui. chaque seconde, j'avais peur de découvrir qu'il avait disparu ou que je ne le reverrais plus. aujourd'hui, je me rends compte de la chance que m'offre ce travail en groupe, de la chance que j'ai de l'avoir là, assis sur mon canapé à travailler. mon esprit s'évade, peut-être un peu trop mais au final, j'entends bien ces mots. ceux qui allaient me rendre particulièrement fiévreux maintenant. il veut dormir ici.. je déglutis doucement en essayant de focaliser mon regard sur quelque chose, en vain. tout me semble trouble. tout me semble vide. il n'y a que lui. alors lorsqu'il continue en me disant qu'il veut dormir avec moi, sans sous-entendus et parce qu'il a envie de franchir cette première étape avec moi, je suis sans voix. je cherche les mots, ceux qui pourraient ne pas montrer ma joie trop profonde.. alors je fais mine de réfléchir quelques minutes tandis que j'entends ses derniers mots. perçants. troublants. il pense que je serais capable de lui redonner le sommeil qu'il a perdu et là, je ne peux m'empêcher de sourire avec une tendresse non dissimulée. c'est la première fois que l'on me disait ça. Ria est en fait ma première fois pour beaucoup de choses et machinalement, je laisse ma tête s'écraser contre le dossier du canapé, lui répondant « si tu me le demandes à chaque fois de cette façon, je pourrais jamais te dire non » d'une voix douce alors que je me rends compte que je bouscule mes principes pour lui. je suis prêt à lui laisser cette place vacante, cette place que personne ne prend puisque personne ne mettait jamais les pieds ici. un peu tendu, légèrement fébrile aussi, j'ai envie de me confier à lui. j'ai envie de lui dire que pour moi aussi, c'est une première. alors je laisse ma main glisser tendrement contre sa cuisse, faisant des mouvements de caresses plutôt lents tandis que je lui glisse « tu sais.. c'est la première fois pour moi... j'veux dire, personne n'a jamais dormi ici, même avec moi donc j'suis un peu nerveux.. » d'une voix douce alors qu'en fait, le seul qui se sentait le plus tendu et excité à ce moment-là, c'était moi...
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    Lien du postJeu 28 Sep 2017, 04:57
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    I BROKE MY RULES FOR YOU
    lisandro & riaden

    « Tu sais.. c'est la première fois pour moi... j'veux dire, personne n'a jamais dormi ici, même avec moi donc j'suis un peu nerveux.. » Sa poigne fébrile dérive sur les vagues de fibres aux rives de ma masculinité. Sclérosé, je laisse opérer l'homéostasie à la tapisserie de mon squelette. De mon printemps, il est la première feuille, de mon organisme annihilé, la mélanine. Il est l'abolition d'une achromatopsie maladive qui s'éprend de ma perception. La volupté suinte dans l'air du salon. Première fois, ce sont ses mots dans une voix qui ricoche à la surface d'une mare salée de doutes. Un sens qui à la fleur de mes intestins transforme une nuée de papillons en un big bang irréversible. C'est à la glotte qu'éclate un orage lorsque la langue claque au palais. Mes cordes bondées, tétanisées, finissent par lâcher prise.  « Ne t'inquiètes pas, dormir avec moi n'a pour simple signification que celle de me laisser de la place. Ce qui tout compte fait représente déjà beaucoup, j'ai tendance à m'étaler. » Une malédiction qui se chausse de mes pieds à toutes extrémités lorsque le ciel revêt sa robe vespérale. Sous l'océan de draps agité, je fais naufrage. Du Titanic, je n'ai de semblable que la collision. « Le canapé m'est confortable, tu n'as pas à t'en faire, je peux y dormir si quelque chose te bloque, ou me bloque. » Nerveux, je le suis tout autant et le songe d'une alternative à ma propre proposition se fait instantanément. Il n'est pas question d'imposer ma présence ni la sienne, simplement d'essayer, de voir nos deux teintes associées sur la toile vierge survolant le sommier. Ma paume atterrit sur le dos de sa main, l'accompagne dans ce mouvement qui calcine mon épiderme, la guide sans crainte à des vestiges auparavant épargnés. Décent, je contourne l'interdit à maintes reprises, me laisse emporter par les champs de deux aimants opposés. « C'est drôle cette sensation. Je suis incapable de dire ce que ça me fais, cette caresse. Ou alors je suis incapable d'admettre ce que ça me fais. » Mon cristallin se noie dans l'action.  « Enfin, je suppose que si je ne ressens pas de gêne à l'idée que ta main soit véritablement là où je la vois, alors je n'ai pas à m'inquiéter... » Ce jeu comme un vent m'emporte, de ma senestre je vadrouille sur ses reliefs inexplorés. D'abord sa cuisse dans une imitation bafouillée, puis je m'éclipse à ses flancs, longeant des sentiers pour retrouver une écorce de son échine. Ma virilité, irradiée par cet influx nerveux s'exprime et le soulagement se fait sauveteur lorsque j'en surprend son invisibilité. Il est là, le bonheur des pantalons parfois trop serrés, ne laissant présage de mon avidité. Un soupçon de honte m'irrite, m'oppresse. Est-ce normal d'être excité par un homme ? Non, bien sûr que non. Je ne suis pas normal et toutes les prières du monde n'ont pas réussi à me sauver. Subjugué par un essaim de pensées controversées, je radie les limites de mes procédés. De mes genoux, je prends appui et lui fais face, grimé d'un regard mutin.  « Bon, je n'ai plus envie d'achever cette paperasse inutile, tu m'as complètement déconcentré. » Maintenant, je sais ce que sa membrane au contact de la mienne me fais. Je conduis ses doigts sous la fine couche de tissu qui me recouvre et les glisses en bas de mon dos, zone protégée, jonction de ma vertèbre à mon sacrum. Mes babines s'enflamment à son oreille dans un susurre. « Caresse-moi, j'aime. » Ma folie se retrouve siamoise de la confusion.



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    Lien du postJeu 28 Sep 2017, 13:53
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    Ce geste me laisse un sentiment grisant de liberté. La tête penchée en arrière, les yeux clos, je ne ressens que ce sentiment de plénitude qui m'envahit lentement. Ria agit comme un calmant pour moi, un médicament qui me rend moins nerveux, plus fébrile, plus tendre aussi. Je lui avoue mes craintes parce que je sais qu'au fond, il me comprendra. J'agis comme un gamin, je lui avoue ma peur parce qu'au fond, je suis comme ça. Ce visage de naïveté et d'enfantillages n'est pas un masque. De toute façon, je suis incapable de lui mentir parce qu'au fond, je sais qu'il est celui qui me connaît le mieux. Je sais aussi qu'avec lui, j'ai envie de faire les choses bien. Je soupire doucement, signe d'un plongeon inévitable dans des sentiments nouveaux, dans des sensations inédites aussi. Il me rassure d'ailleurs, de quelques mots qui arrivent enfin à me faire rire d'un ton léger. Au fond, j'en avais presque autant envie que lui. Prolonger cette soirée me mets l'eau à la bouche parce que je sais que tout ce que je désire actuellement, c'est le garder près de moi, c'est le voir chaque seconde respirer le même air que le mien, c'est le voir ouvrir les yeux après un sommeil réparateur, c'est l'embrasser avec passion en voyant ses lèvres s'étirer sensuellement... c'est lui tout simplement. L'évocation de mon canapé me tire alors un sourire et ma caresse sur sa cuisse se fait plus insistante, plus sensuelle aussi alors que je prends le risque de lui dire « j'accepte pas que tu dormes chez moi si c'est pour rester sur le canapé, c'est pas possible » d'une voix douce alors que je continue d'un « y'a largement assez de place dans mon lit pour deux, t'en fais pas » tandis que j'agrémente ma réponse d'un clin d'oeil malicieux. Ouais, après tout j'avais acheté un lit de deux mètres sur deux, c'était pas pour m'étaler non plus, je peux bien partager un peu de mon matelas, surtout pour Ria. Je sens alors sa main se poser sur la mienne pour accompagner mon geste tandis qu'il m'avoue ne pas être gêné par ce geste. Je relève alors la tête, entendant son rire si doux tandis que je continue ma douce torture. Je pourrais me poser la même question. Je pourrais me demander pourquoi le toucher ne me fait pas ressentir de dégout ou de gêne mais pour moi c'est évident. Depuis longtemps déjà. Ria est différent. Lorsqu'il commence à toucher ma cuisse, je me surprends à en vouloir toujours tellement plus, à me perdre dans des sensations que je ne comprends pas. Alors je laisse ses doigts glisser sur moi sans dire un mot, me contentant d'apprécier la douceur de cet échange alors que mon cerveau devient de plus en plus amorphe. Je plie sous l'envie, le désir que j'ai pour lui et comme une évidence, je lui réponds enfin « de toute façon, tu sais très bien que je ferais tout pour que t'aies pas besoin de t'inquiéter » d'une voix faible alors que je laisse tomber mon stylo et ma feuille lorsque je le sens prendre appui sur ses genoux tout en venant se poster face à moi. C'est à nouveau une évidence pour moi lorsqu'il souligne le fait qu'il ne peut plus travailler parce que je l'ai déconcentré. De toute façon je ne suis même pas sûr de l'avoir été une seule seconde de mon côté. Alors je me laisse à nouveau griser par sa présence, le laissant déposer mes mains dans le bas de son dos alors que je me retiens à nouveau. Pourtant cette voix qui m'esquisse de le caresser me rend dingue. C'est différent. C'est attirant. C'est tellement tentant pour moi que je ne me pose plus de question. Mes doigts glissent lentement le long de sa colonne vertébrale, descendant à chaque fois plus dangereusement tandis que je lui glissais un « tes désirs sont des ordres... » d'une voix suave alors que mes lèvres ne résistent plus à la tentation de son cou, de sa joue et de ses lèvres qu'il avait étirées en un sourire qui me faisait fondre. Mes mains viennent alors le plaquer tendrement contre mon torse, continuant leur danse sensuelle contre sa peau si réceptive alors que tous mes principes semblaient voler en éclats. Mon corps si réactif se courbant légèrement contre le sien, je me surprenais à vouloir sentir son corps contre le mien. Je me surprenais aussi à penser à cette nuit qui allait me laisser des souvenirs que je ne pourrais jamais oublier. Tentant de calmer mes ardeurs, je laisse mes lèvres quitter les siennes tandis que je lui murmure « tu me rends dingue, tu sais » d'une voix rauque alors que mes dents prennent un malin plaisir à venir mordiller tendrement le lobe de son oreille...
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