Je ne suis qu’une enfant, une petite fille de sept ans qui cherche quelle est sa place aux seins de cette famille. Petite dernière j’avais souvent toute l’attention, j’étais même parfois le centre du monde. Je restais au bout du couloir, regardant discrètement Nathen regarder à travers le trou d’une serrure. Et pas longtemps après il était rejoint par ma sœur, l’unique sœur que j’avais. A ce chamaillé tout le temps ils finirent par ouvrir la porte. La voix de ma mère ce fait entendre. Elle était d’une nature douce et calme, une force limpide, sereine. Elle ne crier jamais, mais sa voix savait ce faire si froide, que sa en était une punition au simple fait de l’entendre. Et quand cette femme plonge son regard dans le vôtre et vous dis avec la plus brutale des sérénités ‘Tu me déçois tellement …’ Je vous promets que vous en perdez tous vos moyen. Alix et Nathen passe à côté de moi à toute vitesse, riant à gorge déployée de leur ânerie. Du haut de mes sept ans, je m’avance timidement vers la porte, je croise le regard de mes frères, et bien entendu celui de ma mère. Cette femme si belle, mon héroïne, pose ses yeux sur ma petite personne. Elle sourit tendrement et fini par ordonner avec douceur « Lucìa, viens ma chérie. » je cherche le regard de mes aînés, cherchant à savoir si l’un d’eux éventuellement me repousserais, mais bien au contraire je ne trouvais que des sourire bienveillant. Morgan du haut de ses neuf ans me regarde et fini par me dire à son tour « Ecoute maman Lucìa. » Mon visage prend une moue heureuse, je m’éloigne de la porte, Roman mon second frère m’ouvre grand ses bras, et comme toute petite sœur aimante, je me jette dans ses bras. Notre mère d’un œil attendris observe silencieusement la scène. Mes trois frères étaient pour moi des modèles de force et de courage, et ma sœur, un modèle de petite princesse parfaite. Je m’éloigne un peu des bras de mon aîné et lui souris, j’aimer être aux côtés de ma famille entière. Mon père fit son entré dans la pièce, et me prise dans ses bras pour me soulever au-dessus de sa tête, puis il me reposa au sol « Encore ! » réclamais-e avec amusement. « Doucement Lucìa, tu grandi tellement, tu deviens lourde ma chérie, papa et ses pauvres muscles n’ont plus beaucoup de force. » dit-il en rigolant. Mon père était un homme qui savait prendre soin de lui et de sa forme physique. Ce petits moments de tendresse seraient je pense, les meilleures souvenir que la vie me laisserait. Je fini par décrocher un bisou à tous ceux présent dans la pièce, puis tel une petite princesse espiègle, je retourne arpenter les couloirs à la recherche d’une bêtise à faire.

Roman et Morgan avait quittais la maison pour rejoindre Harvard depuis maintenant une année. Et désormais nous étions sur le point de dire au revoir à Nathen et Alix, qui s’envolés à leur tours pour cette prestigieuse université. Mon caractère c’était endurcie, et de loin c’est avec Nathen que je m’entendais le mieux. Bien que j’aimais tous mes frères et ma sœur. Son départ a été très dur pour moi. Je voulais pleurer, je voulais hurler. Nathen avait plongé son regard dans le mien et me dit « Lulu ne pleure pas, on se verra l’année prochaine et pendant les vacances. » Malgré le protocole, et les bonnes manières à tenir, je me jeter dans ses bras. Nathen qui malgré le regard sévère de ma mère qui se posait sur lui, fronça les sourcils et termina de me faire mon câlin d’au revoir. Alix soupirais, nous n’avions plus les même rapports depuis mon treizième anniversaire. Nous nous étions un peu éloignée, mais tout de même je me jette sur elle pour lui faire un câlin aussi, et qu’importe ce que pouvait en dire les parents. Mes yeux verts se posaient sur ma sœur, un sourire tendre se dessine sur mes lèvres. Je n’avais que dix-sept ans, et voir l’unique frère et l’unique sœur qu’il me restait ici, partir, aller radicalement me changer. Le soir même, je téléphoné à mon petit ami de l’époque. Contrairement à mon frère Roman, j’arrivais toujours à échapper à la vigilance de mes parents et de la ribambelle d’employé que nous avions. Nous avions fait la fête une bonne partie de la nuit et du petit jour. Je dormais à point fermé dans un bâtisse à l’abandon quand je sentis des bras me soulever de mon couchage et m’arracher à c’eux de mon petit ami. C’était Jefferson, le garde du corps que mes parents avait employé pour moi, il le fallait bien répéter souvent ma mère, au vus des conneries que j’enchainer depuis peu. Sans dire un mot l’ancien militaire me jeta sans trop de ménagement à l’arrière de son véhicule aux vitres teintées. « Mademoiselle d’Oranje-Nassau … Vos parents sont très mécontent, je dois vous ramener tout de suite. Mais que dite vous d’un embouteillage, et que l’on boit un café pour discuter de tout cela ? » Mes parents ignoraient bien entendue que Jefferson et moi avions lié une certaine complicité. Je le voyais un peu comme un très grand frère, mais sans les contraintes de notre nom, bien plus libre de parler, rire, ou bien même s’exprimer avec émotions que mes frères aînés. « Ok. » répondais-je sans grande conviction. Après avoir acheté des cafés, et être rentrée, nous nous installions dans le salon de réceptions, car aujourd’hui ma famille ne recevait personne, donc nous seront à l’abri des oreilles et des regards. Assis l’un en face de l’autre à la table, il soupire et prend la parole. « Lucìa tu ne peux pas continuer comme ça, tu ne peux pas partir en pleine nuit et m’obligé à te localiser avec ton portable. Lucìa je sais que tu souffres de l’absence de Nathen, que tu à une un vide permanent depuis le départ de Roman, Alix, et de Morgan et que tu n’as qu’une envie c’est de les revoir. Mais si tu continues tes conneries, tes parents vont, je pense, en avoir marre. » Je fronce les sourcils et pause un regard noir sur lui, mes yeux d’un verts si claire, prenne une nuance de colère. Mes parents ne pouvaient pas m’isolée, puisque nous allions tous à Harvard, j’avais donc juste à leur en faire baver pendant un an et après je retrouverais mes aînés. « L’année prochaine je ne serais plus isolée. » L’homme fait une moue désolée. Au même moment j’entends des pas dans le couloir. Ma mère entre dans le salon, suivit de mon père. « C’est donc ici que tu étais ! Monsieur Clesroy laissez-nous je vous prie. » Jefferson s’en alla de la salle en fermant derrière lui. Mon père posa sous mon nez un journal, je faisais la une sur la première page. Ma mère plongea son regard le plus sombre dans le mien. La matriarche pris la parole sans attendre. « Lucìa, au vus de ton comportement, et des relations que tu entretiens avec tes frères et ta sœur, ton père et moi avons pris une décision. Tu fais tes valise, tu pars pour Boston, nous t’avons trouvé une nounou sur place qui s’occupera de toi. Nous savons que tu te sens seule ici. Mais attention ma fille, tu devras écouter tes frères et ta sœur. » J’écarquiller les yeux ! Mon père avec un peu plus de douceur reprend la suite de ma mère. « Lucìa, on t’aime, on fait ça pour toi, mais s’il te plait je t’en prie, arrête tes imbécilité. Ton copain actuel ne t’apportera rien de bon. » Rien n’avais d’importance, du moment que je pouvais retrouver mon plus beau trésors, mes frères et ma sœur. Je saute au cou de mes parents pour les remercier.

Arrivée à Boston, j’étais tout de suite prise en charge par ma nounou. Mes parents n’avaient pas prévenue mes aînés, sous ma demande. Je voulais leur faire une surprise. C’est donc dans un premier temps au cours de Nathen que je me rendais, attendant timidement prêt de la porte. Lorsque le jeune homme sortait enfin de la pièce, je me poste devant lui, et tout de suite il me prend dans ses bras. Des larmes de joie commencent à monter sur le bord de mes yeux. « Nathen, père et mère m’ont envoyé prêt de vous, je suis tellement heureuse. Je veux voir les autres aussi. » Le jeune homme souris et soupire, je n’avais pas changé toujours speed à vouloir tout faire en même temps. […] Je me trouvais face à mon frère Roman, et il avait un peu changé, je le trouvais très famille, mais avec un peu plus d’indépendance, un petit côté solitaire tout en étant très proche de moi, et je n’approuver pas, et pour le lui faire comprendre je faisais tout pour le taquiner. Par moment il était complètement désespérer de mes bêtises le pauvre. Je plonge mon regard dans celui de mon aîné. « L’année prochaine quand je serais étudiante, je serais une Mather ! » assurais-je fièrement pour l’embêter. Eliot et Mather ne s’entendait pas du tout, et je voulais taquiner mon frère, l’embêter un peu. « Toi une Mather ? Mais non, je te vois plus Eliot ou Cabot. » Je prends une moue boudeuse, moi une Cabot ? Jamais ! Eliot passe encore, bien que je ne voudrais pas être dans l’ombre de mon frère, non moi je voulais entrer dans les légende d’Harvard, la fille aux mille et une joies de vivre, bonne vivante. Je fais un clin d’œil à mon frère avant de le décoiffer et de partir en courant. […] Enfin le jour de la rentrée. Après avoir finalement été accepté à Harvard j’avais demandé à intégrer la Mather House en vue de mon caractère un peu rebelle et fêtarde, mais aussi mon second choix, la Eliot House, car après tout j’étais une princesse, et je pouvais me montrée très sournoise pour arriver à mes fins.