fais moi confiance, juste pour cette fois.

Elle semble bouleversée, mais je le suis tout autant alors qu'elle vient dans mes bras et que son corps se presse contre le mien, je ressens encore ces choses. Cette impression de déjà vu. Je ne sais pas pourquoi il me semble pourtant que c'est la première fois que je la rencontre alors pourtant tous ces flashes ? C'est question me laissent pantois, j'en cherche les réponses, mais alors que je pose mes mains dans le creux de son bas dos, un flash me revient encore. Je sens ses lèvres sur ma peau comme si elle avait absolument besoin que sa peau soit en contact avec la mienne, je ressens toutes ces choses impressionnantes. C'est comme si je les vivais en direct et autant vous dire que ça ne me laisse pas de marbre. Elle est magnifique ne nous en cachons pas. Je décide alors encore de la coller davantage à moi, de manière à me plonger dans ce fantasme presque réel. Et je comprends, je comprends alors qu'on a eu un coup de foudre l'un pour l'autre et qu'on essaie de le rendre réel par tous les moyens. Je la revoit cette fois-ci, allongé sur ce lit, je la vois essoufflée et rougissante, elle sourit davantage quand j'embrasse son ventre parce que je remonte encore et encore vers son visage, je me en train de de caresser sa peau en remontant encore et encore. Je suis moi-même essoufflé et je lèche mes lèvres pour les hydrater. Je recule alors en même temps qu'elle et je reviens à la réalité, elle est là face à moi les cheveux dans le vent, et elle prend la décision de me bouffer la bouche, littéralement. Elle s'attaque à mes lèvres comme si sa vie en dépendait et moi, je réponds à son baiser flamboyant. J'en profite pour un moment et alors qu'elle s'excuse de m'avoir embrassé, je la regarde et je glisse ma main dans ces cheveux sans même une réponse, je secoue la tête de droite à gauche comme pour lui dire que ce n'est rien de grave, et puis c'est rien du tout un baiser non ? Je suis tellement perdu dans mes pensées qu'alors que je l'observe encore et encore. Un combat de regards entre nous deux est lancé, d'un coup, je l'entends chuchoter un : « Et puis merde ! » Et elle se jette à nouveau dans mes bras et sur mes lèvres. Mes lèvres qui épousent parfaitement les siennes toujours avec cette impression de déjà vu, je ferme les yeux et je m'abandonne au goût sucré de ses lèvres si douces. Je l'embrasse encore pendant un petit moment avant de me reculer pour reprendre ma respiration, elle en profite pour se reculer et j'ai déjà une sensation de manque, j'en veux plus et irrémédiablement plus. Je hoche la tête, je suis un futur médecin encore heureux que je sais qu'on a qu'une seule vie et encore plus qu'on peut la perdre très rapidement sans rien n'avoir demandés à personne. Elle me dit des choses qui sont censé, on a qu'une vie, you only live once, comme ils disent. Je hoche la tête, je suis un futur médecin encore heureux que je sais qu'on a qu'une seule vie et encore plus qu'on peut la perdre très rapidement sans rien n'avoir demandé à personne. Je m'approche d'elle une nouvelle fois et je prends sa main dans la mienne.

« Dann... Oui, je sais mieux que quiconque qu'on a qu'une seule vie, je le sais et je suis d'accord avec ce que tu me racontes. Je t'écoute encore et toujours et pourtant, je n'ai qu'une seule chose en tête. « Pourquoi est-ce que je me retiens ? » J'en sais rien, je ne veux pas que tu penses que je couche avec toi pour me servir de toi, tu dis que tu as envie de moi, mais est-ce qu'au moins tu te rends compte de la torture que c'est de me retenir.. J'ai aussi envie de toi Danneel, vraiment envie... »

Je m'approche encore et encore, mon nez touche le sien et je pose en premier un baiser sur son front, signe de tendresse, mais aussi de protection. Je descends et je pose mes lèvres sur ces deux joues signe d'amitié et de douceur. Je descends devant ses lèvres et je pose les miens dessus, non sans tendresse, mais avec fougue, signe d'envie. J'accepte par ces signes de faire l'amour avec cette jeune femme qui me fait frissonner d'envie et d'impatience.

Codage par Libella sur Graphiorum

L’envie hardant me brule les entrailles, mon corps tout entier réclame ce jeune homme qui me fascine tant par sa beauté que par son charisme, je n’avais qu’une envie, m’abandonner au plaisir charnelle avec lui, lorsqu’il me parler je buvais ses paroles tel un fan devant son chanteur préféré, lorsqu’il me toucher je frissonner comme une adolescente timide, bientôt il n’y aurais plus une once de réflexion dans mon esprit, mais uniquement un appel à la chair, une envie de sa peau contre ma peau. Et peu à peu le voyant se rapprocher à nouveau, je frissonner, signe extérieur que mon envie intérieur aller bientôt attendre son maximum. Je ne voulais pas lui résister, je ne le pouvais pas, dans une incapacité total de refuser à mon âme ce qu’elle désire le plus profondément. Je voulais coucher avec Elyas. Allions nous faire une bêtise ? Allions nous le regretter ? Au diable les consciences de dernière minute. Ce jeune homme me fascine encore plus de par ses réactions, sa gestuelle. Lorsque son nez touche le mien, je me mordille la lèvre inférieure, signe corporelle de cette envie qui me broie les intestins, me consume de l’intérieur. Elyas dépose tour à tour un baiser sur mon front, mes joues, et le temps d’un instant un jeu de regard s’installe entre nous, suite au quel le jeune homme m’embrasse avec fougue. Je réponds à son baiser, cherchant à approfondir encore plus ce dernier.

Durant ce baiser fougueux, je laisse mes mains parcourir son torse par de simple petite caresse tendre. Je fini par stopper le baiser histoire de reprendre mon souffle. Ma bouche se rapproche de son oreille, et je lui murmure avec tendresse et sensualité. « J’ai envie de toi Elyas. » en guise de réponse à ses paroles précédente. Aucunes autres phrase ne sortirais de les lèvres, ces dernière que je viens poser sur le cou du jeu homme, lui déposant ainsi un baiser dans le cou, ces baisser ou le pouvoir inexplicable de vous faire frissonner et de propulser vos envies. Peu à peu et tel une sirène qui fait plier la volonté des marins, je le ramène vers le rivage par un jeu subtile de regards, de baiser et de vagues aussi qui nous pousse peu à peu sur le rivage. La dernière vague nous fait tomber sur le sol, je me retrouve donc sur Elyas, les vagues nous mouillent tout juste. Lorsque e me retrouve dans une telle position, mon esprit vrille totalement. Je me penche sur son corps, déposant petit à petit des baisers sur son ventre, puis remontant jusque ses lèvres. Je lui dérobe une nouvelle fois un baiser.

Alors que l’une de mes mains vient se saisir de la sienne, la position supérieure m’incommode. Je prends un petit élan, et me laisse aller sur le côté de façon à me retrouver allonger sur le dos, et avec Elyas sur moi. Je me sens bien mieux, non pas que je sois une soumise dans ce domaine, mais Elyas m’intimider, me rendais si innocente, moi la petite peste. Le petit démon que j’étais trouver apaisement et discipline dans les bras de son ami. Mes lèvres frôle les siennes à nouveau, et mon corps le réclame, je ne veux que lui, juste ce soir lui et moi sous se ciel étoilé. Mes mains parcours son corps, comme si je voulais le graver dans ma mémoire, en graver chaque parcelle. Je lui murmure une nouvelle fois. « Je suis à toi Elyas. » Signe irréfutable que cette fois plus rien ne pourrais arrêter notre lancer. Ni les jeu de regard, ni les baiser n’aller avoir d’importance lorsque nous commencerions à nous livrer l’un à l’autre sans aucune retenue de conscience.