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I LOVE HARVARD
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    Une annonce surprenante [Dann]
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    Lien du postLun 29 Mai 2017 - 19:47
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    William P. Spencer & Danneel M. Sullivan

    La voiture de Danneel s'éloigne je la regarde partir et c'est surement la dernière fois que je la vois … elle est mon enfant. J'ai prononcé des paroles que je n'aurais peut être pas du dire mais c'était trop tard pour avoir des remords maintenant et puis je me sentais pas du tout en état de me demander ce que j'aurais du lui dire pour ne pas la vexer. Avant de partir elle me donne raison et confirme qu'elle ne gardera pas l'enfant mais j'ai la net impression que c'est faux. Quelque minute avant elle voulait le garder et la non ? Excusez moi mais je suis pas stupide non plus. J'essais de me calmer car je manque d'aire, mes poumons me font de nouveau mal et je craints que cela recommence. Je me dirige doucement vers ma voiture qui est a quelque mètre de moi puis ouvre le coffre et prend un petite trousse en toile bleu et en sort une seringue. J'introduit l'aiguilles dans un petit flacon de liquide et l'aspire afin de remplir la petite seringue de ce produit. Je laisse tomber au sol le petit flacon puis je perds l'équilibre et manque de tomber. La seringue glisse de mes main puis tombe au sol et roule sous la voiture. Je n'ai pas la force d'essayer de l'attraper, j'ai peur, j'ai presque plus d'aire je me sent faible et je me dis que cette fois ci je vais surement y laisser ma peau. Je suis seul ici et je me demande pourquoi je suis venu ici finalement. Je ferme les yeux et me dit que c'est la fin quand finalement j'entends une voiture proche de moi et une portière claquer.je reprend ma respiration afin d'essayer de prononcer les unique mot qui peuvent me sauver. « Ici … a l'aide ... » ma voix n'est pas très forte et j'espère que la personne a entendu mon appelle au secours avant qu'il ne soit trop tard. C'est alors que je voix des pieds s'approcher de moi a grande vitesse. J'ai la tête baissée et je n'arrive presque plus a bouger. Je pointe du doigt la seringue qui est sous ma voiture « s'il vous plais ... » puis je tape légèrement sur ma cuisse avant de m'allonger sur le sol et de fermer les yeux. « l'injection.... vite ... » j'espère que la personne comprendra qu'elle doit m'injecter le produit dans la cuisse a travers les vêtements pas de détail …. on a plus le temps de toute façon soit elle me pique soit je meurt. C'est alors que je ressent l'aiguilles entrer dans ma jambe puis le produit de l'injection s'écoule lentement. A quelque seconde près j'y passé. « merci ... » Je suis épuisé mais retrouve mon calme et mes poumons m'autorise de nouveau a retrouver une respiration lente et normal peu a peu. J'ouvre les yeux lentement puis croise le regard de Danneel. Je lui sourit légèrement, elle m'a sauvé la vie mais pourquoi finalement est elle revenu. Ce n'est pas le meilleurs moment pour se prendre la tête de nouveau. Ma respiration s'améliore. Je m'assoie adossé a ma voiture et frotte ma cuisse de la main au niveau de la piqure.

    @Danneel M. Sullivan
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    Lien du postLun 29 Mai 2017 - 20:12
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    Je suis ce genre de fille qui en veut toujours plus, bien trop avide et qui s’attaque à trop avares pour donner de l’amour. Je suis de c’elles qui grattent pour l’amour et qui en contrepartie ne récolte que de la merde ! Je suis de c’elles qui sont incomprise, et ne comprennent rien. Je me prends l’injustice comme un bus en pleine gueule, et pourquoi je n’y ai pas le doit moi à ce foutu bonheur, que bien d’autres ont ?! Qu’est-ce qui cloche chez moi ? Les mots du Mather, ils s’abattent, tel un fardeau, un millier de poignards dans le ventre, déchirants les restes de mon cœur déjà bien foutu en lambeaux. Je ne sais pas si il cherche à me résonner, à me calmer, à me blesser ou à me briser, je ne sais pas ce qu’il veut, mais ça me tue ! Enfaite ça me rend folle. Il ne voit pas la gravité des conséquences. Et que ce que je suis censé faire ou dire ? Quand je constate à quel point il n’en a rien à branler de ma gueule, à quel point il me rejette, alors que ma vie tourne littéralement autour de son petit nombril. Je sais que je suis lamentable, et même pire que ça, je suis pathétique. Et pourtant j’y peux rien. Ce mec je l'ai pire que dans la peau. Je l'ai dans les veines, je l'ai dans l'air que je respire, je l'ai partout. Il me transforme en créature, un truc à peine encore humaine. Ou peut-être trop humaine. Je me laisse atteindre, je me laisse fracasser. Je vais en crever. Comment je pourrais ne pas crever quand je vois à quel point il me balance. Il s'en bat les couilles de moi et de mon enfant, notre enfant ! Et je ne sais même plus si je dois chialer ou gueuler, si je dois péter le plomb ou simplement me barrer. Il arrive à jouer avec mes nerfs avec si peu de mots. Je suis à fleur de peau, rien que l’idée que je puisse encore me foutre sur la gueule verbalement avec lui me rend malade, l’idée de le perdre me rend malade, alors que lui il serait bien content de ce débarrasser de moi, je m’en rends bien compte. C'est bien ce qu'il a essayé de me faire passer comme message, non ? Je ne pouvais pas me résoudre, pas si facilement. Hors de questions une fois encore de baisser les bras comme une gosse de riche à qui on cède tous ses caprices.

    Je braque le volant de ma gova. Cette fois pas d’issue, pas d’échappatoire. J’étais tel un biche sur la dernière ligne droite de sa vie, j’avais pris une cartouche en plein cœur, et maintenant je devais lutter pour survire, car au final la vie c’est bien ça non ? Se faire torturer pour mieux ce relever en lambeaux, n’être que l’ombre de soi durant des mois, se rétablir et au final rechuter. Le pneu crisse sur le sol, et me voilà à nouveau face à mon destin, face à mon enfer déguisait en paradis. Le diable dans la peau d’un ange. Faut arrêter de croire que les miracles ça peut exister ici-bas. Y'a que dans la vie des autres, des plus beaux, des plus riches qu'on en trouve.  Nous, nous sommes des pauvres pouilleux, la merde, les ordures des autres. Il y a plus d'espoir pour nous, nous sommes condamnés à patauger dans notre galère jusqu'à notre dernier jour. Je le sais, et certainement que William aussi le sais. Alors si on voulait s’en sortir, que notre enfant s’en sorte dans ce monde, on devait en finir avec toute cette mélasse de ressentiments négatifs, on devait arrêter de ce craché notre haine à la gueule. La vie ne m’avais pas faites de cadeau depuis mon arrivé dans cette foutue université, alors je m’étais endurcie, tellement endurcie, même si les autres doivent en payer les conséquences, même s'ils doivent souffrir de me côtoyer, je m’étais endurcie et c’est tout. Mais là face à moi c’était l’homme que j’aimais … Putain qu’est-ce que j’avais foutu ? J’accélère et braque à nouveau le volant. Mon véhicule se retrouve sur le trottoir, en vrac, sans aucune importance à mes yeux. J’arrache mes clés du contact et les jette sur le siège passager. Je sors, et fais plusieurs pas vers cet homme. Qu’importe qu’on me vole ma voiture, qu’on l’abîme, qu’ils la brûlent même si ils veulent ses petits voyous du bout de la rues, rien n’avais d’importance sauf lui, ce Mather, ce sale con, cet homme, William, Je t’aime bordel ! J’avais appris à survivre en construisant ma vie qu’autour de mon petit nombril et rien d’autre … Mais aujourd’hui tout devais changer, et le changement m’effrayé. Cole avait tort, tout le monde avait tort ! William n’était pas qu’un simple gus, il était l’homme qui avait conquis mon cœur, cet organe depuis sa dernière blessure, se retrouvant incapable d’aimer. Il avait arraché la carapace, brûler les rideaux, mis à nue le plus redoutable des adversaires, mon cœur ! J’étais la face à lui, tel un statue de roche de lave, le cœur en fusion de l’avoir tant aimé, et de l’aimer encore. Mon regard azure, embué de larmes se posa sur l’homme a demi conscient.

    Mais que ce passe-t-il encore ? Je n’en ai pas assez bavée dans ma putain de misérable vie ? Il faut en plus que l’homme que j’aime soit là affaibli au point de ne même pas me reconnaître rien. Je ne comprends plus rien soudainement, ma vie semble me filer entre les doigts. J’ai peur, je suis terrifié de le voir dans un état pareil. Il appel à l’aide, mais moi je peux faire quoi ? Je m’approche de lui en toute hâte, j’ai le cœur qui se broie, se déchire, s’enflamme. Il palpite, et tel un cow-boy à grande chevauché en terre d’Eldorado, l’adrénaline monte dans mes veines, ça m’aider à garder un minimum mon calme et à agir rapidement. Il me parle d’injection et je ne sais quoi, mais putain je ne suis pas infirmière moi, William tu es en train de mettre ta vie entre mes mains, c’est comme si tu m’étais une Antilope blessée sous le nez d’un poulpe ! Ma main tremble, je dois agir pourtant. Je pose ma main sur sa cuisse, et je pique. Le liquide s’infiltre doucement dans son corps. Tel un poison, cela fait effet rapidement. Le Mather se redresse, s’assoit, prenant appuis sur un véhicule. Je soupire. Je reste debout, je n’avais même pas le courage de m’assoir, rien. Seringue en main, je rester figée face à lui. Les larmes monte, et mes yeux azure s’embue une nouvelle fois de larme. L’adrénaline retombe et c’est comme un millier de seringue qui me pique le cœur. Je lâche la seringue, comme si jamais commis un crime et que l’arme étais dans ma main. Je plonge mon regard dans celui de jeune homme. Je prends mon courage à deux mains, j’inspire profondément, avant de finalement me mettre à pleurer tout en prenant la parole.

    « William, il faut qu’on arrête ça, cette guerre dis-moi elle rime à quoi ? Regarde nous, regarde ce qu’on risque d’offrir à cet enfant, je ne veux vraiment pas sa pour notre bébé. Je te veux toi, ce bébé dans ma vie, et des tas de bons moments ! Je veux des fous rires à en avoir mal au bide, des papillons dans le ventre, je veux pouvoir sourire pour rien, en pensant à toi. Putain William regarde-moi, regarde mon visage … Mon regard est vide ! Je suis mal, je vais mal, je me sens mal sans toi ! J’ai plus la force de continuais cette bataille, je baisse les bras. Si tu savais à quel point je suis détruite, je suis en lambeaux. J’en ai marre de continuer sans toi. Essaye de comprendre ma souffrance, j’aimerais être à tes côtés, sentir ta présence. Il ne me reste que des souvenir de toi, et de cette soirée pour essaye de sourire à nouveau à la vie, au monde. Comprend que tu es l'homme de ma vie. Comprend que je ne peux pas me passer de toi. Comprend que tu es gravé en moi, jusqu'à rendre mon dernier souffle. Je suis censé être une femme forte, mais je n’y arrive plus, pas sans toi. Regarde ce que tu as fait de moi … je suis faible, car je t’aime, et que l’amour n’ai pas une faiblesse si il est ressentie en tandem, sauf que moi je suis seule, seule dans cette histoire à me noyer dans ce putain d’amour que j’ai envers toi ! Alors ne me dit pas de jamais revenir, quand ma seule envie est de rester prêt de toi, ne me dit pas d’avorter quand tu sais que j’en aurais jamais le courage ni même la force. Je sais que tu ne m’aime pas et que ton cœur a prêté allégeance à une autre, mais putain sa me bouffe les tripes ! Je suis en train de pourrir de l’intérieur ! Sans toi, sans ton amour, je suis juste une putain de condamnée qui attend avec froideur sa fin. Pourquoi moi, pourquoi nous ?! Je veux juste avoir l’infime chance de toucher le bonheur au creux de tes bras. PUTAIN WILLIAM BORDEL JE T’AIME ! »

    Et les mots résonnent dans ma tête vide, dans mon corps froid. Je reprends ma putain de respiration, et les larmes coulent, elles roulent, déboulent et meurs sur le macadam ! Je me fou toujours du sort de ma gova. Je suis là face à une glace sans tain, attendant que la victime m’identifie et me face croupir dans les limbes de l’enfer, là où mes émotion seront ruée à terre et bafouées. Je me mets à suer, pas très féminin tout ça, mais je m’en balance ! Mon corps tremble comme une feuille morte, je tremble comme un gosse qu’on vient de sortir du ventre de sa mère. Ma peau palie, mon visage devient si pale que cette pétasse de Blanche Neige en aurait tapé une crise de jalousie. Je ressens comme des tic tac dans le fond de mon âme, et des palpitations vienne me faire flancher. Je me retrouve genoux à terre face à ma plus grande terreur, je me retrouve à genoux face à l’amour. Une douleur thoracique m’arrache de mes souvenirs, me tire de mes pensées, et broie ma poitrine. Je pause une main au niveau de mon cœur, grimace sur la tronche, j’ai mal, la douleur me perce, me transperce. Je ferme les yeux, impossible d’aller mieux. Je suis prise de ce qu’on appelle une crise de panique ! J’ai trop pleuré pour lui, cet homme qui se fiche de moi, on s’est mis en colère, on s’est jeté, et maintenant je pleure, j’ai peur qu’il m’abandonne là sur le bitume de la ville, qu’il préféré rejoindre sa poufiasse qu’il aime tant. J’hyper ventile, j’ai du mal à retrouver ma respiration. C’est putain de crises sa peux toucher n’importe qui, mais moi, dans mon état émotionnel cette garce de crise, m’avais pas loupé, en me mettant dans un tel état émotionnelle mélanger à la peur de le voir souffrant, je m’étais dessiner une cible sur la tronche ! Reflexe aussi stupide qu’humain, je pose mes mains sur ma poitrine, pensant qu’elles auront une chance de me guérir.  Je plonge mon regard tétanisé par la peur dans celui de William, putain Spencer, je t’aime voilà c’est dit une bonne fois pour toute ! Désormais le jeune homme avait deux solutions. Soit il me laisser là avec ma crise, et il prenait l’unique chance que je perde ce bébé et qu’il puisse se débarrassé de moi, soit il m’aider et là nos vies seraient chamboulées. Adieu monde insouciant des soirées sans fin et des cocktails, car même si aujourd’hui sur ce macadam je perdais mon enfant, jamais plus on ne m’y reprendrait dans ces soirée, jamais plus je ne prenais le risque de perdre la direction de ma vie. Mais pitié Spencer fais le bon choix, car moi j’ai besoin de toi. Ne me laisse pas souffrir sur ce bitume de cette ville atroce. Mon regard fuis, cherche un point, un repère, toute choses susceptible de me calmer, mais la seule chose qui pourrait calmer cette putain de crise, c’était lui, William ! Et plus que jamais j’avais peur de l’abandon, rien à foutre des autres, moi c’est toi que je vois, toi que je veux, toi qui me fais bouillir le sang dans mes veine, et me glace de stupeur en l’espace d’une fraction de seconde. Une crise de panique dure plusieurs minutes, et mise à part essayer de me calmer, il n’y avait rien à faire, juste attendre que sa se calme. Sa pouvais paraitre impressionnant, car comme un gosse qui pleure à s’en époumoner, je respirer mal, comme une putain d’asthmatiques ! Mon visage dont blanche neige aurait été jalouse, reprend des couleur, mes joue devienne rouge.
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    Lien du postLun 29 Mai 2017 - 22:05
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    William P. Spencer & Danneel M. Sullivan

    J'étais pourtant sur que mon état de santé c'était amélioré et c'est a croire que non car je me retrouve sans aire après un état d'énervement que j'aurais pu éviter. Sauf que la il est impossible de revenir en arrière comme la si bien dit Danneel. Ce qui est dit est dit même si les paroles ne sont pas pensées elle ont été prononcées du coup il est trop tard pour revenir en arrière.
    Mon énervement a provoqué un manque d'aire encore une fois mais je ne m'attendais pas a ce que c'est Danneel qui me sauve la vie, Nos regards se croise je lui souris légèrement comme si je la remerciais de m'avoir sauvé. J'arrive a me redresser. Son regard me fixe de la haut. Je regarde la seringue quitter sa main pour finir sa course au sol. Sans cette injection et le sang froids de la jeune femme ma vie était fini. Je sent son regard insistant en ma direction. Je lève mes yeux vers elle. Je ne lâche plus son regard et écoute bien sagement ce qu'elle a a me dire. Je l'écoute bien sagement ce n'est pas le meilleurs moment pour m'énerver de nouveau. Je suis très surpris par ses paroles, je ne m'attendais pas vraiment a ça et je comprends mieux pourquoi elle réagis comme ça. Le bébé, elle le gardera et cela ne m'étonne pas plus que ça. Si je lui ai demandé d'avorter ce n'est pas par ce que je ne veux pas de cette enfant. Danneel ignore tout de moi, de mon passé et de ma maladie qui peut être héréditaire. Je ne peux pas accepter que mon enfant subisse le même calvaire que moi, Une fois qu'elle eu fini de me dire tout ce qu'elle avait sur le cœur je me dis que ma vie est de plus en plus compliquée. Je n'ai pas vraiment le temps de lui répondre car elle est prise de panique. Encore une fois je suis surpris mais ne panique pas. Qui est le mieux placer pour réagir a ça calmement ? Ben c'est moi. Du coup je lui attrape la main lorsqu'elle se pose sur ses genoux. « calme toi s'il te plait, nous devons parler calmement mais surtout comme des adultes responsable et pas de jeune con colérique. » je soupire puis retrouve mes esprits peu a peu. J'attire Danneel vers moi et lui demande de s'allonger posant sa tête sur mes jambes. Je pose mon regard dans le siens qui se trouve un peu plus bas que le miens puis tente de la rassurer pour qu'elle se calme. « J'aimerais t'expliquer pas mal de chose mais le temps ne me le permet pas aujourd'hui, tu ne connais pas grand chose de moi, je sais pas si je suis capable de mériter ça. » je lui parle calmement, je voulait lui dire que ce n'est pas possible sauf que j'ai pas osé. Je pense que c'est pas le meilleurs moment pour lui dire que j'en aime une autre alors je préfère me taire. Je joue avec ma main dans ses cheveux en restant silencieux. Ses parole m'ont profondément touchée et on ne m'a jamais dit de tels chose du coup je ne sais pas vraiment comment répondre a ça. Je ne partage pas ses sentiment mais je ne sais pas comment lui dire. Et si on essai de passer au dessus de ça et de devenir ami ? Bon ok mauvaise idées, « Danneel j'aimerais te dire que c'est réciproque, mais tu le sais j'ai une vie trop compliquée je sais plus trop ou j'en suis. » je lève les yeux au ciel puis lui explique vaguement « Ce bébé risque d'hérédité la même maladie que moi du coup ouai ça me fait peur car je ne veux pas qu'il ou qu'elle souffre a cause de moi tu comprend » Puis la regarde de nouveau «  voilà pourquoi je t'es demander de ne pas le grader. » mais visiblement elle va le garder donc il me reste plus qu'a croiser les doigts pour que cette enfant n'est pas cette fichu maladie.

    @Danneel M. Sullivan
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    Lien du postMer 31 Mai 2017 - 4:07
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    Alors que mon corps flanche, ne me laisse pas de répit, et me flanque la raclé du siècle, je suis là à me battre, à chercher une parcelle infime de force pour essayer de trouver le regard de William. Alors que le combat semblait me jeté à terre, je sentis sa peau sur la mienne, sa main attrapant la mienne. Une émotion parcourus mon échine toute entière, laissant un frisson courir sur mon corps frêle. Si je plie, que j’abandonne, j’allais me retrouver à terre, sans pouvoir me relevé. Alors que je pensé ne pas être capable de reprendre mon souffle, oui une putain d’incapable, bonne à rien sauf à être jeté dans la fausse au lion, le beau brun pris la parole, et pour me dire quoi ? Que nous devrions parler comme des adultes. Mais ouvre les yeux William ! Je ne suis pas une adulte moi, je suis une jeune femme immature qui n’as pas fini de profité de ma jeunesse, et merde on en parle de cette jeunesse ?! Cette jeuneuse nous me l’avons volé, oui nous, car tu ne t’as pas protégé, mais que je ne prends pas la pilule. Je trimbale mon cœur en lambeaux sur le macadam de la ville, je ne voulais qu’une seule chose, que tout s’arrête, que la dernière seconde de ma vie fasse tic et puis tac, et que l’horloge de ma longévité s’éteigne dans un fracas insoutenable ! Je voulais que cette pute de chauffeuse vienne me prendre et ne me laisse plus jamais revenir. Je voulais tellement de chose en fait. Je voulais de la dope ! Pour que ma pensée s’envole et que la réalité laisse place à des hallucinations, que mon esprit si étroit s’ouvre sur le monde. Tout me semble si insignifiant. Et puis l’humanité on en parle de ca aussi ? Je ne supporte plus l’être humain, sa cupidité et putain sa cruauté ! L’humanité est foutue, bonne qu’à devenir des monstres. Je suis là à rien dire telle une statue de cire. Rien ne semble allais jusqu’à ce qu’il me tire vers lui me faisant posé ma tête sur ses jambes. Mon regard se pose sur le ciel dégagé, d’un bleu si pur. Je ferme les yeux et coute les paroles du jeune Mather. J’entends que la voix de William est douce, je me sens en sécurité, comme si une bulle nous avez fait le privilège de nous entourer, et quand son regard se pose dans le mien, je commence à essayer de retrouver mon calme pour pouvoir lui répondre. Je n'aime pas les gens. Je n'ai aucun espoir pour l'humain. Mes semblables me dégoûtent autant que moi-même. Mais ce soir, j'ai envie de me noyer dans ton regard William. Sa main passe dans mes cheveux et mon regard ce porte à nouveau sur le ciel, le jeune homme lui aussi à soulever les yeux et m’explique tellement de choses, suis-je seulement en état de les comprendre ?

    Mon cerveau n’est qu’un cheminement de pensée, pas toujours logiques, je le plussois ! Mais qu’est-ce qu’on en a à foutre. Je venais d’ouvrir mon cœur, et maintenant regardais mon état ? Je suis là comme une putain d’asthmatique à crever. Heureusement mon Mather favori est là et il arrive à calmer l’orage, à mater la tempête, et à me rendre un second souffle. Là tout de suite je ne voulais qu’une seule chose en entendant le Mather dire que ce n’étais pas réciproque, c’était de m’enfoncer dans les méandres de l’alcool, et qui sais pour une première fois pourquoi pas dans la noirceur de la dope, un joint ou toute autre drogue. Je vous me détruire les neurones, m’abrutir le cerveau, que le temps d’une nuit, la vie ne suive plus son court. L’égarement dans le monde noir des soirées me tante bien. Je voulais me retourner les tripes pour oublier les mots si dure à mon cœur. Parlons-en de mon cœur tiens ! Il se sert, ce compact dans ma poitrine, j’ai le sang qui ce glace. Je suis prête à devenir mère, mais je ne veux pas que mon enfant souffre, je veux qu’il est la meilleure vie du monde. Et là j’apprends de la bouche de William qu’en gros il a une maladie et que notre bébé risque de l’avoir aussi. Alors que mon regard était poser sur le ciel, lorsque le jeune homme m’avoue enfin que c’est à cause de sa qu’il ne veut pas que je le garde, mon regard se repose sur lui, alors que le sien part se perdre dans le ciel. Mon souffle venait enfin de revenir. Les sanglots c’étaient calmer. J’inspire profondément et expire. « William, il y as une chance pour qu’il soit en pleine forme ce bébé, il faut lui laisser sa chance. Et je traquerais les meilleurs médecins du monde s’il le faut. Je déplacerais des montagnes pour notre bébé. » Je relevais le haut de mon corps, me retrouvant face à William, appuyer sur ma main, une main de part et d’autre de ses jambes. Mon visage à quelque centimètre du sien. « Et je serais toujours là pour toi. » Ma main part se poser sous son menton et avec une grande délicatesse je tourne son visage vers le mien. « Ce n’ai pas parce que je ne peux pas être tienne, que je ne peux pas t’aimer William. Je te serais toujours fidèle, tu é dérobé mon cœur. Et si ton bonheur est ailleurs alors d’accord, mais moi je t’attendrais, car il n’y a que toi qui as réussi à percer ma carapace. » Je lui souris, puis mordille ma lèvre inférieur. Je n’ai qu’une envie, écraser mes lèvres sur les siennes.

    Je ne savais plus comment l’aimer, d’un amour inconditionnel ? D’un amour partagé ? J’étais perdue, las de souffrir. Je ne suis pas le genre de fille sage, je couche dans des soirées, je rentre tard, je rassure jamais personne, je me crois supérieur à toute ses pétasse qui m’entourent. Je n’aime pas les filles, elles sont stupide, conne, trop nombriliste. Mon visage à quelque centimètre du siens, je rougis, j’ai qu’une envie tel une putain de droguée c’est d’avoir encore une dose, une dernière, juste un dernier baiser. Je suis là fichue devant lui, comme une putain de tolarde dans le couloir de la mort pour un crime odieux, j’ai peur, je clame mon innocence ! Et puis au diable l’innocence ! Qu’elle crame en enfer mes bonnes manières. Il me la fallait ce dernier baiser. Tout vacille, mais je devais m’accrocher. L’amour fait très mal. Je souris car je l’aime. Au diable, aux enfers, qu’il crame mes putains de beaux principes. Je n’aimais pas briser des couples, mais la tant pis, plus de scrupule. Je lui dérobe un baiser chaste, mes lèvres se posent sur les siennes, et soudain je me recule. Ronger par la honte, mes joue son d’une rose pivoine ! Je m’éloigne un peu plus de lui. Son odeur m’attire tel un aimant. « Pardonne-moi. » je pose ma main droite sur ma bouche, comme voulant retenir la douceur de ses lèvres, leur gout. Je me mordille la lèvre inférieure et passe nerveusement ma main dans mes cheveux. L’être humain me dégoute, mes semblable sont des monstres sans cœur, et de tous je détiens ce putain d’oscar du meilleur monstre, briseuse de couple, amoureuse incomprise, femme solitaire. Je soupire. Qu’allait-il dire. Mon regard se pose sur lui. Et je suis comme une gosse qui attend sa punition, comme une gosse qui viens de faire une bêtises et qui viens face à ses parents ce dénoncer sans un mots pour que les adultes répares ses bêtises.
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    Lien du postMer 31 Mai 2017 - 22:54
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    Je suis sur le cul, au sol, le dos contre ma voiture. J'ai juste l'impression que le temps s'est arrêté. Je ne pense plus a rien. Je regarde le bracelet que j'ai autour de mon poignet. Le bracelet en tissus que Anna m'avait offert lorsque l'on été plus jeune. Puis je fais descendre ma manche par dessus. Tout était devenu si compliqué tout d'un coup. Les retrouvailles avec Anna, puis Danneel qui m'annonce que je vais être papa. Les doutes d'Anna fasse a ma relation avec la mère de mon enfant n'arrange rien. Elle ne m'en parle pas mais je vois bien que quelque chose la dérange et je pense la comprendre car je sais pas si de mon coté j'aurais accepter qu'elle soit enceinte d'un autre... euh j'en suis même sur... j'aurais pas accepté ! J'étais venu voir Danneel suite a sa demande et on ne peu pas dire que notre discutions a été très constructive bien au contraire.
    Je pensais ne plus la revoir et puis finalement elle ma piquée la cuisse …. la cuisse seulement ? … Depuis ma rencontre avec cette fille, j'ai toujours eu une certaine attirance pour elle, une attirance physique car il faut avouer qu'elle est plutôt pas mal et c'est justement ça qui nous a rapproché cette soirée la ou nous somme passé a l'act. Après notre rapprochement on s'est plus trop parlé car entre temps Anna a réapparue et j'ai vraiment voulu lui parler, comprendre pourquoi elle m'a laissé et pourquoi elle est revenu.
    Depuis nous somme en couple et Danneel est parfaitement au courant de ça car je lui ai dis un peu plus tôt mais pourtant elle m'annonce qu'elle m'aime et qu'elle veut clairement être avec moi.
    Puis je lui avoue que j'ai une maladie respiratoire et qu'il a forte chance que notre enfant en hérite et c'est pour cela que je lui ai demander d'avorter par peur qu'il souffre autant que moi mais aussi pour ne pas devoir me sentir coupable de lui avoir transmis cette merde. Danneel, elle, reste positive et pense qu'il y a des chances que ce petit ou petite ne contracte pas cette maladie. En effet c'est possible mais nous en savons rien car il faut dire que j'ai jamais pensé a ça avant … j'ai jamais pensé que d'ici moins de 9 mois je vais être papa et ça me fou les boulles. Je suis jeune, trop jeune pour avoir un tels responsabilité et puis je suis étudiant je ne veux absolument pas abandonné mes études pour me trouver un petit boulot minable … bref secouant la tête pour m'enlever ses pensées qui me torture l'esprit soudainement je dépose ensuite mon regard sur la future maman, « t'a décision est prise et je ne pourrais te faire changer d'avis, j'espère juste que tu as raison. » Oui j'espère qu'il ne sera pas malade lui aussi. C'est alors que Danneel ouvre de nouveau la bouche pour me dire a quel point elle tient a moi. Je soupire car elle en remet une couche de nouveau alors que je lui ai dit qu'il y avait une autre femme dans ma vie. Sauf que la future maman ne lâche pas l'affaire et que c'est pas vraiment le moment de l'envoyer sur les roses. Je n'ai pas envi que notre enfant ai des problèmes si jamais la jeune femme ne fait pas attention a elle du coup je pose mon doigt sur ses lèvres « chuttt » n'en dis pas plus s'il te plait car je ne veux pas t'achever …. Ces mots je les ai pensés mais pas prononcés car Danneel est a présent calmée. Elle finit pas se redresser puis m'embrasser. Un baiser rapide, un baiser volé comme dise certain mais a quoi elle joue ? Veut elle réellement briser mon couple ? Veut elle réellement que je la déteste ? Je la regarde alors différemment je lui en veux et surtout ne comprend pas pourquoi elle insiste. Elle me demande pardon, je ne sais pas si je dois la croire et puis peut être que ce baiser était une façon de me dire au revoir ? De me dire je veux juste un dernier baiser ? … j'en sais rien a vrai dire alors je décide de changer de sujet afin d'essayer d'oublier ce baiser et surtout de ne pas l'énerver d'avantage. « Tu  …. tu as déjà choisis un prénom ? » Euh tu n'a pas une question encore plus débile a lui poser crétin ? Elle vient juste d'apprendre qu'elle est enceinte ...genre elle a déjà choisis le prénom, acheter sa future chambre, ses jouets, habits … non mais Will parfois tu es vraiment con. .

    @Danneel M. Sullivan
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    Lien du postMar 6 Juin 2017 - 19:13
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    Un baiser d’adieu voilà tout. Je ne voulais rien de plus, et je le lui avais volée, tel une pauvre mendiante, je lui avais dérobé ce qui me semblée être de plus précieux, un simple contact entre nos lèvres, un furtif et rapide baiser soutirais avec sournoiserie. Nous avions nos fesses posés sur le macadam, alors que nous aurions pu être sur le sable chaud, si seulement nous ne nous étions pas disputés. Je n’avais plus le cœur à tant de conflits. Je posais mon regard dans le sien, cherchant simplement à m’y noyer. Je ne savais pas trop quoi faire, alors dans une simplicité enfantine, je me rallonger, posant à nouveau ma tête sur lui. Quand il évoqua le choix d’un prénom, mon cœur se sera, broyant mes sentiments. Un prénom ? Non vraiment pas. J’avais une idée, comme toutes les filles. On rêve toute de fondé notre famille, quand on est gosse on s’imagine notre futur vie, le prénom de nos enfant, de notre mari, mais le jour où l’on tombe enceinte, on oublie les prénoms, on oubli le mari, et on ne pense qu’as une seule chose, quel avenir aura ce petit être qui grandi en nous. Le simple fait d’évoquer un prénom, ou choix, me ramener avec brutalité à cette réalité, qui nous ronde, nous pourri tous jusqu’à la moelle. Je lève les yeux vers lui, cherchant son regard, et lorsque je trouve ce dernier, j’y plonge mon regard azure. Je lui offre un sourire, nous venions de nous sauver mutuellement la vie, de peu dans son cas à lui. Je pose ma main sur sa joue, geste amicale, remplie de tendresse, telle une mère envers son enfant. Un léger rire sort de ma bouche. Puis mon regard se pose sur le ciel. « Je ne sais même pas si cela sera une fille ou un garçon. Et puis c’est un choix à faire ensemble. Bien que j’ai ma petite idée. » Dis-je doucement. Je ne voulais plus qu’il y est de cris, et pour cela je décider de ne pas parler fort, histoire de détendre l’atmosphère. « Tu vas trouver sa bête et moche, mais pour une fille je trouve ça pas mal Calypso. Et pour un garçon je trouve ça adorable, Zéphyr. » Je laissais le silence reprendre sa place. Je ne m’attendais pas à ce que ces prénoms fassent sauter de joie William. Nous venions de savoir que nous allions être parents, et voilà qu’on en vient déjà à parler de prénom. Ca allé trop vite. Mon sourire s’effaça, je me perdais dans mes pensées tout en regardant les quelque rares nuages passés au-dessus de nous. J’avais l’impression d’être dans un labyrinthe d’émotion, où tous les chemins possible menaient à une impasse. Sans dire un mot je replonge mon regard azur dans celui du jeune Mather présent, je reste sur le lui, encore quelque instant, comme pour prolongé ce dernier moment de tendresse que nous aurons. C’était terminé, j’arrêter le combat, je rendais les armes aux pieds de son cœur. J’avais perdu ! « William, ce baiser … C’était juste un baiser d’adieu rien de plus, ne le prend pas comme un affront. »

    Il était temps que je parte, que je m’en aille. Je me relève avec douceur et agilité. Une fois debout je lance un dernier regard sur le jeune homme, avant de finalement le posé sur l’horizon. Je cherche un issu, une nouvelle qu’il viendrait du fond des paysages, bonne ou mauvaise, une nouvelle qui ferais des remous, qui secourais le moment platonique que nous vivions. Je me mets à marcher sans but, abandonnant le jeune homme là où il été. Je retourner sur le sable, me mettant face à mer, les pieds dans l’eau, je suis perdue, j’avance encore un peu, et l’eau arrive maintenant à hauteur de sous mes genoux. Je stop ma démarche, et je reste là à fixer l’horizon, encore et toujours. Je n’avais qu’une envie, que le courant m’emporte au large, que l’eau purifie mon corps, et que la houle tumultueuse des vague emporte mon âme. Que dire de plus, j’étais dans un état de profond de doute, perdue entre la stabilité de mon quotidien et la peur du l’inconnu, la peur de demain. Je fais en sorte de ne plus entendre le monde autour de moi, et je profite du doux son de la mer, du bruit sourd que murmure l’eau limpide, et le vent. Je suis perdue tout en étant sur le bon chemin, je suis triste tout en étant heureuse, je suis à la croisé des chemins, à la frontière des sentiments, un endroit où l’on se perd en étant sur le bon chemin. Les bords de ma robe trempe dans l’eau fraiche, car je n’irais pas jusqu’à en dire qu’elle est froide. Si je me laisser porter par les courants, où allais-je atterrir ? Quel était mon destin réellement ?
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    Lien du postMer 7 Juin 2017 - 21:59
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    William P. Spencer & Danneel M. Sullivan

    Etre la a coté d'elle c'était pas coyable. Je dervais être avec Anna mais non la mère de notre future enfant avait besoin de moi, besoin de me parler alors j'avais accepté de la voir mais j'imaginais pas un seul instant qu'elle m'annonce que je vais devenir papa. C'est un grand bouleversement dans ma vie mais aussi une peur que ce petit être hérite de ma maladie.
    Oui elle avait raison … on ne sait même pas si c'est un garçon ou une fille alors parler de prénom c'est clairement prématuré en effet.
    Mais ce qui va se passer par la suite va me rendre mal. Dann me dit que c'est un adieu je la regarde se lever « mais … mais non !! … pourquoi ? » elle préfère partir loin de moi ? Mais qu'est ce que j'ai fait au bon dieu ? Pourquoi tout le monde me fuis ? Pourquoi j'ai pas le droit de vivre comme tout le monde ?
    Je la regarde s'éloigner vers la plage et je me lève a mon tout puis glisse mes mains dans mes poche puis la rejoins sur la plage et me place a coté d'elle fixant l'horizon, le regard remplis de penser et de question qui resteront sans réponse. « partir n'est pas la meilleurs solution Dann et c'est pas ce que je souhaite. Je sais que la vie est parfois injuste et je suis bien placé pour le savoir mais sache que s'éloigner de la réalité est pas la meilleur solution. » Je ne souhaite pas que ce bébé ai une vie de merde, une vie comme la mienne qui le marquera a jamais. Je sort ma main de ma poche puis prend la main de Dann dans la mienne. « je ne suis peut être pas a toi mais notre enfant nous lie qu'on le veuille ou non » Je tourne mon regard vers elle puis regarde son visage qui fixe l'horizon. « Dann … regarde moi s'il te plais » j'attends de croiser son regard puis ajoute «  part pas, on trouvera une solution, tu ne peux pas me priver de connaître mon enfant ... » je la regarde sincèrement car je ne veux pas qu'elle m'enlève ça car au fond de moi, j'ai le sentiment que Dann a raison … ce bébé a toutes les chance de ne pas être malade … ça vaut le coup d'espérer non ? Je porte la main de Dann que j'ai dans la mienne a ma bouche puis dépose mes lèvre sur le dos de celle ci puis lui lâche la main et fait demi tour « prend la bonne décision Danneel » elle a les carte en main maintenant. Je m'éloigne pour regagner ma voiture mais une fois sur place je me rend compte que j'ai perdu mes clés.

    @Danneel M. Sullivan
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