Tu ne savais pas à quoi t'attendre avec le "vrai" Alek et te voilà servie. En deux temps, trois mouvements, le voilà transformé. Il était passé de loup solitaire déprimé, à un vrai fétard très caliente. Ça te suprenait, mais ça te faisait surtout plaisir. Tu savais à cet instant, que la nuit s'annonçait torride. Vos corps se rapprochaient de plus en plus et quand tu lui demands de te surprendre tu étais plus que surprise. Tu n'aurais pas imaginé qu'il prenne autant d'initiatives. Ses mains sur tes fesses, tu sursauta presque. Vos visages presque collés, tu n'as qu'une envie l'embrasser. Sa bouche passe sur ton oreille et tu ne peux t'empêcher de sentir à nouveau des frissons. Qu'est-ce qu'il te fait de l'effet... "Je ne suis pas sure d'avoir encore beaucoup de choses à faire pour te convaincre." Tu le regardes d'un air de défi. "Enfin, si peut-être encore une chose...". Et là, sans prévenir, ta main agrippe sa nuque et tu plonge tes lèvres sur les siennes. Qu'est-ce que tu en avais envie depuis le temps...

• J'ai dépassé toutes les limites que je m'étais fixé... Cette fille là, c'était le diable, c'était la tentation. Je l'avais su dès que son regard avait croisé le mien, dès qu'elle avait ouvert la bouche. Je l'avais senti, j'avais compris que si je buvais trop, elle pourrait faire de moi ce qu'elle désirait, que j'oublierais toutes mes questions et tous mes principes. Elle avai réussit, comment, je n'en ai aucune idée, mais elle avait réussis à m'avoir, à faire en sorte que nos envies soient les mêmes, et putain, je ne savais pas encore comme tout cela allait se finir. Je la tente, j'essaie de la prendre à son propre jeu, je colle mon corps au sien, je sens son souffle contre le mien. Je la dévore du regard, mais je ne peux pas, je ne peux rien faire de plus, je n'ai pas le droit. Enfin, si, j'en ai le droit, mais je me l'interdit tout simplement. Je la tente, je lui fais savoir qu'elle peu me convaincre de passer la soirée avec elle. Je n'ai pas le temps de répondre, je n'ai pas le temps d'agir ou de faire quoi que ça soit qu'elle pose sa main sur ma nuque et que ces lèvres se plaquent aux miennes. Sauvagement, je l'embrasse, je lui réponds à son baisé avec passion. Putain, que c'était bon. J'en avais presque oublier la sensation. Après quelques secondes à apprécier et à l'embrasser, à laisser ma langue aller chercher la sienne, je recule mon visage du siens, remontant mes mains au niveau de ces hanches. "Je crois bien que t'as réussis à m'avoir pour ce soir..." Je ne partirais pas en courant, je voulais juste partager son envie et tout oublier le temps d'une soirée... •

Mission accomplie, défi réalisé. Quand tu l'embrasses, tu ressens quelque chose de spécial, quelque chose qui te monte à la tête. Ce baiser, il est passionné, il est assez fou. Vos langues jouent l'une contre l'autre et vos lèvres s'entremèlent. Quand le baiser s'arrête, tu en veux un à nouveau, tu ne veux plus t'arrêter. Ça te fait quelque chose de l'embrasser. C'est sûrement l'alcool qui te rend aussi excitée. Quand il te dit que tu as gagné, tu ne pouvais pas être plus heureuse. Tu lui souris, et tu lui réponds "Je crois bien que cette soirée s'annone inoublaible..." Tu ne dis pas ça pour te vanter, mais l'alchimie ente vous est palpable. Tu n'as qu'une envie, l'embrasser et l'embrasser encore. "Où est-ce que tu veux qu'on aille ?" Après tout, n'importe où t'irais. Chez lui, chez toi, dans les toilettes, dans un parc, dans une chambre d'hôtel. Bref, n'importe où.

• A partir du moment où j'ai accepté son verre et de lui adresser la parole, c'était déjà trop tard. J'aurais simplement du rester chez moi, j'aurais du ne pas sortir, m'endormir devant un vieux film ou une vieille série bien ennuyante et me réveiller demain, seule, encore une fois. Je n'avais aucune idée d'où est-ce que tout ça allait me mener, mais je savais que j'allais m'en vouloir, que j'allais faire en sorte de ne plus la recroiser pour ne plus être tenter. J'ai encore une chance de m'en sortir, une chance de ne pas tomber encore plus dans ces bras... "J'habite pas très loin... Suis moi." Je dis tout le contraire de ce que je pense. Il est bien trop tard pour que je puisse me contrôler, on a un peu bu, peut-être un peu trop vite, un peu trop rapidement, et c'est surement ce mélange qui nous excite autant je pense. Je la prends pas la main et je nous fait sortir de la soirée. Sur le chemin, nous discutons un peu, mais je reste assez distant dans mes paroles, je n'ai aucune envie de me confier, aucune envie de raconter ma vie, je réfléchis, peut-être un peu trop. Et on finit par arriver chez moi, je passe la clef dans la serrure. J'ouvre la porte, et je la laisse rentrer. "J'ai pas reçu tous mes meubles, je suis ici que depuis 4 jours..." Alors à part un canapé, une télé une table et un lit, j'ai pas grand chose... •

Il te prend la main et vous quittez le bar. Tu ressens cette sensation d'avoir gagné, d'avoir réussi à l'attirer vers toi. Tu ressens même de la fierté. Sur le chemin, c'est drôle parce qu'il a l'air de s'être refermé à nouveau. Vous évitez de trop vous toucher, de trop vous parler, comme ci, Alek avait peur qu'une personne vous voit ensemble.
Une fois chez lui, tu vois l'état de l'appart. Il n'a encore rien. Ça te fait bizarre de voir ça, ça te rappelle qu'Alek est tout juste de retour ici. Comme depuis le reste de la soirée, tu ne lui poses aucune question. Tu n'as aucune envie de lui parler de son passé. "T'inquiète pas, on n'a pas besoin de bien plus...". Alek referme la porte et au moment où il se retourne, tu as déjà fait tomber ta robe à tes pieds. Tu es en face de lui, seins nus, en boxer, et tu lui souris. Après tout, jamais tu n'arrêteras de le surprendre.

• Je suis dans une mauvaise période de ma vie. Une période qui risque de durer pas mal de temps. Je n'ai pas envie d'en parler, de m'étaler là-dessus. Je n'ai même pas envie de ramener une fille chez moi. Ce que j'étais en train de faire là, je ne pouvais pas l'expliquer. Elle était le diable, elle était tout ce que je ne voulais pas faire, elle était la tentation, et je m'étais laissé avoir. Faible que je suis. Trop d'alcool dans le sang et voilà où ça me mène. J'aurais pu lui dire de rentrer chez elle, de me laisser tranquille, que j'avais trop bu, que je ne pouvais pas continuer, m'excuser ou je ne sais quoi. Sauf que je n'en faisais rien, je continuais de marcher jusqu'à mon appartement, sans dire un mot, regardant droit devant moi, jusqu'au moment où je passa le seuil de ma porte. Je la referme derrière moi, et au moment de me retourner pour reporter mon attention sur la jeune femme, elle a déjà sa robe à ces pieds. Je ne peux m'empêcher de sourire, je détail chaque partie de son corps, je regarde sa nuque, sa poitrine, son ventre, ces hanches, ces cuisses. Tout, j'analyse tout, m'approchant dangereusement d'elle. Doucement, je la pousse contre le mur du salon, approchant mon corps du siens, je laisse mes main plaquer les siennes contre le mur. Mon visage à quelques millimètres du sien. "T'étais pas complètement nue sous ta robe..." Que je lâche avant de plaquer mon corps contre le sien en même temps que mes lèvres viennent attraper les siennes, l'embrassant... •

T'aimes coucher, t'aimes baiser. T'es pas accro non plus, mais presque. C'est rare quand tu restes plus d'un mois sans coucher. Là, ça fait une semaine que tu n'as pas couché avec quelqu'un. T'es excitée, tu n'as qu'une envie c'est qu'il te prenne, fort, profond.
Lorsqu'il te regarde, presque nue, tu peux voir son regard sur ton corps. Tu sens qu'il a envie de toi, il a soif de toi. La tension est palpable, vous êtes tous les deux vraiment excités. Il s'approche de toi, rapidement, et te colle contre le mur. C'est presque violent, c'est animal, c'est bestial. Tu vois à quel point il est excité et tu aimes ça. Il prend tes mains, te les plaque contre le mur. "Par contre je vais bientôt l'être..." Tu sens son corps se coller contre le tien, et tu n'as qu'une envie, qu'il te dévoile son corps. Il t'embrasse fougueusement, bien plus passionnément que dans le bar. Tu lui mordilles la lèvre, tu joues avec sa langue. Tu lèves tes jambes et entoure sa taille. Tu fais quelques mouvement de bassin, et tu deviens de plus en plus excitée...

• La dernière personne que j'ai embrassé, c'est Nevada il y a de ça plus de six mois. La dernière personne avec qui j'ai couché, c'est Nevada, il y a plus de six mois aussi. Et avant elle, ça remonte à plus de quatre ans. Ces quatre dernières années, elle a été la seule pour qui je ressentais du plaisir, de l'envie, de l'amour. Ce soir, tout était différent, tout allait changer. J'allais toucher une femme autre que celle avec qui j'avais construit quelque chose. Tout ça, c'était comme nouveau pour moi. Je découvrais un nouveau corps, une nouvelle odeur, de nouvelles sensations. Je la plaqua contre le mur, et sa phrase me fit sourire. Plus aucune question, ma seule envie était de lui faire l'amour, de la prendre sauvagement et de me lâcher. Je m'en voudrais surement demain, surement après-demi aussi, mais au point où j'en suis, je ne peux plus faire marche arrière. Ces jambes s'enroulant autour de ma taille, je peux sentir son bassin s'onduler contre le mien. Je peux sentir l'envie monter en moi. Je l'embrasse, sauvagement, ma langue dansant avec la sienne, nos salives se mélangeant, je lâcha ces mains, descendant les miennes jusqu'à ces cuisses que agrippais, laissant mes doigts rentrer dans sa peau. Et dans sa position, ne la lâchant pas, je la porta jusqu'à ma chambre, manquant par moment de nous prendre des murs, pour la laisser tomber sur mon lit... •

C'était excitant, tout était excitant à propos d'Alek. Sa façon qu'il avait de t'embrasser, sa façon qu'il avait de poser ses yeux sur ton corps et sa façon de te toucher. Il n'était pas invasif, il n'était pas malsain, il n'était pas non plus très romantique, et ça te plaisait. Du sexe sans sentiment, sans attâche, mais avec une putain d'alchimie. Vous étiez connectés, vos baisers étaient en totale synchronisation. Tu souriais, tout en l'embrassant, tu étais contente. Quand il lâcha tes mains, tu les enroula autour de sa nuque, et lui, te porta jusqu'à sa chambre. Tu souriais, et tu rigolais même, sur le chemin. Bourrés, vous étiez bourrés, et il avait du mal à marcher droit. Sa maladresse, le rendait encore plus attirant. Il te lâcha sur son lit et très vite, tu le tira par le tee-shirt vers toi, sur toi. Les jambes écartées, son corps était contre le tien, à nouveau. Tu passas tes mains sous son tee-shirt, puis le retira en vitesse. Vous étiez dans le noir, et ça rendait Alek encore plus intriguant. Tu allais découvrir sans corps, sans lumière, juste par ton toucher. Tes mains se rendirent sur ses pectoraux, puis descendirent sur son bassin et puis à présent sur ses fesses, sur son jean. Vos baisers se faisaient de plus en plus intenses et tu ne pu t'empêcher de gémir d'excitation.